La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°500)

L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°497 - Voici donc le 500 ème épisode !!! Je profite de celui-ci pour remercier chaleureusement tous les très nombreux lecteurs (et lectrices) pour nombreux les mails de compliments que j'ai reçu !

soumis compelled MDE est très excité à l’idée de pouvoir être « utile et utilisé » comme cela vient de lui être annoncé. Il n’y a rien qui pourrait lui faire plus plaisir que d’avoir la possibilité de vivre sa slavitude dans toute sa dimension avec lubricité et perversité. Il est d’autant plus ravi qu’il vient d’entendre une voix d’homme qui semble être venu s’enquérir de lui, se préoccupant de savoir si la petite chienne était prête et si elle avait pu manger et boire surtout. Tant de sollicitudes ne peuvent que le rassurer, mais en fait il n’est pas si inquiet que cela puisqu’il a une totale confiance envers Monsieur le Marquis d’Evans et s’il ne sait pas du tout où il se trouve et ce qui va lui arriver par la suite, il sait cependant qu’il est là sur ordre du Maître Vénéré qui n’a pu que le placer entre d’autres bonnes mains pour parfaire son éducation en vue d’un asservissement total. Il a donc l’intention de faire de son mieux pour faire honneur au Dominant auquel il appartient, en se pliant à tout ce qui lui sera imposé, même s’il se doute que cela lui sera moins facile d’obéir à un ou plusieurs tiers que de se soumettre avec allégresse au Maître Vénéré en personne, car Ce dernier dégage une telle aura dans la Domination que chaque soumis ou soumise MDE ne peut que se complaire dans la Dévotion et l’abnégation qu’ils et elles ont tant espéré pouvoir vivre. L’homme qui ne s’est volontairement toujours pas présenté prend la parole.

- La tenue de la chienne est-elle prête ?
- Oui, Monsieur, elle a été préparée ce matin dès que Monsieur le Marquis d’Evans a exprimé Ses ordres. Je l’ai faite porter dans la salle de douche comme vous me l’aviez demandé.


-Et bien alors conduit la chienne là-bas, je t’y retrouve le temps de prendre quelques attirails.

compelled MDE qui a toujours le bandeau sur les yeux depuis son arrivée écoute avec deux fois plus d’attention chaque mot des échanges, par curiosité certes, mais surtout parce que cela attise ses sens déjà en éveil, surtout lorsqu’il est question « d’attirails », ce qui ne peut que le faire fantasmer. Ce qu’il retient surtout, c’est que Le Maître Vénéré en personne a exprimé ses ordres quand à la tenue qu’il va devoir porter, qui visiblement ne sera pas une simple « parure » d’Adam, nu comme au premier jour. Il a aussi remarqué que par deux fois la femme a parlé à l’homme en lui disant « Oui, Monsieur » ; visiblement elle n’est pas sa soumise et pourrait très bien ne pas être Domina non plus, car ce n’était pas un « oui, Monsieur » de politesse qui aurait fait écho à d’autres « Madame » qui lui aurait été adressés. Et pourtant, l’esclave se souvient de la manière très ferme et autoritaire avec laquelle, la jeune femme s’est adressée à lui, en particulier lorsqu’elle l’a à faire de l’acrobatie pour sortir de la voiture à quatre pattes. Il n’est cependant pas mécontent de savoir qu’il n’a pas atterri dans un groupe constitué exclusivement de Dominas gynarchiques et castratrices, ce qu’il craint encore de devoir affronter car en bonne salope homosexuelle passive, il ne sait pas si son attribut phallique serait de nature à se raidir et se gonfler pour contenter toutes ces Dames comme pourrait le faire un bon gode vibrant ou un mâle viril bien membré.

Mais visiblement, l’homme a parlé de lui comme d’une « chienne en chaleur », et c’est cela qui mentalement le fait frémir de bonheur de savoir qu’il est considéré comme ce qu’il désire être au plus profond de lui, même si cela le conduit dans la dépravation et la débauche, tout autant sensuelles que sexuelles, faisant de lui un simple esclave-jouet érotisé destiné à donner du plaisir et prenant du plaisir lorsqu’on use et de son corps et de ses deux trous.
L’esprit de compelled MDE s’enflamme et son excitation a tendance à vouloir faire gonfler sa queue qui remue de plus belle dans la cage de chasteté qui la maintient comprimée. Il aimerait pouvoir être sans tarder « utile et utilisé », mais il sait qu’il doit se montrer patient et mériter tous les plaisirs charnels ou D/s qui lui seront accordés, fussent-ils douleurs extatiques dans le masochisme dans lequel il se complet de plus en plus depuis qu’il a été initié, ou douceurs plus hédonistes et charnelles dans des rapports impudiques et concupiscents. Sans un mot de plus la secrétaire vient de tirer sur la laisse du chien qui se prépare à avancer avec hésitation car il ne sait pas si les deux gamelles sont toujours au sol devant lui et s’il ne va pas les heurter maladroitement dans le noir de son bandeau ou les renverser ce qui lui vaudrait une punition assurément. Mais, il n’a pas le temps de gamberger, la laisse tendue lui tire sur le cou et il est bien d’avancer pour ne pas se sentir garroté par le collier qui lui enserre le gosier. Après quelques mètres de marche en quadrupédie sur la moquette du couloir, il entre à nouveau dans une pièce carrelée. L’homme revient et att d’une main ferme la laisse juste au niveau du collier, forçant le chien toujours privé de la vue à redresser le menton.

- C’est bon ! Tu peux nous laisser. (dit-il en s’adressant à la secrétaire-soumise)
- Oui, Monsieur. Vous pourrez m’appeler si vous avez besoin de moi ou de quoique ce soit.
- Je pense que tu as suffisamment de choses à faire, Nous allons bien savoir nous débrouiller tous seuls pour nous occuper comme il se doit d’une bonne petite chienne docile et dévouée.

soumise Emeline MDE quitte aussitôt la pièce. compelled MDE sent que l’homme lui retire la laisse. Il est de plus en plus excité de n’avoir toujours pas retrouvé la vue et aux aguets du moindre son ou mot. Il n’a pas manqué d’entendre par deux fois le « nous » qui lui fait comprendre qu’il y a au moins deux personnes dans la pièce, même si un seul s’est exprimé.
Qui sont-ils ou sont-elles ? C’est toujours le suspens le plus total, à la fois troublant et excitant, d’imaginer ceux ou celles qui le voient ainsi, avili, nu, à quatre pattes, la queue encagée, rabaissé au rang de chien devant se déplacer à quatre pattes, et surtout prêt à tout accepter sans rechigner avec une docilité qui ne se rencontre que chez les soumis(es) qui portent cela au plus profond de leur âme.

- Ouvre la bouche et tire ta langue de chienne !

L’esclave s’exécute, la tête toujours relevée car la main de l’homme lui retient encore le menton en position haute. Quelques bruits de zip de fermeture éclair attise l’esprit du chien-soumis, mais il n’arrive pas à savoir combien. Il se doute cependant que ce sont des queues qui se libèrent, ou disons qu’il l’espère de plus en plus en tendant le menton, prêt à s’exécuter pour lécher, sucer, pomper, avaler. Mais l’ordre suivant est d’une autre nature !

- Reste à genoux mais assis sur les talons en écartant les cuisses ! Lève les pattes de devant et montre tes petites « papattes » les poings fermés……. C’est cela fait le beau ! Montre que tu es fier d’être un chien bâtard mais fidèle.

compelled MDE se redresse pour se mettre dans la position requise, se trouvant un peu ridicule dans la position du petit caniche devant sa mémère. Il se sent d’autant plus humilié qu’il doit faire le beau comme un simple animal devant des inconnus qu’ils ne peut même pas apercevoir. Il reçoit aussi sec deux gifles qui l’ébranlent un peu, se demandant ce qu’il a bien pu faire pour déplaire, mais il se dit que peut-être les deux baffes n’étaient pas des punitions, mais juste des mises en condition, pour lui rappeler ce qu’il est avant tout et désire être, un esclave-soumis D/s.

- Qui t’a autorisé à fermer la bouche et à rentrer la langue ? Tu ne sais donc pas répondre à deux ordres à la fois quand ils ne sont pas contradictoires ? Je vais devoir sévir pour te contraindre malgré toi à apprendre à étirer ta langue de cabot bien trop courte.


L’homme att deux pinces à linge, il tire sur la langue de l’esclave au maximum pour la faire sortir et pose les deux pinces de chaque côté de la langue juste à l’endroit des commissures des lèvres, ce qui fait que compelled MDE n’a plus la capacité de rentrer son appendice buccal même d’un simple millimètre, se mettant aussi sec à baver pour évacuer la salive qu’il ne peut plus avaler naturellement. L’homme lui écarte du pied un peu plus les cuisses et se penche pour défaire la cage qui enserre sa nouille, ne se privant pas au passage de la soulever et la tripoter dans tous les sens, pour ensuite attr les deux couilles pleines qu’il malaxe, pince et étire puissamment, jusqu’à entendre un petit couinement venant de la bouche ouverte du chien-soumis qui ne peut ni parler, ni aboyer, avec les deux pinces mordantes qui lui bloquent la mâchoire qu’il tient la plus entrebâillée possible pour éviter de se faire rabrouer une fois de plus. L’homme se redresse et continue à faire jouer du bout de sa chaussure les organes génitaux du soumis, n’hésitant pas à appuyer dessus à plusieurs reprises ce qui commence à faire naître chez compelled MDE des sensations de plaisirs masochistes auquel il s’abandonne totalement.

C’est juste après qu’il reçoit sur le corps un liquide tiède qui lui arrive par divers endroits, inondant son corps, son dos, son torse, son bas-ventre, ses seins qui se tendent sous les jets qui visent les mamelons. C’est l’odeur qui lui fait comprendre qu’on est en train de lui pisser dessus, ce qui est confirmé lorsque l’un des jets vient atterrir sur son visage et sur sa langue, lui mettant aussi sec dans la bouche l’âpreté de l’urine forte de mâles. L’homme lui retire les deux pinces à linge et ajoute tout en lui fourrant la queue entre les lèvres pour terminer la miction :

- Avale maintenant, on n’hydrate jamais assez un chien de ton espèce.

compelled MDE, complètement trempé, se doute qu’ils ont dû être plusieurs mâles autour de lui, silencieux, mais tous ayant une forte envie d’uriner qu’ils avaient dû retenir depuis un bon bout de temps. En bon chien soumis qui apprécie grandement les jeux uro auxquels Le Maître Vénéré l’a initié, l’esclave qui s’est retrouvé avec la queue à l’air libre, s’est mis à bander de l’excitation de cette douche dorée qu’il a reçu les yeux fermés sans savoir d’où et par qui il était aspergé, tout son corps ayant profité de la pluie jaune sauf peut-être les yeux qui ont été épargnés pour éviter des irritations sur la cornée, et aussi pour ne pas tremper le bandeau noir qui maintient toujours le soumis dans l’obscurité, laquelle obscurité a eu pour effet de décupler les sensations et son plaisir. C’est une autre voix masculine sarcastique qui rompt le silence du groupe de pisseurs.

- Et bien, cette chienne a vraiment l’air d’aimer le fait de pouvoir servir d’urinoir, regardez comme cela la fait bander cette salope !
- Oui, je m’en doutais et je reconnais que j’ai bien fait d’enlever la cage avant de songer à la laver, car au moins on profite du spectacle phallique qu’on pourrait appeler « action – réaction ». Mais si cette chienne croit qu’elle va pouvoir fourrer sa queue dressée dans une bonne chatte humide, je pense qu’elle risque d’attendre longtemps, car ce n’est pas prévu au programme… Ha ! ha ! ha ! …

L’esclave est vraiment heureux et excité de la situation…

(A suivre…)

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