Deuxième Soumission - Partie 1

Ma rencontre avec Maitresse Sophie, une autre Dominatrice

Je surfais sur des sites de rencontres, par pur curiosité ne cherchant pas de plan en particulier, malgré mon besoin d’activités brulant vu que je n’avais eu aucune aventure depuis 3 mois.

Je tombais soudain sur l’annonce d’un couple se disant sans tabou et voulant pimenter leur sexualité.
Je leur envoyais un petit mail avec un rapide description, mes envies et attentes
N’ayant que peu d’espoir d’avoir une réponse. Je fus surpris lorsque je vis que j’avais eu une réponse
Le texte disait d’appeler sur une page horaire et un numéro, suivi de « Mt. Sophie »
Je fus intrigué et décidais d’envoyer un sms le lendemain matin
9h00 La réponse tomba, on me demandait : prénom, envies, l’heure du rendez-vous et mon offrande. Cette fois, le message était signé : Maitresse Sophie
Mon sang ne fit qu’un tour : une dominatrice. Je décidais d’essayer d’avoir un rendez-vous malgré mon désir initial d’avoir un plan à trois.
Je demandais quelques précisions, et répondais aux questions posées
J’eu mes réponses et nous avions convenu du rendez-vous dans l’après-midi.
Maitresse me demanda de lui confirmer par sms le rendez-vous une heure avant sinon elle annulait.
16h00 je lui envoyais un sms
16h01, maitresse me préviens qu’elle aura 15min de retard
16h05 : l’adresse avec les directives
17h10 je suis sur le parking indiquer par maitresse et je l’a préviens. Elle est la dans 5minutes.
17h15 personne, je stressais un peu, limite de l’angoisse.
17h25 un sms : appelle-moi
Je tape sur la touche appel, j’attends 2 sonneries et puis sa voix
-Léon ?
-Oui
-Tu es sur le parking ?
-oui, devant le numéro que vous m’avez donné.
-vas vers le numéro XX et lorsque tu arrives tu ouvres la porte et tournes tout de suite a droite.
-j’ai compris
-a tout de suite
Elle raccrocha
Son ton avait été calme et gentil, malgré ca j’avais une boule au ventre, ce n’était pas le moment
J’entrais dans l’immeuble et tournait à droite, je vis une porte dans un couloir sombre.


Je respirais un grand coup et je m’engageais vers l’inconnu littéralement.
La porte s’ouvrit

Je distinguais quelque lumières et la vit à moitié masqué par la porte, Maitresse Sophie.
-Entre et baisse les yeux.
Sa voix était douce à l’oreille.

Je baissais les yeux et je distinguais seulement la pointe de ces cuissardes ainsi que le bas de sa tenue, une sorte de long manteau en tissu noir.
Je me mit ou elle pointait du doigt, elle ferma la porte et se tourna vers moi.
Blonde, quasiment ma taille je ne distinguais pas les traits de son visage, sa tunique semblait un peu transparentes, elle avait des gants et je voyais en entier l’objet qui me plaisaient tant.

-baisse les yeux et retourne-toi.
J’obéissais à cet ordre sans discuter.
-Avance et vas dans la pièce devant toi, et garde les yeux baissés.

Je prenais la direction que Maitresse m’indiqua, j’arrivais dans une chambre ou je distinguais depuis l’angle de vue a ma disposition (les yeux rives au sol) : un lit, un canapé et une table avec un miroir fixé a coté. Sur le lit je pouvais voir plusieurs objets mais je n’eu pas le temps bien observer.

J’entendis la porte se fermer et Maitresse resta à coté
-retournes-toi vers moi

Je haussais légèrement la tête pour remonter
-les yeux baissés.
-pardon Maitresse.
-je t’écoute.
J’étais largué, que voulait-elle que je dise… je bégayais légèrement.
-je t’écoute.
-je suis venu chez maitresse pour être son soumis
-et ?
-j’aime ce genre de position, être tenue en laisse par ma Maitresse
-quoi d’autre ?
-menotter, bâillonner, les yeux bandes.
Plusieurs autres questions sur divers pratiques auxquels je répondais par oui ou non.
-tapes, fesses ?
-oui Maitresse.
-godage.
-oui et pris ensuite par Maitresse équipé d’un gode-ceinture.
-parfait. Tu as mon offrande ?
-oui Maitresse.

-parfait, tu vas la sortir, la compter à voix haute et la poser sur la table devant toi
-a vos ordres, Maitresse.

Je suivis ces ordres à la lettre puis je repris ma position les yeux toujours fixé sur le sol et les bras le long du corps.

-tu vas te déshabiller, poser tes affaires sur le canapé et venir vers moi.
-bien, Maitresse.
Je me dévêtis, je sentais mon rythme cardiaque plus fort, tel que Maitresse me l’avait ordonné.
-tu veux être traité comme un chien, un soumis ou bien ?
-j’avoue que les deux sont intéressants, Maitresse.
-un larbin donc.

Une fois nue, je me retournais et aller vers Maitresse

Je ne voyais que ces mains gantés, ces jambes gainés des cuissardes et cela m’intimidait encore plus que lors de ma rencontre avec Maitresse Nadine.

J’arrivais vers un petit meuble rouge
-A genoux et présentes-moi tes mains
Je prenais la position et voyait Maitresse aller derrière moi, et farfouiller sur le lit.
Je n’osais pas regarder dans le miroir, de peur d’être démasqués.

Elle se planta a ma droite et j’entendis le bruit de menottes métalliques, elle me les passa autour des poignets, puis repartis a nouveau vers le lit.

Cette fois je sentis ces mains (les gants qu’elle portait par-dessus étaient d’une douceur incroyable, je me sentis presque apaisé par son contact) attachés mes chevilles. Elle avait à peine finis sur la première que je compris immédiatement que c’était une barre d’écartement.
-voila, tu es à moi maintenant.

Un bruit de chaine, serait-ce le collier ? Effectivement, je la vis me passer le collier et le fermer, elle le tourna et la chaine tomba le long de ma colonne, je sentis le métal froid de la chaine me provoquer un frisson
-ah le voila. Ouvre la bouche
Ce fut au tour de ma bouche d’être sceller, je déglutis et commençait à respirer rapidement

-baisse les mains, m’ordonnât-elle en plaçant un masque sur mes yeux.

-hum, très attirant. Tu vas regarder dans le miroir à droite une dernière fois à quoi tu ressembles
Je hochais la tête légèrement

Mon masque fut relever et je me regardais. J’étais la, a genoux au pied de cette superbe femme dont j’entre-aperçus le visage, il était très beau, mais c’était l’image que je renvoyais qui me troublais, me voir ainsi réduit a l’état de larbin était bizarre mais pas désagréable.
-tu t’es bien regarder ?
-*oui, maitresse* malgré le bâillon
Le masque me fut remis et je reprenais la position
-à quatre pattes. Bien le seul moyen pour que j’arrête est de dire : pitié, Maitresse.
Je hochais la tête.

-as-tu compris ? Alors dis-le.
-*pitié, Maitresse*
-tu m’obéiras ? L’entendant s’asseoir.
-*oui Maitresse*

Le coup tomba sans que je m’y attende. Je tressaillis sous le coup, commençant ainsi son jeu avec ma fesse gauche.
-hum, c’est bien ca.
La droite subit la même chose, puis à nouveau la gauche et la droite.
-tu aimes ce que te fait ta Maitresse ?
-*oui, Maitresse*
Elle recommença deux fois de suite avant de passer cette fois à la plante des pieds.

Elle alternait toujours. Puis elle enchaina fesses et pieds.
Je tenais bon à chacun de ces coups, pour lui faire plaisir. Je sentais mon sexe régir à chaque impact.
Elle finit avec le paddle en tapotant mes bourses
Je grommelais a travers le bâillon et haletait.
-bien, tu résistes pour le moment

Elle changea d’objet et je reconnus une cravache. Elle recommença le même procédé avant de passer à un nouvel ustensile. Je sentis cette fois une espèce de fin cylindre, une canne anglaise peut-être.
Elle recommença le même schéma, je commençais à aimer ca malgré la douleur, je gémissais un peu
-tu aimes ca, hein ?
Elle continua ces fessées
-tu me plais a résister autant.

Elle se leva et je sentis la chaine de la laisse glissa sur mon épaule gauche avant de sentir quelque chose me frôler le flanc droit
Un bruit fend l’air et je sentis une douleur sur le flanc, elle me fouettait, ah c’était bon
Elle me fouetta plusieurs fois les séparant de quelques passages du fouet sur mon dos.

Je l’entendais parler mais je n’arrivais pas à tout comprendre, elle parlait trop bas, je compris seulement qu’elle me flattait en me corrigeant.
Puis elle s’en prit à mes fesses.
-bien, tu es un bon larbin pour le moment.
-*merci, Maitresse*

Je l’entendais fouiller, d’autres bruits, j’essayais de distinguer quelque chose a travers le loup, mais impossible, l’ambiance tamisé de la chambre était parfaitement étudier.
Mes genoux commençaient à souffrir de la posture mais je tenais bon.
Elle passa près de ma tête, je devinais ces mouvements grâce à la laisse qu’elle avait mise à son poignet gauche.
Ces mains commencèrent à défaire le bâillon
-ouvres la bouche
La boule tomba lorsque j’ouvris la mâchoire, un petit filet de bave nous reliant encore.
Je reprenais mon souffle et ravalais ma salive.

Maitresse me demanda d’avancer un peu après avoir encore fait je ne sais quoi autour de moi.
-bouges la tête par la droite, doucement la.
Je vus a travers le bas du masque un gode vêtue d’une capote, fixé sur le meuble devant moi
-allez ouvre la bouche et suce-le

Je prenais le gode en bouche avec plaisir et je commençais à le sucer, sa main droit sur mon dos me caressant
Je suçais ce morceau de plastique, en sachant très bien ou il allait finir, chose que j’attendais avec impatience.
-doucement

Je ralentis le rythme et m’appliquais encore plus, je gémissais un peu et j’avais avalé presque la moitie
-c’est bien, larbin.

J’aimais l’entendre m’appeler ainsi, je continuais à me laisser aller, je suçais, embrassais ce sexe qui allait me pénétrer sous peu.
-Parfait, recules-toi maintenant
Je quittais ce gode un peu déçu mais désobéir aurait pu être plus dangereux pour moi.
-voila, reste comme ca

Elle s’affaira encore a cote de moi, puis je le senti s’agenouiller derrière moi, la laisse revenant le long de mon dos.
Puis le froid du gel et ces doigts se posèrent sur ma rondelle et me pénètrent sans efforts
-tu as fait un lavement avant ? Avec un pommeau ?
-non, mais j’ai essayé de me laver du mieux possible.
-il faudra penser à aller en acheter un dans une pharmacie, ca sera plus agréable pour quand je te fisterais.
-a votre ordre, Maitresse.
Ces doigts jouèrent un peu puis elle les retira.

-bien tu vas faire des vas et vient avec ton cul doucement, et quand tu sentiras que c’est rentré tu continue, je veux t’entendre larbin
-oui maitresse.
Je fis ce qu’elle attendait de moi, j’étais fou d’envie de retirer ce masque et de la regarder, mais je me contentais de mon rôle de larbin.
Je sentis quelque chose contre ma rondelle lorsque j’ondulais du bassin, je le sentais immobile attendant que je m’empale dessus
Les mains de maitresse se posèrent sur mon dos
-doucement mon beau.
J’aimais sentir la petite extrémité me titiller la rondelle lorsque j’entrais en contact avec.
Puis je reculais jusqu'à le prendre, maitresse me caressait et je l’entendis gémir aussi
-hum oui, continue doucement
Je sentais le gode me pénétrer toujours plus loin et je commençais à gémir
-c’est bien, tu vas crier pour ta maitresse
-oui, maitresse. En disant cela, j’eu l’impression que ma voix avait changé pour prendre un ton plus salope

Maitresse commença un petit vas et vient et je gémissais sous ces caresses, ces mains se posèrent sur mes hanches et elle me baisait littéralement
-tu aimes ca, te faire baiser ainsi !
-Oh oui, maitresse, sans cesser de gémir a chacun de ces coups de reins
-j’aime t’entendre gémir comme une petit salope.
Elle me gratifia de quelque fessée par ci par la, puis pose ces mains toujours aussi délicates sur mes épaules et m’enfonçait encore plus dans les fesses
Je gémissais comme jamais, je prenais un pied génial, je baissai la tête et je vis mon sexe prendre de l’ampleur sous ce traitement ainsi que les cuissardes de Maitresse.
Cela m’excitas et je me laissais aller au plaisir, j’implorais Maitresse de me baiser encore.
-oh oui, encore Maitresse c’est trop bon
-je te baise le cul, salope
-je suis votre salope
-oui tu l’es, tu sais que tu dois me faire plaisir
-oui maitresse
-hum ouais, hum quel cul
Elle s’arrêta après de longues minutes de plaisir intenses, mes genoux me rappelèrent qu’ils souffraient, mais cela en valait vraiment la peine
- penche-toi doucement en avant, je vais sortir

Je sentis le gode glisser hors de moi, et lorsqu’il fut entièrement dehors, je fus un peu déçu.
Maitresse se révéla et plaça ces jambes de chaque coté de mon dos et se pencha, sa tenue me caressait, j’aimais cette sensation
-ouvre la bouche
J’ouvris la bouche et vis la sangle noir de la laisse m’être tendu
- tiens-la sans qu’elle tombe
-*bien, Maitresse*

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