Une Expérience Avec Le Voisin

Quinze ans de mariage émoussent la libido d’un couple, Clarisse et moi n’y échappons pas…un vendredi soir après visualisé à la télé un débat sur les relations extraconjugales entre voisins, nous avons échangés nos points de vue

- Tu me vois avec notre voisin François ?
- Hoooo il est très gentil, toujours aux petits soins et nous sommes bien servis en viande
- Bien sûr ! surtout quand c’est moi qui vais a la boucherie, il essaie toujours de lorgner dans mon décolleté et si je m’habille un peu court il fait des allusions graveleuses, si son patron savait qu’il me fait des gracieusetés lorsqu’il me sert…. mais de là a faire ça avec ce célibataire bedonnant, non merci !
- Nous n’allons pas nous plaindre de ses gentillesses ! malgré son physique ingrat il a pas mal de conquêtes à son actif
- Tu sais à quoi ça tient ? a ses amabilités avec quelques clientes faciles pardi !
- Tu as vus ses mains ? sa verge doit être largement au dessus de la moyenne, je me fie à la largueur de l’ongle du pouce, il faut multiplier par trois et tu as la grosseur du membre
- Ha ? c’est vrai que j’ai remarqué ses grands doigts ….mais non, pas question !
- Pourtant un petit coup de canif dans le contrat ferait du bien à notre couple
- Assez parlé de ce tocard, embrasse moi Nathan….

La conversation a fait son chemin dans son esprit, il y a longtemps que clarisse n’a pas quémandé un baiser, je vais vite savoir pourquoi … nous nous enlaçons pour échanger un baiser affectueux sur le canapé vire en galoche passionnée, je bascule ma femme de façon a ce qu’elle se retrouve le dos sur mes genoux, elle n’oppose aucune résistance, ses genoux remontés font que sa robe glisse sur le haut de ses cuisses, ma main se pose carrément sur le renflement de sa vulve encore protégée par un slip bien sage encore sans taches, les cuisses s’ouvrent largement, je masse délicatement la craquette et fait rouler l’une sur l’autre les lèvres gonflées de désir, mes doigts glissent sur le tissu qui s’imprègne vite de mouille

- C’est François qui te fait cet effet là ?
- Idiot ! tu me caresse la minette c’est normal que je sois humide !
- Tu étais humide bien avant que je ne te touche, avoue que d’imaginer sa grosse queue dans ton vagin te fait gamberger ?
- Mais non voyons ! que vas-tu inventer ? fait moi plutôt l’amour
- Je vais le faire, à condition que tu sois honnête avec toi-même … alors ? que penses-tu de François ?
- Tu m’embête chéri ….


- Regarde comme je bande ! dépêche-toi de parler sinon je remballe la marchandise !
- Oui …
- Oui quoi ?
- Ouuuiiiiiiiiiiiiiii ! j’ai envie d’une grosse bitte, ouuiiiii j’ai envie de la grosse queue de François dans ma chatte !
- Je peux arranger ça pour demain, écarte les cuisses que j’enfile ma petite salope adorée !

Jamais Clarisse n’a jouis aussi fort, elle att la base de ma verge enfilée dans son sexe et me branle en même temps que je la pénètre, je n’ai pas tenu cinq minutes avant de tout balancer dans son con en feu, le fait d’imaginer ma femme avec un autre homme, de plus avec le voisin, m’ôte tous mes moyens pour lutter contre mon éjaculation précoce et abondante, apparemment insatisfaite, elle se retourne et me tend son cul outrageusement visible

- Prends moi par là aussi avant que François ne le fasse …..

Il ne restait plus qu’a convaincre ce François de venir à la maison sous n’importe quel prétexte, heureusement je l’ai trouvé seul à la boucherie, c’est vrai qu’il n’est pas vraiment beau … pour me rassurer je regarde ses mains … houaaaa quels battoirs ….
Quand je lui ai dit que Clarisse fêtait son anniversaire et qu’elle tenait a sa présence il est devenu fou ! La bave suintait au coin de ses lèvres

- Haaaa c’est très gentil de votre part Nathan, combien seront nous ?
- Rien que nous les trois
- Ha bon ? ……j’amènerais quand même du champagne !
- Bien ! à dimanche quatorze heures
- J’y serais !!!!!

Complètement déboussolé a l’idée de savoir que ma femme va se faire baiser par cet homme, j’ai été obligé de stopper la voiture pour me masturber discrètement sous le volant

- Chérie, c’est fait, j’ai invité François dimanche après midi
- Tu es fou ? que vais-faire ?
- Je te guiderais, tu mettras ta petite robe rouge, la mini-mini, avec le string assorti, sans soutien gorge évidement, de toute façon cette robe n’est pas faite pour ça
- Mes seins seront à moitié découverts, même les genoux serrés, elle est si courte qu’assise ont voit mon fond de culotte et comme celle-ci ne cache rien je vais avoir honte !
- Il sera plus gêné que toi ! Et je serais là

Avant qu’il n’arrive j’ai chauffé ma femme, mentalement, sans la toucher sinon elle aurait mouillé prématurément son string ! Je lui ai vanté les bons cotés du voisin, elle parait prête, heureusement car le carillon de l’entrée tinte, je vais accueillir notre hôte qui a les bras chargés de fleurs et d’une bouteille de champagne, je le débarrasse et l’envoi vers le salon ou l’attend Clarisse, lorsque que j’entre a mon tour il est les bras ballants médusé devant la beauté de ma femme

- Qu’attendez-vous pour l’embrasser ? C’est son anniversaire !
- Ha, pardon … bon anniversaire Clarisse

L’homme tremble de tous ses membres, ma femme l’embrasse au coin de la bouche, il est rouge comme une pivoine

- Vous sentez merveilleusement bon !
- Je me suis parfumée pour vous François !
- Vous me gênez
- Assoyez-vous dans ce fauteuil face a Clarisse ce sera plus facile pour discuter, je vais chercher des coupes
- Bien Nathan… vous êtes magnifique clarisse.
..
- J’espère que ma tenue ne vous choque pas, j’avoue que ma robe est un peu courte
- Vous avez fait le bon choix, j’adore voir les jambes des femmes, surtout que les vôtres sont belles, je profite de l’absence momentanée de votre mari pour vous dire ça !
- Il ne serait pas vexé, lorsque vous dites ‘les jambes’, ça veut dire que vous aimez voir aussi les cuisses des femmes ? ?
- Oohhh clarisse !.... mais … c’est le paradis que je vois ?
- Parfois ça devient l’enfer !
- C’est mon cas en ce moment, surtout si vous ouvrez encore un peu les jambes, je vois que votre petit ‘paradis’ est brun ?
- En effet, mais vous devez être mal a l’aise les jambes croisées ?
- Ne me demandez pas de les décroiser j’aurais trop honte d’exposer mon pantalon déformé
- Au contraire ce serait flatteur pour moi, aller, montrez-moi …wouaaah ….hummmm …ouvrez votre braguette …..
- Vous n’y pensez pas ? votre mari va revenir d’une seconde à l’autre
- Pourquoi croyez-vous qu’il s’est absenté ? les coupes ne sont qu’un prétexte pour nous laisser seuls, surtout qu’elles se trouvent ici dans le salon
- Qu’attendez-vous de moi Clarisse ?
- Je vais être franche et directe François, ce n’est pas pour mon anniversaire que nous vous avons invité mais pour faire la fête
- Quelle fête ?
- La fête a ma chatte, Nathan et moi voulons que vous me baisiez comme une bête avec votre gros saucisson, détend toi François je vais venir extraire ta bite et la sucer, ensuit tu me boufferas le minou sur ce tapis avant de me sauter
- Je vais te faire jouir a en crever salope
- Voilà ce que je voulais entendre François !
- Vous étiez là Nathan ?
- Depuis le début ! je vais baisser un peu la lumière et mettre une musique d’ambiance, ôte ta veste et ton pantalon, je vais faire de même, par contre Clarisse va rester habillée afin que tu ‘déballe’ lentement ton offrande
- C’est un magnifique cadeau que vous me faites là
- Je vais le déshabiller moi-même

François semble pétrifié devant Clarisse qui se met a genoux, le visage a hauteur de la fermeture de son jean, ses doigts experts font sauter la ceinture et les boutons avant de plonger dans le slips tendu pour en sortir une queue déjà grosse et dure, c’est la première fois que je la vois se préparer a sucer une autre bite que la mienne, les mâchoires grandes ouvertes elle enfourne autant de chair que son palais puisse accepter, ses mains crispées sur la hampe repoussent le prépuce qui décalotte le gland de l’énorme bite qui ressemble a un saucisson vu l’aspect rugueux dût aux veines bleues qui la zèbrent, très vite de la salive épaisse coule au coin de ses lèvres
Il ne m’a suffit que de quelques secondes pour me mettre nu et me secouer frénétiquement le sexe devant ce tableau impensable il y a peu de temps, le ventre en avant, les mains sur les hanches, la bouche ouverte, les yeux exorbités François regarde sa bite coulisser dans la gorge de ma femme

Soudain il se tend comme un arc et rugit comme un tigre, Estelle a compris qu’il allait décharger elle lui cramponne les couilles pour qu’il ne se retire pas, le sperme remplace la salive aux commissures des lèvres, mais elle est e d’abdiquer devant le torrent épais, les dernières giclées choient entre ses seins

- Bravo chérie, tu as été sublime !
- Excusez moi Nathan je n’ai pas pus me retirer, elle me tenait par les couilles
- ǒaurait été un sacrilège ! voit là se pourlécher les lèvres !
- Je ne regrette pas d’avoir avalé, il est super bon son sperme !
- Je vais peut être rentrer chez moi …
- Tu es fou ? ce soir je suis une chasseuse de queue, je la veux dans ma chatte, retire moi ma robe, tu n’as qu’a la faire glisser sur mes épaules
- Tout de suite mais lentement, je veux découvrir tes trésors, tu as des seins comme je les imaginais, j’adore ton piercing au nombril … cette culotte est insignifiante ? elle entre dans ta chatte.
..
- Retire-la avec tes dents
- Tu sens l’amour … huuuuummmm, ton odeur m’enivre
- Lèche ma culotte …
- Je lèche tout en même temps… couche toi, c’en est trop, je vais te baiser

A peine Estelle est allongée qu’il se rue entre ses jambes, son membre menaçant fouette l’air et frappe l’intérieur des cuisses qui se relève afin de dévoiler entièrement sa cramouille, elle se saisi du bout et le guide vers sa fente béante

- Va-y ramone-moi
- Tu va la sentir passer
- Dit-moi ce que tu ressens chérie
- Son gland appuis sur mes lèvres …il essaie d’entrer, Ooooh qu’il est gros …chéri je t’aime, pardonne moi je vais jouir devant toi …

Le gros ventre se rapproche de celui de ma femme plat comme une limande, il la pénètre …sa bouche est ouverte mais aucuns sons n’en sort, c’est comme ci elle étouffait par la chatte, jusqu’à l’hurlement libérateur et le déchainement des corps, la sueur de François dégouline sur Estelle qui lance se jambes en l’air pour mieux s’embrocher
Il s’en suit un concert d’expressions qui tantôt implorent le Bon-dieu tantôt Satan, mêlés aux lamentations des orgasmes a répétition de ma femme et bientôt du rugissement du gros qui s’affale sur ma femme au risque de l’ par compression des poumons cette fois ! Il meugle durant plus d’une minute, le temps d’expulser toute sa semence dans le ventre d’Estelle qui agonise sous le poids, je dois intervenir pour virer son amant sur le tapis taché par les sauces mélangées

- Wooouuuh que c’était bon ! je peux recommencer ?
- Tu veux la ? elle est à moitié dans les vapes, laissons là récupérer et nous la baiserons a deux
- Vient sur moi chéri, mélange ton foutre à celui de François, ensuite il me sodomisera
- Tu es sûre de pouvoir le recevoir ?
- Tu va ouvrir le passage !
- Vu l’état de ta moule il doit être bien dilaté lui aussi !

Suite a cette soirée qui s’est poursuivie très tard Estelle a dormi durant douze heures d’affilée… et n’a pu s’assoir que le surlendemain !

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