Le Bizutage. (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis entré à la fac de médecine de Paris et pour mon bizutage, je me retrouve dans un club libertin où Aurélien garçon en troisième année, il ma certainement et cest ainsi que je perds mes pucelages sans le savoir étant dans les vaps.
Au moment de me vêtir pour partir, je trouve un téléphone avec une lettre posée dessus.
Jouvre cette dernière. Cest tapé à la machine à écrire ou plutôt un ordinateur.
Asma regarde ce téléphone, tu mas fourni lidée du code, cest facile 6969.
Démarre-le !
Je le fais.
Va dans le fichier photos.
Je mexécute, devant mes yeux, je me vois me déshabiller sans que personne ne me contraigne.
Les photos suivantes me montrent le moment où un homme est entre mes jambes et me pénètre me dépucelant.
Après, alors que lon voit très bien mon visage la queue qui sort de mon sexe est maculée de mon sang sur la capote.
Au moins, je suis rassuré, car lhomme est protégé.
Protégé au moment de mon dépucelage, lorsque jessaye de me souvenir au moment où je reprends conscience ma mémoire me fait défaut en était-il de même ?
Je reprends la lecture de la lettre.
Tu as constaté quà aucun moment, tu as été contrainte.
Tous tes actes sont délibérés alors tu peux essayer daller porter plainte.
Le téléphone va bientôt sonner, tu feras tout ce qui te sera demandé.
Si tu refuses, ses photos vont arriver dans ta famille. Elle sera enchantée de récupérer une belle salope.
Je suis complètement piégé, pourquoi me fait-on subir un tel bizutage, ai-je déplu à quelquun qui se venge sur moi ?
Charlotte, pourquoi es-tu aussi heureuse ?
Alexis maime et ma fait divinement lamour, je lui ai donné mon pucelage.
Tu étais dans les vaps.
Non, pourquoi me demandes-tu cela ?
Pour rien, une impression.
Non, lorsque nous nous sommes déshabillés dans le vestiaire avant quil mentraîne dans une alcôve, il ma embrassé fougueusement, il est descendu jusquà ma fourche, jai écarté rapidement mes cuisses afin quil suce mon clitoris.
Jai lhabitude de le caresser avec mes doigts toutes les nuits, ce nest rien comparé à la manière dont il le faisait rouler sous ses dents.
Jaurais voulu quil me larrache, avant que sa bite entre en moi et me fasse jouir malgré mon dépucelage.
Je lai senti en moi et je lai serré très fort pour que sa verge me laboure sans sortir de moi.
Lorsque il ma rempli de son jus chaud, je lai embrassé en le serrant encore plus fort.
Il était protégé.
On en avait pas besoin, je savais que ma période de fécondité était passée.
Et pour les maladies, tu devrais y penser.
Alexis est propre, je ne crains rien.
Pauvre gourde et dire que cela veut devenir médecin, la France sera bien soignée avec de tels praticiens.
Le week-end se termine et je passe les nuits seules Charlotte retrouvant Alexis tous les soirs.
Ces nuits, qui ont changé pour moi car depuis la soirée au club privé ma chatte me démange tout le temps. Jai limpression dêtre devenue folle du cul.
Jai à peine fini de me masturber et avoir une petite jouissance deux fois sur dix que je recommence.
Pour travailler le conseil général de ma banlieue ma offert un ordinateur portable avec la liaison Internet à leur charge aussi, je cherche ce dont je fuyais comme la peste les sites pour adultes.
Je trouve un site HDS où des auteurs écrivent des textes qui me permettent de me caresser et de prendre mon pied, mais cela retarde mon travail pour lundi.
Le lundi, Charlotte est invisible lorsque jarrive à la fac.
Il semble que notre soirée de bizutage lait marqué, elle aussi.
Alexis et Aurélien sont absents eux aussi alors que si je les avais rencontrés, jaurais pu leur arracher les yeux.
Ce qui minterpelle, cest le petit sourire narquois de certains garçons.
Aurélien les aurait-il my au courant de la soirée quil ma fait passer.
Pire, a-t-il fait voir les photos à ces garçons.
La semaine se passe, Charlotte vient un soir chercher quelques affaires quelle enlève dès quelle est avec son Alexis. Elle me vante sa capacité sexuelle, à ce quelle mexplique pendant trois jours, ils sont restés couchés à baiser dans sa chambre détudiant.
Une semaine où jai la hantise que le téléphone sonne.
Il le fait le samedi matin.
Un SMS envoyé par « Gladiator » me souhaite un bon anniversaire et en cadeau me demande douvrir ma porte dans laprès-midi à partir de 14 heures et de recevoir mon premier client de femme majeur et le satisfaire, tout comme la semaine dernière dans le club privé.
Il préviendra mes parents avec ses photos montrant que je suis devenu une pute bonne à se faire prendre par qui voudra de moi.
Que faire, allé à la police ?
Il est sûr que je suis bonne pour le déshonneur, car toutes les photos me montrent en train de me faire baiser en toute connaissance de cause.
Lorsque la porte sonne, je viens davoir officiellement mes dix-huit ans quand recouvert dun peignoir, jouvre ma porte. En face de moi se tient un jeune homme qui a certainement mon âge.
Cest toi la pute.
Comment lui dire non, surtout lorsquil me tend un billet de cent euros que ma main prend dans un état second, ma volonté complètement annihilée ?
Il est venu me baiser alors jenlève mon peignoir et je me couche sur mon lit les cuisses écartées pleinement conscientes que je vais franchir le pas irrémédiable de ma déchéance.
Déchéance à moitié, car lorsque ce jeune garçon se tient devant mon lit, je maperçois que sa connaissance des femmes est proche de zéro.
Comme moi la semaine dernière, jai affaire à un jeune puceau qui regarde mon intimité avec des yeux ronds.
Avance, je vais taider.
Je le déboutonne et en professionnelle que je souhaite jamais être, lorsque je lui sors sa verge, je lavale pour quil bande et que jen finisse de ce bizutage piégé dans lequel je suis tombé.
Il bande, il sort de sa poche une capuche que je lui place, Gladiator semble avoir prévu quil ne marrive aucun mauvais surpris comparé à Charlotte qui prend tous les risques.
Je mallonge, il entre en moi et éjacule, la pression a été trop importante et il était trop, inexpérimenté pour savoir se maîtriser.
Il se relève remonte son pantalon à peine baissé et quitte ma chambre sans demander son reste.
Je vais dans la salle de bain plus riche de cent euros jeter la capote quil a laissée sur le pied du lit et me rafraîchir la chatte enfin débarrassée de la servitude dêtre une Bizu.
Je vais vers ma cuisine pour aller boire un verre deau lorsque lon sonne à la porte.
Cest impossible Gladiator veut ma peau, pourquoi men veut-il ?
Lorsque jouvre, le garçon légèrement plus âgé que le puceau de tout à lheure entre sans se poser de questions.
On ma dit que tu étais bien foutu, je vais te faire de la pub si tu sais bien tortiller ton cul et me faire partir.
Attends, je mets une capote car avec des filles comme toi, vous avez vite fait de nous apporter la mort.
Mets-toi en levrette, je vais te prendre le petit, tiens voilà deux cents euros, on ma dit que cétait ton tarif.
Comme un zombi, je me positionne et le garçon me pénètre sans attendre.
Cet homme dentrée ma rebuté et je subis son assaut sans envie. Mon corps profite de cette sodomie sans menvoler avec lui.
Le plus ennuyeux cest quil prend son temps et quil est endurant.
Enfin, il sépanche et il me quitte calmement en vieux briscard des femmes de petite vertu.
Jai un début didée de ce qui va marriver lorsque je relie le SMS ou Gladiator mannonce quil menvoie mon premier client.
Lorsque la sonnette se déclenche de nouveau, je viens de faire ma deuxième passe,
Trois, puis quatre, puis cinq.
Jai dix-huit ans, Aurélien, car bien sûr Gladiator et lui sont une même et unique personne, cest une certitude, lesprit malade de mon tortionnaire va certainement faire monter dans ma chambre de misère dix-huit bites, je dis bien dix-huit bites.
Je vais subir mon premier abattage décidé par ce garçon. Je réfléchis, mais plus je réfléchis et moins je vois de porte de sortie.
Mon corps crie non, mais jouvre la porte au client suivant engrangeant les billets de cent et deux cents car plusieurs choisissent de me sodomiser.
Jai un moment de grand plaisir à recevoir le numéro onze qui me prend comme les autres pour son simple plaisir, mais qui sescrime à vouloir que je jouisse.
Cest le seul qui commence par me manger le clitoris. Vu le nombre de fois quil a été frotté depuis le débit daprès-midi, il se cache derrière mes lèvres intimes.
Lorsque le garçon qui a plutôt lallure dune fille entre en moi, il ma presque amené à la jouissance, jarrive à atteindre pour mon plaisir un léger orgasme dans les quelques minutes où il me lime avant lui aussi de remplir sa capote.
Le quatorzième est pire que le deuxième, il na de cesse de me tirer la ponte des seins me faisant horriblement mal pour sa satisfaction mais pas pour la mienne.
Il me prend, lui aussi en levrette pour cent euros, cest-à-dire la chatte et essaye de me sodomiser pour le même prix.
Il y arrive, car jai la certitude, si je rechigne de perdre du temps à atteindre le chiffre de client que mon mac a décidé de mimposer.
Je dis bien mon mac, car je sais quil doit retenir une partie de la somme avant de faire monter le client suivant.
Ce client quil a réussi dans notre fac à décider de participer à la punition que mon pauvre corps subi.
Dix-huit, je suis allongé sur mon lit après avoir ouvert, il me sodomise alors que je reste inerte de fatigue due aux heures de travail, car pute est un travail honorable lorsque les filles ont choisi volontairement ce métier.
Jai commencé pensant à un bizutage où mon corps au début a pris quelquefois du plaisir.
Je refuse de me lever pour éteindre la pièce lorsque mon téléphone sonne de nouveau.
Un SMS.
Bon anniversaire, bonne nuit, dort bien à bientôt
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