La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 506)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°503) - La sodomie du neveu de Monsieur le Marquis d’Evans -

Soumis Endymion MDE fut attaché debout, penché buste en avant plaqué sur la table, bras allongés de manière que ses mains agrippent le rebord opposé de celle-ci. Ses pieds furent liés aux pieds de la table, lui maintenant ainsi les cuisses ouvertes…

- Présente et offre-moi ton cul de salope ! Ordonna Monsieur le Vicomte, tandis que le neveu du Marquis, Charles- Edouard d’Evans, un martinet en main s’approchait des fesses du soumis.

L’esclave obtempérait, il offrit sa croupe bien écartée, immaculée de ses fesses aux coups à venir. Soumis Endymion MDE avait le cœur qui battait la chamade, une boule au creux de l’estomac, car en effet, le martinet semblait être une relique familiale, certainement du temps des Origines de la Saga de 1784. Le soumis supposa même que, peut-être, le Marquis de Sade en personne aurait bien pu manipuler cet instrument et rien que cette sublime pensée, lui procurait un immense bonheur et une forte excitation. Ce vieux martinet avait dû tanner le cuir de bien des chiens et chiennes, sans aucun doute ! Ses lanières, noircies par le temps, avait un peu durci. Jamais le soumis MDE ne les avait expérimentées, mais il se doutait bien de leur redoutable efficacité. Elles devaient cingler leur cible, épouser étroitement le relief de la peau, s’y enfoncer, s’y vautrer, y creuser leurs flaches douloureuses avec une volupté sifflante… Le neveu du Maître, ce soir, semblait se délecter de gifler ce cul avec son antique instrument, celui de ses illustres ancêtres : sa fouettée était enjouée et impitoyable. À chacun de ses coups, juste après le vrombissement annonciateur du coup, et presque simultanément avec le bruit sec du cuir écrasant la chair, soumis Endymion MDE sursautait, il ruait, il geignait sans lâcher le rebord de la table où ses doigts blanchissaient et où ses ongles griffaient le bois, tant la douleur était cuisante.

Les dix lanières, il les avait comptées !, mordaient de leurs crocs de cuir la peau avec une terrible cruauté joyeuse et excitante. Les pulsions masochistes du soumis étaient ainsi exacerbées… L’esclave savait que les petites marques violâtres qui devaient éclore sur sa croupe comme des yeux de sang, là où les extrémités des lanières achevaient leur course lui procuraient une extase mentale forte et jouissive… et il imaginait aisément les stries rouges qui se tissaient et se tressaient à la surface de ses fesses comme autant de tiges portant ces yeux…

Il serra les dents pour ne pas supplier. Pourtant sa verge pesait entre ses cuisses, lestée d’une indicible excitation tant il éprouvait de volupté à subir son châtiment, à résister, à purger ses pervers penchants à la soumission. Quinze coups, ce n’était pas long à infliger. Mais cela suffisait à embraser la chair qui lançait et qui palpitait comme un cœur affolé. Quand enfin, les coups cessèrent, l’esclave chercha à se redresser, en vain. D’ailleurs la main du neveu du Maître se posa sur ses reins cambrés pour l’empêcher de bouger

- Non reste en position salope. Je veux te garçonner, là tout de suite. Cette petite flagellation m’a excité… et je veux profiter de ton cul tout chaud… si mon oncle le veut bien ?

Le Maître, trop occupé à besogner une esclave d’une de ses Invitées fit un signe affirmatif de la tête à son neveu. Soumis Endymion MDE vit Monsieur CharlEd dans le grand miroir, en face, dégrafer son pantalon et extirper sa queue bandée… Et il se regarda aussi, le visage comme exsangue, les yeux béants, plutôt qu’écarquillés… La bouche ouverte sur un cri muet, prosterné sur cette table en offrande au petit dieu païen qui s’apprête à le sacrifier au rite de la sodomie… il ne se reconnaissait pas… ou plutôt, il se découvrait autre, hébété, presque abruti, extatique, dans cette posture d’esclave absolu ! Une des mains de Monsieur le Vicomte s’agrippa à sa hanche d’un geste ferme, tandis que l’autre guida son membre entre ses fesses en feu.
Contre son anus, soumis Endymion MDE sentit venir la tête de son gros gland humide, ce rostre entêté. Il ferma les yeux… et ses sphincters qui, instinctivement, résistèrent à cet assaut contre nature… Il bandait dur, presque malgré lui. Monsieur CharlEd poussa lentement mais obstinément et, sous la pression, le fondement du chien soumis céda d’un coup. Celui-ci poussa un gémissement de douleur, telle une brûlure, une brûlure familière mais si excitante, qui lui incendiait l’arrière-train. Le neveu du Marquis d’Evans avait lui-même gémi, mais de satisfaction. Celle d’avoir vaincu la résistance et d’avoir pris place au creux des reins de l’esclave… Il étreignit les hanches de l’esclave de ses deux mains, désormais, et l’attirait lentement contre lui pour que sa queue entière le pénètre… Soumis Endymion MDE eut l’impression d’être investi par un épieu chauffé à blanc jusqu’au plus profond de lui-même et cela le fit encore plus bander de se sentir enculé de la sorte.

Monsieur CharlEd avait, comme à son habitude, fait une pause lorsqu’il s’est enfoncé en lui, il ne se mettait jamais au coït d’emblée. Il patientait. Cela permettait à la chienne de s’habi à cette présence incongrue dans ses reins, présence qui irradiait l’anus, le faisait comme haleter. Il avait aussi confié, que cet ART du sodomite lui donnait le temps de savourer la sensation si particulière de « posséder », d’avoir vaincu la citadelle de l’esclave, d’être dans la place comme un conquérant. Son ventre était plaqué contre les fesses de la salope. Sa verge tendue l’envahissait totalement. Son anus était resserré autour de sa hampe dans une étreinte palpitante. Aimait-il sentir les contractions de ces sphincters autour de sa queue ? Sans aucun doute… Ses mains dures se tinrent férocement aux hanches empêchant tout mouvement de fuite, malgré les attaches et les liens bondant l’esclave. Soumis Endymion MDE ferma les yeux, paré à recevoir les coups de boutoir. Il réalisait, comme à chaque sodomie, qu’un corps étranger, une chair étrangère s’était greffée à sa chair.
Rien de plus intime et sublime… rien de plus extraordinairement excitant pour le soumis qu’il était… Il n’était plus un, Ils étaient un, mais bizarrement, l’esclave qu’il était n’est plus dans ce un.

Vint enfin le moment où le sodomite se retira du soumis MDE… soumis Endymion MDE sentit glisser ce membre, il coulissa onctueusement en un mouvement paisible… il allait s’échapper… Non ! Il replongea, ardemment, fouillant les profondeurs de soumis Endymion MDE. Le ventre claqua contre sa croupe… comme une voile lorsqu’elle empanne. Et, peu à peu, le mouvement de va-et-vient prit son rythme. Les coups de reins de Monsieur Charles-Edouard d’Evans se succédèrent, sans précipitation, d’abord. Il prit garde de lui labourer les reins de toute la longueur de sa verge, il besognait en puissance, profondément. Chaque élan ébranlait le soumis en avant, le projetait contre le rebord de la table… Il avait l’impression d’être un simple fétu malmené par ses bourrasques. Son sexe, un instant débandé par la vive douleur de la pénétration, s’était de nouveau durci de plus belle, une belle érection provoquée par le plaisir d’être virilement besogné. Sa tête s’exaltait autant que son corps d’être ainsi possédé… Le silence autour d’eux permettait à soumis Endymion MDE d’être tout entier occupé par ses propres sensations. C’était comme une méditation du corps qui commençait là où il était assailli, pénétré, pistonné… Autour de ce point d’impact, l’anus, dont la chair se mettait à ‘’jouir’’ de plaisir et ces sensations de jouissance remontaient, se diffusent dans son être tout entier, par les vaisseaux et les nerfs pour toucher l’esprit… C’était à la fois une méditation organique et une danse orgiastique !

De quoi rêvait l’enculé ?… Drôle de question ! Le langage de son corps y répondait à sa façon. Il ondulait, ondoyait, frissonnait, se balançait, s’égarait. Mais pour l’heure, simple objet, simple esclave d’une sodomie qui devenait profondément sauvage avec la montée du plaisir de celui qui l’enculait… Mais quel était le rêve de l’enculé pendant l’enculade ?… À vrai dire, il était en ce qui le concerne kaléidoscopique, il naviguait au gré des coups de boutoir qui enfournaient le clou de chair au plus profond de son fondement… (à en ébranler les fondations).
Parfois, son esprit traquait l’image la plus crue : il fermait les yeux et s’imaginait être le pilote de cette tête chercheuse fouisseuse que constituait l’épais gland globulaire de la verge de Monsieur CharlEd… Il avait devant lui le terrain à défricher avec l’engin oblong… entre les collines jumelles des fesses blanches striées de mauve, dans cette dépression qu’on nomme « raie du cul » ! Il voyait se profiler le puits à forer : une légère entaille rouge frangée de rides en corolles, son anus, son propre anus parfumé et fleuri ! Il luisait de l’onction graisseuse dont des doigts avaient sanctifié l’orifice en prévision de cette possession postérieure. Au méat de la verge foreuse, perlait quelques gouttes huileuses permettant une plus douce pénétration. Le piston aveugle venait se coller contre la faille… la bouche du méat embrassait la bouche de l’anus, se frottait contre elle pour tâter le terrain. Et puis, la tête foreuse poussait, forçait, écartait la chair pareille à un rideau qui s’ouvre sur un chemin obscur… Elle se glissait dans ce tunnel aux parois humides, chaudes et confortables. Ce cul aspirait la tarière phallique et voulait faire dégorger cette divine sève avec élan et entrain.

Mais ce rêve éclair s’effaçait parfois, pour laisser place à d’autres images rythmées par la danse du coït… Il apercevait dans le miroir accroché au mur face à eux, cet équipage improbable… lui, vautré sur la table et au-dessus, Monsieur CharlEd d’Evans qui le surplombait, torse quasi immobile, visage crispé par l’effort, le front légèrement étamé de sueur… Seuls ses reins s’agitaient dans cet éternel mouvement de balancier ! Son oscillation était ample, régulière, puissante sans être violente. Ses mains, larges amarres, étreignaient la taille du soumis et le faisait aller et venir, d’avant en arrière. Il était puissant et soumis Endymion MDE se sentait faible entre ses mains solides… Quelle chance pour soumis Endymion MDE, grâce au Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, il se retrouvait là ce soir greffé par la plus intime des parties. Il offrait sa chair, sa propre chair et s’apprêtait à recevoir dans ses entrailles cette merveilleuse semence. En position, courbé devant ce Dominant digne de son Oncle, prosterné pour lui tendre l’humble offrande de sa croupe était une position servile très excitante pour le chien soumis qu’il était devenu. Il se sentait ainsi pleinement possédé, soumis et comme animalisé… quelque chose dut au puissant coït bestial ! Effectivement, le neveu du Marquis d’Evans ne semblait guère d’humeur sensuelle. Il bourrait la salope de coups de queue rageurs, rapides, emportés, puissants, virilement puissants ! Il n’avait même pas pris le soin de se dévêtir… Soumis Endymion MDE n’était là que pour lui servir de vide-burnes ! Même son visage dans le miroir paraissait maussade. Seule sa verge, dure comme un morceau de bois témoignait de son excitation. Pour le reste, soumis Endymion MDE ne sentit que son empressement à en finir. Point de caresses, de changement de rythme ou de position, juste un pistonnage mécanique à grands coups de reins qui semblait n’avoir pour seule fin uniquement de purger les couilles du viril sodomite !

Et inévitablement, fatalement, comme dans une tragédie, sa petite mort survint : il poussa un râle, se plaqua contre les fesses de l’esclave, l’estoqua profondément et libéra son foutre en des râles longs et forts à n’en plus finir tel un puissant cerf en rut. Sa semence fouetta les entrailles de la chienne en chaleur qu’était le soumis MDE. Le sperme fusa avec une force et une abondance étonnante… Cinq ou six bordées se succédèrent dont sentit soumis Endymion MDE nettement la puissance au fond de lui. Il le laboura encore quelques instants pour achever de se vider les couilles. Ses ongles lui griffèrent la peau tant il s’est crispé dans la jouissance… Il souffla, il haleta, puis, peu à peu s’apaisa tandis que son pénis se décongestionnait, s’amollissait lentement, saisi d’ultimes spasmes d’agonie… Il se retira du soumis, fit le tour de la table, approcha sa queue vers la bouche de l’esclave et lui ordonna de la lui nettoyer. C’étaient ses premières paroles depuis qu’il avait entrepris soumis Endymion MDE ! Ventre toujours posé sur cette table, il sentit s’écouler hors de lui du sperme qui maculait ses cuisses et souillait le parquet. Il happa cette verge luisante, couronnée d’écume blanchâtre. Une odeur forte de mâle s’en exhalait. Cet arôme lui était devenu familier et il n’éprouvait aucune répugnance, quand bien même, ce phallus venait de s’extraire de ses entrailles, à le prendre en bouche, à le lécher consciencieusement comme l’esclave docile qu’il était. Le goût en était un peu âpre, légèrement salé, la consistance en était gluante. Sa langue langeait la verge défaite, la purifiait et soumis Endymion MDE ingurgitait toute trace de souillures…

Sitôt après, une salve d’applaudissements retentit. Tous les hôtes de Monsieur le Marquis d’Evans étaient là, en cercle autour de cette table…

(A suivre…)

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