Avec Ma Femme Au Sauna

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Un matin, ma femme et moi sommes partis prendre notre séance au sauna. Il y avait déjà quelques clients. Deux hommes, un père avec son fils, qui prenaient leurs tickets devant nous. En quittant la caisse le père jeta un coup d'œil appuyé sur les jambes bronzées de ma femme dont la courte jupette découvrait une grande partie.

L'hôtesse nous prévint que nous serions quatre dans le sauna avec ces deux clients. Ma femme avait l'air bien embêtée. En nous dirigeant vers les vestiaires, elle m'expliqua qu'elle n'avait pas pris son maillot de bain. Je la rassurai en lui disant que moi non plus et que dans le sauna le port des sous-vêtements sont autorisé.

Nous étions devant la porte du sauna, en peignoir. Les deux hommes étaient déjà en place. L'hôtesse nous fit entrer et la température commença vite à monter. J’enlevai mon peignoir comme les deux hommes et nous nous retrouvâmes en slip.

Ma femme hésita un instant et fit de même après que je lui eus lancé un regard d'encouragement. Elle ne portait pas de soutien-gorge et sa superbe poitrine apparut fièrement au milieu de nous. Elle est une très belle femme qui attire le regard des hommes partout où elle passe.

Brune métissée, grande chevelure noire. Ses seins sont bien fermes et rebondis avec de larges auréoles brunes. Sur la plage elle est presque toujours seins nus, je vois le désir des hommes qui ne peuvent détourner les yeux.

Le fils restait bouche bée devant cette jeune femme qu'il avait vue habillée à l'entrée et qui était maintenant offerte à ses regards, seins nus, juste vêtue d'une minuscule culotte transparente. Le père se montrait tout autant intéressé.

Il commençait à faire très chaud. Cette convoitise que je lisais dans leurs yeux du magnifique corps de ma femme dont moi je pouvais disposer chaque jours à volonté m'excitait beaucoup. Je m'installai derrière elle sur le banc supérieur.

Elle appuya sa tête sur mon ventre.

Les deux hommes ne pouvaient détacher leurs regards des larges auréoles de ses seins fermes et rebondis. Je me dis que nous pouvions leur en montrer plus. Je me baissai et dit à l'oreille de ma femme :

- Retourne-toi.

- Avec ces types? Ce n'est pas possible! Tu as vu comment ils me regardent ? Ils verront mes fesses, je n'ai qu'une culotte à ficelle derrière.

- Justement. Tu te retournes, tu poses la tête sur moi et tu leur montres ton postérieur on va voir leurs réactions. De toute façon c'est comme à la plage avec ton string !

- Tu es fou !

- Allez, vas-y !

Elle se leva tourna le dos aux deux hommes, s'agenouilla entre mes jambes sur le banc inférieur et se cambra afin de mettre sa tête sur mon ventre. Sa bouche n'était séparée de ma verge que par mon slip. Je la dégageai discrètement, camouflé des voyeurs par la masse noire de sa chevelure et la collait aux lèvres de ma femme, qui se mit à embrasser et me lécher le gland à petits coups de langue sans bouger la tête.

Il y avait une glace en face de moi qui reflétait exactement ce que voyaient les deux autres. Ma femme leur présentait de superbes fesses bien en chair fermes et profondes. Elles semblaient complètement nues car la ficelle de sa culotte était invisible, enfouie tout au fond de la raie qu’elle serrait fermement.

Je pensai que les deux hommes devaient croire qu'elle n'avait rien du tout et que ce n'était pas convenable. Elle écarta généreusement les cuisses. Je vis alors ses fesses s'ouvrir largement dans la glace. La ficelle blanche de sa culotte apparut mais elle ne suffisait pas à cacher l'auréole brune de son anus.

Plus bas le fil de dentelle à l'intérieur de son sexe entre ses grandes lèvres charnues au milieu de sa touffe noire. Elle taille toujours soigneusement sa toison noire pour qu'elle ne déborde pas de son string à la plage. Les formes de sa fente pulpeuse et profonde étaient donc parfaitement visibles des deux hommes.


Déjà au moment où elle s'était retournée le jeune garçon s'était figé sur place à la vue de sa croupe, mais quand elle montra sans vergogne l'intérieur de sa raie, je vis qu'une bosse ne cessait pas de grossir sur le devant de son slip. Je glissai discrètement ma bite tendue dans la bouche de ma femme. Elle se mit à la sucer avec délicatesse et je lui chuchotai dans l'oreille :

- Dégage la ficelle de ta culotte avec ta main afin qu'ils puissent admirer ton sexe.

Elle ne pouvait pas parler car sa bouche était pleine de mon pénis, mais je compris qu'elle n'était pas tout à fait d'accord. Elle continua à m'aspirer le jonc mais ne fit pas ce que je venais de lui dire. Alors malgré ses protestations silencieuses, je glissai mon doigt dans sa raie pour relever la ficelle par-dessus sa fesse gauche.

Ce faisant son anus fripé, où j'ai mes habitudes, se trouva exposé aux regards des deux hommes. Un petit bout d'étoffe triangulaire sur le pubis cachait encore un peu son clitoris et l'entrée de son vagin. Je fis glisser l'étoffe et je pus exhiber le cul nu et la superbe chatte de ma femme devant ces deux types qui n'en revenaient pas.

Bien des hommes, particulièrement ses collègues de bureau, auraient payé très cher pour la voir dans cette position. Le père se branlait carrément maintenant. Elle s'agitait sur mes genoux faisait mine de se relever et de remettre sa culotte en place. Alors je revins à sa fente que j'écartai avec mes doigts pour dégager un clitoris. Je le roulai entre le pouce et l'index tout en caressant la paroi interne de son vagin.

Ma femme me laissait faire et continuait à me sucer avec application. Les yeux du jeune étaient exorbités et je pensai qu'il n'avait peut-être encore jamais vu cela de prés. Je lui fis signe de se rapprocher. Il regarda son père qui approuva de la tête, se leva et s'agenouilla entre les jambes de ma femme le nez dans ses fesses béantes.

J'ouvris ses grandes lèvres pour lui montrer le vagin tout mouillé.
Elle semblait finalement apprécier le regard de ces hommes à l'intérieur de son intimité car lorsque j'insérai deux doigts dans son vagin grand ouvert pour donner une idée de sa profondeur au garçon, elle accepta sans rechigner cette pénétration publique.

Lorsque je retirai mes doigts ils étaient parfaitement lubrifiés et je glissais mon majeur au fond du petit trou qu'elle nous tendait sans pudeur afin que les deux hommes comprennent bien que je pouvais pénétrer et baiser chaque jours cette superbe créature à ma fantaisie.

Le jeune me regardait faire avec avidité. J'eus pitié de lui et je lui mis les mains sur les deux fesses frémissantes de ma femme et je lui fis signe qu'il pouvait lécher. Il ne se le fit pas dire deux fois, et écartant largement ses cuisses il se mit à embrasser goulûment son sexe offert. Il prit le clitoris entre ses lèvres et le suça comme un sucre d'orge.

Ensuite sous le regard de son père, il sortit une grande langue et se mit à laper toute la hauteur de la fente et de la raie de ma belle. Ma bite était raide dans sa bouche et je sentais sa langue qui s'agitait de plus en plus sur mon gland. Je compris qu'elle appréciait la caresse un peu folle de la langue juvénile dans son cul.

Mais le jeune décida d'aller plus loin. Il se releva, sortit sa queue tendue à mort de son slip et se jeta littéralement dans la fente humide de ma femme qui béait sous son nez. Je le repoussais immédiatement et lui fit comprendre fermement qu'il n'était pas question qu'il la pénètre sans préservatif. Justement, j'avais inconsciemment prévu cette éventualité car, sans lui en parler, j'avais glissé quelques capotes dans la poche de mon peignoir.

Je l'indiquai au père qui se saisit d'une et l'enfila sur la queue fébrile de son fils. Dès qu'elle fut en place le jeune, sans autre forme de procès, enfourna sa bite d'un seul coup dans le vagin trempé et disponible de ma femme. Je la senti tressaillir sous la brutale invasion, mais lorsque le jeune étalon l'attrapa par les hanches et se mit à la travailler à grands coups de boutoirs désordonnés dans la chatte, elle lâcha ma verge de sa bouche pour exhaler des râlements de plaisir.


Le garçon secouait le corps de ma femme comme un prunier. Ses seins s'agitaient comme lorsqu'elle faisait un jogging sur la plage et ses fesses claquaient bruyamment contre le ventre qui la possédait Je glissai la main entre les cuisses écartées de ma femme et lui caressai le clitoris car je sais qu'elle adore cela quand elle jouit.

Hélas elle n'en eu pas le loisir, car le garçon inexpérimenté éjacula en quelques secondes et se retira en laissant mon amie haletante.

Le père écarta son fils, un petit peu penaud. Il avait déjà passé une capote sur sa grosse bite et écartelant les fesses de ma femme avec ses mains, il entreprit d'introduire son pieu dans l'anus distendu.

Je l'arrêtai. Son sexe était trop gros, il ne pouvait pas sodomiser ma femme. Elle a l'anus fragile et même si elle dégoulinait littéralement sous l'action des liqueurs de plaisirs de son vagin et de la chaleur du sauna, il était hors de question de lui faire du mal.

Mais après avoir essayé le fils, celle-ci voulait goûter au père et elle décida de prendre les choses en main. Elle se dressa toute nue au milieu de nous et écarquilla les yeux à la vue du gigantesque engin qui avait failli forcer son trou du cul. Elle s'accroupit devant le bonhomme et se mit à lécher sa bite à grand coups de langue affamée. Puis elle embouqua son membre de cheval dont le gland seul remplit presque tout le volume de sa bouche et masturbant ses couilles et le bas de sa verge avec ses doigts agiles, elle commença à le sucer et à le pomper avec grand art.

Le veinard! Il avait droit à l'une de ces fabuleuses pipes dont seule ma belle a le secret. Elle était fascinée par la monstrueuse bite qui lui écartelait la bouche. Elle l'aspirait de toutes ses forces et massait les couilles du bonhomme avec les deux mains. Lorsqu'il éjacula dans sa bouche, elle se retira avec un bruit de succion.

Ma femme se releva et cambra son postérieur vers le jeune dont le sexe était tendu d'une nouvelle érection. Elle posa les mains sur ses deux fesses et les ouvrit largement pour lui montrer son anus béant et humide. Le garçon ne bougeait pas. Il semblait paralysé par le spectacle de cette superbe jeune femme qui lui offrait ses fesses. Il n'avait encore sodomisé personne et ne savait pas que faire devant cet anus grand ouvert.

Alors, comme pour lui indiquer que la voie était ouverte et qu'il pouvait l'emprunter, elle s'enfonça le majeur tout au fond du petit trou et le retira. Le jeune approcha la main des fesses de ma femme et à son tour introduisit timidement un doigt dans le trou disponible. Voyant qu'elle le laissait faire sans dérober son cul, il enleva son doigt et y appuya son gland trempé de plaisir.

Sentant le vit posé sur l'entrée de son anus béant, cambra ses fesses pour l'encourager à pénétrer plus loin. Elle a l'habitude d'être sodomisée et la verge glissa toute seule à l'intérieur de son anus. Elle gémissait doucement et se malaxait les seins des deux mains. Elle se redressa et posa sa chevelure noire sur l'épaule du jeune tout en écartant les jambes ce qui la fit s'empaler complètement sur le membre. Il saisit les deux seins rebondis de ma femme dans ses mains et se mit lui donner des grands coups de hanches dans le cul.

Elle était très excitée par le jeune qui se déchaînait entre ses fesses et commença à se masturber. Elle faisait face au père, les deux jambes largement écartées. Sa vulve pulpeuse, profonde et recouverte d'un très léger duvet noir était exposée devant l'homme qui se branlait en la regardant se faire enculer par son fils.

Elle écarta ses grandes lèvres bien charnues en exhibant l'intérieur de son vagin et s'y rentra deux doigts tout en se caressant le clitoris. Le père s'avança la bite en avant entre les jambes écartelées de ma femme nue. Il la saisit par les cuisses, la souleva et s'avançant contre elle il appuya sa queue contre cette chatte grande ouverte. Puis en redescendant lentement le corps de ma jeune femme, il l'empala sur son énorme jonc.

Je vis qu'elle se raidissait mais un vagin est élastique bien plus qu'un anus. Elle posa ses mains sur les épaules du type et l'attira vers elle pendant que le fils redoublait ses coups de boutoirs dans son cul. Elle geignait doucement en même temps que l'homme s'enfonçait en elle.

Quand la grosse queue toucha le fond du vagin, elle n'était rentrée qu'au deux tiers de sa longueur à l'intérieur de ma maîtresse. Le type la faisait lentement aller et venir ses trous sur les deux bites, la sienne dans le grand et celle de son fils dans le petit.

C'était extraordinaire. Ma femme avait fermé les yeux et se laissait baiser. Voyant cela je montai sur le banc contre lequel je m'appuyais. Quand je fus près de l'épaule du jeune où reposait la tête de ma femme je mis mon sexe tendu sur la bouche de ma femme. Elle écarta docilement les lèvres et se mit à sucer cette troisième bite qui la pénétrait.

Décidément, elle était pleine de ressources, et de queues... La bite du garçon était toujours tout au fond de son anus et il devait sûrement sentir à travers une fine paroi de chair la grosse queue de son père qui allait et venait dans le vagin de ma femme dont la gorge était remplie par mon sexe. Le jeune s'agitait de plus en plus en plus dans le cul de ma femme qui contractait le rectum pour lui masser le membre. Il jouit d'un seul coup tout au fond de l'anus en gémissant de plaisir.

Elle fut parcourue par une onde de jouissance dans tout le corps. Mais le fils qui avait décidemment l'avantage de la jeunesse ne débanda pas. Il sortit sa queue, changea sa capote remplie et sans rien demander replongea sa bite au fond du trou du cul de ma femme.

Elle me pompait avec vigueur et je senti que je ne pourrai bientôt plus me retenir. J'éjaculai soudain de grands jets de sperme qui à coup sûr ont dû arriver directement dans son estomac.

Ma femme se cambra sur les deux verges restantes et se mit à lancer de petits gémissements saccadés chaque fois que le père qui la tenait toujours par les cuisses redescendait son corps en empalant son vagin sur son propre vit et son anus sur la bite du jeune. Elle était en pleine jouissance quand le père au fond de son vagin éjacula tout ce qu'il avait à l'intérieur de la capote. Le fils se lâcha alors une troisième fois dans le cul de ma belle qui criait de plaisir.

Plus tard, alors que nous sortions de l'établissement thermal douchés et rhabillés, nous croisâmes les deux hommes qui s'en allaient. Je les saluai de la tête et le père me répondit fort civilement.
Ma femme qui s'appuyait sur mon bras fit un signe amical au jeune garçon qui lui renvoya un sourire éclatant. C'était sûrement le jour le plus extraordinaire de sa courte vie.

Quand nous fûmes dans la voiture, elle mit sa main sur ma jambe et me regardant droit dans les yeux, elle me déclara :

- Ne refais plus jamais ça !

- Pourquoi? Tu n'as pas eu de plaisir ?

- Tu sais très bien que j'ai joui comme une folle. Mais c'est terminé. Je l'ai fait une fois, très bien. C'était un moment de folie. Je ne recommencerai pas. Je suis une femme bien et je ne veux plus me retrouver une pareille situation honteuse. Je t'aime, mais si tu recommences ta comédie de tout à l'heure je te quitte. C'est clair ?

- Euh, bon ! Ok ma chérie.

Je ne pouvais pas prendre le risque de la perdre et elle paraissait vraiment décidée. Alors, je promis et je tins ma promesse. J’aime beaucoup trop ma femme.

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