Une Première Fois : Chapitre 2

Chapitre 2 : Une jolie surprise

Cela faisait maintenant deux semaines que j’avais parlé de mon phantasme à Alice. Elle m’avait promis d’y réfléchir. Mais depuis plus de nouvelle. Cette attente me laissant dans l’incertitude et l’inquiétude la plus complète. Ma demande était inhabituelle et j’avais peur de lui faire peur. Mais ce vendredi soir en rentrant du travail, mes craintes allaient s’envoler à jamais…
En effet, en ouvrant la porte, je la trouvais là m’attendant dans l’entrée. Elle était vêtue d’une robe rouge qui laissait apparaitre un superbe décolleté plongeant et entrevoir la dentelle de ces dessous. La robe s’arrêtait bien au-dessus des genoux et je pouvais distinguer la couture de ces bas. Elle portait les talons hauts que je lui avais offerts. Elle c’était maquillée d’une façon qui lui donnait un air très sévère. Les lunettes à bords noirs accentuaient encore cette impression. Ainsi affublée, elle ressemblait à une maitresse d’école des années 50.

Avant même que je n’ouvre la bouche, elle m’ordonna d’une voix autoritaire :
- Tu vas aller immédiatement prendre une douche. Je veux que tu frottes bien partout !! Et insiste bin sur ton petit trou. J’irai vérifier et gare à toi si ce n’est pas impeccable. Ensuite, tu reviendras nu me retrouver dans le salon.
- Oui, répondis-je.
- OUI qui ? me répondit-elle sur un ton impartial.
Je baissai la tête et répondait :
- Oui.., Oui, Maitresse.
- Très bien mon petit. Je préfère. Maintenant va te laver.

Sans un mot je m’exécutai. Avant d’arriver dans la salle de bain, je sentais déjà que ma bandaison était dure et bien installée. La douche ne m’aida pas à calmer mes ardeurs. Et c’est nu comme un verre avec mon membre bien tendu que je me présentai à elle dans le salon. Elle s’était installée confortablement dans le canapé. Elle me regardait sans rien dire. Me laissant comme cela.

Après quelques minutes, elle me demanda de me tourner et de toucher me pieds avec me mains.

Je m’exécutai.
- Écarte bien les jambes et descend ta tête plus bas ! M'ordonna-t-elle.

J’obéissais et me retrouvait au milieu de mon salon le trou du cul présenté à ma copine. Cette position était inconfortable. Mais pire encore, je la trouvais très humiliante. Elle devait le savoir et me laissa quelques longues minutes réfléchir à ma condition.

Je l’entendis se lever et s’approcher de moi. Elle planta ces ongles dans le gras de ma fesse droite et approcha ça bouche de mon oreille :
- Ce soir, tu seras mon esclave ! Je veux que tu m’obéisses sans discuter. Tu ne seras là que pour mon bon plaisir. Si tu désobéis ou que je suis insatisfaite, je te punirai. Mais si tu es sage, je te récompenserai en te lassant vider tes couilles de petit puceau. Tu as bien compris ?

En disant ces derniers mots, elle planta encore plus fort ces ongles dans ma fesse. Malgré la douleur, je ne bougeai pas et je répondis :
- Oui, ma maitresse.

Satisfaite, elle se releva et présenta devant ma bouche un plug en métal.
- Maintenant, tu vas le lécher et le lubrifier avec ta salive. C’est tout ce que tu auras pour t’aider à le faire faire entrer dans ton petit trou du cul de salope. Alors applique-toi bien mon petit cochon.

Avant que je ne puisse répondre, elle me l’introduit de force dans la bouche. Je m’appliquai à produire suffisamment de salive pour bien le lubrifier. Je ne m’attendais pas à ce que ma première sodomie commence comme cela. Mais j’étais très excité.

Je sentis l’objet sortir de ma bouche et ma maitresse se relava.
- Tu vas maintenant bien écarter tes fesses avec les deux mains le temps que je te le mette bien en place. M’ordonnât-elle.
- Écarte encore plus salope !!

J’obéis. Elle présenta la pointe du plug à l’entrée de mon trou et commença à forcer le passage. Je m’étais appliqué à bien le lubrifier. Mais certainement pas assez. Je pouvais sentir le métal froid et dur commencer à écarter mon trou.
J’avais un peu mal, mais malgré cela je sentais mon sexe se dressé encore plus fort.

Elle prenait un malin plaisir à le faire entrer tout doucement. Je pouvais sentir mon cul se dilater millimètre par millimètre. J’avais l’impression qu’elle m’introduisait un truc énorme. Alors qu’en réalité, le plug ne devait pas faire plus de 3 à 4 cm de diamètre. Plus mon cul s’ouvrait, plus je poussais de petits cris. Mince, j’y prenais du plaisir.

Enfin vint la délivrance. Le plug était entré en moi et mon trou se referma autour de la tige. Je pouvais le sentir en moi en permanence. Pour la première fois de ma vie, j’étais pluggé.

Satisfaite, ma maitresse allât s’assoir dans notre fauteuil et m’ordonna :
- Met-toi à quatre patte et vient voir ta maitresse.

J’obéissais. Et après mettre mis à quatre pattes, je marchais vers ma elle. A chaque mouvement, je pouvais sentir mon plug qui me maintenait dilaté. La sensation était loin d’être désagréable. Je peux même dire qu’elle m’excitait beaucoup.

Arrivé ainsi face à elle, elle m’attacha un collier de chien en cuir autour du cou.
- Maintenant, tu es à moi. Me dit-elle.
- Tu bandes mon petit cochon. Hein ? ça t’excite ? ajouta-t-elle.

Mais avant que je ne puisse répondre, elle commença à titiller le bout de mes tétons avec ces ongles. Elle finit par les pincer de plus en plus fort. Je ne pouvais résister à pousser des cris de plus en plus forts.
- Tu vas immédiatement arrêter de crier salle porc. Je ne veux entendre que des remerciements de ta bouche. M’ordonnât-elle en pinçant encore plus fort.
- Oui Maitressssssseeee. La douleur était insupportable.
- Merci ma maitresse, merci ma maitresse, merci ma…

Quand elle arrêta, mes tétons était tendu et rouge. Je pouvais sentir la douleur m’irradier tout le torse jusqu’à bas du ventre.
- Bien, c’est comme cela que j’aime ma petite salope.

Toujours assise au bord du canapé, elle souleva un côté de ça robe laissant apparaitre ces bas attachés à une superbe porte jarretelle en dentelles.
Elle ne portait une culotte en latex prolongé d’un généreux gode noir. Je pouvais voir les veines et les replis comme pour un vrai sexe.
- La culotte de cette ceinture a un gode qui est insérée dans ma petite chatte. Tu as intérêt à bien me sucer et à me donner du plaisir. Si je ne sens rien, je te ferai encore plus mal aux tétons.
- Oui ma maitresse.
- Tais-toi et suce !!

J’approchais cette queue en latex de ma bouche et commença à la sucer du bout des lèvres.
- Plus fort salope ! Je la veux la sentir au fond de ta gorge.

J’ouvrais plus grand la bouche, laissant ce faux sexe là remplir jusqu’à la glotte. Manquant de m’, je voulu me dégager. Mais anticipant mes intentions, Alice attrapât l’arrière de ma tête avec ces deux mains et maintenu la pression.
- C’est bien mon petit, suce bien à fond ta petite maitresse d’amour.

Je sentais ce sexe qui forçait le passage dans ma bouche et je m’exécutais. Je m’appliquais à bien sucer ma maitresse et comme pour un vrai sexe, je passai ma langue dans les moindre replis pour y applique un maximum de salive. J’entendis ma maitresse laisser échapper des soupirs de plaisir.
- Hummm, c’est bien, donne du plaisirrrr à ta maitresssseeee…

Avec ces mains, elle entreprit de m’imposer un rythme. Me faisant sucer de plus en plus vitre et très profond dans ma gorge. Je bandais comme un fou. Je ne voulais qu’une chose : lui donner du plaisir. Mais elle finit par me repousser brutalement :
- Et bien mon cochon, tu as bien failli me faire jouir. Finalement, tu es peut-être fait pour sucer des bites, toi. Redresse-toi !

Je me redressais sur les genoux. Lui présentant mon sexe bandant. D’une main, elle empoigna mes boules. Les serrant fortement. Je me pliais de surprise et poussant un petit cri.
- Redresse-toi immédiatement !!

J’obéissais et me redressais. De l’autre main, elle décalotta mon sexe jusqu’à la garde. Depuis le début de notre jeu, elle n’avait pas touchée une fois mon sexe.
La frustration était à son paroxysme. Cette récompense me procura un plaisir fou. Je me redressai encore plus pour profiter du plaisir que me procurait cette décalottée.
- Tu aimes ça mon petit. Hein ? Me dit-elle gentiment.
- Oui, maitresse.

Elle ajouta :
- Mais il est encore trop top pour te laisser jouir. Je veux bien te baiser avant.

Elle relâcha son emprise et se leva.
- Aller mon petit toutou, vient avec ta maitresse dans la chambre.

Frustré, mais obéissant, je la suivie à quatre pattes dans la chambre.
- Je veux que tu mettes le haut du corps sur le lit. Tu laisses tes pieds au sol les jambes bien écartées.

Je m’exécutai immédiatement. Elle me contempla ainsi offert quelques secondes puis elle passe ça mains entre mes jambes et saisie mon sexe bandant. Elle le dégagea et le ramena brutalement vers l’arrière. Le plaquant décalotté contre le montant du lit. Je pousse un cri étouffé par les draps du lit.
Satisfaite de ma voir ainsi. Elle entreprit de me caresser le gland du bout de ces ongles. Parfois avec douceur, parfois me griffant. J’alterne entre soupir de plaisir et petit cris de douleurs.
Tout en s’amusant ainsi avec mon gland, elle commença à sortir doucement le plug de mon cul. Cela faisait maintenant un moment qu’il était là. Et je ressenti une vive douleur quand mon cul ce dilata à nouveau pour le laisser sortir.

Malgré tout, j’étais à deux doigts de jouir. Elle le savait et me laissa retomber comme cela sans me toucher.
- Tu aimerais bien jouir mon cochon. T’inquiète pas, je vais te traire et récolter ta précieuse semence. Mais pas encore. Me dit-elle en riant.

Elle m’ordonna d’écarter à nouveau mes fesses avec les mains. Et après avoir enduit son faux sexe de lubrifiant, elle présenta le gland à l’entrée de mon trou.
Prenant son temps, elle introduisit le membre en moi. Me dilatant l’anus comme jamais. Je poussais des cris. Il était vraiment gros.
Je sentis ces anches se plaquer contre mes fesses. Je venais de me faire enculer.

Elle entreprit un mouvement de vas et viens. Doucement au départ, puis de plus en plus rapide et profond. La partie du gode introduit en elle devait lui procurer du plaisir puisque je la sentis se contracter et pousser de petits soupirs.

Pour ma part, j’étais aux anges. Sentir le vas et viens de cette bite dans mon cul me procurer beaucoup de plaisir. En plus, à chaque coup de reins, mon sexe frottait contre le bord du lit. Que du bonheur.
Elle attrapa mes anches de ces mains afin s’aider à bien me prendre profondément. Je l’entendais prendre du plaisir. Et je ne pouvais me retenir de pousser des soupirs de plaisir à chaque coup de reins.

Ces mouvement furent de plus en plus rapides et courts, jusqu’à l’explosion. Son explosion ! Elle venait de jouir. Mais pas moi. Elle relâcha son emprise sur moi et je senti le long sexe sortir de mon cul.
- J’ai bien joui mon ma petite salope. C’est bien. Tu vas avoir droit à ta récompense. Me dit-elle.
- Je veux que tu mettes ta tête et le haut du corps au sol le long du lit. Le dos contre le montant du lit et les jambes pendantes aux dessus de ta tête. Ajouta-t-elle.

Tant bien que mal j’obtempérais et avec son aide arrivait à me mettre comme elle me l’avait demandé. Je me retrouvai dans cette position à la fois très inconfortable et totalement inédite pour mois. En effet, Je pouvais maintenant voir mon sexe aux dessus de moi à quelques dizaines de centimètre de mon visage.

Pour encore plus le rapprocher de moi, elle appuya de son corps sur mes jambes. Je n’étais clairement pas assez souple pour pouvoir le toucher avec ma bouche. Mais il se rapprochait dangereusement.

Elle approchât ça tête de la mienne et me susurra :
- Tu aimes bien me jouir dans la bouche. Hein ? Et bien aujourd’hui, c’est ton tour de voir ce que cela fait. Et tu vas être une gentille fille et bien ouvrir la bouche. Je ne veux pas que tu en loupe une goutte.

Sur ces dires, elle empoigna mon sexe et entrepris de me masturber avec vigueur. J’étais là, la bouche grande ouverte, mon sexe bandant a quelques centimètres. Je sentais l’excitation de plus en plus forte. Je sentais l’inévitable arriver bientôt. Alors, autant ne pas attendre et satisfaire ma maitresse…

Dans un râle de plaisir, je jouis. Les jeux précédents et la frustration m’avais tellement excité, que j’avais produit une très bonne quantité de sperme. Je le vis jaillir abondement de mon sexe en une multitude de jets. Tout en continuant à me branler, elle prit soins de bien viser ma bouche ouverte.
Si bien, qu’une bonne partie de ma semence emplie ma bouche. Le reste éclaboussant mes lèvres et le reste de mon visage.
J’étais souillé et humilié par mon propre sperme.

Elle décalotta bien mon sexe pour s’assurer que j’avais fini puis entrepris de prélever les débordements de ces doigts. J’étais là, dans cette position inconfortable, la bouche remplie de ce breuvage tiède et visqueux. Je n’osais pas bouger et je n’avais pas particulièrement envi d’avaler.

Ça récolte terminée, elle introduisit le bout de ces doigts recouverts de sperme dans ma bouche.
- Tu vas maintenant bien me lécher les doigts et tout avaler ma petite salope ! Je veux des doigts impeccables ou tu dormiras cette nuit avec un plug dans ton cul.

Répugné, mais docile, j’obéis avec application.

Ce soir-là, je ne mis pas longtemps à m’endormir. Mais sans plug. J’avais été très obéissant et ma Maitresse était satisfaite.

Pour ma première sodomie, je n’étais pas déçu.

Merci ma chérie…

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