La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 522)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°507) - Des tourments au féminin !

Le regard perdu dans les petites lumières des chandeliers, comme hagard, soumis Endymion MDE semblait rassasié. Il était là sur cette estrade, immobile, cul cambré, cuisses largement écartées, sa queue maintenant molle, toujours en main, ses doigts souillés par son foutre. Oui, là, impassible, il offrait sa soumission, sa confiance, son abandon, son lâcher-prise devant le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans discutant avec ses hôtes.

- Ce chien a besoin de s’abandonner, d’offrir sa souffrance, de se sentir contraint, d’être guidé. C’est ainsi que son corps et son mental reprennent vie, que sa sensualité s’exprime. Cette salope, avait vraiment besoin d’un Maître pour s’épanouir et s’accomplir !

Ces nobles paroles étaient parfaitement justes… soumis Endymion MDE le savait ! Il aimait se soumettre à Monsieur le Marquis dans toute sa rigueur, toute son intransigeance, il prenait un plaisir incommensurable à lui offrir une confiance et une obéissance totale. Les différentes épreuves qu’il avait subies depuis son arrivée au Château, l’avait métamorphosé. Certes, il était passé par différentes phases émotionnelles : la peur et l’excitation, parfois l’envie de rébellion, de temps à autre le découragement ou l’incompréhension, souvent le renoncement ou la lassitude, mais le temps était venu de la plénitude, de l’acceptation, de la vénération et du profond respect pour le Maître qui lui avait tant appris et apporté. Sans réserve, il s’était engagé librement à lui obéir et à le subir et cet engagement devenait de plus en plus prégnant et indispensable.

- Qu’attends-tu chien pour avaler tes souillures intimes ? Questionna le Maître

Le chien soumis MDE n’attendait rien d’autre que l’ordre du Maître pour lécher ses doigts et le sol de l’estrade. Il s’appliqua consciencieusement à faire disparaitre toute trace de son jus.

Il s’était positionné à quatre pattes, appuyé sur ses avant-bras, le cul relevé et la tête plaquée au sol et s’affichait en toute impudeur, dans l’outrage et l’obscène, en toute sérénité malgré l’humiliation ressentie. C’est alors, qu’il vit apparaitre à proximité de son visage un escarpin blanc vernis avec un long talon aiguille, soulignant une fine cheville.

- Lèche ma chaussure espèce de chien incapable ! Oui incapable, ai-je dit… de contenir tes éjaculations, incapable de ne pas en mettre de partout… Ordonna la Domina à la voix sévère

Sans attendre une seconde de plus et restant dans la même posture, l’esclave MDE tira la langue et la poussa délicatement sur la pointe de l’escarpin. Sa langue glissa doucement sur cette chaussure sans toutefois toucher le pied de la Domina. Elle jubilait, toute en continuant d’exercer son pouvoir gynarchique quand elle recula son pied de quelques centimètres. soumis Endymion MDE ne sut que faire… Fallait-il qu’il continue de lécher cette pointe de chaussure?

- T’ai-je dis d’arrêter chien ? Questionna la Domina

Sans mot dire l’esclave MDE, avança quelque peu et poursuivit son œuvre. Cette fois-ci, le visage posé sur le sol, la langue bien pendante pour montrer sa détermination et son plaisir, il s’activait sur le rebord de la semelle et sur le cuir de cette chaussure.

- Descends de cette estrade chien ! Rampe à mes pieds tel un simple vermisseau ! Continue de lécher.

Et à chaque fois que la Domina reculait d’un pas, soumis Endymion MDE crapahutait au sol en cherchant à garder le contact de sa langue sur cette chaussure. Il se laissait humilier, offenser, opprimer et rabaisser avec délectation. Cet avilissement le rendait heureux, lui donnait du plaisir. Il se voyait se trainer ainsi devant tous ceux présents et cette exhibition l’excitait. La Domina s’arrêta, releva quelque peu sa jupe étroite pour s’accroupir devant l’esclave. Bien qu’afféré sur cet escarpin, ses yeux s’arrêtèrent subrepticement sur l’entre-jambe de la Dominatrice.
Elle ne portait pas de culotte, il était facile pour le chien soumis MDE de constater que cette vulve glabre perlait… Il fut attrapé par le menton et dut relever la tête, au même moment, la Domina lui asséna une gifle magistrale.

- Depuis quand es-tu autorisé à regarder sous les jupes, petite salope ?

Elle claqua une nouvelle fois le visage de l’esclave MDE, lui honteux ne bronchait pas, acceptait le traitement se contentant de baisser les yeux en signe de soumission et d’acceptation.

- Mon minou se mérite espèce de chien, il se mérite d’autant plus que tu n’es qu’un bâtard, qu’une petite salope… C’est bien ça, dis-moi ? Tu n’es bien qu’un bâtard et qu’une petite salope ?
- Oui Madame, je ne suis qu’une petite salope, mais pas n’importe quelle petite salope Madame, une petite salope MDE.

soumis Endymion avait osé ! Malicieusement mais servilement, sans contredire la Dominatrice, il avait répondu que partiellement aux attentes de Celle-ci, au risque que se faire punir sévèrement. Mais il voulait afficher sa fierté d’appartenir à Monsieur le Marquis d’Evans, il voulait que cette Femme, fusse-t-elle Dominatrice, comprenne bien qu’il n’était pas tout à fait un chien soumis comme bien d’autres, certainement pas un bâtard, mais bel et bien un chien soumis de race puisque le Maître l’avait enfermé dans Ses Cachots et lui avait attribué Ses Nobles Initiales. La réponse de l’esclave MDE, avait quelque peu décontenancé la Domina, elle chercha donc à sortir la tête haute de cette situation embarrassante pour elle :

- Tu as raison… tu es un chien MDE et parce que tu es une petite salope MDE (dit-elle plus fort encore), tu dois être plus encore contraints, bafoués et humiliés. Montre-moi ce que tu sais faire, montre-moi ta résignation, ta totale obéissance, ton respect et ta parfaite servilité. Debout chien, tête basse, cuisses écartées, mains sur la tête…

soumis Endymion se redressa dans l’instant et prit la parfaite posture ordonnée, la Domina reprit la situation en main.


- Accroupis-toi et redresse-toi, dix fois de suite !

Il exécuta et sitôt qu’il eut fini, il reçut d’autres ordres :

- A genoux… Debout… à genoux… En levrette…, Debout…, à genoux…, plus vite ! Assis… Debout…plus vite encore !

Les ordres fusèrent de plus en plus rapidement, très vite soumis Endymion MDE fut exténué. Il était en sueur tel un animal de cirque à l’entrainement…

- Approche chien MDE, montre-moi ton cul, écarte bien tes fesses de tes deux mains et dégage ton trou de petite salope MDE

La Domina passa sa main gauche entre les cuisses de soumis Endymion MDE, chercha ses couilles, les attrapa fermement, les tira vers l’arrière en les faisant remonter sur son périnée. La pression exercée sur les testicules de l’esclave fut-elle que soumis Endymion MDE ne put réprimer un long gémissement, mais l’étau ne se desserra pas. soumis Endymion fut entrainer ainsi, à reculons jusqu’à une table chargée de godes. La Domina en choisit un, d’une taille plus que respectable et le glissa, sans ménagement dans le trou de l’esclave. Dieu merci, son anus avait été assoupli par la récente sodomie du neveu du Maître, Monsieur le Vicomte d’Evans. Son cul avala l’objet sur tout sa longueur, ses sphincters s’entourèrent moelleusement autour de ce phallus en latex pour le maintenir ancré au fond de ses entrailles. Enfin la main de la Domina lâcha prise, soumis Endymion pouvait reprendre son souffle, il put même se redresser tout en serrant bien les fesses. Il dut s’appuyer, debout, dos au mur. La Domina, lui installa un bandeau sur les yeux, lui attacha les quatre membres à des anneaux fixés au mur, le voilà maintenant écartelé, exhibé … Il se laissait guider, manier sans chercher à savoir quel sort allait-on lui réserver. Aveuglé, ses autres sens étaient en éveil, Il se sentit empoigné à pleines mains, d’abord sa poitrine et ses seins, puis son ventre et sa ceinture abdominale, ses cuisses. Ses palpations attisaient cette part animale qui était en lui, le délivrant de toutes les scories culturelles et psychologiques qui l’avaient tant parasitée auparavant.


Entre son pouce et son index, la Domina écrasait, malaxait, étirait le téton gauche du chien soumis, puis ce fut une pince en acier qui vint mordre ce mamelon érigé. Elle réitéra la même opération avec l’autre téton de l’esclave. La morsure devint très rapidement brûlure. Il se sentit bouillir de l’intérieur, il transpirait, des gouttes de sueur commençaient à poindre sur ses tempes, sous ses aisselles pourtant épilées. Il souffrait, gémissait, se tordait et pourtant… il y avait ce feu qui couvait au creux de ses entrailles. Les deux pinces furent lestées de poids entrainant une douleur plus aigüe encore, chaque mouvement respiratoire les faisait se balancer sur le ventre du chien soumis MDE. Mais la Domina ne s’arrêta point-là, elle attrapait la fine peau de ses couilles, la fit rouler entre ses doigts puis posa là, deux autres pinces, identiques à celles posées sur les seins. Elles aussi furent lestées de poids. Elle s’amusait à faire balancer ces poids entre les cuisses du chien soumis, lui, retenait ses plaintes et ses mouvements… mais pas son érection ! La Domina s’approcha alors de l’oreille de l’esclave et lui chuchota :

- C’est bien vrai, tu es une belle petite salope MDE, un bon chien soumis MDE !

Elle approcha son majeur près de la bouche de soumis Endymion MDE, lui le fit sucer tout en continuant à lui susurrer :

- Le pire est à venir… tu le sais. Tu souffriras ou tu jouiras ou même les deux à la fois, toi le masochiste parfait, plus encore lorsque j’ôterai de tes chairs ces quelques accessoires…
- Merci Madame, se contenta de dire le chien soumis MDE.

(A suivre…)

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