La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 523)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°522) - Quelques pinces supplémentaires -

Maîtriser la douleur, tel était l’objectif que s’était fixé soumis Endymion MDE, laissé seul attaché, exhibé, avec ces pinces meurtrissant ses chairs intimes et très excitantes pour le masochiste en puissance qu’il était. Il savait qu’il devait patienter, jusqu’à ce que ses seins et ses couilles s’habituent à cette morsure et finissent par s’anesthésier. Alors, après, il pourrait reprendre son souffle, mettre son esprit au repos pour se concentrer de nouveau sur son dressage, sur son apprentissage d’un masochisme tant voulu par lui-même et enseigné par le Maître. Mais pour l’heure, la douleur n’avait rien de sublime, ni même d’exquis. Il la ressentait plutôt comme lancinante, fulgurante, térébrante, pulsative ou encore erratique ! Il patientait sans bouger, sans bruit, tout en étant attentif aux bruits, aux sons qui lui parvenaient aux oreilles. Et s’étaient des gémissements de plaisir qu’il entendait, des geignements jouissifs. Il reconnut ses sœurs de soumission MDE qui sans doute s’extasiaient en toute impudicité… Oui, il reconnaissait cette complainte caractéristique des soumises Laïs MDE et Phryné MDE au bord de l’orgasme. Que leur faisait-on subir ? Toutes deux étaient éduquées à une soumission plus mentale et sexuelle que physique, c’est ainsi que Monsieur le Marquis d’Evans le voulait. Peut-être parce qu’elles étaient des soumises femelles ? Peut-être aussi parce que le Maître avait détecté chez elles des prédispositions plus prégnantes, plus fortes, des envies permettant de développer de meilleurs potentiels et capacités chez ces chiennes soumises MDE. Mais le Maître savait aussi les punir, sévèrement s’il le fallait, et là, il ne lésinait pas, loin sans faut !

Il en était autrement pour soumis Endymion MDE, lui, son dressage était sans doute plus complet, c’était ce dont il avait besoin. Le Maître le savait et l’avait très vite détecté.

Il lui offrait donc, douleurs et supplices par des entraînements sadomasochistes réguliers, en plus d’une domination sexuelle et mentale. Lui, chien mâle, chien soumis MDE ne pouvait que se satisfaire des bons soins que lui accordait le Maître, un Maître attentif, vigilant, subtil, intelligent cherchant à tout prix, à satisfaire et développer les bas instincts pervers de Ses esclaves, surtout ceux qui portaient ses Nobles Initiales MDE. soumis Endymion MDE sursauta au contact de ces mains, l’une postée sur ses fesses, l’autre venant caresser son cou…

- Comment vas-tu, mon petit chéri ?

La main remonta doucement, lentement, en un léger frôlement, très léger, pour venir se perdre dans les cheveux de l’esclave MDE, qu’elle saisissait violemment entres ses doigts, pour faire basculer sa tête en arrière.

- Souffres-tu toujours autant, chien ?
- Non Madame !
- Voilà qui est bien, je vais donc pouvoir agrémenter ton corps de quelques pinces supplémentaires… (Long silence)… Monsieur le Marquis d’Evans y est plus que favorable… (Long silence encore) … Et toi mon ange, qu’en penses-tu ?

La Domina avait relâché la chevelure de soumis Endymion MDE, elle s’était planté devant lui, sa bouche tout près de celle de l’esclave. Un doigt humide caressait le bout d’un de ses tétons pincés… soumis Endymion MDE avala sa salive bruyamment puis répondit avec une certaine angoisse :

- Seul le Maître peut décider ce qui est bon pour moi, Madame !
- Parfait, alors je vais satisfaire les doléances du Maître.

Elle posa un petit baiser sur les lèvres du chien soumis, un simple petit baiser qui réveilla pourtant ses sens... Effet magique, effet bienheureux pour sa queue qui se gorgea de sang dans l’instant et se redressa énergiquement.

- Est-ce mon baiser ou est-ce le fait que tu saches que tu vas souffrir qui te fait bander, petite salope ?
- Les deux Madame !

Elle ne put retenir un sourire, elle caressa doucement et longuement le visage de soumis Endymion MDE tout en le complimentant.


- Tu es vraiment une belle petite salope… Vas, es-tu prêt ?
- Oui Madame !

Les pinces étaient différentes, soumis Endymion MDE les reconnaissait, des pinces à linge en bois, bien moins douloureuses, mais tellement plus nombreuses. Elles furent placées tout le long du corps de l’esclave en partant de la base de ses aisselles pour descendre sur sa poitrine, sa ceinture abdominale, son périmètre pubien et l’intérieur de ses cuisses jusqu’au-dessus du genou, toutes espacées d’un centimètre tout au plus, reliées entre-elles par une mince cordelette. D’autres furent posées, près des tétons du chien soumis, tout près de celles métalliques. La douleur était plus lancinante, plus vive, d’autres encore étaient accrochées à sa nouille, tout le long de la hampe, sur son prépuce. soumis Endymion MDE serra les dents, grimaça, débanda, mais ne bougea point. Il le savait, le moindre mouvement aurait déclenché quelques douleurs supplémentaires, bien inutiles. La Domina s’acharna sur les couilles du chien, elle agrippa une vingtaine de pinces supplémentaires sur cette partie sensible du mâle, elle en ajouta une dizaine, le long de son périnée. Enfin, elle paracheva son œuvre en plaçant quatre pinces sur les lèvres de l’esclave pour lui maintenir désormais la bouche fermée.

- Allez petite salope, profite de cet instant, une petite demi-heure seulement et après tu pourras jouir à loisir, puisque tu aimes ça…

Elle fit glisser son doigt, sur les pinces parfaitement rangées et alignées, d’une façon symétrique, sur le corps de l’esclave. Il se cabra et laissa échapper un cri. Il gigota dans tous les sens en émettant geignements et grognements, lorsque la Domina remua les pinces fixées sur ses parties intimes.

- Chut ! Ne jouis pas tout de suite…

Elle laissa enfin tranquille soumis Endymion MDE, avant de le quitter, elle vérifia si le gode était toujours en place. Il n’avait pas bougé d’un iota… Les minutes s’égrainèrent… L’esclave MDE parvenait à se concentrer, à se maitriser, et se préparait psychologiquement à ce qui allait suivre.
Il voulait être fort et fier, il voulait montrer au Maitre et à ses hôtes qu’il acceptait dignement les tourments imposés. Perdu dans ses pensées masochistes si excitantes pour lui, il fut surpris d’entendre le Maître lui parler.

- Ca va, Mon chien ?

Il fit un signe de la tête, le Maître lui ôta les pinces qui lui maintenaient la bouche fermée…

- Oui Maître, je suis heureux et fier de me donner à Vous, de souffrir pour Vous.
- C’est bien, Mon chien ! Je suis très fier de toi !

Le Maître caressa le visage de Son chien soumis, lui donna un doigt à sucer… Il n’en fallait pas plus à soumis Endymion MDE, il sentit monter en lui une douce chaleur tout en frissonnant. Il était bien, heureux, dans un état second, incapable de décrire ce qu’il ressentait vraiment, comme déconnecté d’un monde réel, comme s’il avait été placé sous hypnose, si bien que, lorsque le Maître lui ôta le bandeau de ses yeux, il ne vit même pas que tous les hôtes de Monsieur le Marquis étaient placés face à lui, en arc de cercle. La Domina qui lui avait imposé ce douloureux traitement était, elle aussi près de lui. Elle le regardait souriante, perversement souriante, elle lui posa même un baiser sur la joue.

- A vous l’honneur, chère amie ! Lança le Maître

Elle remercia Monsieur le Marquis d’Evans, regarda sévèrement soumis Endymion MDE longuement.

- Tu es prêt chien ?
- Oui Madame, je suis prêt !

Délicatement, elle attrapa les pinces métalliques ornées de poids fixées aux tétons du chien.

- Respire profondément et souffle un grand coup.

La douleur fut terrible, mais Ô combien bandante et aucun son ne sortit de la bouche de soumis Endymion MDE, juste sa nouille qui se mit à grossir de volume pour se raidir et se dresser dans une bandaison forte que son penchant pour le masochisme lui procurait. Plus il avait mal, désormais, plus il bandait. Et donc seul son corps le trahissait par des mouvements également archaïques.
Il ouvrit les yeux lorsqu’il entendit des applaudissements et quelques commentaires fuser : « C’est bien, la petite salope ! » « Résistant cette chienne ! ». Il les reçut avec un vrai sentiment de fierté. Il regarda le Maître en souriant. Monsieur le Marquis, ferma les yeux et leva discrètement son pouce…

- Tu es prêt ?
- Oui Madame !
- Alors on continue…

Cette fois-ci, ce fut les pinces métalliques rivées à ses couilles qui furent ôtées. Là encore, soumis Endymion montra sa détermination. Il se mordit les lèvres pour ne pas hurler, son corps tout entier tremblait, sa verge tendue à l’extrême. Et là encore des applaudissements retentir… Même regard vers le Maître, même sourire !

- A vous maintenant, Monsieur le Marquis !

Le Maître s’approcha de Son chien. Il apprécia et jaugea la forte érection de son esclave MDE et lui attrapa le visage de ses deux mains et lui posa un baiser sur le front tout en lui murmurant.

- C’est bien Mon chien, je suis fier de toi…

Puis sans crier gare, le Maître attrapa les deux cordelettes pendantes près des genoux du chien soumis MDE, Il regarda soumis Endymion MDE quelques instants.

- Prêt ?

Son chien-soumis hochait de la tête pour acquiescer, respirait un grand coup, le Maître tira brusquement sur les deux cordelettes : toutes les pinces à linge se détachèrent en même temps. Le chien soumis MDE hurla tout en bandant quasi simultanément encore plus et chercha à se débattre, il fut aveugler par des larmes, des larmes de douleur, de joie, de bonheur de sensations jouissives d’une fulgurante douleur qui l’avait presque fait gicler son foutre, tant l’excitation avait été spontané et à son comble. L’esclave avait été à deux doigts d’éjaculer, de se vider les couilles de plaisirs due à la douleur intense. Pendant plusieurs secondes encore, soumis Endymion MDE tremblait alors que le Maître lui essuyait gentiment ses larmes, puis il le prit dans ses bras et lui souffla qu’il fût fier de lui. Il maintint cette étreinte pendant quelques minutes encore jusqu’à ce que cessent ses tremblements. Les applaudissements retentirent de nouveau, puis tous les Dominants s’approchèrent du chien pour le féliciter et le congratuler. L’un d’eux susurra à son oreille :

- Quel dommage que tu n’aies pas su retenir ton gode !

(A suivre…)

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