Laure 3: La Vengeance D'Une Rousse.

Notre déjeuner terminé, Laure et moi, nous sommes rentrés très vite à l'appartement de l'avenue Gay...Laure riait sans consentir à me fournir une explication... J'attribuais cette humeur joyeuse à la présence de ma main sur sa cuisse mais ma question relative à la cause de son hilarité ne fit qu’accroître celle-ci....Elle garait bientôt sa voiture au bas de l'immeuble... Quelques minutes plus tard, elle ouvrait, toujours hilare, la porte de l'appartement .
Tu trouveras le matériel dont tu as besoin dans le deuxième tiroir de la commode de la salle de bain !... J'ai un coup de fil à passer puis je serai à toi pour la remise en ordre de ma chatte !...
Je filais dans la salle de bain et trouvais très aisément le matériel dont j'avais besoin : ciseaux, rasoir sabre et mécanique , tondeuse électrique, peigne,crème à raser, blaireau, miroir grossissant, after-shave ainsi qu'un drap de bain que j'installais sur le lit et une petite cuvette de plastique que je remplis d'eau chaude.
Laure rentra dans la chambre, toujours le sourire aux lèvres, en déboutonnant sa robe chemisier qu'elle ôtait dans la foulée... puis fit glisser lentement son slip vert-Nil, sa couleur favorite, le long de ses jambes. Juste revêtue seulement de son soutien-gorge, elle s 'allongea sur le drap de bain...
Avant de commencer, je voudrai que tu regardes l'allure de ta chatte... Dis toi bien que ton cul que tu ne peux pas voir, n'est pas mieux !...
Je lui tendis le miroir... Elle l'orienta rapidement...
Oh !... Mon Dieu ! Quelle horreur !... On dirait une forêt vierge !...Coupe moi tout ça  et redonne une figure humaine à ma pauvre chatte !..Je t'en prie, Alanick...Fais ça pour moi !
Je décidais de commencer par raccourcir à environ un centimètre la forêt de sa chatte.
Allonge toi sur le dos, dis je en prenant le peigne et les ciseaux... Écarte bien tes jambes, je vais commencer le travail !
Je me mis au boulot en partant de la gauche de son sexe.

.. Très vite, je fus obligé de recourir à la brosse à cheveux pour éliminer les poils coupés qui mettaient un frein à ma progression....Petit à petit, je découvrais les différents composants de son sexe que l'on ne pouvait que deviner avant le passage des ciseaux. J'en arrivais assez vite à achever la coupe sur la moitié du bas-ventre de Laure et suspendais mon travail pour laisser Laure apprécié le résultat provisoire : à gauche, on aurait dit un green de golf roux... A droite, la forêt dense de sa toison !... Je bandais comme un turc !...Laure se regarda un long moment dans le miroir tandis que j’ôtais mon pantalon qui compressait mon sexe.
Continue !... C'est super et ça me fait mouiller ! dit elle en souriant.
Je repris le job sur l'autre coté de son mont de Vénus... Ses grandes lèvres serrées formaient une fente longitudinale et dissimulaient ses petites lèvres, son clitoris et l'entrée de son vagin...Après quelques minutes, la taille de la fourrure qui ornait son bas-ventre était uniformément ramenée à un centimètre environ....Laure la caressa un moment puis se leva pour prendre dans sa commode un string qu'elle enfila . J'en profitais pour me débarrasser de ma chemise... Mon slip, dernier barrage à ma libido survoltée, formait une bosse immodeste au niveau de mon entrejambe !...
Je veux que tu supprime tout ce qui dépasse du cache-sexe..
Je déposais une noix de crème à raser sur son coté gauche que le blaireau transforma rapidement en mousse...J'entrepris aussitôt le rasage de la zone délimitée par la ceinture et le triangle de coton du string...Je rinçais et renouvelais la même opération sur l'autre coté...Je fis glisser le string sur ses cuisses : un triangle couvert de courts poils roux se dessinait sur la peau dépilée de son bas-ventre. Laure fit la moue, chercha un marker noir dans le tiroir de la table de chevet, traça au dessus de la fente de son sexe, un triangle isocèle dont la base juste un peu en dessous de la ceinture du string et le troisième sommet à la commissure de ses grandes lèvres.
 .. Ma main gauche, profitant de cette pause inopinée, libéra ma queue et me débarrassa de mon ultime vêtement : ma verge se dressait fièrement... ma main effectuait subrepticement de lents et délicieux va-et-vient sur ma tige dure et gonflée...
Je veux qu'une fine ligne de poils souligne de chaque coté le contour de mon abricot et descente jusqu'à mon petit trou...Tu conserves le triangle, tête en bas, que j'ai dessiné !... Arrête de te masturber , vilain petit voyeur égoïste!... On fera ça quand tu auras fini ton job !...
Je serrais fortement la base de mon zob, dépité de devoir stopper brutalement l'éjaculation qui montait des profondeurs de mon intimité !... Je remis de la crème à raser que j'étalais en douceur avec l'aide du blaireau...le passage des poils sur son abricot provoqua outre l'ouverture de son puits d'amour et tressaillements et gémissements de Laure, chaque fois que ils caressaient son clito ...Je pris en main le rasoir sabre et entrepris de finir de raser sa chatte conformément au schéma tracé au feutre... Des soubresauts agitaient son bassin sporadiquement...
Arrête de bouger !... Je ne voudrai pas te couper avec cet engin !...
J'arrivais tant bien que mal à terminer le travail : le résultat me paraissait super...Ma queue appréciait le spectacle ; au bout de sa hampe gonflée de désir, le gros bourgeon violacé de mon gland semblait sur le point d'éclater !... Laure, elle aussi, admirait le nouvel aspect de son pubis orné d'une flèche de poils roux semblant indiquer la voie de son puits d'amour tandis qu'une moustache mandchou encadrait la fente formée par ses grandes lèvres encore ornées de duvet roux.... Je finis le rasage en m'occupant de celui-ci au rasoir...
Tu n'éjacules pas avant d'avoir effectué sur mon cul le même ravalement extra que celui que tu viens de réaliser sur mon abricot !...
Je frictionnais son bas-ventre avec mon after-shave... ce qui provoqua des mouvements désordonnés de son bassin...
C'est quoi ton truc ?.
.. Ça chauffe salement !...
" Eau sauvage " de Dior... Je ne me fous pas de toi, n'est ce pas !..
Je l'aidais à se retourner sur le ventre : un " gros bouquet " de poils roux dissimulait l'entrée de son petit trou... Toujours aidé du blaireau, je noyais l'ensemble sous la mousse à raser avant le faire disparaître en quelques coups de lame... Son anus m'apparut alors clairement : son petit trou bien serré, au centre de sa rosette brune et finement ridée....au fond de la raie qui séparait les deux lobes rebondis et totalement glabres de ses fesses.... Je ne pus résister à mon envie soudaine et laissait mon index droit descendre lentement jusqu'à ce puits d'amour... Mon doigt encore enduit de crème à raser le pénétra entièrement, sans la moindre difficulté pendant que mon pouce trouvait rapidement le chemin de sa vulve béante et de son clitoris turgescent autour duquel il tourbillonnait...
ohoooo oh oui ! … oui !... encule moi !... Je veux que tu me sodomises avec ta queue. !... Pas avec ton doigt !...C'est pas assez gros !...... Ça ne me remplit pas !....
Ça tombait bien !... Je n'en pouvais plus …Avant d'aller plus loin, je relevais son bassin en glissant un oreiller sous son bas-ventre...Une goutte de pré sperme sourdait du méat de mon gland...que je présentais sans plus attendre à l’œillet de son cul...Mes mains, sur ses hanches, immobilisaient son bassin... Sa rondelle ne tarda pas à céder sous la pression de mon vit, avala mon gland en deux temps, trois mouvements avant de se resserrer au niveau de la couronne bloquant la progression de ma hampe....Je reculais un peu mes fesses pour prendre de l'élan ne laissant engager dans son conduit anal que l’extrême pointe de ma bite...Un fort coup de rein, un bref et léger cri de douleur de Laure et mon zob la pénétrait entièrement jusqu'à ce que le choc de mes couilles sur ses fesses stoppe la progression... Après quelques instants de " concentration " où je sentais les muscles anaux de Laura se contracter et se détendre autour de ma verge, j'entamais les classiques allées et venues de mon vit dans son conduit anal, d'abord sur un rythme très lent puis en accélérant progressivement quand Laure entrepris d'accompagner mes coups de boutoir en pulsant son fion sur ma hampe.
.. Sa respiration devenait haletante coupée de doux gémissements de plaisir... Ma bite gonflait et mon gland était sur le point d'éclater.... Elle se cambra puis se raidit dans un long cri !
Ouuuui !... Viens !.... Laisse toi aller !...Vite ! Vite ! Ooooh ! Comme je te sens bien au fond de mon cul !...Vas y !...enc...Ooooooooo !...
Mon sperme venait de jaillir dans son rectum... Un premier jet puissant, puis deux et trois pour finir !...
Oooooh … J' ai jouis... Mon Dieu...Quel orgasme ! ...Je sens ton jus  dans mon rectum!... Tu m'as remplis...à ras bord ! … C’était  trop bon !....
Je m'effondrais sur son dos tandis que mon pénis débandait doucement ....Quelques minutes plus tard, il sortait complètement flapi de son orifice anal... Je roulais sur le coté en prenant le temps de voir mon sperme déborder de son anus béant... avant de sombrer dans une somnolence réparatrice, comme ma partenaire!...
Après un assez long temps, Laure sortit de sa léthargie, regarda sa montre puis se leva.
Il est déjà cinq heures et demi... J'ai juste le temps de t'expliquer mon plan !... Je veux me venger d'Angélique qui a été, à ma connaissance la première et la plus fidèle maîtresse de Marco !... Je lui ai téléphoner en rentrant d'Antibes pour l'inviter à sortir avec moi ce soir...Elle m'a dit que c'était un bon plan puis elle m'a demandé si tu serais là...J'ai répondu que tu avais les clés et codes de l'appartement et que tu devais me retrouver ici à six heures... J'ai ajouté que j'avais rendez-vous au Majestic à la même heure, avec une grosse cliente de ma maison de couture et que j'en avais pour une bonne heure.... A mon avis, elle va rappliquer vers six heures et quart dans l'espoir de baiser avec toi !... Ne la déçois pas, baise la de façon que je vous prenne en pleine action... dis on à sept heures et demi.... Le reste me concerne !...
Tout en me parlant, elle avait commencé à s'habiller, enfilant un mini slip vert d'eau en dentelle, un porte-jarretelles et un soutien-gorge balconnet assortis...Elle s'assit sur le lit, ajusta des bas de soie de couleur ambre puis gagna la salle de bain pour se maquiller... Elle réapparut quelques minutes plus tard, dans un tailleur beige clair, très classe... avant de quitter l'appartement sans même m'embrasser....
J'enfilais rapidement t shirt, slip, pantalon et mocassin... Il était temps: moins de quinze minutes après son départ, le portier électronique vibra.
C'est moi dit une voix que je reconnu comme celle d'Angélique....
Je commandais l'ouverture de la porte d'entrée de l'immeuble et entendis bientôt le ronronnement de l'ascenseur... Je m'approchais de la porte et l'ouvris dès la première injonction: c'était bien Angélique en t shirt fuchsia orné d'une super fleur bleu sombre sur le cote droit et pantalon de lin beige, le tout super moulant... Elle n'eut pas du tout l'air surprise de ma présence chez Laure.... Elle avait bien enregistré l'info glissée par Laure... Elle se jeta dans mes bras et m'embrassa à pleine bouche en prenant soin de coller étroitement son corps contre le mien et en me poussant vers le canapé
Vite.... J'ai terriblement envie de toi.... Faisons l'amour !..J'en rêves ...et tu as le temps de bien me baiser puisqu'elle ne sera pas là avant une heure murmura-t-elle à mon oreille tandis que ses doigts s'activaient sur la ceinture de mon pantalon.
Quelques instants plus tard, mon futal était sur mes talons...laissant s'exhiber la bosse de ma bite sous le coton distendu de mon slip...Elle entreprit dans la foulée... sans la moindre réaction de ma part de se débarrasser du sien... L'une de ses mains s'occupait déjà de faire descendre mon slip, l'autre flattant ma verge qui, très sensible, prenait du volume !...Il fallu qu'elle prenne en main mes boules et les malaxe vivement pour que je sorte de ma léthargie : je lui ôtais son t shirt découvrant ses deux seins aux proportions admirables qu'aucun soutien n'habillait !...et dont les mamelons déjà turgescents pointaient au centre de leur aréole légèrement plus brune que la peau bronzée.... Angélique dégrafait la ceinture de son pantalon qui glissa sur ses chevilles, laissant apparaître un mini-slip tanga en dentelle orange... dont elle s'empressa de se débarrasser par quelques contorsions me laissant le temps ne de découvrir dans son intégrité le corps intégralement nu de cette belle brune qui semblait savoir ce qu'elle voulait !... Hypnotisé par ce spectacle, j'étais tout yeux, la queue impérialement dressé au dessus de mes boules, oubliant de finir mon propre strip-tease en ôtant mon
t-shirt... Comme j'entreprenais de quitter ce dernier vêtement, Angélique s'agenouilla devant moi et commença à lécher mes couilles puis sa langue remonta lentement le long de la grosse veine bleu de ma verge tandis que sa main glissant sur mon pénis du haut vers le bas, découvrait mon gland... Continuant sa progression, sa bouche après avoir titiller un court moment, son méat terminal, avalât sans ambages l'extrémité de ma pine ...Après quelques va et vient en forme de spirale sur mon gourdin, elle expulsât mon pénis gardant mon gland entre ses lèvres.... Sa langue, après s'être attardée à nouveau, un moment sur mon gland, descendait maintenant le long de ma verge tandis que je caressais ses cheveux... Sa bouche, démesurément ouverte, éprouva quelques difficultés à gober mes testicules....Après quelques instants de délicieuses caresses linguales, elle les lâchât pour revenir à ma verge... Je fis pression sur sa tête pour repositionner sa bouche sur mon gland....et la reprise de sa fellation... C'était une suceuse hors pair !...La marée de mon désir montait dans mes reins tandis qu'elle accélérait les mouvements de va et vient en spirale autour de ma bite qui était étroitement enserrée entre ses lèvres...
Je viens … Je vais exploser dans ta bouche !...Arrête !...C'est trop … Oooooohh !
Elle me pompait frénétiquement... Sa main droite qui jusque là secondait sa bouche, serra énergiquement la base de mon vit bloquant toute tentative d'éjaculation. Elle libéra quelques instants mon gland, le temps de me dire :
J'adore avaler le sperme de mes amants !...Baise dans ma bouche !...
En guise de réponse, mes mains appuyèrent fortement sur sa tête pour que ses lèvres reprennent possession de mon gland.... Il était grand temps : à peine réintroduit dans la bouche d'Angélique, je me libérais dans un énorme cri de satisfaction et l'émission d'une bonne vague de sperme que ma partenaire parvint à avaler sans trop de peine...après m'en avoir fait profiter en m'en cédant une partie dans un long baiser sulfureux !...Elle se laissa glisser dans le canapé, assise, les jambes largement écartée me permettant d'admirer à loisir sa chatte totalement glabre dont je ne voyais, en fait, que les deux grandes lèvres, épaisses qui bordaient sa fente à demi fermée qui laissait s'écouler un filet de mon sperme mélangé à sa cyprine... Comme je ne réagissais guère, ma bite pendant mollement entre mes jambes, ses mains écartèrent ses lèvres externes pour me faire admirer, dans l'espoir sans doute de ranimer mon désir, l'intimité de son sexe : son clitoris à la commissure supérieure de ses petites lèvres elles même largement ouvertes, dominant le méat urinaire et plus bas, l'orifice de sa grotte d'amour…. Ce n'était pas vraiment très correct de baiser cette si appétissante nana chez ma cousine dans ce lit où je venais de faire l'amour  durant vingt-quatre heures.... Laure elle même m'avait demandé de baiser Angélique !... de ne pas la décevoir !... Baiser sur ordre ?... Pour une fois, j'avais très envie d'obéir !...
Je déposais un baiser sur la vulve baveuse et entraînait Angélique vers la chambre de Laura où le lit en désordre témoignait encore de la chaleur de nos récents ébats !... Cette découverte fit grimper en flèche la volupté de ma compagne... et le tonus de ma queue qui se redressât... un peu!...Elle se laissa tomber sur le bord du lit , couchée sur le dos les jambes pendantes largement écartées...Son sexe largement ouvert attirait ma bouche comme un aimant, l'aiguille d'une boussole !... Je m'agenouillais entre ses jambes..Ma langue entra en contact avec ses petites lèvres qu'elle se mit à lécher dans tous les sens tandis que ma main droite découvrais son clitoris décapuchonné.... Ma langue se présenta bientôt à la porte de son vagin d'où s'échappait un flot de cyprine...que j'aspirais avec volupté avant de l'introduire dans le canal vaginal d'Angélique.. Elle se cambra pour la faire rentrer plus profondément...Son bassin se tortillait comme une anguille sous ma caresse tandis que je continuais à pomper son jus...
Oooooooh !....Prends moi tout de suite !... Mets moi ta queue bien profond... dans ma chatte !... Je ne peux plus attendre.... Viens !... Baise moi !...
Personnellement , je n'étais pas encore prêt à la fourrer convenablement : ma bite n'avait pas encore retrouver son tonus...après la nuit d'hier et l'après-midi d'aujourd'hui !...c'est pour gagner quelques minutes que je lui demandais :
Installe toi mieux sur le lit...à plat-ventre.... Je voudrais te prendre en levrette si tu veux bien...
Je profitais de cet entracte pour....me masturber à tout va  et redonner ainsi de la vigueur à ma queue qui reprenait   du volume tandis qu'Angélique se positionnait au milieu du lit, à quatre pattes, son joli petit cul tendu vers moi. .. Ses mains écartaient ses fesses bien rebondies pour ouvrir sa raie et m'offrir son petit trou...dans lequel j'introduisis, après l'avoir enduit de la cyprine qui s'écoulait toujours de sa vulve, mon index gauche tandis que ma main droite, écartant ses épaisses grandes lèvres, s'activait sur son clitoris turgescent...Ma langue remplaçât bientôt mon doigt et ne tardât pas à forcer sa rondelle pour s'introduire dans son canal anal....Son cul s'agitait dans tous les sens pour accroître sa jouissance... Elle ronronnait comme la chatte en chaleur qu'elle était !...
OOOOOO Oui...Mets moi ta bite !...Fourre la moi dans mon cul vite et profond !... Je veux la sentir en moi... Je veux ton foutre !...
Ma langue cessa son ouvrage dans son trou pour me permettre de répondre :
Tu es une vraie chienne, ma salope... Te faire baiser en douce dans le lit de ta copine...
Tu as raison, je suis une pure salope... C'est dans ce lit que j'ai baisé toute une nuit avec Marco pour la première fois !... et ce ne fût pas la seule...
Tu es une sale pute !... Je vais t'enculer à sec, te faire crier et venger ma cousine !...
Oh oui !...Tu es un beau salop toi aussi !... Je sais que tu as baisé avec Laure, ta cousine !...Ça sent le sexe et le foutre dès qu'on ouvre la porte !...et baiser sa cousine, ça s'appelle un e !... Et c'est pas bien ça !!!
Son baratin me mit dans une rogne dantesque !...Ma bite, enrobée de sa cyprine, avait retrouvé toute sa superbe et mon gland décapuchonné et turgescent était à l'entrée de son anus... Submergé de fureur, je donnais un violent coup de rein et ma pine la pénétra d'un coup, jusqu'à ...la garde, mes couilles venant brutalement heurter son cul.... Elle poussa un véritable hurlement...Je m'immobilisais un instant...
Tu m'as déchiré le cul, espèce de fils de pute !... mais c'est super ! … Maintenant, astique moi le cul, bien profond!... Nique-moi à fond !... Fais moi jouir, salop !...Aïe !...Ouille !.. Ta bite est très grosse  mais c'est trop bon !...
Je n'entendais plus rien ayant entrepris une cavalcade sauvage dans son cul... Elle s'effondra sur le lit, en gémissant tout en me suppliant de continuer...Ça tombait bien : je n'avais aucune envie de m'arrêter …La houle de mon plaisir déferlait de ma verge dans son canal anal... et ni elle ni moi n’entendîmes s' ouvrir la porte d'entrée....
Laure fit irruption dans la chambre, une paire de menottes et une cravache à la main, dans une somptueuse colère... si bien imitée que j'y aurai cru si elle ne m'avait pas décoché un clin d’œil !
Elle me repoussât sur le coté, se débarrassa vivement de sa veste de tailleur et me tendit, tandis que j'enfilais précipitamment mon slip, les menottes :
Attache là.. les bras dans le dos !...
Angélique paralysée ne m'opposa aucune résistance ; à plat-ventre, elle me laissa la menotter sans bouger un poil !...La cravache maniée par Laure claqua sur ses fesses... Elle gémit bruyamment laissant même échapper un cri de douleur !...
Ce n'est qu'un début, ma salope !... Je vais te faire jouir mais pas de la même façon que mon ex !... dit Laure en me tendant un rouleau de drisse... Attache ses chevilles au pied du lit ! m'ordonna-t-elle !...Les jambes écartées !.. 
Angélique entreprit de se rebiffer... la cravache claqua sèchement sur les fesses offertes stoppant toute velléité de résistance !.. Laure se leva et partit fouiller dans le dernier tiroir de sa commode... elle en revint les bras chargés d'un coffre que je reconnus comme la boite à jeux de Marco !...Elle s'agenouilla au pied du lit et en sortit un plug transparent d'une douzaine de centimètres de long et de cinq de diamètre... Sans même l'enduire de lubrifiant, elle le présenta à la rondelle de sa victime et l'enfonça d'un coup dans son canal anal... provoquant un nouveau gémissement....et un nouveau coup de cravache !...
Retourne là !...Après son derrière, on va s'occuper de son devant !.. Quant à toi, fermes la !...Tu m'as cocufiée !... Toi, ma meilleure copine...et ça ne te suffit pas... Tu profites de mon absence pour baiser dans mon lit, avec mon cousin !...Tu es une putain de salope !... Je vais te faire payer !... Aide moi à retourner cette garce , Alanick !
Angélique en larmes, se laissa faire sans protester et se retrouva rapidement allongé sur le dos, les mains toujours enchaînées dans son dos …
Attache chacune de ses jambes à un pied du lit, m'ordonna Laure... Les cuisses bien écartées ! … Oui, c'est bien !
Pendant que j'exécutais ses instructions, Laure passait une cordelette derrière les pieds de la tête de lit formant un triangle...qu'elle bouclât par un nœud coulant puis, ordonnât à Angélique les mains toujours liées derrière son dos
Assieds toi !... et arrête de pleurer ou je te colle un bâillon !... Tes mains sur ta tête, presto !... Plus vite que ça où je reprends la cravache !...
Elle ouvrit un des anneaux de la menotte, le glissa sous la cordelette avant de le refermer sur le poignet qu'elle venait de libérer.
Couches toi sur le dos... Les bras tendus !...
Elle tendit la cordelette, l’ajustât et fit un nœud de marine pour bloquer le brin libre : Angélique totalement nue, gisait, immobilisée, les jambes largement écartées et les bras tendus au dessus de sa tête. .. Laure farfouillait dans la boite de Pandore de Marco... Elle en sortit un instrument constitué
d'un ensemble de chaînettes chromées formant un Y terminé par des mini pinces crocodiles aux extrémités gaînées de caoutchouc noir.... Elle fixa l'une des pinces au téton droit de Laure puis l'autre à celui du sein gauche et enfin ajusta celle de la plus longue branche au clitoris décapuchonné d'Angélique qui sanglotait et gémissait :
Pardon Laure !... Je ne voulais pas !... Il m'a dit que le sexe ne t intéressait pas !...que tu refusais même de le sucer !..et encore plus de le laisser t'enculer !... Tu pleures toujours ton pucelage !...
La cravache s’abattit sèchement sur son bas-ventre y laissant un long trait rouge...Elle tentât alors de se cambrer... en vain : alors qu'une deuxième frappe s'abattait sur ses seins.. ;
Tu es non seulement une salope mais aussi une foutue menteuse !... Amandine vient de me confirmer que c'est toi qui lui avais fait des avances !... que tu l'avais même harcelé pour qu'il te baise !...Pour le reste...
Elle se tourna vers moi
On va montrer à cette pute de quoi je suis capable !... A poil, Alanick... Nous allons lui faire une démonstration !...
Elle avait déjà ôté son chemisier et faisait suivre le même chemin à sa jupe de tailleur...Elle poursuivit son strip-tease....Quelques instants plus tard, debout au pied du lit, je contemplais, béat, inconscient de la bosse que formait mon sexe sous mon slip. le spectacle d'Angélique en larmes, écartelée sur le lit avec ce Y de chaînettes métalliques qui liait ses mamelons à son sexe et de Laure uniquement vêtue de son porte-jarretelles, de ses bas et de ses chaussures à talon, ..Elle me poussa contre la porte de la chambre, s'agenouilla devant moi tout en faisant glisser mon slip sur mes cuisses... Ma bite jaillit, toute droite...juste devant sa bouche dont la langue caressait mon gland, particulièrement son méat.. puis descendait le long de ma hampe, léchait mes testicules, parcourait mon périnée jusqu'à l'orée de mon petit trou... puis stoppait sa visite anale pour revenir vers ma bite. Sa bouche avalait mon gland exacerbé, sans tergiverser !...Angélique pleurait et gémissait tout en se tortillant pour essayer de profiter du spectacle !... Laure se démenait toujours autour de mon vit qui me semblait démesurément gonflé.... Ses lèvres étreignaient étroitement ma tige, montant et descendant le long de mon pénis !... Je sentais mon foutre se gonfler en une vague énorme et se ruer vers mon méat :
Je vais éjaculer, Laure !... Je ne peux plus me retenir ! murmurais-je
Elle répondit en éjectant ma queue de sa bouche, la gardant braquée sur son visage .. et la première giclée de mon sperme blanc crémeux, l’inonda … les suivantes finissant sur sa poitrine et son ventre... Elle se releva rapidement et se dirigea vers Angélique....
Assure toi que ce n'est pas de la béchamel ou de la crème fraîche !... Nettoie moi tout ça avec ta langue... et fissa !
Angélique étant immobilisée sur le dos et n'étant donc pas en mesure de satisfaire les désirs de Laura, celle-ci décida de relâcher les liens. Elle fit asseoir Angélique dos à la tête de lit, les mains
toujours entravées reposant sur son sexe. Elle lui glissa un oreiller dans le dos (touchante attention!) avant de resserrer, avec mon aide le système d'immobilisation... Lui faisant face, elle s'assit sur ses cuisses :
Aller nettoie moi...avec soin ! Et avale le jus de mon cousin... Tu y as déjà goûté n'est ce pas,...
La langue d'Angélique débarbouillait le visage puis l'un des seins de ma cousine qui ne semblait pas remarquer que les mains de la suceuse, bien que menottées, s'activaient autour de son sexe et libéraient son clito de la pince qui l'enserrait...Laura me fit un clin d’œil et un signe que je ne sus interprété quand elle entrepris de nettoyer le mamelon de son sein gauche...
Alors tu crois que je n'ai pas vu tes manœuvres !...Finis ton travail sans te palucher ! Après, je te punirais, grande salope !
Angélique acheva rapidement son travail... Laure se redressa, se regarda dans le grand miroir avant d’aller fouiller dans son coffre à malice.... dont elle ressortit en agitant la ceinture de chasteté, dernier cadeau de Marco !
Lève son cul ! m'ordonna-t-elle
Elle glissa rapidement la ceinture sous les fesses d'Angélique, la boucla rapidement sur sa taille puis elle chercha la garde d 'entrejambe entre les cuisses écartées, en ramena l'extrémité libre sur la boucle de la ceinture, l'engagea dans le verrou qu'elle ferma, triomphante !
Maintenant, je vais baiser avec Alanick !... Tu vas en avoir plein les yeux !
Angélique pleurait à chaudes larmes en regardant son bas ventre complètement emprisonné.... tandis que, suivant les instructions de Laure, je m'allongeais sur le dos au pied du lit, la queue dressée vers le plafond.
Je vais te baiser en Andromaque dit-elle en m’enjambant à hauteur de mon sexe.
Me faisant face, à genou, elle guida mon vit entre ses grandes lèvres jusqu'à son vestibule vaginal. Dès que mon gland commença à la pénétrer, elle fléchit lentement ses jambes réglant la vitesse de progression de mon pieu dans son vagin... J'adorais...surtout quand ma bite était totalement absorbée !...Ma main droite entreprit de branler son clito tout gonflé d'envie pendant que son bassin grimpait et descendait avec une exquise lenteur, le long de mon mat de cocagne !... Sa cyprine coulait à flot lubrifiant les glissements de ma verge dans son canal vaginal.. J'essayais en vain de contrôler ces allées et retours pour mieux apprécier les contractions de ses sphincters et de ses muscles vaginaux... La tête rejetée en arrière, les seins aux mamelons tendus emprisonnés dans mes mains, elle  gémissait tandis que j'avais la sensation que ma bite gonflait encore à l'intérieur de son intimité :
Oui...Ooooooh Oui ! Vient !...Éjacule dans mon con !...C'est trop bon !... Je te sens bien au fond de mon vagin...Ta queue....Oui, je vais jouir comme une petite pute !....OUI Oui Ooooooouuuii ! ...
La vitesse de ses allées-et-venues sur mon mandrin se précipitait... Son pubis venait heurter mes couilles de plus en plus violemment. Puis, elle se cambra sèchement en poussant un grand cri à l'instant où ma jouissance éclatait dans son vagin libérant trois longs jets de sperme... J'étais surpris de trouver autant de ressources dans mes roustons ... je me sentais totalement ...vidé !.. Laure aussi qui s 'était effondrée littéralement sur moi, ma queue toujours plantée dans son vagin, après un dernier hurlement de volupté et de jouissance !
Les gémissements et sanglots d'Angélique, toujours entravée dans sa ceinture de chasteté, finirent par nous ramener sur terre....
Laisse moi partir, Laure...Je ferai tout ce que tu voudras !... Je t'en prie !...Pitié pour moi !...Marco m'a piégée !...
Ferme ta gueule, salope !... répliqua Laure. Je vais te libérer mais tu vas garder ta ceinture  et courir tous les nights chauds …Alanick, aide moi à la détacher !...Enlève lui les menottes... Voilà la clef !
Tout en parlant, Laure libéra ses mamelons des pinces qui les mordaient et entreprenait de libérer les jambes d'Angélique qui sanglotait toujours :
Non, je t'en supplie... Enlève moi cette saloperie de ceinture ...et je te fais un cunnilingus de rêve !
Non ! Je vais t'enlever le gode qui bouche ton petit trou... Dommage, il était juste à point pour une sodo !...Mais tu gardes la ceinture de Marco jusqu'à lundi soir !... et n'essaye pas de l'enlever !...Tu me laisses ton Tanga....ta ceinture te couvre suffisamment la chatte !..Tu seras très bien comme ça, pratiquement à poil en t shirt et pantalon !... Et maintenant...Tire-toi, salope !
En un clin d’œil, Angélique toujours en pleurs, se retrouva sur le pallier, accompagnée d'une Laure, cravache en main, qui lui glissa, ironique, en guise d'au revoir
" Va te faire foutre ailleurs !.. Bonne baise et à lundi soir sans faute ! "

Nous n'avons pas reparlé, Laure et moi, de cette époustouflante après-midi... Si nous avons dormi dans les bras l'un de l'autre et donc dans le même lit, nous étions trop épuisés pour de quelconque jeux sexuels...Après un dimanche de plage et un déjeuner sans histoire avec ma tante, j'ai repris mon voyage vers Rome le lundi matin... où je retrouvais ma bonne copine de Bangui, la comtessa et son superbe appartement de la via Baccina.
Pris par mon débriefing et diverses questions administratives, je n'appelais Laure que le jeudi suivant, vers 18:00.... Première surprise : c'est Angélique qui décrocha ….
Allo !... j'écoute...Qui est à l'appareil ?...
Bonjour , Angélique! bredouillai-je.... Je voudrai parler à Laure...mais qu'est ce que tu fais chez elle ?...
Son rire me perça les tympans !..
Salut beau gosse !..Elle te le dira elle-même !...Je suis à poil et elle aussi !... Désolée que tu ne puisses pas profiter du spectacle !...Je te la passe  mais je ne vous laisse pas entre vous!...
Salut Alanick...Ne t'en va ^pas, reste , Angélique !......Elle est ici depuis lundi soir, comme prévu, Quand j'ai ouvert la porte de l'appart, elle était nue sur le palier, simplement vêtue de la ceinture de chasteté, sa robe sur le bras...Dès que je l'ai eu débarrassée de sa ceinture, elle m'a fait un cuni d'enfer et nous avons passé une nuit très agitée mais... sublime !... Depuis, on ne 'est pas quitté...Je crois que je prends goût aux plaisirs...saphiques !...
Qu'est que tu me racontes ?... Je ne comprends pas !...Tu t'es faite baiser par cette salope ?...
Oui, et j'y ai même pris beaucoup de plaisir !...je crois que je suis " bi " … ou bien.... je vire lesbienne !...Oh !...non !....Arrête, Angélique !...Pas maintenant !... Elle est en train de me doigter la rondelle de mon petit trou !... Oh ! ..Elle me lèche... Sa langue descend vers ma chatte !... Oooooh ! C'est bon, très bon !... Elle joue avec mon clito !...Oh, ouuui continue Angélique !...Je mouille !...Encore ! Encore...
Stupéfié, n'en croyant pas mes oreilles, je raccrochais !.. Je me sentais un peu amer, mis à l'écart, blessé dans mon orgueil de mâle... alors que je bandais comme un taureau !...C'est à cet instant que Flavia, la comtessa frappa à la porte de ma chambre et...entra comme d'habitude, sans attendre ma réponse !

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