La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 538)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°535) - Frustrations et humiliations enivrantes -

Monsieur le Marquis d’Evans faisait le tour du cheptel exposé et entravé tout en continuant à discuter comme si de rien n’était, avec les Dominantes et Dominants qui le suivaient. Il était très fier de faire visiter ses installations constituées de vastes locaux dits ‘’de sanitaires’’ où toutes les pièces étaient entièrement carrelées des plafonds, aux sols en passant par les murs. Tantôt, il pinçait un téton ou soulevait une queue, tantôt il glissait un doigt dans une chatte ou dans une bouche, tantôt il soulevait un menton en regardant fixement et attentivement le ou la soumise face à lui, avec une autorité naturelle, un charisme à faire frissonner. Il était parfaitement à l’aise, déambulait et prenait plaisir à se trouver au milieu de Ses esclaves nus, offerts et mais jamais dans la contrainte, toujours dans l’envie, le désir d’être esclaves pour toutes celles et tous ceux qui avaient la chance d’être dans Son Cheptel, sous le joug de Monsieur le Marquis d’Evans et donc ils étaient tous à disposition, exposés ainsi. Belle image ! On eut dit un tableau vivant, une représentation théâtrale figée, sans costume ni artifice superflu pour la circonstance, où les esclaves étaient mis en scène et s’offraient en spectacle. Quant à celles et ceux qui ne lui appartenaient pas et qui étaient donc la propriété des autres Dominants, ils avaient l’air d’avoir tous, les mêmes engagements, le même bonheur, les mêmes excitations à se trouver attachés en ce lieu bien particulier, et de plus est, dans ce fameux Château si renommé dans la communauté BDSM. C’étaient pour eux un privilège de pouvoir fouler les pieds, que dis-je, les quatre pattes dans ce haut lieu historique qui a été foulé jadis par le Marquis de Sade lui-même, chacun en avait pleinement conscience… Au fil de ses pérégrinations, Monsieur le Marquis vit Son soumis, le sien, soumis Endymion MDE, Il s’approcha, lui caressa sa poitrine zébrée.



- Tu es beau ainsi offert Mon chien, tout semble aller pour le mieux pour toi, si j’en crois ta nouille ? Serait-elle un peu à l’étroit dans cette cage ?
- Oui Maître, ma bite est terriblement comprimée, mais tout va bien Maître, merci Maître !

Le Maître caressait l’intérieur des cuisses de Son chien mâle assujetti. Ce doux contact excita un peu plus encore soumis Endymion MDE. Il sentit un doux frisson remonter le long de sa colonne vertébrale, à lui en donner la chair de poule. Sa queue déjà boudinée et pressée cherchait désespérément à se redresser et à se tendre, tant la simple main caressante du Maître lui procurait un plaisir excitant sans borne. La cage montrait quelques soubresauts et vibrations incontrôlables.

- J’aime te voir excité comme ça Ma salope de chienne ! Et plus tu me montres ton excitation et plus j’ai envie de te frustrer. Ainsi dépendant, tu es beaucoup plus réceptif et attentif à Mes ordres, Mes attentes. Tu es mieux encore dans l’acceptation de Mes traitements et Mes extrêmes exigences, fussent-ils agréables ou douloureux pour toi. Et tu sais très bien pourquoi je te les impose, n’est-ce pas Mon chien ?
- Oui Maître, pour me faire grandir, pour me construire, pour me faire accepter ce que je suis et surtout le vivre à Vos Nobles pieds !
- Et qu’es-tu ?
- Votre chien soumis, Vénéré Maître, simplement et modestement Votre chien servile à Vos Nobles Pieds, Votre esclave docile, heureux et fier de Vous appartenir Maître.
- Parfait !

Les Dominants près de Monsieur le Marquis d’Evans apprécièrent la sincérité des propos tenus par l’esclave MDE. Tous le félicitèrent pour son engagement et sa volonté, ils lui caressèrent la poitrine, lui tirèrent ses tétons, lui tâtèrent son paquet. Monsieur Le Vicomte, neveu de Monsieur le Marquis d’Evans, lui aussi présent, attrapa les cuisses du chien soumis MDE, les lui souleva, faisant en sorte que ses pieds ne puissent plus toucher le sol.
Un « aaaah ! » guttural et puissant s’échappa de soumis Endymion MDE, le gode scellé au mur et toujours bien planté en son fondement glissa un peu plus profondément entre ses reins.

- Profite bien de ce gode chien, accepte-le tout entier dans ton cul de salope, tu aimes bien te faire prendre n’est-ce pas ?
- Oui Monsieur, merci Monsieur.

Le Vicomte relâcha quelques instants les cuisses de soumis Endymion MDE. Il alla chercher une corde pas très longue et revient vers lui. Il noua l’extrémité de celle-ci au gros orteil de l’esclave MDE, passa la corde dans un anneau du collier et tira sur le lien. Inexorablement la jambe de l’esclave se souleva, et lorsqu’elle fut à bonne hauteur, Monsieur le Vicomte noua le lien à l’anneau de son collier. La posture était difficile à tenir, avec un équilibre précaire, juste sur une pointe de pied. Le moindre mouvement imprimait une onde profonde dans son rectum à la fois douloureuse et jouissive. Mais Monsieur CharlEd ne s’arrêta pas là, il attrapa les couilles de l’esclave MDE, maintenant qu’elles étaient visibles, bien exposées, compte tenu de la posture imposée, les lui malaxa joyeusement puis, en un tour de main accrocha un parachute sur celles-ci.

- Monsieur le Marquis d’Evans ne veut-il pas voir Son chien avec des burnes bien pendantes ? Questionna-t-il à l’adresse du soumis…
- Si Monsieur ! Répondit soumis Endymion MDE
- Alors ne perdons pas de temps, profitons de cet instant pour œuvrer, pour les travailler, les étirer et les assouplir.

Au parachute, Monsieur le Vicomte accrocha trois poids de trois cents grammes chacun, il les fit balloter et balancer entre les cuisses du chien soumis, puis s’éloigna en souriant vicieusement.

- Tu vois chien, ces poids ont un double effet, non seulement ils t’étirent les burnes, mais ils t’imposent aussi une profonde pénétration !

De l’autre côté, les femelles, elles aussi subissaient l’assaut des Dominants.
L’une d’elle, propriété d’un Invité de Monsieur le Marquis recevait en alternance des claques sur ses seins et sur son visage. Sa poitrine bondée par des liens serrés semblait tuméfiée. Elles criaient à chaque coup reçu mais semblait en tirer un incroyable plaisir car son abondante cyprine coulait déjà entre ses cuisses.

- Pour qui souffres-tu chienne ? Lui vociférait son Maître
- Aïe… Pour Vous Maître… Ouille… Aaah… encore… ! répondit elle

Alors les claques s’intensifièrent. Les cris poussées par cette chienne n’impressionnaient personne, personne n’était dupe, cette femelle jouissait grandement ! Elle faisait aller et venir ce plug ancré dans le cul en se hissant sur la pointe des pieds et en s’affalant subitement sur cette tige de bois qui la pénétrait profondément. Et sans cesse elle recommençait... Une main continuait à la gifler, les doigts de l’autre main masturbaient son clitoris, de haut en bas, de bas en haut pour intensifier ce mouvement pénétrant. Tout à côté, Monsieur le Marquis d’Evans, beaucoup plus calme, s’amusait avec les tétons de soumises Laïs MDE. Elle aussi toujours embrochée, s’offrait cambrée au Maître avec dignité et silence. Tête basse, le regard rivé sur ses Nobles doigts du Maître lui titillant ses mamelons, elle pinçait ses lèvres pour contenir tous gémissements jouissifs car le plaisir si excitant d’être ainsi exposée et la présence du Maître à ses côtés lui procuraient un immense bonheur de vivre de tels moments.

- Veux-tu de ma queue, ma douce chienne ? interrogea le Maître en lui redressant le menton, pour la regarder droit dans les yeux ?
- Comme il vous plaira Maître Vénéré, lui répondit soumise Laïs MDE

Elle répondit cela par simple soumission et dévotion mais en réalité l’envie d’être prise, possédée par la Noble Verge du Maître était à l’évidence une réalité qui transpirait sur son visage. Et le Maître, loin d’être aveugle, s’en aperçu sans aucune difficulté. Alors Monsieur le Marquis, sans précipitation dégrafa son pantalon et extirpa son majestueux sexe.
Il lui fit admirer son chibre turgescent en l’exhibant sous les yeux envieux de Sa chienne. Il l’approcha de sa vulve très doucement, le fit glisser sur ses lèvres intimes, sans pour autant l’introduire. soumise Laïs MDE excitée tremblait de tout son corps. Elle voulait cette queue en elle, elle voulait la prendre, l’avaler, elle aurait voulu avancer d’un pas pour l’engloutir en elle, mais toujours rivée par le cul, elle ne pouvait que languir et attendre le bon vouloir du Maître. Monsieur le Marquis d’Evans lui caressa le visage en frottant toujours son sexe contre elle. Puis soudainement, il lui donna l’ordre d’écarter un peu plus les cuisses. Elle exécutait dans l’instant, exhibant outrageusement sa chatte glabre. Elle mouillait beaucoup, haletait, se trémoussait se contorsionnait pour essayer d’engloutir ce phallus tendu.

- Plus tard Ma chienne, plus tard peut-être ? Lui lança le Maître

Il s’amusait à créer le doute de la pénétration. Il la laissa languir encore quelques instants qui, pour la soumise semblaient être une éternité. Puis sans plus aucun mot, Il enfila sa verge raide et dressée dans cette si accueillante chatte offerte. D’un coup, presque violent, en tout cas très puissant, il enfonça sa noble queue profondément entre les lèvres intimes de l’esclave femelle. Mais au lieu de pratiquer un naturel va-et-vient, il resta planté en coït profond et ne bougea plus, tout en la fixant droit dans les yeux avec un regard Dominateur puissant. soumise Laïs MDE excitée d’être ainsi si remplie, si profondément empalée par le cul et par le sexe à la fois, qu’elle fit un effort extrême pour ne pas jouir, tant d’être prise ainsi en sandwich par deux coïts profonds lui donnaient une excitation à la limite de l’orgasme. Orgasme qu’elle n’eut pas droit. Alors après de longues minutes d’un vertigineux coït immobile, il se retira d’un coup, comme il était entré et Monsieur le Marquis d’Evans remit son sexe dans son pantalon et laissa soumise Laïs dans la frustration de la non jouissance… Quant à soumis Endymion MDE, depuis un certain temps déjà, léchait un gode souple tenu par d’une Dominante. C’était une femme grande et svelte, vêtue d’un tailleur strict. La quarantaine, son regard était difficilement soutenable avec des yeux verts impénétrables et ses cheveux noirs roulés en un chignon impeccable. Elle fixait l’esclave MDE et lui esquissait des sourires pervers.

- Lèche bien salope, montre-moi comme tu t’y prends lorsqu’une pine vient de fourailler ta petite gueule de chienne en chaleur !

soumis Endymion MDE bavait sur cette bite énorme en latex noir, Elle était longue et épaisse, avec un gland imposant.

- Ouvre bien la bouche maintenant, fais-moi voir comment tu sais prendre une bonne queue en gorge profonde, avale-là !

La Domina poussait le phallus dans la bouche grande ouverte de soumis Endymion MDE, le retirait, le repoussait un peu plus encore, pour le faire ressortir et le réintroduire aussitôt. Le chien soumis MDE salivait tant et plus, sa bave s’échappait et coulait à flot ininterrompu en s’étalant sur sa poitrine et son ventre. Parfois des hauts le cœur le terrassait mais la Domina continuait de lui forcer la bouche en humiliant toujours un peu plus l’esclave MDE. soumis Endymion MDE était plus qu’en transe ! Son corps vibrait de cette joie indicible d’être humilié par une belle Domina. Il crut même un instant qu’il allait jouir sans même se branler !

- Tu n’es rien d’autre qu’un bon chien !
- Merci Madame. Répondit soumis Endymion MDE, une fois sa bouche libérée…

Ce constat lui plut, un beau compliment en fait. Il était reconnu comme tel, rien d’autre qu’un bon chien soumis… Il s’accorda le droit de regarder dans les yeux la belle mais sévère Domina, et lui exprima à travers son regard, un sentiment de fierté et de parfaite béatitude. La Domina avait bien compris qu’à travers ce regard sincère, le chien soumis MDE qu’elle dominait arborait solidement sa slavitude, exprimait son plaisir d’être ainsi humilié ! Elle le gifla néanmoins à deux reprises, deux claques terribles, lui enfila de nouveau le gode dans la bouche, puis tourna les talons, laissant soumis Endymion MDE dans sa quiétude et ses divers enivrements si bons. Il vivait pleinement sa vie d’esclave et rien de plus au monde le rendait si épanoui...

(A suivre…)

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