Un Plan Qui Tombe À L'Eau ...

Laissez-moi vous raconter la soirée que j’ai passé hier soir.
Après une journée un peu stressante au bureau, j’ai décidé de faire une petite sortie cinéma avec ma compagne.
Elle était partie à son club de sport et je me dis qu’elle serait enchantée que je passe la récupérer à l’improviste à la sortie pour un diner au resto, voir un bon film dans une salle obscure (et pourquoi pas un petit dérapage sexuel si l’envie nous prenait dans le noir).
Je me prépare donc, et me dirige vers la salle de fitness qui se trouve à un quart d’heure de chez nous.
Arrivé sur le parking, je trouve une place presque immédiatement devant la porte d’entrée. Quelle chance !
Vingt minutes d’attente passent et je vois sortir les premiers clients ou plutôt les clientes, car je n’aperçois que des femmes quittant les lieux.
Cinq minutes passent et ma compagne n’apparait toujours pas.
Pris d’inquiétude, j’essaye de l’appeler sur son portable. Pas de réponse.
« Elle doit être sous la douche » me dis-je.
Dix minutes plus tard, ne la voyant toujours pas arriver, je décide d’aller voir à l’intérieur si je la trouve.
Il n’y a plus personne à l’accueil, l’endroit semble vide.
Je m’avance et me dirige vers le vestiaire des femmes.
Je frappe, pas de réponse. J’ouvre la porte, la lumière est éteinte et la pièce est vide.
Elle a dû prendre le bus et rentrer à la maison, je l’ai sans doute croisée. La soirée commence bien !
Quand soudain, alors que je fais demi-tour, j’entends un râle viril sortant du vestiaire des hommes.
Je m’approche discrètement, pose l’oreille contre la porte et écoute attentivement ce qu’il se passe à l’intérieur.
« - hummm vas-y suce nous, ouais comme ça, c’est trop bon !!!! »
« Ah d’accord, je suis tombé sur une partouze gay », me dis-je.
Je décide de les laisser tranquille, je dois retrouver ma compagne.
Et, alors que j’avais parcouru quelques mètres, j’entends une voix très familière crier :
« - Oh oui, baisez-moi comme une chienne, plus fort oui OUIiiiiiii !!!! »
Cette fois, je me précipite et surgis dans la pièce.


Quelle surprise lorsque je vois ma femme à califourchon sur un homme allongé sur un banc, la queue enfilée dans sa chatte, un autre agrippé à ses hanches lui affligeant des gros coups de bite dans le cul.
Pendant qu’elle en branle deux qui sont debout de part et d’autre, elle en suce un cinquième goulument et avec énergie en le regardant droit dans les yeux.
Autour d’eux, il y a bien une dizaine de gars, se masturbant autant qu’ils le peuvent.
Personne ne m’a remarqué, et je suis médusé par ce qu’il se passe ici.
« -Ca m’étonnais aussi cet engouement soudain pour le sport, me dis-je
Après tout, maintenant que je suis là, pourquoi ne pas en profiter aussi ? »
J’enlève mes affaires et je m’avance au milieu de tous ces hommes taillés comme des apollons.
Je m’approche un peu plus de la mêlée et demande à un des hommes qui se faisait astiquer de me laisser gentiment sa place.
Ma femme cherche à tâtons un bâton de chair, je la dirige et elle s’empare rapidement de ma queue en commençant des vas et vient de plus en plus rapides.
Je n’avais jamais osé lui avouer mais elle était en train de réaliser mon plus profond fantasme et cela m’excitait comme jamais.
Un râle se fait entendre à côté de moi : l’homme qui se faisait sucer décharge tout son foutre dans la bouche de ma femme qui avale avec fierté le fruit de son travail, en lui souriant malicieusement.
Elle m’agrippe les fesses pour diriger mon sexe vers sa bouche comme une affamée sans même me reconnaitre, quand tout à coup, son regard change et elle se relève brusquement l’air horrifiée.
Elle me dit en bafouillant : « Euh, ce n’est pas ce que tu crois chéri, je … euh …
- On ne va pas s’engueuler devant tout le monde, et puis pour être honnête, ça m’excite comme un fou de te voir baisée par une bande d’hommes. Continu de me sucer et laisse toi aller ! » Lui murmurais-je à l’oreille.
Elle s’assoit sur le banc et je me représente à elle, la queue plus irriguée que jamais.

Après quelques timides hésitations elle se remet au travail et je sens ses lèvres enrober mon gland tandis que je fais signe à ses amants de s’approcher.
Ils ne tardent pas à caresser son énorme poitrine, à jouer avec son clito et lui plonger quelques doigts dans la chatte très humide et offerte.
Je l’entends gémir discrètement, elle semble honteuse d’éprouver du plaisir que d’autres hommes lui procurent devant moi.
Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche. Je m’éloigne un peu de la scène pour récupérer mais surtout pour pouvoir apprécier le spectacle qui s’offre à moi.
Un des hommes invite ma compagne à s’allonger sur le dos, une serviette faisant office de matelas de fortune sur ce banc, pendant qu’un autre s’agenouille et commence à jouer de sa langue sur son clito en lui écartant largement les cuisses de ses mains.
Deux se placent de part et d’autre et leurs queues raides sont rapidement agrippées pour entamer des va et vient délicats et rythmés tout en se tortillant sur elle-même à chaque coup de langue qu’elle reçoit.
Sa tête tombante et basculée en arrière donne vite l’idée à un quatrième gars de plonger son membre bandé dans la bouche qu’il baise assez profondément.
Des cris étouffés remplacent rapidement les premiers gémissements et tel des animaux, la dizaine d’hommes autour se rapprochent pour apprécier de plus près la scène tout en se branlant énergiquement.
Quel spectacle !
La chatte dégoulinante et totalement ouverte reçoit maintenant une énorme bite qui peine à entrer. L’homme insiste et ma femme hurle « Hummm, oh ouiiiii je la sens ta grosse queue en moi, vas-y défonce moi ! »
Je me réjouis de voir qu’elle est totalement désinhibée à présent et que ma présence ne la perturbe plus du tout !
Comme elle lui a demandé, le type ne fait pas semblant et ses coups de reins sont puissants et brutaux, je commence à me faire du souci pour ma femme mais elle semble apprécier ce traitement puisqu’elle cri de plus belle « Oui ouiii ouiiiii, vas-y plus fort, Ouiiiiiii continu !!! »
Des années de sport l’ont sans doute bien entraîné puisqu’il accélère la cadence, parait inépuisable et encouragé par ses camarades il est bien décidé à la faire jouir comme jamais elle n’avait jouie.

Elle, les jambes tremblantes, est sur le point d’exploser et dans un hurlement intense, elle expulse ce membre surdimensionné à gros jets de cyprines puissants.
« - J’adore te voir exploser ma salope » lui envoi l’homme comme un habitué,
« Laisse moi souffler un peu j’en ai pas encore fini avec toi » lui dit elle avant d’aller s’essuyer et s’assoir un peu plus loin.
Les autres se rapprochent et invitent ma femme à se mettre à genoux sur le sol afin qu’elle puisse se remettre de ses émotions mais surtout qu’elle s’occupe un peu d’eux aussi ! Je reconnais bien là son côté généreux, chacun aura droit de se faire sucer goulument. Alternant les coups de langue des couilles aux glands et les gorges profondes jusqu’à s’ en passant par des crachats pour lubrifier les verges bien raides. Certains ont droit à de longues branlettes espagnoles entre ses seins volumineux et accueillants. Tous ont l’air satisfait du travail de madame.

« C’est bien joli tout ça, mais il faudrait s’occuper de moi les gars, je suis là pour me faire baiser et c’est moi qui fait tout le boulot ! » dit-elle d’un air provocateur en plongeant deux ou trois doigts dans sa chatte encore chaude et dégoulinante.
« On va s’occuper de toi, t’en fais pas ! » Rétorqua un des gars.
L’un deux s’allonge sur le banc et lui fais signe de venir s’installer sur lui, ce qu’elle fait sans se faire prier.
Je change de place pour mieux apercevoir la bite de cet inconnu se glisser dans le trou de ma femme mais un type m’empêche de voir en se plaçant derrière elle, se penche et se met à enfoncer sa langue dans son anus.
« Hummm, j’adore ça, lèche moi bien le cul » lance-t-elle avant d’embrasser langoureusement celui qui se trouve sous elle.
Je m’étonne moi-même de n’éprouver aucune jalousie et bien au contraire, je commence à apprécier ça de plus en plus.
Je passe la soirée à me branler tellement l’excitation est forte, on est bien mieux qu’au cinéma !
Le lécheur se redresse à présent et glisse un doigt dans le cul lubrifié par sa salive comme pour contrôler le terrain.
Il approche sa queue à l’entrée du petit trou serré et enfonce son gland doucement mais surement petit à petit.
« Ahhhh » gémit ma femme en fermant les yeux.
« - ne t’inquiète pas, je vais y aller tranquille » dit le type qui grimpe sur le banc pour mieux se placer.
Quelle bonne idée il a eut là, à présent je peux voir d’où je suis les deux chibres ramoner ma douce. C’est une image fantastique !
Les autres se rapprochent, baladent leurs mains sur le corps de la chanceuse et à tour de rôle profitent de sa bouche gourmande.
Le rythme s’accélère pour les deux hommes et l’enculeur se redresse brusquement en poussant un gros râle avant de décharger tout son foutre sur le dos de ma compagne.
Je m’empare d’une serviette pour l’essuyer quand le gaillard au sexe énorme de tout à l’heure me devance et, alors que celui qui était dessous échange sa place avec un autre, il monte debout sur le banc, commence à s’accroupir et s’aidant de sa main, enfonce son engin dans le cul encore entre ouvert.
« Je t’avais dit que j’en avais pas fini avec toi ma salope »
« -Tu vas me déchirer le cul ! Ne sois pas sauvage s’il te plait … » dit ma femme qui serre les dents tout le temps que le bâton de chair dilate son orifice en entrant.
« - je vais te baiser le cul comme une chienne, tu vas savoir ce que c’est une vraie sodomie ! »
Sur ces mots, il s’empare de ses hanches et la besogne fermement.
« Hummm, hummm hummm Ahhhh, Humm Oui, Oui, Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oh ouiiiii vas-y !!! » Hurle-t-elle.
Je ne peux résister et veux voir son visage de plus près. Elle me voit et att ma bite, la met dans sa bouche et me regarde dans les yeux. Je sens son souffle chaud sur mon pénis à chaque gémissement et ses cris font vibrer sa gorge ce qui décuple mon excitation et me fait jouir très rapidement.
Cet homme est une véritable machine, cela fait 20 minutes qu’il s’affaire dans son cul et il ne montre aucun signe de fatigue. Ma femme, elle, ne réagit presque plus, elle est épuisée.
Enfin le colosse se retire et dans un grand « Ahhhhhrrrrrrrrr » déverse des flots impressionnants de sperme sur le corps de ma femme exténuée.
« Putain que ton cul est confortable, je ne m’en lasserai jamais ! Allez, à mardi soir ma salope ! » Dit-il avant de disparaître dans les couloirs de l’établissement.
Je l’aide à se relever, les autres se rhabillent, et s’en vont.
Elle n’ose pas me regarder, elle est comme un qui vient de se faire prendre la main dans le sac. Je relève sa tête avec ma main et je lui dit :
« - C’était une très bonne soirée, tu ne trouves pas ? »
Elle me sourit timidement, et me répond :
« - oui, mais je pense que je ne vais pas pouvoir m’assoir pendant un moment ! »
« - Pourtant mardi prochain il faudra que tu sois rétablie, il me semble que tu as rendez-vous ! ahahahah »
Elle baisse la tête à nouveau et je rajoute :
« C’est quand même plus agréable que de courir sur un tapis et c’est très sportif ! ahahahah »


FIN




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