25 Ans De Mariage - Chapitre 2 - Première Nuit...

Lorsque le réveil sonna à 05h00 du matin le lundi matin, j’étais encore dans l’euphorie de mon dimanche et de ma soirée. Je m’étais endormi nu, le sexe raide, le gout du sexe de Sylvie sur mes lèvres... Et je me réveillais tout aussi excité. J’avais passé une soirée merveilleuse. Jamais je n’avais pris tant de plaisir à donner du plaisir à une femme. Les petits couinements de Sylvie raisonnaient encore dans mes oreilles.
J’avais envie d’elle, envie de sentir ses seins, de caresser ses cuisses, de sentir les lèvres de son sexe s’ouvrir sous mes doigts... mais NON !! Je devais me lever, j’avais un train à prendre à 06h30 et je ne rentrais pas de déplacement avant vendredi très tard. Je me rendis alors compte que j’avais complètement oublié de lui dire que je serais absent toute la semaine.

Je la connaissais à peine et pourtant l’idée d’être séparé d’elle toute une semaine me semblait interminable.
En descendant prendre mon café au bar de l’hôtel je demandais à Mme DURAND de prévenir Sylvie de mon absence et que si elle voulait que l’on se voit samedi soir il fallait qu’elle laisse le message à l’hôtel. Mme DURAND me sourit

- Et bien, on dirait que vous avez fait plus ample connaissance ce WE... Je lui passerais le message, comptez sur moi et passez une très bonne semaine.

Pendant toute ma semaine à Paris, je ne pensais qu’à Sylvie. Pourvu qu’en rentrant vendredi Mme DURAND m’annonce que j’avais rendez-vous avec elle... En arrivant à l’hôtel le vendredi soir je découvrit une enveloppe sur mon lit, je me précipitai dessus... un mot de Sylvie...

- Vilain cachotier tu ne m’avais pas dit que tu partais toute la semaine, lundi matin je m’étais faite toute belle pour toi, tu aurais adoré voir mon petit tailleur camel... en tout cas tous les hommes que j’ai croisé avec n’y était pas insensible.
J’ai passé un merveilleux dimanche avec toi. J’ai pensé à toi tous les jours cette semaine, j’aurais voulu te serrer dans mes bras, j’aurais voulu être à toi.

.. tu me manque. Bien sûr que je veux te voir samedi, je fini mon travail à 19h00, viens me chercher à mon travail et nous irons diner puis boire un verre.

Tu me manque... Sylvie”

J'étais aux anges, ce n’étais pas un rêve. Sylvie voulait que l’on se revoie, je lui manquais autant qu’elle me manquait...
La journée du samedi fut interminable... à 19h00 précise j’étais garé en bas de l’immeuble ou Sylvie travaillait, la porte s’ouvrit laissant apparaitre ma jolie blonde. Elle portait un imper couleur crème, perchée comme toujours sur ses talons aiguilles, les jambes voilées de noir... Un rouge à lèvre plus vif que d’habitude faisait ressortir ses lèvres auxquelles j’avais pensé si souvent pendant la semaine. Je me précipitais pour l’enlacer et l’embrasser sur le trottoir...

- Arrête... Mon rouge à lèvre - dit-elle en riant... puis elle ajouta avec un regard coquin
- Soit patient, ma bouche sera toute entière à toi ce soir...

Elle monta en voiture, ouvrant son imper elle dévoila une jupe un peu plus courte que d’habitude... Elle était magnifique, ses longues jambes voilées de noir... Croisant lentement les jambes en me fixant du regard elle me sourit…
- on dirait que tu aimes bien, je l'ai achetée cette semaine en pensant à toi, j’étais sur que tu aimerais cette petite jupe espèce de coquin… - tout en me parlant Sylvie décroisa les jambes et les entrouvrit dévoilant la jarretière de ses bas…
- Si tu es sage je te montrerais la suite de mes achats plus tard

Je démarrais la voiture alors que Sylvie posait sa main sur ma cuisse, la caressant tendrement pendant que je conduisais vers le restaurant qu'elle avait choisi. Lorsque j’ai ouvert la portière de Sylvie j'ai eu droit à un long regard coquin avant qu'elle n'ouvre très largement ses cuisses pour sortir de la voiture me dévoilant la dentelle blanche de sa petite culotte.
- Elle te plait ?
- Je ne sais pas… il faudrait que je la vois de plus près… dis je en prenant Sylvie contre moi pour un long baiser.


Nous marchions vers les restaurant en nous tenant par le bras, plusieurs homme se sont retournés à notre passage.. le manteau ouvert sur sa petite jupe et son chemisier de satin dont le bouton du haut étaient habilement ouvert n'y était certainement pas pour rien… je me sentais si fier de marcher au bras de cette femme sublime… tout le monde m'enviait.

Nous nous sommes installé à notre table dans un petit coin tranquille du restaurant.
- Cette semaine a été interminable, j'ai pensé à toi tout le temps, j'avais tellement hâte de te revoir… c'était merveilleux dimanche soir chez toi – dis je en lui prenant la main
- Toi aussi tu m'as manqué mon chéri, jamais on ne m'avais fait jouir comme tu l'a fait dimanche, en me réveillant lundi matin j’étais encore toute mouillée d'avoir pensé à toi.

Sylvie me caressait la main tendrement en me fixant, ses lèvres rouge vif m'hypnotisai , elle ajouta doucement
- Rien que d'y repenser j'ai des fourmis dans le ventre, je donnerais n’importe quoi pour sentir ta bouche sur ma vulve, tes doigts entre mes cuisses… je suis toute mouillée rien que de sentir le désir dans ton regard, je suis sur que tu bandes en ce moment et ça m’excite mon chéri

Les mots de Sylvie me faisait trembler de désir, jamais une femme ne m'avait parlé comme ça et encore moins au beau milieu d'une salle de restaurant.
- Bien sûr que j'ai envie de toi, comment pourrais je ne pas avoir envie… tu es si sexy, si belle, à la fois douce et coquine…

Sous la table je sentais le pied de Sylvie qui me caressait la cheville, puis après avoir retirer son escarpin elle remonta entre mes jambes pour venir poser le pied entre mes cuisses, sur ma braguette tendue de désir . Je fermais les yeux en laissant échapper un petit soupir alors que ce pied voilé trottait délicatement mon sexe à travers mon jean. Ma main caressait ce pied, le pressant encore un peu plus contre moi… le contact du nylon sous mes doigts m'électrisait…
- J'aime te sentir tout dur pour moi, j'aime te faire bander petit cochon… ce soir je vais m'occuper de ta queue, aussi bien que tu t'es occupé de ma chatte dimanche soir – dit elle avec un regard de feu… un regard de salope… j'adorais ça.


Nous avons un peu précipité la fin du repas tellement nous avions hâte de nous retrouver enfin tous les deux dans l'intimité. Pendant que je réglais le dîner au comptoir, Sylvie se colla à moi en me posant discrètement la main sur la braguette en me glissant à l'oreille
- J'ai envie de ça comme dessert

Nous avons quitté le restaurant main dans la main en nous dirigeant vers ma voiture. Passant devant une petite impasse Sylvie me tira par la main puis me repoussa contre le mur à l'abris des regards. Sans un mot elle ouvrit son imper et s'accroupie en ouvrant les jambes, sa jupe troussées sur le haut des cuisses découvrait la jarretière de ses bas autofixants et laissait deviner la dentelle blanche de sa petite culotte. Ses doigts se posèrent aussitôt sur mon jean, défaisant ma ceinture et mes boutons. Je bandais tellement qu'elle eu un peu de mal à extraire ma verge pleine de mouille. Elle approcha ses lèvres rouges de ma queue et lentement du bout de la langue elle commença à me nettoyer le gland, puis descendit le long de ma verge, jusqu’à mes bourses qu'elle léchait délicatement, ses doigts sur ma queue me branlaient lentement. Elle leva les yeux vers moi en souriant
- Voilà mon dessert préféré… sans ajouter un mot elle ouvrit la bouche et goba lentement ma queue aussi profond qu’elle le pouvait.

Je fermais les yeux, posant les mains sur ses cheveux blonds j’attirais son visage encore plus contre moi pour qu'elle me gobe… humm je baisais sa bouche… accroupie, exhibée dans la rue Sylvie me suçait divinement, me branlant d'une main et se caressant les seins de l'autre à travers son chemisier de satin… ses doigts, ses lèvres, sa langue me rendaient fou, cela faisait près d'une semaine que je ne pensais qu'à ça, aussi il ne lui fallu que quelques minutes pour que je sente le plaisir monter en moi.
Alors que j'allais enfin jouir, Sylvie m’avala, laissant mon sperme envahir sa bouche. Après avoir déglutit elle essuya mon gland visqueux du bout de la langue.
Puis souriante elle se releva, réajustant sa jupe avant de me faire un petit bisous sur les lèvres
- Tu devrais te rhabiller, si jamais quelqu'un passe… et puis après le dessert que dirais tu de venir prendre un digestif à la maison – me dit elle en sortant de la petite impasse

Je me rhabillai en vitesse avant de la rejoindre vers ma voiture. Je n'en revenais pas de ce qui venait de se passer.
Sylvie, s'installa en voiture, commençant à refaire son rouge à lèvres pendant que je démarrais.
- Ca t'a plus mon chéri ? Tu as bien failli m’ avec tout le sperme que tu m'a donné- dit elle en souriant posant la main tendrement sur ma cuisse pendant que je conduisais...
- Allons vite chez moi , mon chéri, je meure d'envie que tu me fasses enfin l'amour, je suis toute chaude entre les cuisses tu sais… tu m'a ouvert l'appétit dans la ruelle… mais maintenant j'ai envie du plat de résistance - ses doigts couraient sur la braguette…

Ses mots, ses caresses… je rebandais déjà, je m’imaginais déjà baisant ma jolie blonde, si jolie et raffinée et que je découvrais au fil des jours si coquine… pour ne pas dire plus !
Arrivé devant la porte de son immeuble je la laissais passer devant moi afin de profiter de son joli petit derrière dans l'escalier. Je le devinais sous son imper… le claquement sec de ses talons aiguilles aiguisait mes sens qui de toute façon, depuis le début de la soirée, étaient déjà bien en éveil !!!
A peine avions nous franchis la porte de son appartement que Sylvie me prit par la main pour m'attirer vers sa chambre… elle me poussa vers le lit ou je me suis assis. Debout en face de moi elle commença à ouvrir son imper en souriant, sa petite jupe noire, son chemisier en satin couleur champagne. Je craquais…
- Comme tu es belle Sylvie, tu me rend dingue...

Elle sourit en ouvrant lentement les bouton de son chemisier, dévoilant la fine dentelle d'un très joli soutien-gorge corbeille qui lui soulevait les seins comme pour mieux les offrir. Les bonnets couvraient tout juste ses auréoles, dévoilant près de la moitié des jolis seins que j'adorais… elle passa la main sur sa poitrine, se caressant langoureusement, ses tétons durcissaient...
- Et comme ça, je te plais aussi ? Comment trouves-tu mon ensemble, je l'ai acheté exprès pour toi cette semaine – disant cela elle troussa lentement sa jupe pour m'offrir le joli tanga en dentelle très ajourée il laissait entrevoir sa fine toison blonde…

Perchée sur ses talons aiguilles, des dim-up noir, une très jolie petite culotte en dentelle et un soutien-gorge qui mettait en avant sa jolie poitrine... j’étais comme un dingue. Je n'avais jamais été aussi excité par l'une de mes petites amies. Elle savait s'y prendre pour me faire bander, ondulant devant moi elle me fixait dans les yeux, passant parfois une main sur ses seins, une autre sur sa culotte, caressant délicatement le haut de ses cuisses.
Je me déshabillais en la regardant s'exhiber devant moi torse nu j’ouvris mon jean pour sortir ma verge raide et commençais à me branler devant Sylvie. Elle s'avança vers moi, se tourna pour m’offrir ses fesses que le tanga mettait en valeur. Puis lentement elle se baissa pour s’assoir sur moi, frottant son magnifique cul sur ma queue raide, la dentelle de la culotte frottait mon gland… je fermais les yeux en soupirant me laissant tomber en arrière, m'offrant aux caresses de ma maitresse. Après m’avoir ainsi caressé quelques secondes avec ses fesses elle se releva et se tournant vers moi elle s’agenouilla entre mes jambes, se pencha pour, cette fois, caresser ma queue avec ses seins. Elle en sorti un du balconnet pour venir me caresser le gland avec le bout de son téton puis pressant ses seins l’un contre l’autre elle emprisonna ma verge dans son sillon et lentement commença à me branler entres ses seins.
Je lui caressais les cheveux en gémissant, le contact de ses seins contre ma queue me rendais fou... elle se releva en souriant. Elle attrapa un préservatif sur la table de nuit qu'elle m'enfila délicatement puis vint s’allonger sur le lit, elle portai toujours son ensemble de lingerie, les seins débordant du soutien-gorge, ses bas, sa culotte et ses escarpins. Ouvrant les cuisses en grand elle posa sa main sur sa chatte et commença à se caresser à travers la dentelle...
- Vient me prendre mon chéri... j'ai envie de toi, envie de sentir ta queue me remplir… regarde comme ma chatte dégouline d'envie – dit elle en écartant la dentelle, dévoilant les lèvres luisantes de mouille.

Elle y glissa deux doigts aussi profondément que possible alors que je me déshabillais. Les cuisses grandes ouvertes. Les talons plantés dans le matelas elle se branlai en attendant ma queue. Je me glissai entre ses cuisses, caressant le nylon tendu de ses bas… je m'allongeais sur elle, ses jambes se refermèrent sur moi pour mieux m'attirer. Alors qu'elle maintenait sa culotte écartée sur le côté mon gland se pressa contre ses lèvres béantes. Elle mouillai tellement que ma queue glissa en elle sans aucune contrainte, lui arrachant seulement un long gémissement de plaisir… pour la première fois j'étais en elle… je la baisais enfin…
Ses longue jambes nouées autour de ma taille, le nylon de ses bas me caressais, mes mains massaient ses seins que j’avais complètement sortis de leurs bonnet de dentelles. Passant les bras sous ses cuisses je lui fit relever les jambes, les mollets posés sur mes épaules je lui pilonnais la chatte, accélérant par moment, puis m'arrêtant ensuite quelques secondes enfoncé en elle jusqu’à la garde. Je commençais à lui embrasser les mollets, à lécher le nylon de ses bas puis ma langue s’enroula autour de son talon, léchant ses escarpins. Elle gémissait, lassive, offerte… je lui ouvrit les cuisse en les repliant sur son ventre laissant libre à mon regard le spectacle de sa chatte baveuse qui avalait ma queue.
Parfois je retirais mon sexe entièrement et me frottais contre elle, contre la dentelle de sa culotte ou contre la chaire nue du haut de ses cuisses ou j'étalais sa cyprine. Sylvie se retourna, à genoux sur son lit, cambrée elle s'offrait à moi. Je lui retira sa petite culotte toute souillée de son nectar, puis m’agrippant à ses hanches je la pénétrai à nouveau. Enfoncé jusqu’à la garde, massant son joli petit col à pleines mains je la baisai avec délectation au son de ses couinements qui devenaient petit à petits des cris… Lorsque je senti que j'allais bientôt jouir je me retira et la fit s’allonger, retirant mon préservatif je me suis branlé au dessus d'elle jusqu’à ce qu’un flot chaud de sperme jaillisse sur son ventre et sa chatte… elle l'étala délicatement en souriant…
- Humm mon chéri c'est bon de te sentir jouir comme ça pour moi, j'aime t’exciter, j aime quand tu me baise…
- Je crois bien qu’il va me falloir une bonne douche – ajouta t’elle étalant mon sperme sur son ventre et sur les poils blonds de son pubis.

Sylvie se leva après m’avoir fait un petit bisou. Je l’admirai alors qu’elle quittait la chambre et se dirigeait vers la salle de bain. Après dix minute j’entendit la porte de la salle de bain s’ouvrir, puis je vit Sylvie devant la porte, elle avant enfilé une petite nuisette en satin bleu roi.
- Si tu veux prendre une douche, je t’ai posé une serviette et un gant de toilette sur le lavabo, par contre pour le pyjama je n’ai rien à te proposer… tu vas devoir dormir tout nu…

Elle se glissa dans le lit alors que je partais vers la douche. lorsque je revint bien rafraîchit et revigoré par cette petite douche, je la retrouvais enfouie sous la couette. Elle éclata de rire en me voyant arriver dans un magnifique peignoir de bain rose bonbon bien trop petit pour moi !
- La prochaine fois, j amènerais un t-shirt dis je en me glissant nu sous la couette après avoir retiré le peignoir de Sylvie
- Humm et qu’est ce qui te dit qu’il y aura une prochaine fois, tu pourrais me demander mon avis…
- C’est vrai, tu as raison il va falloir que j’arrive à te convaincre dis je en venant me coller contre son corps chaud sous la couette.


Pour la première fois je me suis collé contre son dos, nu contre le satin de sa nuisette, le visage enfoui dans ses cheveux, elle se pressa contre moi, collant ses fesses contre mon ventre… nous étions heureux, comblés…nous nous sommes endormis pour notre première nuit ensemble…



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