Un Troc Imprévu

- je ne crois pas que ce soit une bonne idée d'avoir accepté Julien a venir se réfugier a la maison
- C’est quand même ton frère, qui est sans travail pas que sa femme a jeté dehors sans préavis
- Il n’avait qu’à pas la faire cocue, et d’abord avec qui ?
- Ne te mêle pas de ça, ça peut nous rapporter que des ennuis
- N’empêche que demain je vais aller voir Noria pour prendre de ses nouvelles puisque tu ne veux pas y aller, la pauvre doit être dans un état dépressif déplorable, j’en profiterais pour la questionner
- Fait comme tu veux Olivier, mais tu le regretteras…

Pourquoi est-ce que ma visite chez ma jeune belle sœur dérange Julie a ce point ? Noria est-une belle femme que j’apprécie, un matin, de passage chez eux, j’ai eu la chance de la voir en déshabillé, entièrement nue sous ce voilage qui ne cachait pas grand-chose, au lieu de se dépêcher à se masquer a ma vue, en affichant un sourire malicieux, j’ai eu l’impression qu’elle exhibait ses seins bien pommés, je me suis aussi aperçus qu’elle est aussi blonde que ma femme est brune

Le lendemain soir en quittant le boulot je m’arrête chez elle, comme je le craignais ça ne va pas, elle est encore en robe de chambre, pas coiffée, pas maquillée, des cernes sous ses beaux yeux bleus prouve qu’elle ne fait que pleurer et pourtant je la trouve encore belle …hélas je ne suis pas reçus comme je l’espérais

- Que fous-tu là Olivier ? Tu viens voir si la cocue en bave ?
- Noria, je ne comprends pas pourquoi mon frère t’a trompée, je te connais bien, tu es droite et fidèle, tu ne mérite pas ça, et surtout avec qui ? il ne veut rien nous dire
- Laisse tomber, je ne dirais rien non plus, mais tu la connais cette pouffiasse
- Il faut te ressaisir Noria
- Si tu crois que c’est facile, je suis comme dans un tunnel dont je ne vois pas la sortie
- Ne pleure pas, vient dans mes bras …

Ma belle sœur se blottit dans mes bras en sanglotant a chaudes larmes, même si la circonstance ne porte pas à la bagatelle, je sais qu’elle est nue sous ce vêtement et la chaleur de son corps se communique au mien ainsi que sa poitrine qui s’écrase sur mon torse, il ne m’en faut pas plus pour avoir un début d’érection impossible a maitriser, j’ai beau essayer d’écarter cette bosse de son ventre, j’ai l’impression qu’au contraire, elle cherche le contact , ses hoquets cessent brusquement, sa tête se lève vers la mienne , je lis dans ses yeux un éclair de désir …elle bloque ses deux cuisses contre une des miennes comme un étau, sa bouche entrouverte m’attire comme un aimant, je baisse mon visage vers le sien …

- Noria ….


- Olivier … embrasse moi
- Tu crois que c’est raisonnable ?
- J’en ai très envie et ce n’est pas de la vengeance
- Aaaahh ???
- Olivier je t’aime depuis le jour où Julien nous a présentés, héla je lui avais déjà dis oui
- Mais je suis plus vieux que toi ?
- C’est bien pour ça, j’aime les hommes comme toi qui ont les pieds sur terre et ce n’est pas le cas de ton frère… embrasse moi …je sais que tu as envie de moi, le gros truc que je sens entre nous ne ment pas
- Pour tout t’avouer, moi aussi je te désirais en silence, j’enviais mon frère mais je ne voulais pas te convoiter

Ses bras se nouent autour de mon cou, nos lèvres se sont jointes, nos langues sont mêlées, nos salives sont échangées, elle pèse et ondule autant qu’elle le peut sur ma queue recroquevillée dans sa prison, la robe de chambre glisse comme par miracle, ma main va vers un sein ferme au téton dressé, l’autre main descend vers sa chute de reins très marquée, elle lève une cuisse pour que je puisse accéder a son minou détrempé, un bruit mouillé s’est produit lorsque ses lèvres vaginales se sont séparées, je bloque son clitoris entre deux doigts, soudain elle défaille entre mes bras, je n’ai que le temps de la retenir avant qu’elle ne s’effondre, je la porte jusqu’au canapé où je l’allonge

- Il y a combien de temps que tu n’as rien mangé ?
- Je ne sais pas et je m’en fous …
- Tu as des œufs ?
- Oui …
- Je vais te faire une omelette et pour être sûr que tu va la manger je reste, le temps de passer un coup de fil a la maison, mon portable est dans la voiture je peux me servir de ton fixe ?
- Va-y …
- C’est bizarre, personne ne décroche …
- ‘il’ est chez toi en ce moment ?
- Oui pourquoi ? … ah ! enfin. Allo Julie ? hé bien que se passe-t-il ? tu as l’air essoufflée
- C’est- que- j’étais- occupée- pardi !
- Pourquoi parles-tu par à-coups ?
- Ah zut- à la fin- avec tes- questions- que veux-tu ?
- Je suis chez Noria et je reste un peu pour la faire manger, je rentrerais plus tard ne t’inquiète pas, Julien est là ?
- Bien sur, il est juste derrière m.
.. il est au salon !
- La conne elle a raccroché ! qu’est-ce qu’elle fout ?
- Le connard de Julien est là ?
- Oui …
- Alors tu ne devine pas pourquoi elle a des difficultés à parler ?
- Non, pourquoi ?
- Il la baise pardi ! elle a faillit dire ‘il est derrière moi’ ! sa maitresse, c’est ta femme mon vieux !
- NON ! ? merde alors, ils font ça sous mes yeux et je n’ai rien vu ?
- C’est toujours comme ça mon pauvre, bon, je vais un peu mieux, pendant que tu prépare l’omelette je vais me rendre présentable
- Tu es très belle ainsi !
- Je veux l’être encore plus pour toi chéri
- Chéri... ça fait tout drôle ! fait vite mon amour

Les salauds ! Ils vont voir de quel bois je me chauffe, je leurs prépare une belle surprise …un petit Martini pour donner un petit coup de fouet a Noria et …. Là voilà déjà, nue, dans le même petit déshabillé où je l’avais vue un jour... coiffée, maquillée et discrètement parfumée, elle se jette dans mes bras

- Fait moi l’amour tout de suite
- Pas question, tu va t’effondrer vite fait, avale ça et je te promets un feu d’artifice
- Déshabille toi je veux voir le membre qui a envie de moi en mangeant
- Si tu y tiens, tu peu t’assoir sur mes genoux en dévorant ton omelette
- C’est OUI ! bien empalée sur ton pic ! il est comme je l’imaginais dans mes fantasmes, lorsque Julien me baisait
- Moi aussi, quelquefois lorsque je baisais Julie c’est toi qui étais sous moi

J’ai déchargé dans sa chatte pendant qu’elle avalait son omelette, pratiquement sans bouger, par simples contractions de nos sexes, à peine la dernière bouchée avalée elle saute littéralement de mes genoux, d’un revers de main débarrasse le coin de table pour s’allonger dessus jambes relevées, position qui pourrait paraitre obscène dans d’autre circonstances, mais les lèvres de sa chatte barbouillées de foutre, tout comme mes poils pubiens, appelle au viol, mon dard s’enfonce entièrement créant un gargouillis dans ce magma poisseux

- Dés que tu as jouis nous allons chez moi
- Mais Julien est là-bas ?
- Justement, j’ai ma petite idée, tu viens telle que tu es sous un manteau
- Nue et barbouillée de sperme ? il va en tirer une gueule !

Je me suis délecté de son corps souple et cherchant la bonne position afin de déclencher un orgasme au plus vite, sa chatte aspire littéralement ma queue en essayant de la maintenir au fond, pas de doute Noria baise mieux que Julie ! Ses jambes font un cercle autour de mes reins lorsqu’elle joui, une fois de plus je laisse déferler mon foutre en elle, qu’importe si elle prend ou non la pilule, dés qu’elle refait surface elle parait soucieuse, angoissée

- Tu es sûr de vouloir me laisser affronter Julien ?
- Il ne peut rient t’arriver noria chérie, prépare toi nous partons

Cinq minutes plus tard j’entre chez moi sans m’annoncer, les deux ‘tourtereaux’ sont là encore enlacés, ma femme est encore décoiffée de leur récent ébat, dés qu’ils nous voient c’est la panique

- C’est vous ! ?
- Que fait-elle là ‘celle-ci’ ?
- ‘Celle-ci’ c’est ma future femme, Noria ? ôte donc ton manteau
- Tu es à poil ? ta chatte est toute collée ? qu’as-tu fait Noria ?
- Mon beau frère m’a divinement fait l’amour et nous allons recommencer devant vous, où me prend tu Olivier chéri ?
- Sur le divan afin qu’ils ne perdent rien de notre accouplement
- Alors je viens sur tes genoux, j’ai adoré ça tout a l’heure
- Vous n’allez pas faire ça devant nous tout de même ?
- Regarde comme je bande pour ma belle sœur salope de Julie, tu va voir sa petite craquette avaler mon membre, entre parenthèse elle est plus étroite que toi et elle sait se servir de ses muscles vaginaux elle !
- Salaud ! goujat ! ça ne va pas se passer comme ça , je veux divorcer !
- Ça tombe bien moi aussi, allez chérie assied toi sur mon p’tit bout
- Ton énorme bout ! à cote julien fait figure de petit garçon ! je la sens bien ta grosse bite ! baise-moi, fait-moi jouir devant ces deux cons ….
. aaaaaaaaaaaaaahh que c’est booooooooonnnnnnnnnn ! bourre moi le minou, fait moi un !

Bouches soudées, mains sous les fesses pour mieux faire sauter noria sur ma queue et exposer sa chatte écartelée aux yeux horrifiés des deux conjoints terrassés de stupeur

- Quelle horreur faire ça devant moi ! Tu vois avec tes conneries où ça nous mènent ?
- Tu n’avais qu’à refuser lorsque je t’ai proposé la botte
- Sort de chez moi et que je ne te revois jamais
- Tu vas bien être obligée de me suivre s’ils squattent ta maison

Pour porter l’estocade je transporte la jeune femme sur le canapé sans nous désunir ses jambes posées sur mes épaules je la pilonne avec grand bruit, noria jouis en même temps que je lui remplis copieusement la moule, lorsque nous somment revenus a nous la pièce était vide, nous avons tous récupéré les principaux vêtements et affaires de toilettes pour repartir vivre chez Noria, non seulement j’ai échangé ma femme mais aussi la maison !
Noria et moi vivons nus, Julien et Julie ?? Nous n’avons pas de nouvelles !

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