Un Moment De Honte Et D'Humiliation.

Il faisait très chaud cet été là, cette chaleur accentuait mon désir refoulé, peut-être une montée de mon taux d'hormones mâles, due à la température.
J' avais du mal à cacher mon déséquilibre du moment, mes phantasmes remontaient plus forts de jour en jour.
Je devenais un peu agressif avec ma femme, malgré moi. Je luttai pourtant depuis plus d'une semaine contre mes pulsions.
Je savais que si j'y succombais, je serai alors débarrassé pour plusieurs jours, retrouvant calme et sérénité.
J'en perdais le désir pour ma compagne, même en lui faisant l'amour, les images perverses me traversaient l'esprit.
J'imaginai un homme éjaculant dans ma bouche, ou un autre me pénétrant a fond, je m'attardai sur le plaisir d'une grosse queue, prenant possession de mon anus pour la première fois.
J'ai toujours adoré, ce moment ou je sens ce sexe glisser lentement dans mes entrailles.
Il serait si simple de lui dire que je suis en période de besoin d'hommes, elle connait mes penchants, mais je n'arrive jamais à lui en parler, lui annoncer:
"J'ai envie de rencontrer des hommes!", en étant correct, ou encore "J'ai besoin de me faire enculer!", en étant réaliste.
Ce n'est pas encore bien digéré, pour moi.
Cet après-midi là, elle me dit qu'elle va chez sa copine à la sortie de la ville, elle rentrera avant 20 h.
C'est l'occasion, pour moi, de me rendre dans un lieu de drague en bord de mer.
Dans le bus, je me sens, dévisagé, ayant l'impression que mes désirs se voient sur mon visage.
Arrivé sur place, je reprends mes habitudes, me promenant dans les allées boisées, je croise 2 hommes quelconques.
Je me dirige vers un coin, un peu dégagé et discret, ou j'ai connu pas mal d'expériences.
Un homme s'y trouve déjà, grand et mince, il se tient la queue, en me dévisageant.
Je m'approche, délicatement, je caresse son beau membre, d'une belle taille, élancée comme lui, pas très large.

Son sexe est très veiné, avec un gland violacé et turgescent. Je m'accroupi à ses pieds pour l'englober de mes lèvres.
Il s'appuie contre le mur de pierre derrière lui. murmurant de plaisir, je pompe sa queue longuement.
Puis, je m'amuse à pratiquer sur son membre, une gorge profonde.
Son gland me pénètre le fond de la gorge, je ne me dégage que lorsque cela devient insoutenable, et salive abondamment sur sa bite.
Ses gémissements contenus, me font sentir qu'il aime ce que je lui fais, je reprends ensuite une fellation classique en émettant des bruits de succions frénétiques.
Son sperme gicle dans ma bouche, très chaud et âpre, un peu épais, je cesse mes aller retours rapides, en calmant mon mouvement.
Cela facilite son éjaculation, qui ne tarde pas a finir, il n'est pas abondant, mais nous ne sommes pas tous pareils sur ce point, je serai plutôt, dans le même cas que lui.
Je me relève et regarde l'inconnu remballer sa queue et disparaitre sans un mot.
Un peu plus tard, je refuse la proposition d'un homme pas assez doté à mon gout.
Il insistera un moment, en me suivant longtemps, il sera la cause d'une rencontre avortée, l'autre homme n'aimant guère qu'il nous regarde.
Il faudra que je lui dise de me laisser tranquille, pour être enfin débarrassé de lui.
Une demi-heure passe, et au gré de mes allées venues, je croise un homme large et viril, un peu plus âgé que moi, il est visiblement maghrébin, ses yeux vicieux sont sans équivoque à mon égard.
Je le suis, curieux de voir, ou il va m'attirer.
Il dévale un petit chemin de terre en pente, menant dans un recoin sous un arbre.
Je le rejoins, il me plaque contre lui, baisse sa braguette, et plonge ma main dans son pantalon, il n'a pas de slip.
J'ai sa bite entre les doigts, très dure, pas très longue, mais très très large.
"Allez, suces-moi! Salope!". Le ton est donné, j'ai affaire à un directif très actif, qui aime les mots crus, ça tombe bien, j'aime aussi!
A peine, ai-je le temps de m'accroupir, qu'il m'empoigne derrière la tête, pour m'empaler avec sa grosse queue.
Son membre me défonce la gorge, heureusement, sa longueur n'est pas assez grande pour rendre sa gorge profonde douloureuse.
il me défonce la bouche comme ça pendant 5 longues minutes, puis me redresse, et me colle au mur de pierre près de l'arbre, les fesses dirigées vers lui.
Il me malaxe le cul fermement, passe sa main sur les attaches de mon pantalon, pour m'en libérer.
Je suis excité de me retouver avec le cul a l'air, devant lui, offert a ses envies.
Il me tient les fesses fermement avec ses mains, en écartant pour voir mon anus.
"Hummm, t'as un beau cul! Jeune! Tu vas voir! Tu vas aimer ma queue! Elle va te faire du bien!".
Il se couvre d'une capote, puis m'enduit l'anus d'une dose de gel.
Je regarde au sol entre mes jambes et reconnais l'emballage du gel, il fréquente le même sex-shop que moi.
Son pieu force mon anus, j'ai tendance à vouloir le retenir, il va trop vite.
J'ai des mouvements de fuites en avant, sur mes pieds pour ne pas avoir mal, je lui dit de ne pas aller trop vite.
Il se calme, je force sur mon cul contre son gros pieu, puis me retire.
A chaque recommencement de cette pénétration, il m'envahit plus profondément, il glisse enfin dans une sensation de délicieux écartèlement jusqu'à toucher la naissance de mes couilles avec les siennes.
" Ahh, ça y est, tu l'as dans le cul! je vais bien t'enculer maintenant!".
Assitôt dit, aussitôt fait! Il me besogne longtemps comme une chienne en s'agrippant à mes épaules.
Son épaisseur m'arrache un orgasme foudroyant, pendant que je jouis, il dit:
"Tu jouis du cul! salope! Je t'avais dit qu'elle était bonne ma queue! Alors elle te fait du bien! Hein?".
"Ouiiii, elle me fait du bien! Ohhhhhhh, ouii!".
Il me tire vers lui pour me cambrer, appuyé au mur, regardant son pieu m'envahir l'anus à chaque pénétration.
"Ohhhhhhh, t'es bon! Jeune, t'es une bonne pute ! c'est bon de te prendre le cul!".
Ses assauts répétés, provoquent un autre orgasme anal, il m'entend encore jouir.
"Oh, ce que c'est excitant de te baiser le cul, de t'entendre jouir du cul! J'adore!".
Il ne freine pas son rythme, mon corps est balancé d'avant en arrière inlassablement, écartelé analement par ce très large membre vigoureux.
Plus lentement, je me sens envahi d'un nouvel orgasme, il atteint son point culminant quand juste après, il se retire en jetant sa capote.
Il serre fort à la base de son sexe, et dit:
"Vite! Vite! ta bouche!".
Je me baisse à ses pieds, pour m'empaler la gorge, et aussitôt, il me remplit la gorge de son foutre, liquide, abondant et chaud.
"Ahhhhh, je jouis! Ahhhhhhhhh, c'est bon, ahhhhhhhhhh, oufffffff".
Il tient sa queue au niveau des couilles et en me tenant la tête, joue à me pénétrer, encore et encore.
"C'était super! Mec! J'ai bien joui, j'ai adoré t'enculer! Faudrait qu'on se revoit! Tu fréquentes d'autres endroits?".
Je lui dit que moi aussi, je vais au sex-shop Zone X, il me répond, qu'il n'était pas sûr, mais à la confirmation de m'y avoir croisé.
Il venait de Marseille, exprès pour baiser des mecs, il était plus sûr de ne pas se faire reconnaitre.
Dorénavant, il ne manquera pas de venir me baiser, il tiendra promesse en m'enculant 5 fois sur un an et demi.
Il me laisse, quittant les lieux, les couilles vidées grâce à moi.
Je reprends mes errances, et décide de flâner plus loin vers le fond du bois, à 250 m du coin ou je viens de me faire défoncer le cul.
Après dix bonnes minutes, à me faufiler dans les chemins boisés, je croise un homme que je connais.
J'ai une relation spéciale avec lui, très soumise, il est dominateur, un peu sadique, sans violence néanmoins, mais très pervers.
Il s'amuse souvent à m'offrir à d'autres hommes, ne me laissant jamais la possibilité de refuser si l'inconnu ne me plait pas.
"Huumm, c'est bien que tu sois là! On va bien s'amuser encore!".
Il sort sa queue, en m'ordonnant de le sucer.
Il me baise la bouche avec vigueur, comme d'habitude, il est très endurant, ma fellation semble interminable.
Il me relève et me dit:
"Déshabilles-toi, je vais te baiser à poil! Allez! Dépêche-toi!".
La chaleur et l'excitation s'y prêtant, je me dévêtis, non sans avoir la crainte d'être surpris nu, mais c'est aussi vrai que ce coin est moins fréquenté que l'autre.
"Fous toi à genoux! Lèches-moi les couilles! Allez, bouges-toi!".
Je me suis accroupi, nu devant lui, en lui dévorant les testicules avidement. Il saisit sa queue et me frappe le visage avec son gland gonflé.
"T'es ma salope et ma pute! Tu le sais çà! Pas vrai?".
"Oui, je sais!".
"Tiens! Mets moi une capote! Je vais te baiser le cul!".
Je le couvre avec son préservatif, puis il me plie en deux, contre un arbre et s'enfonce en moi d'une traite.
"Eh! Mais tu t'es déjà fait enculer! Sale petite pute! Avoues! J'ai pas raison?".
"Oui, c'est vrai!".
"Et alors? C'était bon? Elle était comment sa queue?".
"Ahh, grosse et dure!".
"Il t'a bien enculé? T'as joui?".
"Ahhhhhhhhhhh, oui, 3 fois!".
"Putain! Quelle chienne tu es! Je te réserve un traitement spécial! Ca fait longtemps que je veux réaliser un truc avec toi! Je vais te montrer comment, je traite les salopes comme toi!".
Il me défonce le cul sans précaution, puis me force à lui laver la bite couverte de la capote embué de sécrétions anales, et recommence à m'enculer longtemps, en usant de ma bouche et de mon cul interminablement, me donnant 2 orgasmes puissants.
Il ôte sa protection, et m'oblige à me positionner devant sa queue.
"Tu vas voir ce que je réserve aux salopes comme toi! Ferme les yeux! Et garde la bouche ouverte!".
Je m'attend à recevoir son foutre sur le visage ou dans la bouche.
Il me tient fermement par le haut du crâne, je ferme les yeux pour apprécier son éjaculation.
Je reçois un jet puissant et brûlant dans la gorge, j'ouvre les yeux et découvre la confirmation de mes doutes soudains;
Il urine dans ma bouche ! Le liquide déborde de mes lèvres pour couler sur mon torse, je serre le fond de ma gorge pour ne pas avaler.
J'ai le visage couvert d'urine, il prend plaisir à m'arroser, j'en ai jusque dans les cheveux.
"Ahhh, j'adore te pisser dessus!".
De mon coté, je ne sais pas si j'aime vraiment ça, c'est vrai que le contact chaud du liquide sur mon corps est agréable, mais par contre le boire est autre chose.
Puis il serre fermement la base de sa queue, pour arrêter la sortie du liquide.
"Tourne toi! Le cul en l'air! J'ai pas fini!".
Je m'exécute, pensant qu'il va uriner sur mon dos ou mon cul.
Il m'enfonce sa queue dans l'anus, sans capote et pisse tout le reste de son urine dans mon cul.
J'ai déjà pratiqué des lavements anaux, mais cette sensation d'être envahi d'urine au plus profond de mes intestins est bizarre et agréablement excitante.
Je préfere ça, au fait de le recevoir dans ma bouche.
Je ne sais pas quoi penser, il y a d'abord le fait que je n'ai jamais pensé à cette pratique, je me sens humilié et excité en même temps.
Puis, il y a le risque de plus en plus présent à l'époque, le sida!
Il sort de mon cul, de l'urine suit la sortie de son membre.
Il se frotte le gland sur mes fesses, urinant encore quelques rares gouttes sur mon cul.
Je suis pris d'une envie de rejeter tout ce liquide étranger dans mon intestin, je lui dis, mais il me réponds:
"Attends un peu!".
Je n'en peux plus d'attendre son signal, je suis au bord de la relâche anale, je sens un gonflement au niveau du bas ventre, mon anus a besoin d'évacuer le liquide encore présent dans mon cul.
"Allez, laches tout!".
J'expulse son urine d'un long jet puissant, c'est comme une délivrance pour moi.
Puis je sens des restes de liquide, couler entre mes fesses et mes cuisses.
"Génial! Ca fait longtemps que je voulais réaliser ce fantasme! T'es le seul avec qui je pouvais le faire!".
Puis il m'ordonne:
"Laves-moi la bite!".
Je ne sais pas pourquoi cet homme me contrôle aussi facilement. J'aime cette domination sans violence.
J'aurai du m'en douter, lors des précédentes rencontres avec lui, après mon lavage de langue, il urinait toujours longtemps sur le sol ou contre un arbre, avant de ranger son sexe.
D'autres fois, je devinais qu'il venait d'uriner à cause du goût encore présent sur sa bite.
Je le suce goulûment, sa queue est couverte de la même urine chaude et salée déjà dans ma bouche.
J'ai hâte que ce goût disparaisse, pour retrouver le plaisir de le sucer.
Je sens peu à peu le gout d'urine s'estomper, il joue à nouveau avec sa queue en me claquant les joues.
Il s'amuse a écarter mes parois anales avec ses doigts enfoncés dans mon cul béant.
Il me branle l'anus sans précaution, s'acharnant a faire entrer le plus loin possible sa main, il s'arrêtera au niveau de la dernière phalange.
Puis ajoute:
"Je sais que tu te protèges tout le temps, et moi aussi, donc, j'avais confiance! bon maintenant, je vais t'enculer sans capote, on va en profiter!".
Il m'empale sur sa longue queue, frénétiquement, me parlant crument.
Il me rappelle ce qu'il m'a obligé à faire, en se déchainant dans mon cul, puis il dit assez fort:
"Viens, il va te sucer!".
Je n'avais pas remarqué qu'un homme nous regardait en se masturbant.
L'inconnu vient me fourrer son membre court et épais dans la bouche, il se cale sur le rythme de mon dominateur, pour me baiser la gorge.
A ce rythme, 5 minutes plus tard, l'homme annonce vite son éjaculation et me dit de faire attention.
Mon "maitre", lui dit que je suis sa pute, donc de se laisser aller dans ma bouche.
Je reçois ses jets chauds et âpres, l'un après l'autre.
Mon dominateur m'impose de ne pas avaler tout de suite.
L'inconnu nous quitte, en me remerciant de ma prestation.
Mon amant, me dresse contre son ventre, baisse son visage au dessus de mon épaule, me demande d'ouvrir la bouche vers lui pour lui montrer le sperme qu'elle retient.
"Ahhhh, quelle pute! Tu es! Tu m'excites!". Il se déchaine en moi, je jouis sans pouvoir crier, n'osant pas encore avaler le foutre.
""Ahrrrrrrrrrrrrr, ça y est! Tu m'as eu petit pédé! Allez avales tout!".
J'ingurgite le jus, puis ouvre la bouche en criant mon plaisir. Je sens mon amant inonder mon anus de sperme chaud, je sais qu'il éjacule abondamment et j'aime imaginer la dose qu'il éjacule en moi.
Pendant qu'il éjacule, il me demande d'ouvrir la bouche pour vérifier que j'ai bu tout le foutre de l'inconnu.
Il sort de mon cul pour s'appuyer contre l'arbre et me dirige vers sa queue pour le sucer.
"Laves-moi comme tu sais le faire! Tu sais ce que j'aime!".
Oui, je sais! ça finit toujours comme ça entre nous, une longue fellation nettoyante.
Il me quitte en me promettant que j'y aurai encore droit la prochaine fois.
Je me masturbe, sachant que je ne pourrai plus faire de rencontre avec ses effluves d'urine sur moi.
J'éjacule très vite sur le sol, en sentant et imaginant tout le sperme encore dans mon anus.
Je me rhabille dès que je peux, puis me dirige vers la mer pour me rincer le visage et les cheveux.
Arrivé chez moi, j'irai directement prendre une douche, honteux.
j'ai beaucoup repensé à cette expérience, quelquefois elle me dégoutait, à d'autres moments, elle me donnait envie de recommencer.
j'ai recroisé cet amant, mais n'étant pas en condition, je me cachais toujours pour qu'il ne me voit pas.
Sauf cette dernière fois, ou il m'a surpris en train de sucer un homme, il a donc attendu son tour.
Il me baisera encore et encore, puis après une longue fellation perverse, m'enculera encore pour s'arrêter et commencer par me remplir le cul d'urine.
Puis, il se retient et m'annonce qu'il veut encore m'arroser le visage. Je lui dit que ce n'est pas possible, à cause des vêtements.
"Tu te débrouilles! Je vais encore pisser un peu! Tu gères comme tu veux!".
Malheureusement, je n'étais déshabillé qu'au niveau du bas de mon corps.
Je me suis enfoncé sur sa queue et il a uriné dans ma bouche, j'ai du avaler les 3 quarts de son liquide chaud et salé.
"Huumm, tu vois que tu as trouvé comment faire! salope! t'es mon vide couilles! t'es conscient de ça?".
Il retire sa bite, j'en profite pour cracher ce qu'il reste encore dans ma gorge.
Puis tout en m'enculant à nouveau, excité par les rejets de liquide provoqué par ses coups de queues.
Il me remplira encore l'anus en éjaculant tout son sperme.
Cette fois, il était allé trop loin.
Je me suis senti sali, et de plus, il considérai normal de m'enculer désormais sans capote, j'éviterai l'endroit pendant longtemps et ne le croiserai plus du tout.
Il y a toujours des moments ou l'on explore ses limites, c'est ce qui nous montre ce que nous apprécions vraiment.
J'avoue que cette pratique ne me manque pas du tout.