Envie De M'Accoupler

Cette histoire s'est déroulée hier, à la sortie du boulot. Et jamais je n'aurais cru que ça aurait pu vraiment arriver.
Tout commence sur le net. Pour le moment, John travaille beaucoup et vers la fin de soirée, sa fatigue se fait ressentir et ment, la fréquence de nos baises diminue.
Etant folle de sexe, je dois bien le reconnaitre, ça me contrarie bien que je comprenne mon conjoint. Un soir, alors qu'il était parti se coucher, je franchis le pas, je me lance.
J'allume l'ordinateur, tourne un peu en rond sur des sites pornos, je me caresse doucement mais je sens qu'il me manque quelque chose...Alors, une idée me vient!
Je cherche un réseau social pour adulte. Après en avoir visité quelques-uns, mon choix se porte sur une imitation d'un réseau social bien connu. En quelques minutes, je crée mon profil avec photos et presque immédiatement, je suis inondée de demandes d'amis, de notifications, de messages privés, etc...
Je fais connaissance avec quelques gars, je poste quelques photos de mes seins et rencontrant un franc succès, j'atteins rapidement la barre des cents amis dont à peine deux filles. Je tchatte avec deux ou trois mecs et le déclic vient: c'est ça qu'il me fallait!
C'est finalement à quatre heures du mat' que je monte me coucher.
Le lendemain matin, j'attendis que John parte travailler pour me reconnecter. Et de nouveau, un paquet de notifications et de messages ainsi que de nouvelles demandes d'amis. De nouveau, je postais d'autres photos de mon corps pour la plus grande joie de la communauté et surtout pour mon excitation personnelle.
Tout y passe, des décolletés, des photos en lingerie, seins nus, ma chatte en train de mouiller, j'ai trouvé un nouveau joujou lorsque mon mec est trop fatigué pour me sauter.
Et puis, sans trop savoir pourquoi, je poste un message, sans photo. "Envie de m'accoupler...".
Immédiatement, mes 'amis' y répondent, se proposant gentiment de me rendre service.

En tout, j'obtiendrai près de cents dix réponses à mon post. Après un moment, je me déconnecte et je vaque à mes autres occupations.
Le lendemain, je retourne au boulot et la routine reprend comme si de rien n'était. Je ne parle à personne de mon petit bizness et bien que ne cessant d'y penser, je me force à me concentrer sur le boulot.
Après la journée, comme presque toutes les fois, mes amies du boulot et moi allons prendre un verre au bar le plus proche. Je me sens mieux libérée de ma tenue de travail, je retrouve ma jupe écossaise et mon chemisier bleue au décolleté plongeant, un classique chez moi.
Le bar est bien rempli et il faut un certain temps pour se faire servir une tournée. Mes amies décident de sortir pour aller fumer une petite clope en attendant. Ne fumant pas et voyant la pluie tomber encore et encore, je préfère rester à la table. C'est alors que quelque chose que j'étais loin de m'imaginer se passa.
Un homme d'une trentaine d'années s'approcha de moi avec un sourire avenant.
"Bonjour, tu es bien Anita?" Me demanda-t-il en restant planté à côté de moi.
"Ouais..." Répondis-je, hésitante.
"Tu as toujours envie de t'accoupler?"
C'est là que je compris. Un des mes 'amis' du réseau social. Mais comment avait-il pu savoir?
"Pardon?"
"Tu sais, ton message hier sur le site...Envie de m'accoupler...Ca te tente encore?"
"Je crois que tu fais erreur..."
Il hocha la tête et sorti son téléphone de sa poche puis après avoir pianoté l'écran tactile, me montra les photos que j'avais postées.
"C'est bien toi, là?"
"Euh...Pas du tout, non..."
"Bizarre parce que tu as le même grain de beauté sur le sein droit...Et tu t'appelles aussi Anita..."
"C'est quoi ton nom?" Lui demandais-je dans l'espoir de me souvenir de lui avoir parlé.
"Keen621, ça te rappelle rien?"
En effet, j'avais brièvement discuté avec lui. Un gars sympa et cool un peu bodybuildé qui avait l'air plus censé que les autres.

"Oui, je me souviens...Dingue que tu m'aies reconnu!"
"Avec un décolleté comme ça, princesse, je pouvais pas faire autrement!"
Me sentant à la fois gênée, intriguée et amusée, je ne sus trop quoi répondre et ce fut mon côté 'joueuse' qui prit le dessus.
"J'ai toujours envie de m'accoupler, si tu veux tout savoir..."
"On va chez moi?"
Sans trop savoir pourquoi, sans doute prise au jeu, j'acceptais de le suivre. Après avoir prévenu mes amies que je devais y aller, je montais dans la voiture de mon ami virtuel.
"Je m'appelle Nico au fait. J'ai pas arrêté de mater tes photos!"
"C'est cool, elles sont là pour ça!"
"Comment une gonzesse aussi bonne que toi se retrouve sur un site comme ça?"
N'ayant pas envie de répondre, je lui retournais la question.
"Comment un mec canon comme toi va sur un site comme ça?"
"Je cherchais un plan Q et on dirait que j'ai trouvé!"
C'est vrai qu'il était pas mal, Nico. Un latino assez balèze et tatoué de partout.
Au bout de dix minutes, on arrive dans son appartement. Il est décoré avec goût, il a une certaine classe mais il manque de lumière, Nico avait tiré tous les rideaux.
A peine a-t-il fermé la porte qu'il me plaque contre le mur et me saute dessus. Il enfonce sa langue dans ma bouche tandis qu'une de ses mains se serre un peu autour de mon cou et que l'autre malaxe mes seins.
Il se colle contre moi comme si il voulait m'écraser mais cette proximité m'excite et je sens ma mouille dégouliner de ma chatte.
Il déchire mon chemisier, découvrant mon soutien. Nico pose ses mains sur mes seins et les malaxe fermement avant de recommencer à serrer tout aussi fermement mon cou et de jouer avec ma chatte.
Il est comme un animal en rut, il ne parle plus et ne me regarde plus, il me touche et il le fait comme un sauvage.
Puis, ayant assez joué avec mon corps, il me penche en avant sur sa table, relève ma jupe et abaisse mon string avant de me pénétrer d'un coup sec, m'arrachant un cri à la fois de douleur et de plaisir.

Il me baise comme un sauvage, il a le coup de reins d'un cheval et a sans doute la même délicatesse. Ma chatte mouille sans arrêt et de plus en plus à chaque coup de bite qu'il me met. Je crie, je gémis et je jouis au moins trois fois.
Il me viole mais ça m'excite. J'étais à peine entrée qu'il s'était jeté sur moi et m'avait fait des attouchements sans même que je puisse réagir.
Au bout d'un moment, il s'enleva et me déshabilla avant de se mettre nu lui aussi. Plus délicat tout à coup, il m'emmena par la main jusqu'à son canapé.
il s'assit puis je me mis à califourchon sur lui, m'empalant sur son épais membre couvert de mouille. C'était à mon tour de le baiser.
Je lui plongeais la tête dans mes seins tandis que je le chevauchais, folle que j'étais devenue après ces préliminaires assez costauds.
Mon ventre et mes seins collés contre son tronc musclé faisaient transpirer mon corps. Nico léchait les gouttes de sueur sur mes seins, faisant par-là même pointer mes tétons marrons.
Après au moins vingt minutes à baiser enlacés comme un vrai couple, on passa dans la chambre.
Je me mit à quatre pattes sur le lit et je me retournais vers lui avec mon sourire de salope.
"Envie de m'accoupler..." Lui dis-je en entrant un doigt dans mon anus.
Il s'approcha sans rien dire, me rejoint sur le lit et me prit par les hanches.
Sa bite humide entra presque sans effort dans mon cul alors que je sentais mon ventre se relâcher et cette sensation de ne plus rien contrôler m'envahit.
Il enfonçait sa bite de plus en plus profond, m'arrachant toujours plus de cris. J'avais ce que je voulais. Je voulais m'accoupler comme une femelle, comme une chienne et j'avais un mâle en train de monter, de me baiser par derrière tel un étalon avec une jument.
La sensation était telle que Nico ne put tenir plus longtemps. Il laissa échapper un soupir rauque et répandit son foutre dans mes intestins avant de s'enlever de mon anus et de s'allonger à côté de moi.

Je terminais cet accouplement digne du règne animal par une pipe afin de nettoyer sa bite. Venant d'éjaculer, la sensation pour lui était plus forte que d'habitude. Il lâcha même un petit jet de sperme dans ma bouche. Je l'avalais avec plaisir pour terminer en beauté.
"Merci pour tout, Nico mais il faut que j'y aille..." Dis-je en me rhabillant.
"Merci à toi et à bientôt peut-être!"
Il me raccompagna jusqu'au palier et je rentrais ensuite chez moi, comme si de rien n'était.
Le pire dans tout ça, c'est que ce soir là, hier donc, John n'étais aussi fatigué que d'habitude et me proposa de rattr le temps perdu...Ca promettait mais ça, c'est une autre histoire si vous le voulez!

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