Sacré 14 Juillet

Ils étaient maintenant sur le chemin du retour et Jean après l’avoir embrassé tendrement ne put s’empêcher de lui demander si ça ne coulait pas de trop !
Bien sûr que ça coulait, de sa minette et de son petit trou de derrière qui restait encore tout ouvert le pauvre, tuméfié qu’il avait été par les grosses queues qui l’avaient défoncé.
Comme il fallait s’y attendre, elle n’avait pas pu remettre la main sur sa petite culotte au moment de partir quand ils s’étaient retrouvés tous les deux seuls dans la baraque de chantier où il l’avait livré à tous ces mâles en rut pour leur anniversaire de mariage. Ces cochons avaient dû la garder en trophée et il y avait gros à parier qu’ils allaient s’en servir pour se masturber dedans. Elle s’imaginait une grosse queue coincée dans les petites dentelles, le gland baveux battant sous l’élastique pendant qu’ils se raconteraient entre eux comment ils l’avaient bourrée, elle la petite bourgeoise innocente…
Elle avait bien vue qu’il avait réglé le rétro à la recherche de sa foufoune et pour le narguer, installée sur le siège arrière, elle commença à ouvrier et fermer les cuisses lentement, découvrant un court instant ses grosses lèvres encore toutes baveuses du jus des queues qui avaient crachées dedans. Il avait été le seul à ne pas la toucher, scotché sur les mandarins qui entraient et sortaient de la petite minette, se contentant de se branler en la regardant gémissante de jouissance sous les caresses des autres mâles et maintenant, sa queue se remettait à se raidir, et arrêtant la voiture dans un petit chemin, il se précipita sur la portière arrière…
Elle resserra les cuisses par jeu, mais, quand elle senti ses lèvres piquantes de barbe lécher ses cuisses pour les faire ouvrir, elle ne résista pas davantage, sa cyprine humectant de nouveau sa foufoune et les écartant largement, elle lui livra sa chatte poisseuse du sperme des autres mâles en se laissant aller à la renverse sur le siège en gémissant de plaisir.


Jamais elle n’aurait imaginé qu’être prise par plusieurs hommes en même temps serait si délicieux, c’est vrai qu’elle avait éprouvé une peur panique quand Jean l’avait exposée sur le chantier à demie nue sous son corsage ouvert aux mâles en rut et quand un des hommes lui avait renversé la tête en arrière, elle avait bien serré les lèvres pour lui résister mais, les grosses mains bouillantes qui pétrissaient ses seins l’avaient déjà rendue folle de désir d’être écrasée sous leurs corps musclés et que dire de ses mains calleuses qui se promenaient déjà entre ses cuisses essayant de les forcer, et elle avait eu beau essayé de résister, quand les doigts s’étaient mis à fourrager entre ses poils écartant l'élastique de sa petite culotte, elle avait bien tenté de les empêcher d'aller plus avant en resserrant ses cuisses avec toute la force de son énergie mais, elle savait bien qu’elle n’aucune chance tant son désir d’être prise était devenu si intense et, ils avaient vite trouvé la fente remplie de sa mouille toute chaude et entamé leur va et vient dans la minette toute trempée écartant sa foufoune de leur gros doigts maladroits et ses cuisses s’étaient écartées malgré elle sous les effleurements masculins offrant ses grosses lèvres poilues à leurs caresses en gémissant doucement quand elle s’était sentie soulevée par toutes ces mains et ces queues qui la pétrissaient en lui retirant les derniers vêtements qu'elle portait encore.
La vie avait repris son cours mais, elle ne parvenait pas à oublier, la nuit ses rêves l’emmenaient dans de folles aventures et quand elle se réveillait le ventre en feu, elle ne pouvait s’empêcher de se laisser glisser sous les couvertures à la recherche de la bête endormie de son mari pour la câliner de sa bouche gourmande, la faisant se raidir à grands coups de langue, sa tête s’évadant dans ses souvenirs.
L’été était revenu et un soir qu’ils feuilletaient une revue coquine tous les deux dans le lit, Jean lui avoua en se frottant contre son flanc qu’il avait lu que l’armée recherchait des personnes pour héberger les militaires qui allaient défiler pour la revue du14 juillet et que peut-être… ils pourraient en accueillir un…
Elle comprit en sentant sa queue se raidir comme une massue qu’il avait une idée derrière la tête et pas n’importe laquelle et quand ses gros doigts se mirent à triturer les poils de sa foufoune, elle se colla à lui en coinçant sa pine entre ses cuisses, s’imaginant déjà être prise par un beau militaire en rut et quand il la fit rouler sur le dos pour la posséder, ce n’était déjà plus lui qui était avec elle dans sa tête mais la verge impétueuse du beau guerrier qui écartait fougueusement l’entrée de sa grotte…
Deux long mois plus tard, elle se réveilla pleine d’appréhensions, c’était pour ce soir et la journée lui parut d’une longueur interminable, elle tournait dans tous les sens, plus l’heure de l’arrivée se rapprochait, plus l’appréhension l’envahissait, c’est sûr, il allait la prendre comme une chienne, comme une prostituée.
Et pourtant elle serrait en même temps ses cuisses convulsivement en sentant sa rosée perlée dans sa petite culote.
Quant enfin elle entendit la clef tourner dans la serrure, elle se leva pour les accueillir tous les deux avec son plus joli sourire mais il se figea aussi soudainement, ils n’étaient pas deux mais trois ! Il y avait un militaire de plus que prévu qui accompagnait Jean et elle se retrouvait la seule femme… Il allait le lui payer…
C’étaient deux goumiers habillés de leur grande cape, mais si le premier semblait un peu niais en la voyant, son cœur sauta dans sa poitrine quand elle sentie la langue du second passer discrètement sur ses lèvres quand il l’embrassa sur les joues…
Le début du repas ne se passa pas trop mal, Jean avait décidé bizarrement de jouer à la soubrette et s’occupait du service. Il avait l’air fin avec son petit tablier en dentelle et alors qu’il était reparti en cuisine, elle les entendit rire tous les deux en parlant de lui dans leur langage. Sous la table par contre, l’animation avait commencé et la cuisse bouillante du marocain de droite s’étaient déjà collée contre la sienne avec une insistance indécente, quand même, il abusait… Il y a des usages tout de même… mais sa vulve humide n’était pas du tout d’accord avec elle et quand la gosse main se posa sur son genou elle se laissa glisser sur le bord de la chaise en desserrant les cuisses pour lui ouvrir le chemin, vers la petite culote laissant le 2ème pétrir ses mamelons maladroitement, ça n’avait pas l’air d’être sa folle passion !
Bizarrement elle sentait bien que les doigts du male semblaient hésiter tout d’un coup, il venait d’atteindre la petite culote de soie et la douceur de la soie le déconcertait et puis ses poils qu’il n’était pas habitué à trouver là. Chez lui, les femmes les rasaient, il les roulait entre ses doigts, les tiraillant, écartelant la foufoune, entrainant le clito en tous sens provoquant une excitation inattendue et elle pourtant si prude d’habitude ne put s’empêcher de se tortiller sous la jouissance qui montait en elle, et elle ne vit même pas Jean son mari qui amenait le thé avec son petit tablier.
Sa minette en feu était trop impatiente maintenant de recevoir sa ration de jouissance et elle ne put s’empêcher de se blottir contre la poitrine velue de l’homme sa petite main se refermant sur la queue encore emprisonnée dans la braguette pour lui montrer son envie folle d’être enfin possédée. Pourtant, ils ne semblaient pas pressés tous les deux, le deuxième ne paraissait plus très intéressé par elle, installé dans le fauteuil de Jean en le regardant servir le thé avec son petit tablier la queue à l’air. Il avait déjà dégrafé sa braguette et libéré son sexe qui se balançait mollement mais, elle savait bien que c’était uniquement pour se masturber en la regardant quand elle serait prise par les deux compères.
C’est quand elle revint de la cuisine qu’elle comprit que les deux sbires semblaient plutôt intéressés par son mari que par elle pour l’instant... peut-être les poils ...
Ils l’avaient coincé entre eux deux sur le canapé lui fourrant chacun leur pine entre ses mains et comme il ne semblait pas comprendre ce qu’il devait faire, le plus grand lui roula soudain un patin magistral. Elle senti son excitation montée d’un cran, cette fois c’est elle qui allait assister au spectacle et sentant sa foufounette se remplir de rosé, elle commença à écarter ses grosses lèvres avec le good que ce salaud avait déjà préparé, regardant discrètement depuis le canapé son seigneur et maître se débattre entre les deux autres...
C’est vrai qu’il s’était vraiment fait avoir par surprise quand les deux lascars l’avaient coincé entre eux et il s’attendait à tout sauf à cette grosse langue qui lui fouillait maintenant la bouche, elle était toute gluante en plus il devait subir la mauvaise haleine du gus qui lui respirait dans les naseaux. Il essaya de s’échapper en de folles ruades mais, l’homme l’avait déjà couché sur le canapé le maintenait sous lui comme une femme, il avait tout de suite compris qu’il en mourait d’envie et quand le deuxième goumier commença à lui caresser la queue pour l’apaiser, il se mit soudain à trouver la langue qui le fouillait beaucoup moins déplaisante et ses ruades se ralentirent.
.. Ces salauds avaient réussi leur coup... il était mûr...
Et quand il se retrouva à genoux devant la pine suintante de foutre, il laissa les deux cuisses emprisonner sa tête, sa bouche s’ouvrant avide de sucer enfin une queue de mec. Il savait bien au fond de lui que ça devait arriver un jour depuis le temps que l’idée lui trottait dans la tête de goutter le sperme d’une queue mais là au moins il pouvait dire qu’il y avait été ...
Par contre, il n’était pas du tout mûr pour laisser passer le doigt qui essayait de rentrer dans son petit trou, ça ce n’était pas du tout dans sa religion, pourtant les deux goumiers eux n’étaient pas du même avis, ils avaient hâte de se libérer de leur semence accumulée depuis longtemps et lui soulevant l’arrière train, ils le placèrent en position du missionnaire, les fesses bien accessibles et quand le petit homme se positionna devant le trou offert Denise ne put s’empêcher de se tourner vers eux admirative devant la grosseur de la queue qui se balançait devant la raie de son homme, Comme elle aurait voulu la présenter elle-même devant son trou pour une fois que c’était lui qui allait se faire défoncer et quand la queue s’enfonça lentement dans le cul de Jean, elle ne put se retenir et sa petite main se crispa sur sa foufounette tant elle jouissait de plaisir en l’entendant hurler de douleur...
La nuit était déjà fortement avancée quand elle le senti se glisser avec maladresse dans le lit conjugale en évitant de s’appuyer sur son fessier douloureux, elle se tourna de l’autre côté évitant son haleine chargée de foutre et elle pensa qu’elle devrait changer les draps demain matin car ils allaient sans doute être salis par le jus qui devait couler de son arrière train. Chacun son tour...
Sacré 14 juillet...









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