Les Bains Douches

Cette histoire de passe dans une petite ville dans les années 1945/1950. Ceci posé.
Le samedi était pour ce jeune couple le jour d'aller aux bains douches municipaux. Ils portaient avec eux, outre le savon, champoing, les sous vêtements de rechange. Le préposé de l'établissement les connaissait bien, à tel point qu'il leur attribuait toujours la même cabine. Bien sur le premier soin pour eux était de se déshabiller. Ils étaient jeunes, plein d"amour et plein d'envies.
Elle était blonde, assez grande, relativement mince, des fesses remarquablement attirantes. Lui un peu plus grand, brun était bien monté, ce qui ne déplaisait pas à sa douce. Pendant que la baignoire se remplissait, ils en profitaient pour prendre un peu d'avance sur la suite. C'est toujours elle qui commençait à l'agacer un peu: elle ne faisait que lui caresser les fesses et le torse. Bien serré contre elle, il était comme paralysé: il se retenait pour ne pas bander. Il caressait les fesses de sa femme. Simplement. Elle avait des envies plus précises: elle voulait être assise sur le bord de la baignoire, les jambes ouvertes son sexe luisant de cyprine. Elle désirait une bêtise: une langue sur son clitoris. Sans rien demander, elle lâchait son mari, pour venir s'asseoir comme elle le voulait. Lui faisait la fine bouche: il ne faisait que lui caresser le clitoris. Bien sur elle gémissait. Il n'empêche qu'elle voulait toujours avoir une langue dans son sexe. Ce n'est qu'après l'avoir faite jouir avec ses doigts qu'il venait mettre sa bouche sur le con de sa femme.

"La, il faut ouvrir une parenthèse: avant de le connaître elle avait eu, comme souvent à cette époque, encore plus que maintenant, un initiateur particulièrement sensuel. Au début, il l'embrassait avant de lui mettre la main là où ça fait du bien aux filles. Elle prenait rapidement goût aux masturbations. Il lui avait appris à masturber une bite. Il lui avait donné goût d'être sucée. Ce n'est que par la suite qu'il lui apprenait la fellation et surtout elle lui donnait sa virginité.

Elle avait jouit à cette occasion. Et comme souvent il l'avait oublié un jour. Elle ne rencontrait son futur que plus tard.
De son coté, il avait, lui aussi connu une fille particulièrement vicieuse qui lui avait appris pratiquement tout sur la baise."

Donc il la suçait avant de prendre leur bain. La baignoire pleine, ils rentraient dans l'eau ensemble. Avant de s'occuper d'eux, ils procédaient à une toilette sérieuse, sauf que certaines parties du corps étaient réservées à l'autre. Ainsi les fesses de madame étaient réservées aux mains de monsieur. L'inverse était la règle. Si la partie visible du sexe de monsieur était réservée à madame, son entre jambe appartenait à monsieur.
Pour la toilette de la bite, elle prenait beaucoup de précautions: elle passait le gant de toilette juste sous les couilles, avant de procéder au nettoyage du reste de la queue. Bien sur elle faisait bander son mari. Elle savait comment faire pour le branler, elle ne le faisait pas. Elle faisait comme pour un bébé, sans appuyer beaucoup et sans aller vite, elle arrivait à ses fins. Une fois propre la bite devait subir un dernier nettoyage plus sérieux: elle le prenait dans la bouche, sa langue léchait sans arrêt la pine de plus en plus grosse. Elle en rentrait la plus grande partie dans la bouche. Elle faisait aller et venir sa tête. Lui la lui caressait. Le final du nettoyage arrivait sous la forme d'un long jet de sperme. Elle le gardait toujours en bouche un bon moment avant de l'avaler.
Il s'occupait d'elle ensuite, quand sa bite était en berne. Il se servait uniquement de ses mains: d'abord il passait la main droite entre les globes des fesses qui s'écartaient. Il passait sur l'anus, juste le temps d'y entrer un doigt. Selon son humeur, elle le faisait restait à cet endroit: il lui rentrait plusieurs doigts. Elle l'aidait par des mouvements de vas et viens. Elle avait les jambes bien ouvertes. Il en profitait pour passer sa main gauche devant, juste là où se trouve le bouton.
Elle ne tenait pas longtemps: elle jouissait. Pour parfaire, il lui mettait deux ou trois doigts dans le vagin. Le doigtage la faisait encore jouir.
Le principal allait venir. Il ne s'agissait plus de baise proprement dite: ils aimaient la sodomie, elle particulièrement. Elle se mettait en levrette, dans l'eau qui commençait à tiédir, il venait derrière elle qui écartait ses fesses. Ce n'était même pas la peine de mouiller le petit trou. Il venait poser sa pine sur le cul. Elle n'attendait que ça pour se faire mettre: elle donnait un grand coup de rein pour qu'il soit en elle rapidement. Ses envies étaient nettement exprimées": encore à fond, oui, je vais jouir, plus fond, je jouis." Il aller et venait dans le cul de sa femme largement: il savait comment faire durer leurs plaisirs. Elle jouissait bien sur avant lui, pour jouir encore une fois.
Il sortait de son cul. Elle se levait pour lui donner son clitoris. Il la léchait encore une dernière fois.
Finalement ils sortaient pour retourner chez eux. Ils se déshabillaient et nus se couchait pour être plus à l'aise pour jouir.
Cette deuxième séance démarrait toujours par un gentil spectacle: elle ouvrait ses jambes, y posait sa main entière sur son sexe. Elle restait ainsi un moment: il languissait de voir la suite que de toutes façons il connaissait. Enfin elle réunissait trois doigts qu'elle mouillait avec sa salive pour les passer rapidement sur le clitoris. Lui regardait ces doigts qui donnaient du bien être à sa femme. Il bandait évidemment. Il bandait et savait attendre la suite.
Elle continuait sa masturbation et lui demandait de venir lui caresser et embrasser les seins. Il venait prendre un téton dans la bouche, le suçais. L'autre sein faisait l'objet de caresses lentes en forme de huit, comme elle aimait. Soudain elle se crispais, était agitée de spasmes de jouissances. Il la laissait se reprendre un peu.
Il venait sur elle pour une baise normale. Il la pénétrait pour la première fois.
Ils s'agitaient en cadence. La bite allait contre le col de la matrice. Elle sortait entièrement avant de s'enfoncer à nouveau au plus profond du ventre de sa femme. Il la sentait bien jouir autour de sa queue: ça l'excitait encore plus. Il ne cessait de la baiser: il fallait qu'elle demande grâce pour qu'il arrête ses vas et viens. Pourtant il leur manquait le final: toujours le même: il se mettaient sur le dos elle l'enjambait pour venir poser tout son sexe sur la bouche de son époux. Elle prenait à pleine main la queue, juste pour l'avoir bien à elle. Elle ouvrait la bouche, léchait le gland avant de carrément avaler la bite.
Lui prenait le clitoris entre ses lèvres, le léchait également. Pour eux deux, sucer le sexe de l'autre était le bon moyen de se prouver qu'ils s'aimaient et qu'ils aimaient faire l'amour ensemble.


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!