Tu L'As Cherché 9

Tu l’as cherché 9


Lycéenne, j’aimais André d’amour tendre. Mais lorsqu’un certain Bob, à la piscine me déclara:

- - Tu es curieuse ? Tu as senti. Tu veux encore toucher ? C’est ta première zigounette? Tu n’as pas de copain ? A ton âge il est des choses qu’une fille doit connaître…
j’oubliai de mentionner l’existence de mon petit ami de cœur,refermai mes doigts sur l’enflure dans le caleçon de bain. Bob profita de son audace et m’embrouilla.
- C’est un coup de foudre incroyable Mais fais attention, le maître nageur approche.
Ainsi, dans mon innocence bousculée, mue par la curiosité, le suivis-je en un lieu où il prétendait me faire découvrir, à l’abri des curieux, un sexe de jeune homme, une bite, une vraie ! Hélas ! pour son projet, l’endroit était déjà occupé par un couple en train de forniquer ardemment et Bob n’eut pas l’occasion d’exhiber ses attributs masculins. En revanche j’appris « des choses ». J’assistai ébahie aux ébats des deux amoureux avant de découvrir leur identité. Pouvait-on demander mieux pour être instruite « de ces choses qu’une fille doit connaître » ?
J’avais sous les yeux un sexe d’homme mûr dans toute sa splendeur, impressionnant champignon violacé, en pleine action et un corps de femme en transes, embroché, secoué, écrasé, pris et repris, une femme seins nus,tantôt aplatis sous la poitrine velue de son compagnon, tantôt secoués en lourdes poires quand elle était à quatre pattes, femme bourrée dans des positions inimaginables, une femme passionnée en plein délire, criant sa jouissance. Quelle empoignade, quel ballet ! Et puis ce fut le coup de bambou sur ma tête. L’homme était le patron de mon père. Sacré gaillard solide. La partenaire qu’il soumettait à ses ordres était, aussi incroyable que cela puisse paraître, oui, était ma « chaste » mère. La foudre me frappait pour la seconde fois !
Dépitée, honteuse, de rage, je fis enlever par mon compagnon les vêtements du couple adultère.

J’en utilisai pour inspirer des remords à ma mère. Bob, plus vicieux, sut en tirer parti et imposer par chantage à « cette chienne », comme il disait, des relations sexuelles vécues sans cris de révolte comme je le découvris par hasard. La recherche de plaisirs sexuels prit à mes yeux une importance soudaine et puissante. Si ma sainte mère succombait et sombrait de cette façon, l’adultère et la fornication devaient avoir un attrait bien particulier. Par suite je me livrai à une masturbation solitaire débridée pour trouver la clé de ce mystère, avant d’entrer à l’université.
Gérard, le fameux patron de mon « paternel cocu » et amant de ma mère, au cours d’une fête dans l’entreprise, me présenta son fils Alain. Cette fois, c’est le garçon qui succomba au coup de foudre et malgré la cour d’amis et d’amies qui le distrayaient, Alain se déclara amoureux de moi, m’offrit une magnifique bague de fiançailles et un poste de collaboratrice dans l’entreprise familiale. Il me fit comprendre qu’il était homme, impatient de m’aimer physiquement. Pour assurer mon mariage et une situation appréciable, je renonçai à mon désir de garder ma virginité jusqu’au mariage. J’ouvris mon cœur, mes bras, mes cuisses et offris mon petit trésor si convoité à un fiancé fougueux qui eut tôt fait de me faire apprécier ses démonstrations amoureuses. A l’exemple de ma mère je me soumis aux élans, aux mouvements fascinants d’une verge.
Dès avant le mariage je pus mesurer l’avantage d’être aimée et initiée à la volupté par un fiancé expérimenté puis par un mari inventif. Les folles nuits d’amour se succédaient plus surprenantes, plus enivrantes les unes que les autres. Je recevais des recommandations :
- Accroche tes pieds ici…. Arrondis ton dos… tire sur tes lèvres…caresse-toi devant moi… suce… lève ce pied… écarte tes fesses…monte et descends, bouge, ouvre la bouche, etc.
Et j’écartais, je tirais, je levais, je suçais, je tendais les fesses, me laissais prendre le petit, enfin je me pliais à toutes les fantaisies, j’adoptais des positions acrobatiques pour le bonheur d’Alain qui s’ingéniait à renouveler les angles d’attaque et pour celui plus personnel de découvrir les petits plus des variations multiples de l’union des corps.
Alain était génial ! Je l’encourageais en exagérant parfois l’intensité de mes gémissements mais en suivant toujours scrupuleusement ses consignes. Le hasard, encore lui, me fit découvrir, un jour, deux ou trois livres illustrés, sources vraisemblables des inventions de mon mari. Je gardais pour moi le secret de cette découverte, j’ étudiais en douce les nouveautés et, à l’occasion, Alain fut agréablement surpris de me voir précéder ses désirs et adopter comme spontanément les poses les plus inattendues. Je devançais ses ordres, cela le ravissait
- Ah ! Ma chérie, quelle femme merveilleuse tu es !
Mon mari était satisfait, j’étais une épouse comblée. Mais qu’y a-t-il de plus difficile à conserver que le bonheur ?
Je m’étais concilié les bonnes grâces de plusieurs employées de l’entreprise, Doris, Sophie et Jeanne en particulier, comme relaté aux chapitres 7 et 8. Que Sophie ait à se plaindre d’un mot de travers de son mari, que Jeanne doute de la fidélité de Bob, elles se tournaient vers moi et je trouvais toujours un temps et un endroit où, en épouse heureuse, je pouvais les consoler, quitte, si c’était nécessaire, à compléter mes paroles par quelques gestes tendres, baisers sur la bouche ou fort semblables à nos premières caresses sur les parties les plus intimes de nos jeunes corps gourmands. J’accordais quelques faveurs et en recevais au centuple. La plus assidue était Doris.
Elle me racontait des histoires à dormir debout pour le seul plaisir de s’isoler avec moi et de recevoir des consolations verbales mais surtout des marques de tendresse. Elle m’attirait chez elle et nous finissions au lit, nues et déchaînées, des instants sublimes. Jamais je ne me serais crue capable de donner tant à ces amies. Elles en profitaient, savaient m’attendrir et je tombais volontiers dans leurs pièges, parce que j’y trouvais également un bonheur si étrange. Ah ! Ces vulves ouvertes, ces tétins durcis, ces bouches brûlantes, ces corps à corps échevelés, ces cris, ces gémissements de femelles folles de plaisir.
Toute honte bue, je m’en délectais, je ne pourrais plus m’en passer. Il faut l’avouer, j’étais « bi ».
Alain l’ignorait bien entendu, mais après des effusions féminines, après les étreintes lesbiennes, toutes lèvres enfiévrées, vulve en feu,vagin enflammé par des doigts fouineurs, des lèvres actives, des langues pointues, je me précipitais à la maison et réclamais de mon homme ces pénétrations indispensables à mon plein épanouissement. De me voir aussi disposée à me faire prendre et défoncer par son pieu, il devenait à son tour plein de fièvre et s’emparait de mon corps sans les complications ordinaires ou préliminaires, pour un festin d’amour qui nous laissait épuisés.
Grande, énorme ! fut donc ma surprise le jour où Doris m’annonça l’air embarrassé, avec d’interminables précautions de langage et circonlocutions
- Alain te trompe.
Incrédule et sûre de moi, je rétorquai vivement:
- Ce n’est pas possible, où pourrait-il trouver les ressources nécessaires pour donner à une autre femme que moi de quoi assouvir ses envies ?
- Très bien. Il te faut des preuves ? Je te les fournirai.

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