Clémentine

Clémentine est la plus jeune sœur de ma mère. Ma grand-mère était d'une famille de paysans et elle a été mariée à seize ans avec un représentant qui s'est dépêché de lui faire deux s avant de mourir dans un banal accident de la route alors que sa jeune épouse venait à peine d'avoir vingt et un ans. La jeune veuve est retournée dans sa famille avec ma mère et son cadet.
Ma grand-mère est restée veuve très longtemps car les hommes qu'elle rencontrait ne souhaitaient pas s'embarrasser des deux d'un autre. Jusqu'au jour où elle a rencontré Henri son deuxième mari lors d'une foire. C'était un brave homme et il l'a épousée et lui a fait un bébé rapidement. Ainsi Clémentine est née presque trente ans après ma mère, sa sœur aînée et n'a en fait que six ans de plus que moi.
Mardi dernier j'ai reçu un coup de téléphone sur mon portable :
- René ? C'est Clémentine..
- Tiens bonjour ma tantine, comment vas-tu ?
- Moi ça va bien, mais c'est mon ordinateur qui va pas bien…
- Ah bon ! qu'est ce qu'il a ?
- Je n'arrive plus à aller sur internet…
- Tu veux que je vienne y jeter un œil ?
- Oui j'aimerais bien… Tu peux venir cet après midi ?
- Ok, je peux passer en début d'après midi. À quelle heure veux tu que je vienne ?
- Je pense rentrer du boulot vers deux heures et demi, si tu me laisse le temps de prendre une douche, je te prépare du café pour trois heures, ça va comme ça ?
- Ok je serais là à trois heures…
Clémentine habite à une dizaine de kilomètres de chez moi mais je la vois rarement. Avant de me rendre chez elle je suis passé chez un grand chocolatier pour lui apporter une boîte de friandises car je la sais très gourmande.
À trois heures cinq elle m'a ouvert avant que je ne frappes à la porte car elle m'avait vu traverser la cour par la grande baie vitrée.
- Coucou tantine ! J'ai apporté de quoi satisfaire ta gourmandise…
- Merci, tu es adorable mais ta gentillesse risque de me faire grossir…
- Pas de problème tu as encore de la marge ais je dit en lui faisant la bise
- Installe toi sur le canapé, je vais chercher le café…
Je l'ai regardée s'éloigner de sa démarche gracieuse, sa large jupe aux couleurs automnales flottant autour de ses jambes.


Elle est revenue avec un petit plateau argenté dans les mains, elle l'a posé sur la table basse devant moi et j'ai eu une brève vue plongeante dans son décolleté.
Elle est plutôt jolie ma tantine, brune aux cheveux courts, elle est assez mince comme ma mère et pas très grande comme sa sœur et sa mère. Elle a plus de poitrine aussi, et son sourire franc et rieur lui donne une allure encore plus juvénile.
Elle prend place près de moi sur le canapé et nous sert le café ce qui me permet de reluquer à nouveau sa poitrine. Jusqu'à présent je ne l'avais pas regardée comme ça, mais je dois dire qu'elle est plutôt attirante. Je pense qu'elle doit plaire aux hommes et je m'étonne qu'elle ne m'ait pas encore trouvé un joli tonton…
Nous échangeons les nouvelles du moment et parlons de choses et d'autre en buvant notre café qui s'avère délicieux comme à chaque fois. Puis, ayant terminé ma tasse je demande :
- Alors, il est où le malade ?
- Dans le petit bureau. Ma copine Sandrine est venue avant-hier, elle l'a utilisé et ça s'est planté pendant qu'elle naviguait sur internet. Comme elle n'y connais pas plus que moi, elle n'a pas pu ranimer la bête… Nous avons tout arrêté et redémarré mais ça n'a pas voulu. J'ai ré essayé hier mais c'était pareil… Voilà pourquoi j'ai fait appel à toi. Si tu n'y arrives pas, je l'apporterai chez le dépanneur…
- Je ne te promets rien, mais je vais essayer de le réanimer…
- Si tu lui fais le bouche à bouche, préviens moi je prendrai des photos… a-t-elle dit en riant.
Elle a allumé l'appareil et m'a laissé m'installer sur la chaise de bureau. Elle a appuyé sa hanche contre le bureau et nous avons attendu que la machine ait terminé le processus de démarrage. Je sentais son parfum discret et placé en contre plongée comme je l'étais, sa poitrine me semblait encore plus attirante.
Lorsque le cycle de démarrage a été terminé je lui ai demandé d'exécuter devant moi la manœuvre qui restait sans succès.
Elle s'est serrée contre moi, appuyant sa hanche contre mon épaule et a commencé à taper les commandes sur le clavier. Passant mon bras autour de ses hanches je l'ai attirée en lui disant :
- Assied toi sur mon genou, ça sera plus commode pour écrire…
Elle s'est installée sur ma cuisse et j'ai gardé le bras autour de sa taille. Après quelques secondes elle s'est exclamée :
- Là, tu vois, ça bloque !
J'ai passé ma main sous son bras et j'ai renouvelé la commande.
- Oui, je vois…
J'ai recommencé et comme ça ne fonctionnait toujours pas elle m'a dit :
- Si tu n'y arrives pas, ça ne fait rien, je l'apporterai chez le dépanneur, il paraît qu'il est compétent…
- Attend ! je vais essayer autre chose…
J'ai relancé la procédure de démarrage en utilisant le mode sans échec. Pendant que la machine redémarrait, j'ai posé ma main gauche sur la cuisse de ma tante et mon menton sur son épaule comme pour mieux voir l'écran. J'ai posé ma main droite sur son autre genou et je lui ai fait un petit baiser dans le cou.
- Arrête ! tu me donnes de frissons…
- Oh oh ! ma tantine, il est si sensible que ça ton joli cou ?
- Ne fais pas l'idiot, tu sais bien que les femmes sont plus sensibles que vous les mecs…
- J'ai appris ça en effet…
L'ordinateur a émis un bip furieux et j'ai posé mes mains sur le clavier pour lancer une ligne de commande. Clémentine restait assise sur ma cuisse et suivait mon travail sur l'écran. Au bout d'un moment elle m'a dit :
- Tu veux que je me lève ? tu n'es pas à l'aise pour écrire…
- Non, ne bouge pas, tout à l'heure il faudra que tu reprennes les commandes alors reste assise…
Pour me laisser plus de liberté de mouvement, ma jolie tantine a passé son bras droit sur mes épaules posant ses seins pratiquement sous mon nez. À chaque fois que la machine mettait un certain temps à exécuter ma commande, je posais ma main gauche sur sa cuisse et ma main droite soit sur sa cuisse soit sur son ventre ce qui la faisait sursauter à chaque fois.
Après plusieurs tentatives l'ordinateur a enfin accepté de rebooter normalement.
- Et voilà le travail ! La bête démarre normalement, il ne reste plus qu'à aller voir ce qui l'a planté…
- Merci mon neveu adoré s'est elle exclamée en posant un baiser sur mon front ce qui me fit mettre le nez dans son décolleté parfumé.
J'ai fait rouler le siège en arrière et la prenant par la taille j'ai dit sur un ton déçu :
- C'est tout ! juste un petit bisou sur mon front…
Je l'ai fait pivoter pour qu'elle passe de ma cuisse gauche à ma cuisse droite en la chevauchant pour me faire face. Elle m'a pris par le cou et a déposé un petit bisou sur mon nez en disant :
- Voilà pour mon sauveur…
- C'est pas cher payé pour un sauvetage !
- Idiot, que veux tu de plus, de l'argent ?
- Non, surtout pas d'argent entre nous, mais un vrai bisou me plairait bien…
- Dis donc malotru, je suis ta tante ! a-t-elle répondu en feignant la colère.
- Justement Tantine, ça ne sortira pas de la famille…
J'avais noué mes bras autour de sa taille et je la tenais sur le haut de ma cuisse. La regardant droit dans les yeux je lui ai dit :
- Allons ! ma tantine chérie, fais un bon geste, il est sympa ton neveu…
Elle s'est penché vers moi et posant ses mains sur mes joues elle m'a tendu les lèvres. J'ai passé ma main gauche dans son dos pour la plaquer contre moi et j'ai collé ma bouche contre la sienne. Comme elle me donnait un baiser très pudique j'ai fait remonter ma main dans ses cheveux et j'ai ses lèvres avec ma langue. Elle a eu un petit recul puis j'ai senti sa langue jouer avec la mienne, j'avais un vrai baiser.
Lorsqu'elle détacha sa bouche de la mienne, elle souffla :
- Salaud, tu n'a pas honte d'r de ma gentillesse…
- Pas le moins du monde, je n' pas de ta gentillesse, je profite de la situation pour te montrer comment tu me plais. En plus tu sembles aimer ça et je vais recommencer tout de suite.
Je l'ai à nouveau embrassée à pleine bouche et elle m'a rendu le baiser passionnément.
Nos lèvres semblaient ne jamais devoir se séparer et elle s'est mise à onduler très lentement sur ma cuisse. Ma main gauche caressant toujours son dos, j'ai posé ma main droite sur l'extérieur de sa cuisse et je l'ai caressée doucement en remontant sous sa jupe colorée.
Clémentine a posé sa main sur la mienne pour arrêter mon exploration, mais j'ai écarté les doigts et j'ai commencé à caresser l'intérieur de sa cuisse avec mon pouce. Elle a grogné et m'a demandé d'arrêter ce petit manège. De mon autre main, j'ai fait sauter l'agrafe de son soutien gorge et elle m'a dit :
- Toi alors ! arrête ça, ça va trop loin…
- Non ma tantine chérie, tu es jeune, tu es belle et j'ai envie de te faire l'amour…
- Mais je suis la sœur de ta mère !
- Et donc tu n'es pas ma mère…
J'ai fait remonter ma main droite jusqu'à son aine et j'ai appuyé avec mon pouce sur son pubis. Elle a eu un soupir et elle a rougi violemment. Rapidement, son ventre est venu à la rencontre de mon pouce et j'ai senti sa culotte devenir humide. Me regardant droit dans les yeux elle m'a dit d'une voix sourde : "Quel petit salaud…" mais elle m'a laissé faire.
En l'embrassant, j'ai passé mes mains sous son chemisier et j'ai caressé sa poitrine. Les pointes de ses seins étaient dressées et elle frissonnait à chaque fois que mes doigts les effleuraient, décidément, ma tantine est très réactive…

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