La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 554)

Vanessa au Château – (suite de l'épisode 552) -

Vanessa reconnait immédiatement le soumis qui accompagne le Majordome, il s’agit de celui de Maître Adam, celui-là même qu’elle a amené au chenil de son Maître quelques jours auparavant. A sa vue, elle comprend pourquoi son Maître lui a autorisé la jouissance en sa présence, et ne peut s’empêcher de sourire.

- Pourquoi ce sourire, soumise ? interroge Walter à qui le sourire n’a pas échappé.
- Pour rien Monsieur, répond Vanessa reprenant immédiatement une mine plus grave.
- Je t’écoute, car on ne sourit jamais par hasard, alors ? gronde Walter.
- Parce que je viens de comprendre pourquoi Le Maître m’a autorisé l’orgasme seulement avec le premier soumis que je verrai ce soir.
- Et pourquoi donc ?
- Parce qu’Il sait que je ne l’atteindrai pas avec lui, il est incapable d’une telle prouesse, s’amuse Vanessa oubliant presque sa position.

Walter sourit de voir à quel point cette soumise est perspicace, mais ne répond rien, il tire sur le collier pour contraindre le soumis à se lever, puis sortant de sa poche une clé, il lui retire sa cage de chasteté.

- Bien, tu auras compris, Le Maître t’offre une de Ses soumises pour une heure, elle est à toi mais tu n’as le droit d’accès ni à son cul, ni à sa bouche.
- Je…je ne peux pas, répond le soumis d’une faible voix.
- Pardon ? Parce que tu crois que tu as le choix ? accuse Walter.
- Non, Monsieur, mais j’en suis incapable, je n’aime pas les femmes.
- Tu penses que ça nous avait échappé ? Tu penses que Le Maître t’offre Sa soumise parce que tu le mérites ? interroge le Majordome sèchement. Non, tu es ici pour comprendre que ton insignifiante petite queue ne sera libérée à partir de maintenant, que pour remplir ce qu’on voudra bien te donner à remplir, et rien d’autre.

Disant cela Walter le pousse vers Vanessa qui ne bouge pas, attendant un ordre pour s’exécuter, déterminée à obéir même si elle préférerait fouetter cet homme, que se donner à lui.

Le soumis s’approche de Vanessa, et avec douceur la positionne à quatre pattes et se place derrière elle, mais son excitation est au plus bas, et il ne parvient pas à durcir suffisamment pour la pénétrer, sa nouille de chien soumis reste tristement molle.

- Ah, ah, ce petit asticot est finalement bien mieux dans sa cage, se moque Walter. Allons chienne, aide le, de tes mains, ordonne-t-il à Vanessa.

Vanessa se retourne, se place à genoux face au jeune homme qui baisse la tête, rouge de honte et délicatement, presque avec tendresse, elle prend son sexe entre ses doigts. La belle soumise le branle doucement, puis de son autre main vient malaxer avec rythme ses testicules, elle accélère le mouvement cherchant à faire vite, n’oubliant pas qu’elle pourra dormir s’il éjacule rapidement. Après plusieurs minutes, elle parvient enfin à le faire monter, en effet la petite nouille devient verge dressée.

- Suffit, allons prends-la maintenant, lui ordonne le Majordome en jetant un préservatif à Vanessa… Tient toi soumise, met lui cette capote, à ce cabot....

Alors Vanessa tout en continuant la masturbation de la queue du soumis, positionne le préservatif sur le haut du gland et le déroule délicatement le long de la hampe, puis Vanessa se remet en position à quatre pattes, exhibant sa belle croupe arrondie et sa chatte épilée à l’esclave mâle. Le jeune homme profite de cet instant d’excitation pour pénétrer doucement Vanessa qui se laisse faire sans bouger, sans envie, sauf celle de dormir. Il fait quelques va-et-vient, mais sans grande conviction, et son sexe commence déjà à ramollir. Il tente de lutter en imaginant des scènes excitantes, mais rien à faire, les femmes ne l’attirent décidément vraiment pas. Walter observe le jeune homme maladroit, cherchant par tous les moyens à s’exciter, alors le Majordome s’amuse de la scène, alors que Vanessa désespère de pouvoir dormir sur cette première heure.

- Décidemment tu n’as rien d’un mâle ! Si tu n’éjacules pas avant la fin de l’heure, tu seras puni sévèrement, et crois-moi ce sera bien plus intense que tout ce que tu as subi jusqu’à maintenant entre ces murs.


A ces mots, Vanessa se surprend à espérer qu’il échoue, pour qu’il souffre, qu’il regrette les propos qu’il a tenus chez son amant, pour qu’il apprenne où est sa véritable place.

- Pour t’aider, tu vas pouvoir faire appel aux mains de cette soumise, car elle sait te faire monter, mais la décision lui revient, elle peut refuser de t’apporter son aide, à toi de la convaincre, tu as droit à la parole, sourit Walter.

Vanessa comprend qu’elle a le sort de ce soumis entre ses mains, et étrangement elle se surprend à apprécier ce sentiment de puissance. Elle refoule aussitôt le sentiment de vengeance qui monte en elle, elle ne veut pas devenir comme ça, elle veut pouvoir rester la jeune femme qui pense que tout est pardonnable, ou presque. Mais elle veut l’entendre s’excuser, l’entendre regretter sincèrement ses paroles, et elle compte bien le lui imposer, quitte à ne pas dormir.

- Je…je…s’il te plait…aide moi, ose le jeune homme s’adressant à Vanessa.
- Hum, tu étais beaucoup moins courtois la dernière fois que tu m’as adressé la parole, souligne la jeune femme, une pointe de sadisme dans la voix.
- Je sais, je suis désolé, je ne recommencerais plus.
- « Désolé »… des promesses… ce ne sont que des mots en l’air tout ça. Etre désolé ne suffit pas, il convient, en premier lieu, de présenter ses excuses.
- Je m’excuse.
- Tu t’excuses, se pardonner à soi-même c’est bien, mais pas français, obtenir les pardon des autres c’est mieux, on ne s’exprime pas ainsi séant, accuse la jeune femme.
Walter sourit, il se rend compte que Vanessa aurait fait une très bonne partenaire de jeux si elle avait choisi de dominer, et regrette presque de ne pas la connaitre ainsi.
- Excuse-moi, s’il te plait, insiste le jeune homme.
- L’impératif, dans la bouche d’un soumis, décidemment la maîtrise de la langue de Molière n’est pas ton fort, voici la phrase que tu dois dire « Je te demande de bien vouloir accepter mes excuses pour mon comportement inacceptable, et pour avoir manqué de respect à Monsieur Le Marquis d’Evans, à Monsieur le commandant, et à toi-même.
»
- Je te demande de bien vouloir accepter mes excuses pour mon comportement inacceptable, et pour avoir manqué de respect à Monsieur Le Marquis d’Evans, à Monsieur le commandant, et à toi-même, répète le jeune homme machinalement.
- Hum…non, ce n’est pas sincère, je ne peux pas, désolée, répond Vanessa souriante.

Le jeune soumis s’effondre, il craque, il ne sait pas comment sortir de cette impasse, il panique de savoir qu’une sévère sanction l’attend.

- Je t’en supplie, je sais que je suis un mauvais soumis, j’aimerais être comme toi, aussi docile, aussi obéissant, aussi dévoué, mais je ne suis qu’un incapable, même dans ce rôle. Je sais que rien ne pourra pardonner mes paroles, que je suis insignifiant même pour toi, mais je voudrais tellement progresser, obtenir ton pardon, et surtout celui de ton Maître et du Commandant, et rendre mon Maître heureux, dit-il en pleurant, reniflant entre chaque mot.

Vanessa lève les yeux vers Walter, elle le regarde triomphante, un sourire au coin des lèvres, dans d’autres circonstances elle aurait été sanctionnée pour ce regard, mais Walter s’amuse de la voir dominer avec tant de savoir-faire, et il se contente d’hocher la tête pour lui faire comprendre qu’elle doit continuer.

- Eh bien, eh bien, voilà qui est mieux, tu vois quand tu te donnes de la peine, répond la jeune femme.

Sans un mot de plus, elle se retourne vers lui et pousse délicatement le jeune homme pour qu’il s’allonge sur le matelas, et elle s’agenouille devant lui. Il ferme les yeux pour se concentrer sur des choses qui l’excitent, son Maître, d’autres hommes, sa soumission. Elle prend son sexe et de ses mains expertes le fait monter rapidement, elle ose un regard vers Walter, ne sachant pas si elle doit aller au bout, mais son regard est beaucoup plus soumis. Le Majordome lui fait un signe de tête négatif pour lui faire comprendre qu’elle doit maintenir ce soumis en état d’excitation, sans lui procurer d’orgasme.
Cela veut dire qu’il sera sanctionné, mais également que Vanessa ne dormira pas avant le prochain visiteur et cette idée lui fait regretter un peu plus de ne pas avoir écouté son Commandant. Toutefois elle obéit et ralentit son rythme à chaque fois que la verge du jeune homme se tend et qu’elle voit son corps se crisper, et à chaque fois le jeune homme émet un long soupir plaintif. Elle a mal pour lui, comprenant qu’il va être encagé de nouveau sans avoir atteint la jouissance, tout en l’ayant approché de près à plusieurs reprises pour lui apporter une proche éjaculation qui n’a pas eu lieu. C’est donc en continuant à le masturber doucement mais sans plus, afin de ne pas le faire jouir, qu’elle entend le Majordome ordonner :…

(A suivre …)

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