La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 556)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°553) - Une séquence douloureuse mais jouissive ! -

soumis Endymion MDE, tiré debout en laisse par Monsieur le Marquis d’Evans se présentait complètement nu à l’exception de son collier qui lui serrait le cou devant tous les Hôtes du Maître. Il fut poussé au milieu de la pièce où se trouvaient les anneaux fixés au sol et des courts cordages liés à ces anneaux. L’esclave MDE était quelque peu nerveux, il ne cessait de gigoter, un brin d’appréhension le titillait :

- Allons mon chien, serais-tu atteint de cette maladie que l’on appelle la danse de Saint-Guy ?
- Je ne pense pas Maître
- Alors calme toi, et cesse de bouger ! lui ordonna le Maître sévèrement.

Il lui fit écarter les jambes et Monsieur Walter se pressa pour lui lier les chevilles avec le lien attaché aux anneaux du sol. Il serra fort, si bien que les pieds de soumis Endymion MDE restaient en appui sur le parquet. Impossible pour l’esclave de se soulever sur la pointe des pieds, ces jambes étaient maintenues très largement écartées. Le Maître lui tripotait sa nouille abondement, l’enserrant de sa poigne et relâchant et recommença plusieurs fois puis il glissait sa main entre ses cuisses, deux de ses doigts tirèrent un tant soit peu, sur le cordon du tampon ancré dans le cul de l’esclave MDE, puis le repoussait. Le chien soumis MDE affichait sans la moindre pudeur une bandaison retentissante. Ses peurs n’avaient aucun impact sur son excitation, peut-être même exacerbaient-elles ses sens. Alors que le Maître le branlait tout doucement, Monsieur Walter, lui posait des bracelets autour de ses poignets, et lui ordonnait de tendre les bras en l’air. Le Majordome lia les bracelets entre eux, puis avec l’autre bout de la corde, il attacha le lien à une poulie. soumis Endymion MDE entendit le cliquetis de la manivelle et en même temps il sentit ses bras se tendre au-dessus de la tête. Très vite, il fut étiré et dans l’impossibilité de bouger.

Le Maître lui souleva le menton et son regard bleu et puissamment Dominant se figea dans celui de l’esclave MDE. Il lui afficha un grand sourire :

- Je vais te donner le fouet mon chien, comme promis… Rappelle-moi la sentence, petite salope !
- Soixante-cinq coups Maître pour les bites prises dans mon cul cet après-midi plus dix coups supplémentaires pour Vous avoir désobéi ! Murmura soumis Endymion MDE déjà tout excité de la sentence, excitation causée par son fort masochisme prononcé.
- Je suis sûr que mes Convives n’ont rien ENTENDU (le Maître haussa la voix, mais sans jamais crier)

Humilié un peu plus, soumis Endymion MDE répéta à haute et intelligible voix. Le Maître s’écarta un peu de l’esclave, puis souleva ses couilles d’une main, comme pour bien montrer les attributs virils de Son chien soumis :

- Regarder comme cette salope bande ! lança-t-il à ses Convives prêts à assister au spectacle.

En effet, il bandait de plus en plus fort : Un sulfureux mélange d’excitation, d’appréhension, d’humiliation lui procurait des sensations d’un incroyable bien-être dans un vertige enivrant à simplement subir. Oui subir, le simple fait de subir en tant qu’esclave MDE, le transportait dans une extrême plénitude masochiste. Il s’apprêtait à souffrir, son corps tout entier tendu ne pourrait éviter les coups portés et cette pensée le faisait bander. Donc c’est avec difficulté et excitation mélangées qu’il déglutit, surtout lorsqu’il vit Monsieur Walter tendre à bout de bras l’objet de frappe, un ancien fouet tout en cuir suffisamment épais pour ne pas couper la peau, mais une morsure redoutable qui lui laisserait de belles boursoufflures. Le Maître attrapa le fouet, le déroula sous le regard de soumis Endymion MDE, puis s’éloigna en direction de son neveu :

- A toi, mon cher Charles-Edouard, en l’honneur de nos ancêtres de cette Auguste Demeure, parce que tu es le descendant mâle du nom d’Evans et l’ainé de ta génération que je te laisse le soin de fouetter ce chien, Mon Chien !

Monsieur le Vicomte se leva, empoigna le manche du fouet, puis s’inclina solennellement devant son Oncle, Monsieur le Marquis d’Evans, comme l’aurait fait un asiatique, en guise de grand respect, puis s’approcha de l’esclave MDE, lui caressa la poitrine, le dos et les fesses en lui disant :

- Es-tu prêt, petite salope en rut ?
- Oui Monsieur, je suis prêt.

- Bien. Mais avant de commencer, sache que mon Oncle, le Maître, a décidé que je n’utilise pas n’importe lequel de Ses nombreux fouets qui équipent cette ancestrale Demeure. A cette sentence, Il a voulu un fouet exceptionnel, un fouet qui a marqué l’Histoire de la Domination/soumission de ce Château. Alors regarde bien ce qui est inscrit sur le manche, la belle inscription en de belles lettres d’Or incrustées, serties dans le cuir, un véritable travail d’orfèvre …

Le vicomte Charles-Edouard d’Evans présenta le manche du fouet sous les yeux du soumis et celui-ci put lire, avec une certaine émotion : « Château des Marquis Evans – 1758 – »

- Oui, tu as bien lu, 1758 ! Ce fouet a appartenu au père du célèbre Marquis Charles-Edouard d’Evans, notre ancêtre (lire Les Origines de la Saga) et ce fouet a été transmis de génération en génération à tous les Marquis qui se sont succédés dans la descendance, dans la grande lignée des Evans, pour arriver jusqu’à nos jours dans un parfait état de fonctionnement. Mon Oncle n’ayant pas d’héritier, me la offert afin que je puisse le donner à mon tour à mon fils, un jour quand il sera grand… Tu vas donc être fouetté par un objet qui a jadis fouetté une multitude d’esclaves comme toi… Alors, je veux qu’à chaque coup que tu vas recevoir, tu sois encore plus honoré, plus reconnaissant que jamais tu ne l’as été et bien garder en tête l’immense privilège que mon Oncle daigne t’accordé c’est-à-dire que tu sois frappé par un tel objet historique… en effet, ce fouet sort de son armoire vitrée très rarement...

L’émotion et la fierté de posséder mais aussi de pouvoir encore utiliser un tel fouet parfaitement entretenu et conservé pouvait se lire sur le visage du neveu mais aussi sur celui du Marquis d’Evans, son Oncle. Même le chien soumis MDE était très ému, il comprenait et ressentait un tel honneur d’être fouetté par un objet si rare, d’une si grande valeur sentimentale et historique, par un fouet ayant plus de 250 ans, lequel a aussi été certainement tenu en main par le fameux et si célèbre Marquis de Sade (lire Les Origines de la Saga)… Monsieur CharlEd semblait particulièrement excité, son pantalon en cuir un peu serré laissait deviner une protubérance au niveau de son entrejambe.
Etait-ce le fait de voir l’esclave MDE nu et complétement à sa merci qui l’échauffait également ? Il allait pouvoir exercer sa Domination et afficher sa perversité ! Un premier coup vint tomber sur le cul de soumis Endymion MDE, puis un deuxième, le troisième en bas du dos… l’esclave MDE à chaque coup reçut comptait et remerciait à voix haute. Pour le moment, ces trois coups n’avaient pas déclenché de douleurs trop importantes. Deux autres coups tombèrent sur l’abdomen du chien soumis, avec la même intensité. Le sixième coup de lanières fut beaucoup plus rude, il cingla le cul de soumis Endymion MDE, qui cherchait à se débattre, en vain bien sûr ! Le coup suivant vint frapper l’intérieur de la cuisse droite de l’esclave. Il poussa un premier vrai cri et en même temps sa bandaison prenait encore du volume.

Une série de cinq coups vint meurtrir alternativement les cuisses gauche et droite. Soumis Endymion MDE cherchait à se débattre tout en étant fortement excité mentalement et physiquement, ses cuisses commençaient vraiment à lui cuire. Un coup plus fort encore vint frapper le côté droit de l’abdomen du chien soumis MDE, il eut du mal à reprendre sa respiration, il haletait, mais continuait à décompter. Les coups suivants s’enchainèrent à un rythme soutenu, l’un d’eux arrachait une larme et des cris à soumis Endymion MDE. Son cul, ses cuisses et son ventre était en feu, ses membres lui faisait mal du fait de la tension que lui-même leur imposait. Mais malgré ça, sa bite appréciait encore plus le traitement, jamais elle n’avait été aussi dure et imposante, jamais il ne l’avait vu aussi gonflé de désir d’excitation masochiste… Monsieur CharlEd lui aussi bandait ostensiblement, d’ailleurs de sa main gauche, il se caressait l’entrejambe, son pantalon de cuir n’arrivait plus du tout à cacher cette bosse énorme.

- Allez chien, un dernier effort, les cinq derniers, mais plus forts encore, c’est ton cul qui va prendre…

Monsieur le Vicomte d’Evans avait prévenu, l’esclave MDE hurlait et tentait de reprendre sa respiration, de grosses larmes coulaient le long de ses joues et brouillaient sa vision.
Un long hurlement répondit au dernier claquement du fouet sur la peau nue du chien soumis alors qu’il était à la limite de l’éjaculation tant la forte douleur jouissive l’excitait, il lui fallut quelques secondes pour reprendre sa respiration. Mais sitôt après, le chien soumis MDE sentit une main qui gentiment lui essuyait le visage. Monsieur le Vicomte était rayonnant, ces yeux bleus étincelant. Il embrassa avec force et à pleine bouche soumis Endymion MDE, un baiser qui lui fit oublier instantanément les innombrables ondes de douleurs transportées dans tout son corps… La queue de l’esclave MDE dressée à son paroxysme montrait son état aux deux Nobles ! Il était bien, très bien même, jamais il n’avait ressenti une telle béatitude, une telle quiétude, peut-être même une douce sensualité, une authentique sérénité.

- Tu mérites vraiment ton statut de slave MDE, le Maître peut être fier de toi… Embrasse le manche de ce magnifique fouet ancestral, ce fouet qui t’a procuré tout ce que tu viens de vivre sous ses lanières …

Alors que Monsieur le Vicomte d’Evans tendit le fouet sous la bouche du chien soumis MDE, celui-ci y déposa un baiser du bout des lèvres avec une évidente reconnaissance… Sitôt la séquence terminée, tous les Dominants se levèrent et firent un standing ovation. Tous applaudirent à tout rompre, puis ils félicitèrent Monsieur le Marquis d’Evans pour son savoir-faire, pour son « savoir-dresser » puis ils virent congratuler Son chien soumis maintenant détaché, se tenant avec difficulté debout et mains sur la tête. Il se laissait tâter, palper, caresser. On examinait de près les marques rougeâtres et boursoufflures de sa peau, une ou deux mains le branlèrent même, lui imposant un sévère self contrôle à sa jouissance non autorisée …

- Allez à quatre pattes Mon chien, suit moi !

Le Maître et soumis Endymion MDE quittèrent la pièce, fièrement et l’un et l’autre, et se dirigèrent vers le bureau de Monsieur le Marquis d’Evans. Le Maître, sans doute par pudeur, attendit d’être en tête à tête avec Son chien soumis MDE pour le féliciter, le congratuler, le caresser, lui dire sa fierté et son bonheur d’avoir un esclave MDE tel que lui ...

(A suivre…)

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