La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 557)

franckdocile au Château - Voici un nouveau récit fort prometteur écrit par franckdocile que je remercie sincèrement et récit amélioré par mes soins -

La météo tournait à la pluie fine dans un ciel gris sombre et bien bas en ce samedi d’octobre où je me rendais à la gare la plus proche avec, certes une appréhension évidente, mais aussi avec une excitation fortement ressentie dans mon état d’esprit quant au but de mon voyage…

- Bonjour, Monsieur, j'aimerais un aller-retour pour Beaujeu dans le département du Rhône, balbutie-je au guichetier.
- Beaujeu ?, c'est bien la première fois que quelqu'un part d'ici pour aller là-bas, me répond le guichetier en attendant que je continue la conversation qu'il essaye de lancer pour satisfaire sa curiosité.
- Il faut bien une première à tout !, n'ayant absolument aucune envie de lui dire que j'allais dans le Beaujolais pour rejoindre Monsieur le Marquis d'Evans dans son Château, l'antre de la Domination/soumission.
- Voilà, bon voyage, Monsieur, me répond-il de manière professionnelle cette fois.
- Merci. Au revoir, répondis-je d'un ton pressé en quittant promptement le guichet de la gare.

Je ne ferai plus marche arrière maintenant, les billets sont achetés, le grand départ aura lieu demain matin à 6h. Inutile de vous dire qu'à ce moment précis mon cerveau est en ébullition, je me pose une multitude de questions et un nombre incroyable de sensations se chevauchent dans mon intérieur. Cela faisait de nombreuses années que j'avais découvert ce penchant de ma personnalité qu’est l’envie d’obéissance, de soumission et malgré mes efforts pour le cacher et vivre une vie traditionnelle, j'avais dû me rendre à l'évidence : J'aime être soumis, j'aime obéir, j’aime être dirigé. Je naviguais avec plus ou moins d'assiduité sur les sites internet spécialisés durant ces longues années sans jamais franchir le pas d'avoir une expérience réelle. Cela a basculé lorsque je cliquai pour la première fois sur le site du Château de Monsieur le Marquis d'Evans.

Je l'ai senti immédiatement. J'ai envoyé une lettre d'éloges à ce Marquis qui m'avait tant fait bander à travers ses récits érotiquement D/s, et à ma grande surprise, il m'a répondu très poliment et avec une gentillesse insoupçonnée. Sachant la chance que j'avais d'être en contact avec cette personne extraordinaire, je m'étais juré de ne pas le décevoir et de me soumettre au moindre de ses souhaits. Je m'attendais à de longues heures de soumission virtuelle avant d'avoir l'occasion de réfléchir si je devais franchir le pas mais cela c'est passé très différemment : Il a très vite pris le pouvoir sur moi et m'a ordonné de venir passer une semaine dans Son Château à partir de ce samedi. Je ne sais pas pourquoi ni comment mais je me retrouve maintenant dans ce train en direction de celui qui fera de moi absolument tout ce qu'il exigera. Pourquoi n'ai-je pas fait marche arrière ? Pourquoi ai-je accepté de Lui ce que je n'ai jamais osé accepter de personne ? Que va-t-il m'arriver ? Serai-je à la hauteur ?

Le voyage sera long et si je continue à me poser mille questions par minute ma tête va sans doute exploser. Le fait est, que moi homme marié, deux s, personne respectable et respectée dans ma vie publique, jamais eu d'aventure extraconjugale, jamais eu de relation à plusieurs, jamais sucé une bite, jamais été pénétré, allait se soumettre aux moindres exigences de ce Marquis d'Evans dont vous connaissez tous la renommée et l'expérience en Domination. Cela m'apeure un peu mais m'excite encore plus. Il suffit pour constater cela de sentir ma bite encore une fois tendue comme un arc dans mon boxer à la simple pensée d'être un chien servile à la botte du Maître Marquis d'Evans. Je n'arrive pas à sortir de ma tête toutes ces histoires, toutes ces images vues sur Son site internet. Les heures de voyage passent à la vitesse de l'éclair tant mon esprit est occupé par ce fourmillement de questions et images et mélange de sentiments. Me voilà arrivé à destination, je sors du train m'attendant à voir la limousine du Marquis comme il en est question dans certains des récits du Château mais il n'en est rien.
Comment ai-je pu être aussi bête de ne pas avoir prévu la fin du voyage. Je n'ai aucun moyen de transport et ne sais même pas l'adresse exacte du Château. Ce que je sais, c’est que Beaujeu est la gare la plus proche ou du moins c’est celle laquelle Il m’a ordonné de me rendre mais je ne sais pas de quel village exact se situe le Château parmi la bonne dizaine de communes probables. Je me retrouve donc seul, penaud, comme un imbécile sur la place devant cette petite gare rurale et ne sachant où aller… Quand tout d’un coup, mon téléphone portable sonne :

SMS inconnu : « Sort de la gare, et va droit devant toi et quand tu seras près du haut mur tapissé de lierres grimpants à l’angle de la rue, enlève tes chaussures, chaussettes et le haut, ne garde que le jeans, espèce de chienne.

Je suis surpris et je panique, je regarde de tous les côtés... Me mettre ainsi torse nu et pieds nus devant les gens en plein mois d’octobre. Je regarde de nouveau autour de moi et à vrai dire, il n’y a pas grand monde, à part un jeune couple qui attend un train et le chef de gare au bord de la voie ferrée. Alors, je sors de la gare et m’éloigne droit devant moi, sans répondre au SMS mais plutôt en m'exécutant rapidement. Me voila près du mur, ou au pied du mur, si je puis dire, Torse nu et pieds nus, et me voilà peu avancé, le pire et que je bande comme un phoque ! De nouveau mon portable se met à sonner :

SMS inconnu : « Pose tes affaires sur le banc vert en face de toi » puis encore un autre SMS :
SMS inconnu : « Contourne sur 3 mètres le mur sur ta droite et tu trouveras une petite impasse entre la boulangerie et La Poste » puis de nouveau un autre SMS :
SMS inconnu : « Puis va au fond de cette impasse en cul de sac, met toi face au mur et mains sur le mur »

Toujours aucune réponse de ma part, je m'exécute docilement et rapidement. 5 minutes passent, 10 minutes un quart d'heure, jusqu'à ce que j'entende une voiture arriver lentement et s’arrêter à l’entrée dans l'impasse.
Puis deux portes qui claquent et des bruits de pas, ils s'approchent, mon cœur bat la chamade.

- Ne te retourne pas, reste comme ça comme une bonne chienne soumise.
- Oui, Maître
- Qui t’a autorisé à parler ?... A partir de maintenant, tu parles quand je te pose une question. Je t'ai pas posé de question alors tu te tais et tu obéis ! Ou alors tu repars tout de suite et tu ne reviendras jamais et tu oublies pourquoi tu es venu ici

Je ne réponds rien et je bande encore plus mais je ne bouge pas pour bien monté que je suis bien décidé à rester. L’homme me touche les fesses et la bite par-dessus mon pantalon : mon premier contact avec un homme.

- En plus, tu bandes comme un salaud, Monsieur le Marquis avait encore raison, tu dois être une sacrée chienne.

Cet homme doit alors être un serviteur du Marquis qu'il envoie me chercher ou alors Walter le fameux Majordome en personne, celui des récits du Marquis. Mais je ne m'aventure surtout pas à demander qui il est, puisque je dois faire silence.

- Tu te mets nu et tu rentres dans le coffre ouvert de la voiture à la sortie de l'impasse. Je ne veux pas t'entendre jusqu'au Château, petite chienne. »

Sans me retourner je me déshabille très vite, une fois totalement nu, j’exhibe malgré moi une forte érection que je ne peux pas contrôler, tant je suis excité de la situation. On me met alors un bandeau sur les yeux et on me guide jusqu’au coffre pour m’y enfermer recroquevillé. La voiture ne tarde pas à démarrer. Le trajet dure environ 20 minutes, dont 15 sur une route goudronnée et les 5 dernières minutes sur un chemin carrossé mais qui n’évite pas certains petits cahots à me secouer un peu, jusqu'à ce que je l'entende franchir les grilles du portail qui se referment juste derrière nous. Le véhicule roule encore 2 minutes puis se gare sur des gravillons et j’entends qu’on sort de la voiture. J'attends dans le coffre de nouvelles instructions. C'est long.
Ca y est j'entends des bruits de pas sur le gravier de ce que je suppose être la cour du Château. Le coffre s'ouvre enfin.

« Sors et suis nous, ne dis surtout rien ! »

Je sens que ma nouille est encore en forte érection par le fait de me trouver nu dans cette cour devant des gens. On m’enlève le bandeau. Je cligne des yeux surpris par la lumière naturelle malgré le gris uniforme du ciel. Quelle surprise ! Il y a là en face de moi, une petite dizaine de voitures luxueuses garées bien en ordre dans la cour du Château, il doit y avoir au moins une quinzaine de personnes à l'intérieur. Je vois de suite ceux qui m’ont conduit jusqu’ici, il s’agit de deux hommes de forte taille et très bien habillés, cravatés à l’élégance certaine dans leur costume impeccablement coupé. Ils en imposent beaucoup par leur carrure. Soudain deux femmes à quelques mètres, débouchent d’un angle d’un mur, elles sont entièrement nues à part un épais collier de métal autour de leur cou et enchaînées par leurs poignets respectifs, marchent la tête baissée doucement en direction de l'entrée principale du Château. Moi qui m'attendais à un tête à tête avec le Maître. Les deux femmes sont superbes au silhouette magnifique, aux formes parfaites, avec une poitrine généreuse et un sexe entièrement épilé, elles marchent fièrement mais toujours le regard vers le sol quand elles passent devant moi, ce qui me permet de lire, une inscription sur chacun de leur collier : ‘’soumise Phryné MDE’’ pour la première et ‘’soumise Laïs MDE’’ pour la seconde, deux célèbres soumises de Monsieur le Marquis. Je baisse instinctivement la tête pour m’apercevoir que ma bite est tendue bien dressée à la verticale, alors je mets par réflexe donc les mains pour cacher un peu de mon intimité. On m’ordonne d’ôter mes mains, que je ne dois pas cacher mes génitaux et d’avancer, de suivre les deux femelles. Avant de gravir les marches, soumise Phrynée MDE se retourne vers moi :

- Mets les mains dans le dos sinon cela va mal se passer. Surtout baisse les yeux ne dis rien et suis nous. Si quelqu'un te pose une question répond très poliment et garde toujours les yeux vers le sol. Fais tout ce qu'on te dit immédiatement sinon tu feras très mauvaise impression et c'est très dur de se rattr par la suite.

En d'autres termes, je vais rentrer nu dans un Château et être exhibé à la vue de tous et aucune idée de ce qui va m'arriver ensuite. C'est surréaliste. Comment ai-je fait pour me retrouver là ? Impossible de faire marche arrière au risque de ne jamais pouvoir revenir. Alors, j'obéis, je rendrai ainsi le Maître Vénéré fier de moi, c'est tout ce que j'ai à faire, tout ce que j'ai toujours voulu de toute façon. C'est dans cet état d'esprit que je pénètre dans le grand hall d'entrée du Château, puis dans la Grande Salle de Réception. Je vois des gens affairés par ci et par là. Mes deux guides femelles soumises MDE avancent d'un pas lent et n'ont pas du tout l'air gênées de leur totale nudité par les regards des gens. Elles avancent d'un pas décidé vers une haute double porte majestueuse qui est fermée, puis s'arrêtent se mettent à genoux, mains derrière le dos, seins en avant, tête baissée et attendent et me conseillent de faire de même, à leur côté ... Nous attendons ainsi une dizaine de minutes, devant ce que je crois être la fameuse Grande Bibliothèque du Château aux 25 000 livres et manuscrits, pendant que le personnel du Château poursuit tranquillement ses tâches quotidiennes. Soudain la porte s'ouvre, un homme que je n'ai jamais vu sort. Il n'a d'yeux que pour les deux soumises MDE qu'il tripote vigoureusement et leur pince abondement les tétons puis s'en va l'air heureux. J'entends les pas d'un deuxième homme sortant aussi de la Grande Bibliothèque. Le bruit des pas sont majestueux, posés et annoncent un homme de forte personnalité. soumise Phryné MDE a juste le temps de me prévenir en me murmurant doucement :

- Attention, voila le Maître.

A ses mots, je suis subitement saisi d’une émotion immense. Enfin le grand moment est arrivé, enfin je me trouve en face au Maître, ce moment tant espéré, tant attendu est enfin arrivé. Mon cœur bat très fort et ma verge ne débande pas, bien au contraire. Maître le Marquis d'Evans se présente devant nous avec un large sourire que je devine (baissant la tête) au son de sa voix posée, calme mais paradoxalement stricte, sévère.

- Mes chiennes, que vos langues lustrent mes chaussures pendant que j'explique deux trois choses à ce petit nouveau lequel on vient de m’informer de sa présence ici avec vous, ce petit frankcdocile ! énonce-t-il avec un charisme fort impressionnant.

Les deux soumises s'affairent immédiatement sur les chaussures du Marquis m'offrant une vue imprenable sur leurs orifices largement exhibés.

- Bonjour, frankcdocile, je vais te dire quelques règles que tu devras scrupuleusement respecter. Ne t'avise pas de désobéir à l'une d'elles, tu risquerais de le regretter amèrement. Tu es le dernier dans la hiérarchie, ici dans Mon Château. Tu obéis aux ordres de tout le monde : Moi, Walter qui est venu te chercher à la gare, Marie la cuisinière, le personnel, mes Amis de passage, bref tu dois obéissance à tous. Un soumis MDE peut aussi devenir ton maître ou ta maîtresse si Je lui ordonne. Si tu n'as pas d'ordre contraire ton regard doit toujours fixer le sol juste devant toi. Tu peux donc arrêter de mater les chattes mouillés de Mes soumises entrain de lécher Mes chaussures. Si tu n'as pas d'ordre contraire, tu seras toujours nu et tu ne cacheras jamais ton anatomie et c’est ainsi que tu évolueras dans les couloirs ou autres lieux de Ma Demeure. Tout le monde peut te mater et te toucher autant qu'il le souhaite. Compris, le chien ?

- Oui, Maître Vénéré, répondis-je trop impressionné (et excité).
- Cela n'est pas mon problème que tu n'aies jamais eu de relation physique avec un homme, ni avec plusieurs personnes. C'est à toi de t'appliquer et de faire de ton mieux dans tout ce que je t'ordonne. Compris ?
- Oui, Maître Vénéré.
- Mes chiennes vont te montrer le petit chenil. Pour le moment tu ne mérites pas le grand qui est à l’extérieur. Tu y attendras de nouveaux ordres quand j'aurais envie de m'occuper de toi.
- Merci, Maître de prendre soin de moi.

Monsieur le Marquis d’Evans ensuite donne donc ordre à Ses deux femelles de m’emmener jusqu’au petit chenil. Je suis de près les deux soumises MDE qui me guident par des étroits escaliers de pierre en colimaçon fort abrupts dans les caves du château. Nous passons devant des cachots vides, j'aperçois des noms qui me sont familiers sur ceux-ci : e6934 MDE, Laïs MDE, Phryné MDE, … Un peu plus loin un cachot occupé par un soumis : Endymion MDE... Pas un regard de sa part pour le convoi que nous formons, il a l'air vraiment bien éduqué en tenant sa tête et ses yeux baissés. Je m'attends à voir un cachot à mon nom, mais il n'en est rien. Ma place est dans le petit chenil, une grande cage avec des matelas posés un peu partout, des assiettes près d'une ouverture d'un grillage, un seau de sciure pour les excréments et comble du luxe, une caméra pointée sur la cage pour être sous surveillance 24h sur 24. Ce sera donc ma demeure pour cette semaine. J'y suis pour l'instant seul mais j'ai bien compris que cet endroit pouvait « héberger » un nombre important de soumis dans des conditions vraiment humiliantes. Je passe de longues heures ici à attendre que le Maître m'appelle auprès de Lui, et ce moment arrive enfin en début de soirée.

J'aurai l'honneur d'aider en cuisine à servir le repas du Maître. Marie La cuisinière qui règne en Maître sur les lieux m'explique avec un ton fort et humiliant comment je dois me comporter : Attente à genoux, regard au sol, se taire, ne pas renverser, servir attendre cinq secondes puis retourner en position d'attente devant la porte de la cuisine. Le Maître dîne avec deux amis. Je me dis que je vais sûrement être utilisé sexuellement ce soir, mais il n'en sera rien. Uniquement du service et des remarques des Invités sur ma docilité et sur mon physique. J'aurais aimé qu'on m'utilise, qu'on me baise comme une chienne que je suis mais non... Le Maître n'avait pas cela en tête pour moi ce soir-là et je finis la soirée et la nuit dans mon chenil miteux. En revanche, le deuxième jour allait être tout autre…

(A suivre …)

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