Le Marin. Et Les Pics Assiettes. (3/4)
Après avoir soûlé lhomme qui jouait les pics assiette avec sa femme, Robert mon cousin pompier et moi Marin en permission sommes en train de le punir par lintermédiaire de sa femme Espoir à qui nous avons fait lamour pendant quil est retourné travailler en Espagne où il conduit un chantier de construction.
Actuellement, nous descendons dans le métro alors quelle a simplement sur son dos un imperméable avec des talons hauts.
Dune manière sous-jacente, je ressens quelle est aussi soumise à son homme quelle lest avec nous après quelle nous est expliquée, comment elle la connu et comment il la entraîné à devenir des pics assiettes.
Elvis hormis le fait quil prend son pied à gruger ses interlocuteurs adore lexhiber près dautres hommes plus puissants que lui.
À la longue, elle-même y a pris goût, car chaque fois quil lui dit savoir la date dune soirée, elle aime à aller dans les réserves de vêtements des studios de Boulogne-Billancourt où elle a une amie qui discrètement lui prête ce quelle veut pour le week-end comme vêtements.
Nous prenons le métro station porte de Saint-Cloud, Robert connaît le parcours quil souhaite nous faire prendre.
Dès que nous entrons dans la rame, la foule à cette heure est clairsemée et nous plaçons Espoir, debout à une barre où il y a déjà deux hommes. Nous rejoignons la barre daprès et nous observons le trouble qui semble gagner la petite de ce savoir offerte à nos regards et surtout au regard des autres.
À Michel ange Auteuil station croisant une autre ligne, peu de monde quitte la rame et un grand nombre de passagers montent.
Lun des deux hommes déjà là se déplace légèrement près des fesses de notre amie comme si la foule len obligeait.
À quatre mètres de là, nous sommes mal placés pour voir ce qui se passe surtout au bas des corps, mais la rougeur qui monte à ses joues nous confirme que lhomme doit agir vers son intimité.
Nous voyons notre copine porter la main à son revers dimper et lorsque le métro sarrête, nous entendons un cri. Lhomme descend précipitamment portant sa main vers son intimité.
Je vois Espoir rattacher un bouton de son imper qui semble, cêtre malencontreusement ouvert.
En même temps, elle replace ce quelle a pris dans le revers de son imper.
Bizarrement un certain vide, cest fait autour delle. Avant que mon cousin ne saperçoive de mon mouvement, je la rejoins me place comme lhomme derrière elle et la colle contre la barre.
Nous nous arrêtons à une station et le wagon se remplit. Je passe ma main par-devant et jouvre le bouton quelle vient de remettre.
Je trouve sa chatte qui aime me recevoir et je peux constater que toutes ces péripéties lont fait énormément mouiller.
Je relèverai bien son imper pour lui caresser les fesses, mais nous arrivons à la station Miromesnil où nous devons descendre pour un changement.
Dans le couloir qui même à lautre quai, elle nous montre la petite aiguille quelle porte toujours sur elle dans le métro comme sa mère lui a appris à le faire des années plus tôt lorsquelle est entrée à la faculté de Nanterre après son bac.
Station Pigalle, nous descendons semblant être arrivés au terme de notre parcours en métro.
Sur le trottoir de gauche du Boulevard de Rochechouart Robert sarrête et demande à notre soumise de remonter le boulevard, jusquà ce quelle nous rejoigne.
Il loblige à attendre cinq minutes montre en main avant de se mettre en marche.
Nous parcourons environ vingt mètres rapidement et grâce à une camionnette qui nous cache, nous la voyons attendre semblant un tantinet anxieuse.
Robert me demande de redescendre la contre-allée pour la rejoindre sans quelle me voie et de la suivre par larrière.
Pendant lattente, elle est devant une boutique de sous-vêtements coquins.
Elle regarde sa montre et sans me voir malgré ma tenue placée derrière un arbre faisant celui qui lasse une chaussure, je la vois remonter le trottoir.
À cinq mètres, je la suis, mais à aucun moment elle ne tourne la tête.
Dun pas rapide, elle avance comme lui a demandé Robert.
Un moment un grand homme de couleur laborde. Il est sympa le cousin, je me vois obligé de me colleter le monsieur sil devient entreprenant avec notre copine.
Heureusement, il décroche et nous poursuivrons notre chemin sans voir le képi du pompier.
Nous venons de passer le Moulin Rouge et nous attaquons les boîtes à strips.
Dès la première laboyeur propose à Espoir de venir sexhiber, car il lui dit quelle est canon. Vu la boîte jaurai dit bandante.
Voyant quelle reste la tête droite dans le sens de sa marche je me suis rapproché et je peux entendre ce quil a dit.
Elle passe faisant celle qui a un autre but que la proposition du portier.
Arrivé à sa hauteur, il me propose au marin de venir voir son spectacle le meilleur de Pigalle avec les plus belles filles du monde, je dois décrocher de dix mètres de peur quelle saperçoive que je suis derrière si elle entend parler de Marin.
Je repère le képi de Robert en même temps que je voie Espoir discuter avec mon cousin et un homme qui semble être le rabatteur de la boîte devant laquelle elle est arrivée.
Jarrive à leur hauteur et Robert me présente le patron de la boîte devant laquelle on est.
Ils se connaissent, car cest le secteur dans lequel mon cousin fait les inspections réglementaires avant ouverture ou rénovation, ce qui a été le cas, il y a un mois ici.
Robert en faisant attendre les petites cinq minutes a eu le temps de parler au patron de ce quil attend de lui et il nous fait entrer par la porte sur le côté des artistes.
Jignore ce quils ont fomenté, mon cousin refusant de me dire où est parti Espoir qui a suivi le patron.
Lhomme ressort et nous invite à le suivre, derrière le rideau dans la salle plongée dans la pénombre.
Ils nous installent à une table et après quil eut fait un geste à la serveuse, une bouteille de champagne arrive sur notre table.
En pleine lumière, une effeuilleuse monte sur la petite scène et agrippe la barre.
Le peu de vêtements quelle porte senvolent un à un et terminent les seins dénudés et la chatte simplement recouverte avec un carré de feutre noir qui cache le minimum sauf ses grandes lèvres qui semblent bien développer.
Cest le moment où la musique sarrête que la lumière séteint et quune voix nous demande dapplaudir.
Cétait Tania jolie fille originaire de Budapest où elle a travaillé dans les plus grands cabarets recommencés à lapplaudir.
Un temps darrêt toujours dans le noir.
La même voie nous annonce.
Venu des États-Unis pour votre plus grand plaisir la merveilleuse, la pulpeuse Alexandra.
La lumière sallume et je suis presque déçu de voir sur la scène une rousse filiforme qui doit mesurer une tête de plus que moi. Je suis déçu, car javais cru quEspoir allait venir sur scène.
Nous trinquons ensemble pendant le numéro de miss Amérique qui est peut-être née au fin fond de la Creuse, mais elle est tellement pro quelle sait nous faire bander.
Le marin et le pompier semblent être son centre dintérêt jusquau moment où elle descend de la scène vient sasseoir sur ma tige, car je bande comme un taureau.
Ce doit être une ancienne dans la boîte pour venir au contact avec le public chose que les filles évitent de faire, car les murs sont très strictes avec les boîtes à strip et les maisons de passes.
Au moment de remonter sur scène, elle fait le geste interdit, elle me prend mon bachi, le pose sur sa tête avant de sen servir chaque fois quelle enlève une partie de son vêtement pour cacher soit un sein soit lautre, devant ses yeux pour nous regarder dun air coquin en le déplaçant à droite puis à gauche et pour finir par le plaquer devant sa chatte ayant enlevé son string quelle balance vers moi.
Je pense quelle va en rester là lorsquelle place rapidement sa main et arrache son carré noir quelle jette derrière elle.
Les clients sont debout à lapplaudir lorsque la lumière va séteindre doù je suis placé, elle fait bouger mon bachi et jai le temps de voir une belle touffe aussi rousse que sa chevelure.
Comme pour Tania miss Amérique a droit à des applaudissements très nourris.
Lumière éteinte la voix reprend.
Venue spécialement pour nous dune banlieue huppée de Paris spécialement pour vous voici Débora.
Dun pas hésitant Espoir entre sur scène.
Ils lont fringué comme une vraie pute avec un maquillage outrancier.
Est-ce pour la rassurer, mais ils lui ont laissé son imper.
Elle se trémousse de droite et de gauche parfaitement ridicule au point que des clients la sifflent. Elle est à deux doigts des larmes lorsque japplaudis suivi par Robert qui entraîne la salle et galvanise notre jolie poupée qui senhardit.
Pour une première fois, le patron a évité quelle se serve de la barre en plaçant une chaise sur la scène.
Elle découvre une épaule puis lautre, jusquà faire tomber son imper, nous faisant découvrir son corps presque parfait.
Je dis presque parfait pour éviter dêtre targué de chauvinisme.
Elle sassoit et sur un coup plus fort de la batterie, elle écarte largement ses jambes.
Les mêmes tables qui sifflaient commencent à applaudir. Espoir est plus dans le rythme de la musique en se trémoussant assise frottant ses fesses que je sais mutines et bien fermes sur le velours.
Tous se passent bien et en écartant ses cuisses, elle dévoile son petit triangle noir. Ceux où celles qui lui ont placé lont réduite à la limite de la réglementation légèrement plus grand quun timbre-poste.
Assise sur cette chaise les jambes écartées, jai bien envie de sauter sur scène pour lui planter mon vit qui tend mon pantalon à en faire sauter les quatre boutons.
Celui qui gère le projecteur manque de réflexes afin de couper la lumière lorsquen faisant un faux mouvement le triangle noir tombe au sol dévoilant lintégralité de la vulve dEspoir.
Dans sa position ses jolies lèvres intimes sont ouvertes et le rose de son intimité est visible de toutes les tables.
Les clients semblent croire quelle la fait exprès, ils sont debout et applaudissent à tout rompe.
Le patron de la boîte vient vers nous sassoit à notre table et fait signe à la serveuse de changer notre champagne.
Cest la cuvée du patron qui remplace la pisse dâne servi en temps normal aux clients.
Il nous parle de la difficulté quil a à trouver des artistes de la valeur de Débora. Il nous propose de signer un contrat dune semaine jusquau samedi soir qui est la fin pour moi de ma permission.
Robert accepte précisant que demain cest moi qui amènerais sa nouvelle employée.
À aucun moment ce saligaud propose de demander à celle qui depuis ce matin nous donne un plaisir immense si elle est daccord étant certaine davance que son plaisir à être soumise lui fera automatiquement dire oui.
Deux fois encore jusquà minuit, elle repasse sur scène.
Elle prend de plus en plus dassurance et chaque fois à la limite de la légalité le carré noir tombe toujours fortuitement.
La dernière fois cest à la barre quelle sessaye et du premier coup enflamme la salle, car ce sont lorsquelle a les jambes en lair quelle écarte à 180 degrés quil tombe.
Elle est la dernière à passer et le patron nous invite à venir dans les coulisses.
Je comprends pourquoi Espoir a su rapidement se servir de cette barre, car il y en a une, près de leurs loges pour quelles séchauffent.
Espoir nous saute au cou toujours dénudé et est enchanté de la soirée que nous lui avons fait passer.
Lorsque nous lui annonçons quelle a signé un contrat jusquau samedi soir compris.
Elle a un mouvement darrêt, mais finit par sauter comme un cabri pour finir dans les bras de Viviane, la grande rousse miss America qui semble être devenue son amie et est originaire de la Motte Beuvron.
Elle se douche et remet son imper. Javais oublié que cest le seul vêtement que nous lui ayons permis de porter.
Viviane me rend mon bachi ignorant par ce geste qui me donne le droit quand loccasion se présentera de lui toucher son petit pompon roux.
Le patron apporte les enveloppes et remet à Robert celle dEspoir. Il semble quun contrat ait été passé entre eux lorsquil lui a parlé sur le trottoir...
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