Décidément Trop Curieuse

J’ai élu domicile chez une femme dont je suis tombé amoureux il y a deux ans, je l’ai j’ai rencontrée après un divorce tumultueux, Marilyne est femme flic, elle passe régulièrement des nuits dehors a mon grand désarroi
Le plus dur est de me faire adopter par sa fille Laurie dix-huit ans, elle n’admet pas que je prenne la place de son père, en même temps je la sens jalouse des caresses que je prodigue a sa mère comme certains soir lorsque nous somment seuls assis dans une demi pénombre sur le canapé du salon, elle a demi couchée sur moi, moi une main fouineuse entre ses cuisses ouvertes, Laurie trouve toujours un prétexte pour sortir de sa chambre et passer dans le couloir et nous espionner en douce, curieuse et peut être même un brin exhibitionniste, sans doute par provocation, le samedi matin, alors que sa mère est au travail ,elle n’hésite pas a se balader devant moi en nuisette opaque ou une serviette de bain nouée sur ses seins très formés pour son âge, brune, c’est certain !
J’ai décidé de lui montrer qu’en matière de provocation j’étais au top, douche sans fermer la porte, je me ballade en slip bien moulant en faisant en sorte que ma queue soit à demi bandée, ses yeux baissés regardent dans la bonne direction, je fais hurler sa mère certains soir pour lui montrer ma virilité , je sais qu’elle sort avec un garçon et qu’elle couche lui avec en dehors de la maison, depuis quelques jours elle harcelle sa mère afin d’avoir l’autorisation qu’il vienne dormir a la maison

- Nous verrons lorsque tu auras dix huit ans
- Ce n’est pas juste, j’ai le droit d’assouvir mes envies moi aussi, ou alors faites moins de bruits au lit, tu n’as jamais crié comme ça avec papa
- Fin de la discussion
- Tu sais chérie c’est ni plus ni moins, de toute façon ils couchent ensemble et sans doute n’importe où, ici ils seraient en sécurité
- Tu prends sa défense ? alors je ne sers à rien ici
- Tolère-les une fois de temps à autre pour commencer ?
- Merci Loïc, toi au moins tu connais la vie
- Bon d’accord pour un samedi sur deux, mais pas de blague, attention aux rapports protégés
- Bien sûr maman chérie je fais gaffe, c’est moi qui lui met la capote, je vais lui téléphoner pour lui annoncer la bonne nouvelle !
- Cette gamine va me rendre folle !
- C’est la nouvelle génération, il faut s’y faire

Le samedi soir nous voyons arriver un garçon gauche et boutonneux, je pense sincèrement qu’elle aurait put trouver mieux, elle s’accroche a lui pour nous montrer l’amour qu’elle lui porte mais ça sonne faux
Vient le moment fatidique d’aller se coucher, Laurie pressée de se faire sauter tire son mec par la main, il nous balance un’ bonne nuit ‘ timide, Maryline passe a la salle de bain avant de me rejoindre, je prête l’oreille vers la chambre des jeunes pour essayer de décoder les différentes phases de leur union a travers la cloison, ma compagne toute chaude se love entre mes bras pour quémander des caresses précises, je tire sur la nuisette pour découvrir ses fesses et passer mes doigts entre les lobes charnus , docilement elle remonte une jambe pour laisser un passage, j’y trouve une fente humide et accueillante, afin de garder le silence pour mieux espionner le couple je décide de lui brouter le minou, elle s’allonge sur le dos et écarte les cuisses, je me glisse entre, ma langue dardée ouvre le calice , Maryline geint silencieusement, se gardant bien de démonter sa jouissance a sa fille… que deviennent-ils ?? ah … des voix me parviennent mais ce n’est pas des paroles d’amour …voici ce que je comprend a demi-mot :

- Mange-moi la minette Léo, fais moi hurler de plaisir
- Beurk c’est dégueulasse ça pue une chatte ! tu n’as qu’à me sucer la pine
- Certainement pas, bouffe-moi d’abord
- Non !
- Alors tu ne baiseras pas ce soir, bonne nuit connard

Waouh, j’ai l’impression qu’il y a de l’eau dans le gaz, ce garçon ne va pas faire de vieux os avec Laurie, je peux a présent me concentrer totalement sur la vulve bouillonnante de ma concubine, c’est a ce moment là que le téléphone sonne …Maryline s’échappe prestement de mes caresses qui commençaient a porter leur fruits, ses paroles hurlées réveille la maison

- MERDE ET MERDE ! C’est le boulot, je dois y aller chéri
- Que se passe-t-il maman ?
- Des échauffourées en banlieue, ça risque de durer la nuit
- Tu peux ramener Léo au premier bus ?
- Il ne veut pas rester jusqu'à demain ?
- C’est compliqué entre nous, je t’expliquerais
- Toi alors tu ne sais pas ce que tu veux, aller mon garçon vient vite, veille sur ma fille Loïc, je t’appelle avant de rentrer
- Prends soin de toi chérie

La porte refermée, Laurie recouchée, je regagne ma chambre et me met nu sur les draps lumière éteinte, ma queue encore en effervescence réclame son dût, autant me caresser sinon j’en ai pour deux heures avant de trouver le sommeil, je décalotte mon gland et l’enveloppe de ma paume bien enduite de salive qui va me servir de chatte, les yeux fermés je savoure une délicieuse branlette lorsque le matelas s’affaisse sous le poids d’un corps

- MARYLINE ??????
- Chuuuuuutt c’est Laurie, ne bouge plus, je vais remplacer ta main par ma bouche
- File dans ta cham… aaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhoooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiii
- Mmmmmmuuuuuuummmmmmmmm ! elle est boooooonnnnnne et grosse a coté de celle de Loïc !
- Petite dévergondée je le dirais a ta mère ooooooooohhhhhhhhhh que c’est booooooooonnnnnnnnnn, continue, presse mes couilles et astique mon membre …HHHUUUUUUUUUMMMMMMMMMMMMouuiiiii, comme ça

La fille s’acharne en suçotant ma queue à grandes aspirations sonores, je tends la main au hasard dans le noir pour trouver un p’tit cul relevé recouvert par la nuisette, c’est un jeu d’ que de passer dessous et suivre la raie jusqu'à trouver un anus serré et une fente poilue et baveuse, mes doigts vont titiller un trou après l’autre, Laurie mugit en me suçant, preuve d’une certaine impatience …

- Tu voulais te faire brouter le minou ce soir hein ?
- Hum-hum …
- Et cet idiot de Léo n’as pas sut en profiter ?
- Hum-hum …
- Ne lâche pas ma bite et pivote sur moi, je vais te rendre ce service
- Hhhhhhhuuuuuummmm !!!

Je lui soulève une jambe afin qu’elle m’enjambe, une goute de nectar tombe sur mon front, je guide promptement sa vulve pile-poil sur ma bouche, dés que ma langue s’est insinuée profondément dans ce puits embrasé un déluge de jus salé coule dans ma gorge

- Aaaaahhhhhooooouuuuuuuiiiiiii !!!!
- Reprend vite ma queue en bouche je vais décharger
- Ooooouuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii !!! MMMMMUUUUUUUUMMMMMMMM …….

.

J’aspire son clito sorti de sa cachette et le coince entre mes dents protégées par mes lèvres, ainsi prisonnier j’en fais ce que je veux, la jeune chatte redouble de pertes plus consistantes et savoureuses, un véritable tapis de douceur fait pour aider le coulissement d’une bonne queue dans cet écrin tout neuf
Pressé d’en découdre je lui balance mon foutre jusqu’aux amygdales, sans doute peu habituée à avaler un tel torrent une bonne partie retombe sur mes couilles
Laurie essuie sa bouche sur ma cuisse avant de retomber sur le coté, j’allume la lampe de chevet qui fait cligner des yeux a ma jeune belle-fille

- Pourquoi allumes-tu ?
- L’amour se fait au grand jour, je veux que tu assiste à l’engloutissement de ma verge dans ta vulve
- Tu veux me baiser ?
- Il est encore temps pour toi de sortir de cette chambre
- NON !! viens sur moi …

La nuisette vole par-dessus sa tête, les jambes écartées à cent quatre vingt degrés Laurie me tends les bras, j’avance au dessus d’elle, sa main chope ma trique et la tire en direction de sa chatte dont la touffe poissée de sécrétions laisse apparaitre une mini fissure rose, j’abaisse lentement mes reins...

- Va-y baise-moi avec ta magnifique queue, je veux devenir ta maitresse
- Ça ne sera pas facile de nous retrouver, dans l’immédiat je vais te pénétrer sans poses jusqu’à écraser mes couilles sur ton anus

C’est un délice que d’enfoncer mon gland dans ce fourreau soyeux, le col serré écrase ma chair, sous ses yeux écarquillés, pour mon propre plaisir, je répète deux ou trois fois les va-et-vient brefs avant de me décider à tout enfoncer, Laurie me reçois dans un râle interminable, une fois nos poils de pubis mêlés elle noue ses pieds autour de ma taille afin que je ne puisse plus me retirer
Les sursauts de ma queue comprimée dans ce fourreau font tressaillir ma maitresse qui donne des coups de reins pour que je me décide à la pilonner, je fais longuement onduler mon membre afin qu’elle s’habitue a ma présence

- Que c’est bon une bite comme la tienne, jamais je n’ai pris une telle longueur, j’ai l’impression qu’elle me touche le nombril
- Ce n’est pas une impression, à présent lâche mes reins je vais te faire monter au septième ciel
- Embrasse-moi et tape-moi dans la fleur avec ta grosse tige
- A peine expérimentée et déjà un vocabulaire de pétasse

Seuls nos bassins sont en mouvements, je la pénètre tantôt doucement tantôt brutalement ça la rend complètement folle, elle jouit sans discontinuer en me mordant la langue et me griffant le dos … des traces qui seront difficiles a expliquer … la pression monte en moi, mon canal se contracte une fois pour rien, la deuxième fois il envoi un paquet de foutre qui percute violement son utérus, elle devient hystérique au troisième jaillissement , je me fais lourd sur elle afin de la maitriser le temps que mes bourses se vident, sa chatte ne peux contenir tout le foutre qui se déverse dans les draps, deuxième point a éclaircir avec mon amie… mon avenir se fait sombre …

- Wooouuuh quelle chevauchée fantastique !
- Tu es un amant formidable Loïc
- Tu es fatiguée ?
- Tu plaisante ? tu va dépuceler mon cul, laisse-moi me relever que je me mette à quatre pattes
- Ça va piquer !
- Je vais serrer les dents
- Tu sais que lorsque ta mère va rentrer elle va tout découvrir ?
- Partons tous les deux …
- ……va faire ta valise, elle arrive !

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