Une Aventure Érotique : Marise

La sexualité des personnes âgées est un sujet encore assez tabou, pourtant certains en ont une.


Lorsque j’étais étudiant, je louais une chambre chez une dame d’environ soixante dix ans appelée Marise. Très bien conservée pour son âge et très coquette, elle était intéressante et possédait un sens de l’humour décapant. Nous parlions souvent ensemble et nous entendions très bien. A cette époque mon corps de jeune homme était en ébullition et malgré mes nombreuses conquêtes féminines je me masturbais journellement.


J’avais assez d’imagination pour jouir de mes pensées, mais j’utilisais aussi des magazines pornos relatant des histoires érotiques et présentant des photos de femmes nues. J’avais plusieurs fois constaté que ses lectures là bien que cachée au fond du placard n’étaient pas dans la même position que je les avais laissées. Etant seul locataire, la seule autre personne possédant la clef de la chambre était Marise, j’en conclu que s’était sûrement elle qui profitait de mes petits secrets ! Après cette constatation je n’ai plus regardé Marise de la même façon, je l’imaginais plus jeune, cela avait du être une très jolie femme car il se dégageait d’elle un charme et une sensualité rare chez une septuagénaire.


Un matin que je me douchais, j’ai eu la sensation d’être épié, la porte était fermée, mais la serrure pouvait très bien permettre à la dame de jeter un œil et de m’observer. Malgré moi mon sexe se mit à durcir à cette pensée, bien que pas du tout sûr de la chose et me disant que je divaguais, je pris cependant des poses plus suggestives pour exciter l’éventuelle voyeuse. Un jet de sperme vient même mettre un terme à cette douche voluptueuse.


Ce jour là, alors que je m’apprêtais à partir à la FAC, Marise, l’œil coquin me dit bonjour et me souhaita une bonne journée. Le doute s’insinuait en moi de plus en plus…


Plusieurs fois les semaines qui suivirent je me sentis épié : dans la chambre le soir alors que je me branlais en matant une revue cochonne, de nouveau sous la douche et même un jour que j’avais ramené une fille dans mon lit il me sembla que l’œil égrillard de Marise nous lorgnait !


Tout bascula et j’ai eu la preuve de mes doutes le jour où, un cours annulé, je rentrais plus tôt que d’habitude de l’université.

En rentrant dans ma chambre j’ai eu un spectacle qui m’a coupé le souffle ! Marise était assise sur un fauteuil, jambes écartées, jupe relevée et se masturbait à pleine main tout en lisant un de mes magazines pornos.
Rouge comme une pivoine et ne sachant comment me comporter, je restais là, bras ballants comme hypnotisé.
La dame, elle partie semble t’il trop loin dans son plaisir, jouit en criant.
Essoufflée et à son tour gênée par la situation elle me dit :


« Paul, je suis désolée, je m’excuse, je ne pensais pas que tu devais rentrer à cette heure là. »


« Mais non ce n’est p… p… pas gra…grave » bégayais je sous le stress de l’instant.


« C’est très gênant comme situation, tu dois te dire que je ne suis qu’une vieille dégueulasse ! » » Dit-elle les larmes aux yeux.


Reprenant contenance, je la rassurais :


« Oh non Marise, ne pensez pas cela, vous êtes très belle au contraire, je trouve que c’est bien que vous ayez encore des désirs érotiques. »


« Ca oui j’ai des désirs, j’ai toujours eu une vie sexuelle active et même encore à mon age je ressent le besoin de me masturber fréquemment. »


S’en suivis une conversation qui m’apprit que Marise avait connue de nombreux hommes avant de faire la rencontre de son mari à l’âge de 35 ans, par la suite elle avait eu deux s et une vie sexuelle bien remplie avec son époux. Malheureusement pour elle, son conjoint disparut prématurément à l’age de 70 ans, il y a cinq ans de cela. Depuis elle doit se contenter de se masturber car n’osant pas aller vers les hommes plus jeunes.


Je ne sais pas ce qui m’a pris mais la voir à la fois si triste et si belle alors qu’elle me racontait sa vie me fit prendre conscience que j’avais envi d’elle ! La prenant dans mes bras, je la câlinais et fini par l’embrasser. Répondant avidement à mon baisé, c’est par la suite, les larmes aux yeux qu’elle me regarda me déshabiller pour lui faire l’amour.



Au début elle ne voulait pas que je la vois nue, nous devions baiser dans le noir, mais la rassurant sur sa beauté et ses formes encore très excitante je réussi petit à petit à lui faire reprendre confiance en elle.


Bien qu’à l’époque, j’étais expérimenté pour mon âge sur les choses du sexe, je dois dire que Marise m’a appris de nombreuses façons de faire jouir une femme. Etudiant, je l’étais aussi désormais auprès de ma Maîtresse septuagénaire. Sa connaissance sur le sujet était faramineuse, elle m’offrait toute une vie de savoir et grâce à elle ma sexualité est aujourd’hui très riche.

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