Les Filles De L'Autoroute Du Soleil.

A la fin du mois d’août, j’ai aidé un ami à déménager de Lorraine vers la région de Béziers où il avait été muté à la suite d’une promotion. Il avait loué une grande camionnette pour transporter le peu de mobilier et d’affaires qu’un jeune célibataire peut posséder.

Nous avions déjà fait pas mal de route puisque nous étions partis vers 22 heures et qu’à 7 heures du matin, nous étions dans la région de Valence… à deux pour conduire, on n’est pas obligé de faire des pauses à rallonge pour se reposer un peu…
Je dois dire que Ludovic me considère un peu comme un grand frère qu’il n’a pas eu… Il est âgé de 28 ans alors que j’en ai presque le double. Nous étions voisins… Comme je suis veuf et que de son côté, il a perdu récemment ses deux parents, nous nous sommes rapprochés, partageant des loisirs communs comme la randonnée au sein du club local, des sorties en boîte bien que je n’aime guère la musique assourdissante qui y est jouée.

Lorsque nous avons repris la route après une pause prolongée pour le petit déjeuner, la circulation sur l’autoroute A.7 s’était bien densifiée car c’était un début de weekend. Bref, nous allions au devant de bouchons et autres ralentissements… Mais en fait, nous n’étions pas particulièrement pressés… Il fallait arriver assez tôt pour décharger la camionnette le soir même pour que je puisse repartir seul le lendemain dimanche. Pendant que Ludovic conduisait, je recherchais sur une carte la possibilité de quitter éventuellement notre itinéraire si la circulation devenait trop chaotique…
Soudain, il s’est écrié :
• Regarde le deux nanas qui vont nous dépasser ! Elles ralentissent à notre hauteur et font des grands signes… Je me demande ce qu’elles veulent !

Effectivement, une jolie décapotable récente de marque française nous a dépassés et nous avons pu voir que la conductrice blonde et sa passagère brune étaient les seins nus… Waouh… Il fallait ne pas être distrait par cette jolie vision dans le soleil levant… Puis la conductrice a accéléré pour ne pas gêner les autres véhicules et s’est stabilisée à une centaine de mètres devant nous… puis au bout d’une dizaine de minutes environ, elle a fortement ralenti tant et si bien que Ludovic a du dépasser le cabriolet qui roulait à peine à 60 km/h… Lorsque nous sommes arrivés à leur hauteur, les filles n’avaient pas changé de tenue et continuaient de nous faire de grands gestes… En agissant ainsi, elles avaient pu voir les deux personnes à bord de la camionnette…

Moins de quelques minutes plus tard, la décapotable nous dépassait à nouveau et la passagère à demie retournée tenait dans ses mains une grande feuille de carton avec ce message : « Suivez nous… Prochain parking ».



Le prochain parking n’était pas très éloigné… 1000 mètres annonçait le panneau en bordure de l’autoroute… Il s’agissait d’une simple aire de repos et lorsque le cabriolet s’est engagé sur la voie de décélération, Ludovic en a fait autant. Il a suivi la voiture qui s’est dirigée vers le coin le plus éloigné à l’abri des grands buissons de lauriers roses en fleur où les deux véhicules ont été garés côte-à-côte.
La brune était déjà descendue et s’approchait de moi qui étais en train de descendre de la camionnette. Elle s’est adressée à nous en disant :
• Oh les mecs… vous n’avez pas envie de contenter deux coquines qui s’ennuient sur la route ?

C’était une jolie brunette, la peau très mate, des cheveux mi-longs noirs mais ce qui m’a attiré l’œil en premier, c’est sa poitrine nue : deux jolis seins bien ronds en forme de dôme qui pointaient leur aréole comme gros pois… Elle avait des yeux noirs sous de longs cils et une bouche charnue qui appelait le baiser… Il émanait de cette fille une sensualité torride !
Pendant ce temps, la blonde, beaucoup plus grande me semblait-il, s’était dirigée vers Ludovic et avait entrepris de l’émoustiller en se trémoussant devant la portière. Le sort en avait décidé ainsi… A Ludovic la blonde, à moi la brune ! Je lui demandai :
• Que voulez-vous ? Vous aguichez les conducteurs en roulant les seins nus… et après ?
• Si vous êtes partants, on s’offre à vous… Si vous voulez une fellation, c’est d’accord, si vous voulez plus, c’est OK aussi mais en étant couvert ! Pas de risques inutiles !
• Waouh ! Toi, on peut dire que tu vas droit au but… Serais-tu une supportrice de l’O.M. ?
• Non, j’ai toujours été directe… Je t’ai vu dans la camionnette et je me suis dit que tu me plaisais bien avec ta barbe bien taillée et ton regard pénétrant…

Là-dessus elle s’est approchée de moi en tendant ses lèvres… Je ne pouvais pas refuser ce cadeau qui nous tombait du ciel… Je l’ai enlacée et aussitôt son bassin s’est collé contre le mien et s’est mis à tournoyer pour achever de faire monter la pression qui naissait dans mon boxer.
Dans des baisers torrides sa langue cherchait la mienne. Envahissant ma bouche de sa langue, elle pressait ses seins nus et durs contre mon torse après avoir entrouvert ma chemisette. Waouh, quelle fougue, quelle fille chaude !
• Viens, éloignons nous un peu. Laissons Ludovic et ta copine… Ils semblent bien partis eux aussi…
• Oh oui, d’ailleurs ma copine est encore plus chaude que moi, et ce n’est pas peu dire !

Dès que nous avons été à l’abri des regards, la brune m’a encore embrassé tout en massant mon sexe qui n’en pouvait déjà plus au travers de mon pantalon et de mon boxer. Puis elle a dégrafé ma ceinture et fait glisser mes vêtements qui ont tirebouchonné sur mes chevilles. Elle a posé sa main sur mon sexe en disant :
• Joli… Je ne pouvais pas espérer mieux pour commencer mes vacances !

Puis elle a tiré un préservatif de la poche de son mini short avant d’ôter ce dernier vêtement… Elle s’était débarrassée de son haut depuis qu’elle était descendue de voiture. Pendant que d’une main elle masturbait doucement mon sexe qui était bandé comme jamais, elle se caressait l’entrejambe de l’autre… Puis elle a plongé vers mon bas ventre et avalé mon sexe d’un seul coup… Oh que sa bouche était chaude… Après quelques aller-et-retours, elle m’a dit :
• Couvre-toi, j’ai envie que tu me baisses comme une chienne.
• OK… Si c’est ce que tu veux, je suis partant !

Elle m’a tourné le dos, elle a pris appui sur le tronc d’un jeune arbre et a cambré son dos dans une offrande impudique qui était l’invitation finale… Il ne m’a pas fallu longtemps pour me couvrir et me glisser derrière elle. J’ai flatté sa jolie croupe de mes mains puis je ne suis approché et lentement, je me suis glissé dans son sexe humide et chaud. Dès que j’ai été au fond, elle a entrepris un savant massage de mon gland avec ses muscles internes… Dieu que c’était bon… Moi qui n’avais plus baisé depuis quelques mois, c’était le nirvana ! J’avais placé mes mains de chaque côté de sa taille mince et j’ai entrepris de longs mouvements de va-et-vient lent pour apprécier ce qu’elle m’offrait… Je sentais le plaisir monter en moi et aux feulements que ma compagne poussait à chaque fois que j’allais jusqu’au plus profond de son sexe, le sien était proche lui aussi.


Soudain, je me suis tétanisé au moment où je lançais au fond du préservatif une rafale de jets de sperme comme cela ne m’était plus arrivé depuis longtemps… Moins de 10 secondes plus tard, la plaisir emportait la brune dans une jouissance terrible au point qu’elle m’a fait sortir d’elle…
• Waouh… On peut dire que tu m’as bien envoyée en l’air ! Tu as l’air d’être un sacré baiseur !
• Et toi, une sacrée baiseuse ! J’ai rarement été essoré comme tu l’as fait… Regarde le fond de la capote !
• Oui, effectivement, il y en a une belle dose !

Nous avons repris notre calme en bavardant là où nous nous trouvions… J’ai appris qu’elle et sa copine étaient des animatrices sur des salons érotiques et qu’elles descendaient ensemble au Cap d’Agde pour y passer une semaine avant de reprendre leurs activités pour le premier salon de rentrée. De mon côté, je lui ai dit que je connaissais bien le Cap d’Agde où je séjournais une ou deux semaines chaque été il y a bien longtemps.
• Si ça te dit, passe nous voir avant de remonter vers le nord !
• Hélas, je n’ai pas le temps, je dois rendre la camionnette lundi matin…
• Dommage !

Soudain, nous avons entendu Ludovic appeler :
• Ohé les tourtereaux… Où êtes-vous ?

La brune, dont je ne savais toujours pas le prénom a répondu :
• Ne vous impatientez pas… On arrive.

Pendant que je remontais mon pantalon et me boxer, elle a renfilé son mini short et nous avons rejoint Ludovic et la blonde qui nous attendaient près des véhicules… La blonde avait les yeux brillants de coquinerie et je pouvais la détailler : Nettement plus grande que la brune, elle avait des formes plus menues mais tout aussi plaisantes à regarder… L’une comme l’autre, ce devait être des adeptes des salles de fitness car elles étaient discrètement musclées… Je comprenais mieux ce que ma compagne avait annoncé… Elles avaient besoin d’être au TOP de leur forme si elles voulaient avoir le succès escompté sur les salons érotiques…

Les deux filles ont pris congé de nous et elles ont repris la route… Avec Ludovic, nous n’arrivions pas à savoir si nous avions rêvé ou pas… Non ! Ces deux filles étaient bien réelles.


Nous avons repris la route également et Ludovic m’a raconté ce que la blonde avait fait avec lui… Ils avaient trouvé également un coin discret à l’abri des regards et après l’avoir bien chauffé par de multiples baiser et caresses par-dessus son jean, la blonde avait d’elle-même fait descendre pantalon et slip pour emboucher son sexe et lui avait fait une fellation si bonne qu’il n’avait pas pu se retenir et avait craché son sperme dans sa bouche et sur ses seins. Aussitôt après, elle l’avait sucé de nouveau pour le faire renaître et il l’avait prise en levrette, à quatre pattes dans l’herbe…

En conclusion, nous étions tombés sur deux fieffées coquines qui n’avaient pas froid au yeux mais avaient plutôt le feu au cul !!!

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