La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 569)

Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 568) -

Alors qu’elle lèche les chaussures du serviteur, au même moment Vanessa sent les mains de l’esclave MDE prendre ses hanches et son sexe entrer profondément dans son fondement en l’enculant profondément. Elle relève alors le nez et machinalement, tel un robot, elle lèche de nouveau la poussière sur le cuir noir des chaussures du serviteur. Elle s’applique sur le pied droit tentant de faire abstraction de la verge qui effectue des va-et-vient puissants entre ses fesses et sans aucun ménagement. Elle sent les couilles de l’enculeur frapper contre ses fesses alors que la verge de celui-ci lui fouille ses entrailles en profondeur. Alors qu’elle s’attaque à l’autre chaussure, elle sent l’esclave MDE se libérer dans son cul par un liquide chaud se déversant dans ses entrailles quand elle l’entend crier fortement son plaisir en elle tel un cerf en rut qui n’en finit pas de laisser échapper ses cris de jouissance. Le serviteur retire alors son pied et sans aucune parole se saisit de l’esclave MDE et quitte le cachot. Vanessa sait qu’elle a du temps pour se reposer, mais elle n’y parvient plus paradoxalement malgré la fatigue physique, le froid, et maintenant la fatigue nerveuse qui monte en elle… Elle en est à espérer que le prochain arrive vite, que cette incroyable nuit sans fin se termine, qu’enfin elle puisse être libérée et rentrer chez elle. Vanessa ne se rappelle pas d’avoir connue une fatigue aussi importante, et pourtant son métier de pompier lui a fait passer beaucoup de nuits blanches, mais jamais elle n’avait ressenti autant l’envie de s’allonger dans la chaleur d’une couette et de simplement dormir longtemps. Vanessa commence à douter de ses capacités, à se demander si elle est véritablement faite pour ce monde, si elle n’a pas fantasmé une réalité improbable. Elle pense à son commandant et se demande s’il l’aimerait encore, si elle devait quitter cet univers, elle craint plus que tout de perdre son amour.

Elle en est à retourner des dizaines de fois ces réflexions dans sa tête, lorsque la porte s’ouvre une fois de plus. Le neuvième esclave MDE récompensé par son Maître fait son apparition, le serviteur le libère et il s’approche lui aussi à l’instar des précédants de la jeune femme. Il est un peu maladroit, presque confus de recevoir en cadeau une de ses sœurs de soumission. Le soumis MDE a été à sa place, et ne peut s’empêcher de compatir pour la jeune femme qui s’offre résignée. Il se place devant elle et caresse délicatement son visage, passant doucement ses doigts sur son front, ses joues, sa bouche et menton tout en lui exprimant un large sourire salvateur et rassurant. Ce geste surprend la jeune femme qui apprécie ce moment de tendresse, et qui retrouve un peu d’espoir dans cette perverse nuit d’épreuves.

Doucement l’esclave MDE la dépose sur le matelas et s’allonge sur Vanessa couchée sur le dos, la pénétrant lentement de sa verge tendue mais dans une extrême douceur il la pénètre, sans brusquerie. Il prend son temps, observe les réactions de la jeune femme, il sait qu’elle n’a pas le droit de jouir et il ne veut pas être la source d’une quelconque souffrance la concernant. Il bouge son bassin sur un rythme devenant maintenant plus saccadé faisant suite à ses premiers vas-et-viens lents et copulant ainsi alternant rapidité et lenteur d’une pénétration mesurée, quand, au bout de quelques minutes ainsi, il se met à s’activer encore plus sentant son propre orgasme monter, il ne le retient pas, il se libère dans le ventre de la jeune femme restant ensuite assez longtemps immobile en coït vaginal afin de sentir le plaisir d’être en elle. Puis l’esclave MDE se retire doucement, effleure son épaule d’une douce caresses sur son visage de nouveau et se dirige vers le serviteur… Une fois de plus Vanessa est seule. Il ne reste plus qu’une dernière fois, car si elle a bien compté il ne reste plus qu’un esclave MDE à satisfaire, et elle se raccroche à cette idée pour tenir.
La jeune femme se repose donc une dernière fois sur le matelas humide de son cachot, elle aspire à plus de confort et espère bientôt pouvoir avoir le droit de se reposer pleinement. Vanessa patiente toujours recroquevillée sur le bout du matelas, elle ne parvient pas à dormir, le froid est trop saisissant, et ses nerfs à fleur de peau, la fatigue la rend nerveusement tendue… Après de très longues minutes, Vanessa voit enfin la porte s’ouvrir de nouveau et laisser passer cette fois, non pas un quelconque serviteur mais Walter en personne accompagné du dernier chanceux. Elle se met immédiatement en position, droite, immobile, décidée à supporter cette dernière heure. Le Majordome sourit, mais ce n’est pas un sourire moqueur, ni pervers, il est satisfait de l’obéissance de la jeune femme, il est satisfait de savoir qu’il va pouvoir annoncer à Monsieur Le Marquis que sa soumise a été irréprochable, il est satisfait de ne pas avoir à la sanctionner d’avantage, car même s’il joue très souvent de perversité, quelque chose en lui le pousse à respecter cette femme bien plus que les soumises habituelles qui passent en ces lieux.

- Eh bien, te voilà bien souillée, annonce-t-il d’une voix forte remarquant les traces de spermes un peu partout sur son corps. Tu n’es plus vraiment en état de servir, il va donc falloir mettre ta bouche en action si tu veux te libérer rapidement de ce dernier chien MDE.

Disant ceci le Majordome délivre l’esclave MDE et le pousse du pied vers la jeune femme. Le soumis MDE s’avance se redresse et glisse sa verge tendue entre ses douces et délicates lèvres buccales. Vanessa sait qu’elle a le pouvoir d’expédier ce moment, aussi elle y met tout son cœur, et c’est avec un rythme déconcertant qu’elle s’active sur le sexe de l’esclave MDE. Sa volonté est telle qu’en peu de temps elle parvient à faire éjaculer le jeune homme qui laisse lui aussi échapper son plaisir par de longs râles de jouissance. Elle ouvre la bouche, attendant un ordre, Walter regarde satisfait un instant sans réagir.


- Bien, avale et garde la bouche ouverte annonce-t-il à Vanessa. Quant à toi, dit-il au soumis MDE, tu lui rinceras la bouche…

Vanessa ne comprend pas vraiment ce qui l’attend, elle avale le sperme puis ouvre la bouche, attendant la suite des évènements. L’esclave MDE se place au-dessus d’elle et sans la prévenir libère un jet doré d’urine dans la bouche et sur le visage de la jeune femme. L’urine du jeune homme coule de la bouche et dégouline sur tout le corps de Vanessa, qui peine à supporter le goût et l’odeur mais accepte cette dernière épreuve très humiliante sans bouger. La vessie de l’esclave MDE vidée, Walter le confie à un serviteur qui attend derrière la porte. Il revient vers la jeune femme, la regarde, presque désolé pour elle, fasciné par ce qu’elle a pu accepter et endurer durant toute une nuit sans de nouveau dormir à l’instar de la nuit précédante, même si ce n’était pas pour les mêmes raisons.

- Allons, ton Maître t’attend, mais il est hors de question de te présenter ainsi devant Lui, suis-moi.

Sans un mot de plus il sort du cachot suivi de Vanessa qui avance à quatre pattes dans l’obscurité des couloirs du sous-sol. Ils arrivent devant une porte que le Majordome ouvre avant de faire entrer la jeune femme. Elle découvre une pièce au sol en béton avec en son centre une plaque d’évacuation des eaux. Dans un coin un tuyau d’arrosage relié à un robinet est roulé sur lui-même. La jeune femme comprend immédiatement l’utilité de cette salle et la raison pour laquelle elle est ici.

- Vas te placer, ordonne Walter.

Vanessa obéit et se dirige vers le centre de la pièce, puis elle se redresse et se place bien droite et debout, les mains derrière la nuque, la tête baissée, les jambes écartées, face au Majordome. Ce dernier se saisit du jet d’eau et l’allume avant de le diriger vers Vanessa. L’eau est glacée, mais elle supporte en silence même si naturellement son corps frissonne, tournant sur elle-même pour laisser le Majordome asperger tout son corps.
Après quelques minutes, Walter coupe l’eau et jette un savon à la jeune femme. Il n’a pas besoin de parler, elle se savonne rapidement l’ensemble du corps, puis repose le savon au sol avant de reprendre la pose. Walter allume de nouveau le jet et entreprend de rincer méticuleusement Vanessa. Il n’oublie aucune partie de son corps, prenant le temps de diriger le jet d’eau froide sur les moindres recoins de son anatomie. Satisfait, il coupe l’eau et regarde la jeune femme grelottante, attendre le prochain ordre. Il jette une serviette au sol, Vanessa la ramasse, et tente de se sécher au mieux, malgré l’humidité du linge avant de le rendre à Walter.

- Parfait, maintenant agenouille toi. Sache que je ne profite pas de la situation, mais ton Maître m’a clairement dit que si tu réussissais à tenir la nuit à satisfaire Ses dix plus méritants soumis MDE, que je pourrais user de ta bouche, avant de t’amener à Lui, alors tu vas me sucer et ne tarde pas à me faire jouir, je n’ai pas de temps à perdre alors que Monsieur le Marquis t’attend….

Sur ces mots, Walter lui met la serviette éponge sur le dos afin qu’elle n’ait pas trop froid et ouvre sa braguette et extirpe son sexe déjà durci, sans défaire son pantalon. Il le présente à Vanessa qui nue et agenouillée sur le carrelage mouillé et froid prend mal aux genoux à cause de la surface dure des carreaux. Même si la fatigue perturbe Vanessa, même si elle pensait que sa nuit était terminée, elle obtempère du mieux possible afin de vite se retrouver aux pieds de son Maître. Elle engloutit le sexe dur du Majordome, s’applique à passer sa langue sur toute la longueur de la hampe, suce et lèche le gland violacé, titille le méat urinaire, donnant un grand plaisir à Walter. Quand celui-ci empoigne ses cheveux au niveau de la nuque pour provoquer une forte pression afin de plaquer sa tête et ainsi la verge du Majordome est plantée bien en elle, en gorge profonde. Vanessa manque de s’, et c’est avec une soumise suffoquant qu’il lâche la pression de sa poigne afin de laisser respirer la jeune femme. Il se retire de sa bouche pour lui donner de nombreuses frappes de sa verge sur les joues de la soumise, montrant ainsi une forte virilité Dominante. Puis il s’active, lui baisant la bouche comme si c’était son sexe, les coups de reins sont modérément puissants et sa verge vient cogner au fond de sa gorge, quand à ce rythme effréné il se met à éjaculer abondement. Puis il se retire et lui ordonne de nettoyer sa verge. Vanessa s’applique. Une fois qu’elle a tout avalé et nettoyé, le Majordome rentre son sexe dans son pantalon puis tend la serviette éponge à Vanessa afin qu’elle puise essuyer ses lèvres buccales. Puis, il lui annonce laconiquement :

- Maintenant, suis-moi.

Ils montent plusieurs escaliers, arpentant plusieurs couloirs, les pieds de Vanessa foulent le béton, puis les dalles du Château, avant de rencontrer la douce et épaisse moquette du couloir du bureau de son Maître. Le Majordome s’arrête devant la porte du bureau de Monsieur Le Marquis, il frappe, et entre après en avoir reçu l’ordre, toujours suivi de la jeune femme. Immédiatement Vanessa s’agenouille, les mains dans le dos, la tête baissée, prête à obéir une fois de plus aux ordres de son Maître, espérant qu’Il la libère enfin pour qu’elle puisse se reposer…

(A suivre…)

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