Annie Et Le Plombier

Ma femme devenait de plus en plus chaude et aussi de plus en plus sexy, je me doutais qu’elle vît un homme.
J’ai pris ma journée et étais parti comme si je travaillais, mais je surveillais la maison, bien décidé à en savoir plus.
Il était 10H je commençais à me demander ce que je faisais la quand je vis s’arrêter une voiture, c’était notre plombier qui entretient notre chaudière. Il n’était pas en camionnette mais avec une berline, de plus il n’était pas en tenue de travail et Il ne venait pas pour ramoner la chaudière, celle-ci étant faite depuis moins d’un mois.
Il sonna à la porte, je la vis ma femme Annie l’ouvrir, je la vis que brièvement elle semblait être encore en nuisette à cette heure tardive, elle le fit entrer sans discuter et referma la porte. Je compris qu’il devait plus tôt venir pour ramoner ma femme et pour ça il, n’avait pas besoin de sa salopette.

J’étais stupéfait, cette salope se tapait le plombier et ma colère montait. Que ce soit le plombier ou un autre, je m’en foutais, mais je constatais de mes yeux ce que je redoutais, cette fois ci j’en étais sûr cette salope me fait cocu.
Fou de rage je m’approchais de la maison mais devant la porte je n’osais rentre chez moi, et fis le tour coté jardin, je passais devant la fenêtre de la cuisine, elle était vide, je m’approchais discrètement de la fenêtre du salon. Mon cœur battait, qu’allais-je découvrir ?

Annie, perchée sur de haut talons ne portait que des bas et une porte jarretelle, elle se tenait au dossier du canapé, le type la tenait par la croupe et la défonçait comme un dingue. Elle semblait aimer ça la salope, elle beuglait très fort sous les coups du type, je pouvais l’entendre à travers la vitre. Je regardais en voyeur ma femme se faire ramoner la chatte par notre plombier. Bizarrement, ma colère était passée, et je regardais ça comme un pervers qui regarderait n’importe quel couple en copulation. Pire encore, j’avais une érection, j’étais très excité de voir ma femme se faire prendre comme une pute devant mon nez.

Annie tremblait de tout son corps, elle semblait jouir, et lui aussi, il devait décharger sa semence dans le ventre de ma femme. Quand il se retirait, je vis le sperme couler entre les cuisses de ma femme, je compris qu’il l’avait prise sans protection.

Je m’éclipsais sans bruit, comme un con, le sexe raide que je cachais avec ma veste. Je repartis à la voiture que j’avais louée pour plus de discrétion, les images que je venais de voir restaient dans ma tête.
Je n’en revenais pas de ce que je venais de voir, ma femme était bien la salope que j’avais imaginée. Mais j’étais encore plus étonné par ma réaction, quand j’ai vu ce type entrer chez moi, je voulais aller lui casser la gueule. Puis plus rien, quand j’ai vu le plaisir de ma femme, une excitation incroyable s’est produite, je prenais du plaisir à travers elle.

Je restais que quelques minutes dans la voiture ne sachant plus quoi faire, le type ne ressortait pas et je décidais de retourner faire le voyeur.

Cette fois ci je rentrais par la petite porte du garage, puis celle qui communique avec la cuisine. Je les entendais, le mec disait oui, oui vas-y, c’est bon, tu aimes cela petit salope ! Sans bruit je m’approchais du couloir et dans l’entrebâillement de la porte de la cuisine, je vis ma femme à genoux qui suçait avec voracité l’homme qui la tenait par les cheveux. Elle qui ne voulait pas pratiquer des fellations avec moi suçait un autre avec gourmandise et semblait aimer cela. Je ne pouvais pas imaginer que ma femme puisse sucer un autre et une fois de plus, je bandais en la regardant.

L’homme lui parlait crûment, il la traitait de petite pute, de belle salope, Annie acceptait ces mots sans répliquer. Il lui dit : cela suffit, lève-toi salope ! Annie obéissait à ce type, il semblait la dominer, elle acceptait cette domination sans broncher. Elle s’était relevée comme il lui avait demandé, il l’attrapa par les fesses et la plaquant contre lui il lui dit : tu sais ce que je veux maintenant ? Annie semblait comprendre, elle fit un signe de la tête pour dire oui.
L’homme lui pinça un sein et dit : dis moi ce que je veux entendre ! Annie dit d’une faible voix : tu veux mon petit cul ! Il pinçait plus fort son sein en tournant, et dit : Quel petit cul ? Annie poussa un petit cri sous la douleur et lui dit d’une voix implorante : Tu veux mon petit cul de pute ! Annie semblait connaître sa leçon, elle lui dit : tu aimes les petites putes, les petites putes comme moi ! Oui je les aime toutes ces putes qui ne demandent qu’à se faire baiser comme toi ma salope !
Annie lui dit tu en as beaucoup baisé ? Oui, lui dit-il, mais tu es de loin la meilleure ! Annie ravi du compliment sourit et dit, mon mari à de la chance alors il a la meilleure femme du village. Ah cela c’est sûr, qu’ il a la meilleure, mais il doit aussi avoir les plus belles cornes du village ! Salop lui dit Annie, tu crois que tout le monde me baise !
Le type rigola et lui dit, ho ! je n’ai pas eu beaucoup de difficulté pour te baiser la première fois que je suis venu. Quand tu m’as accueillie avec ta petite jupe et que tu m’as proposé un café avant de me montrer la chaudière, j’ai compris que tu voulais un petit coup de goupillon toi aussi. Il l’attrapa avec force et la retourna contre le dos du canapé, allé salope, donne moi ce petit cul de pute.
Annie faisait semblant de ne pas vouloir, elle opposait une fausse résistance et l’homme lui planta son dard dans sa petite entrée de l’arrière. Elle criait, mais le puissant membre rentrait doucement comme un vérin dans la matrice. Il la limait un bon moment, elle finit par aimer cela, il jouit dans ses entrailles, en la traitant de putain.
Moi qui n’avais jamais osé forcer le petit cul de ma femme de peur de lui faire mal, je venais d’assister en direct à sa sodomie par un autre. Il l’avait enculé sans ménagement et ma petite femme chérie avait reçu les coups de pistons avec courage ses larmes avaient coulé, mais elle n’avait pas fléchi devant la brutalité de l’homme.
Je m’étais réfugié comme un lâche dans le garage, partagé entre la haine pour ce type et ce qu’il venait de faire subir à ma femme.
Malgré qu’elle fut consentante et qu’elle se comportait comme une pute, elle était ma femme, je l’estimais et l’aimais comme un fou. La jalousie et le plaisir se mélangeaient et ce cocktail explosif me faisait bander comme un âne. Je ne tenais plus, j’avais envie d’elle, je regardais par le trou de la serrure. Ils étaient dans la cuisine Annie lui servait une de mes bières à poil avec ses bas, il la prit par la main et la fit asseoir sur ses genoux.
Pendant qu’il sirotait ma bière et pelotait ma femme dans ma cuisine, je me branlais comme un con admirant ma créature volage.

Le soir, quand je rentrais Annie toute pimpante elle m’attendait comme une gentille épouse. Je la trouvais belle, détendue, agréable l’épouse idéale. Elle était vêtue d’une petite jupe courte et je bandais rein qu’en la regardant. J’embrassai cette bouche gourmande qui avait sucé un homme, elle ne me dégoûtait pas bien au contraire. Je lui dis : je suis passé par le garage et je pense que la chaudière à un problème, tu ferais bien d’appeler le plombier, il n’a pas du bien la ramoner. Je ne la quittais pas des yeux, Annie faisait l’indifférente, mais je vis qu’elle était gênée. Je rajoutais, mais fais attention si tu as cette petite jupe le plombier risque de vouloir te ramoner toi aussi. Elle se demandait bien pourquoi je lui disais ça

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