Epilogue Ii : La Jouissance Du Mal

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Epilogue II (suite et fin)



Diego me fait précéder dans l'arrière de la camionette, et à peine ai-je fait un pas qu'il m'éjecte sur le sol d'un coup de pied au cul. J'en suis resté muet de surprise. Il ne leur a pas fallu deux secondes pour fermer les portières et se positionner chacun d'un côté. Cette fois, j'étais cuit. Je ne savais plus à quoi m'attendre, c'est effrayant cette sensation de ne pas avoir le choix, de se sentir obligé de poursuivre un acte qui ne nous convient pas! D'habitude c'est mon rôle de choisir mes victimes, même dans les cas où le mec commençait à me chauffer sec, j'avais toujours eu la possibilité de me désister au dernier moment si l'envie me prenait. Mais là encore, j'ai joué le fier chien galeux, et me suis retrouvé dans une situation embarassante : tomber sur plus fort que soi. Et on ne rigole pas avec les gens du voyage, ils étaient prêts à me montrer comment ils passaient le temps.
Diego s'accroupit à ma hauteur et me défia du regard, essayant de deviner ce que je pouvais bien penser et comment j'allais réagir à une telle altercation. Mais je n'en fis rien. Je ne sais pourquoi, je restais là, comme un pantin, à attendre mon sort. Il se réjouit :

"-C'est bien 'ti gars, t'es un bon toi. T'aimes ça hein la bite? Tu veux qu'on t'mont' ces quoi des vrais mecs?" demante-t-il comme si ma réponse allait y changer quelque chose.
Son ton se voulait plus attendrissant, mais comme le loup dans le petit chaperon rouge, je devinais que c'était "pour mieux te soumettre mon ". Pour mieux me limer, me baiser, me défoncer, ... et j'en passe. Ne lui ayant donné aucune réponse, il m'arrache le futal vers les pieds, mon calebar avec. Mon sexe enfin libéré de ce jean se retrouve maintenant irrité par la sciure et la poussière, surtout que je bande comme un âne et que le froid du parquet me donne des sensations inssuportables.

Diego lance un regard salace à son cousin après avoir découvert mes fesses bien rebondies. Il les tâte d'une main, les malaxe, les gifle l'une après l'autre jusqu'à les faire rosir. Ca l'excite de m'humilier.
"- Eh dis, c'est qu't'es vraiment bonne toi.
-A vrai dire j'préférerais que tu me considères comme un mec, donc j'suis pas b....." Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'il m'écrase la face contre le sol, deux de ses gros doigts velus s'insinuent dans ma bouche avec une forte odeur de sexe.
"-J't'ai dit quoi t'à'l'heure? Tu l'ouv' que pour sucer grosse chienne", et il accompagne ses mots crûs d'une claque retentissante sur mon cul avant de me mettre sur le dos. Mon cul rougit prend du repos contre la fraîcheur du sol. Mais ce n'est pas maintenant que j'aurais le temps de respirer puisque Jason, que je n'avais plus en ligne de mir depuis l'arrivée dans le fourgon, s'assoit sur mon torse et fait glisser son gland à la comissure de mes lèvres. Il s'insère en moi avec plus de facilité que je ne le pensais vu la position. Je lui suce machinalement le gland, le fait frêmir en lui assénant des coups de langues, le lèche et l'humidifie de ma salive. Jason se maintient sur ses poings, comme s'il s'apprêtait à faire des pompes, et m'enfonce sans plus attendre son sexe entier dans la gorge, d'un coup brutal. J'ai donc une p'tite vingtaine de centimètres coincé dans ma gorge chaude, dans laquelle il reste inerte un sacré moment afin que son sexe reprenne sa taille usuelle. Puis il me fait savoir le bien fou que ça lui prodigue en me donnant des à-coups de plus en plus violents, de plus en plus profonds et s'arrête à plusieurs reprises au plus profond de ma gorge. Ses couilles ricochent sur mon menton au rythme de ses allées et venues. J'essaie de ralentir la cadence pour retrouver un semblant de souffle en le soulevant par les hanches, mais il ne fait que s'enfoncer plus loin encore. Chaque fois que je parviens à le soulever un peu, son sexe regagne du terrain en bandant un peu plus.
C'est intenable, j'étouffe, je ne peux plus respirer, j'essaie de relever la tête mais son sexe est comme qui dirait accroché dedans, ils ne font plus qu'un. Il se soulève d'un coup en lançant un juron adressé à ma bouche qui parait-il serait trop étroite.C'est l'hôpital qui se fou de la charité ! 23 centimètres !!! Après s'être amusé quelques minutes de plus, au dépit de mon souffle qui aujourd'hui encore halète d'effroi, Jason va s'asseoir sur un petit meuble au fond du camion que je n'avais pas remarqué, et se masturbe lentement pour laisser place à Diego. Ce dernier est complètement nu et me dévisage d'un air interrogateur. Que va-t-il bien pouvoir faire de moi?

Après une brève réflexion, il me tire jusqu'au fond du camtar et m'assoit dos à la paroi. Je suis grand, je mesure 1.86, et il en tire avantage. Ainsi, il a juste besoin d'écarter les jambes pour avoir son zob à hauteur de ma bouche. Et tout comme son cousin, il mène la chandelle. Il ne me laisse pas une seule seconde de répit et me viole la gueule, me persécute et a même le temps de me gifler à l'occasion, quand ma bouche n'est pas assez ouverte ou que mes dents rippent contre sa peau brûne. Je ne suis qu'un trou, je n'ai plus rien d'humain. Juste là pour assouvir des besoins de mecs surexcités qui ne tiennent pas compte de mes envies. J'aurais pû crier STOP ou tenté quelque chose pour m'en dépatouiller plutôt que de me plaindre. Mais c'est moi qui ai commencé à les chauffer alors je devais assumer mes actes. Et puis, de toute manière ils ne m'auraient pas écouté....Diego, tout du moins.
"-Ouais, t'avais raison, confirme-t-il, il a la machoire pas bien grande, c'est trop serré dans sa gorge pour des grosse teubs comme nous."
Il ricane de sa blague machiste. Si je n'avais pas son sexe au plus profond de la gorge, je lui vomirais dessus tellement cet homme me dégoûte à présent. Mais dans les circonstances actuelles, je ne pouvais rien faire d'autre que d'user de ma langue au mieux possible pour qu'il jouisse rapidement.
Alors c'est ce que je fis, plutôt que de me faire déboîter la mâchoire, j'essayais de reprendre le contrôle de la situation en imposant mon rythme, mes mouvements. Et comme tout homme, je sais quels sont ces choses qui nous font tant de biens, ces choses qui nous donnerait un orgasme en quelques secondes, mais il ne m'en laisse pas l'occasion et continue férocement de coulisser sa hampe à la vitesse d'un marteau piqueur. Je lis dans les yeux-de-braises de Jason qu'il ne voit pas le sexe (Nb : l'action du sexe) de la même manière que son cousin mais qu'étant plus jeune, il se devait d'être conforme et de faire tout comme lui pour être un bon gars dans sa communauté. Il s'approche de nous, dit à son cousin de se pousser et m'ordonne de me mettre à genoux, ce que je fîs. La vision des deux sexes côte côte me faisait rougir. J'en pris un au hasard, m'y glissait tout du long en masturbant l'autre de la même cadence, je crachais et bavais dessus, échangeais les rôles dès qu'un des manouches semblait trop dans l'attente, et ce relais dura une dizaine de minutes. Là, ça me plaisait, c'était mon rôle, merci Jason d'avoir pris cette initiative. Je pouvais lécher les couilles, les aspirer, jouer de ma langue sur leur frein, caresser d'une main experte leurs sexes, les faire tournoyer de désir, les emmenant au fin fond du plaisir, lécher, sucer, lécher encore la hampe dans toute sa longueur, puis m'empaler en gorge profonde pendant des secondes qui duraient des heures entières en maintenant avec fermeté leurs couilles vers le bas. Et lorsque tout deux étaient épuisés, haletants et pleins de sueur, complètement nus et le corps tremblant d'effort, le sexe rougit et nervuré par la puissance de mes doigts, j'entrepris de caresser cette petite zone érogène situé entre l'anus et les boules. Malheur à moi d'avoir tenté ça sur Diego, le macho en puissance :

"-Tu fais quoi là sale pute? Continue comme tu f'sais c'était très bien, pas touche à mon cul", décide-t-il. Et à ces mots, une lueur d'espoir se lit sur son visage.
Lueur d'un plaisir incomplet, lueur d'un désir inassouvi. Il aurait osé partir, en laissant sain et sauf le petit trou d'un joli petit cul rebondi? Non. Il me force à caler mon torse sur le petit meuble du fond et ainsi donner en évidence mon p'tit trou. Mais lorsque je dis petit trou, je ne rigole pas, je suis très sérieux : j'étais encore puceau. Se faire sucer et inversement était devenu une occupation quasi-courante, tout comme les caresses entres potes, mais tout ce qui référait au cul m'était totalement inconnu. Et bien je vous avoue que pour une première fois, je m'en souviendrais. Il passe une main le long de ma raie pour déblayer un peu, inspecte mon anus et crache dessus, à deux ou trois reprises, et je sens la salive qui coule vers mes couilles avant qu'il ne la rattrappe du bout de son gland. Il coulisse son sexe entre mes fesses et trouve ça amusant. Je tourne la tête sur le côté, pouvant enfin respirer librement quand je vois la bête de Jason s'approcher discrètement, jamais repu et encore pleine de bave et de liquide-séminale. Ma tête se trouve à une dizaine de centimètres du bord, ainsi il ne pourra rentrer que la moitié, et tant mieux : je n'ai plus aucune force, je suis à bout, je ne sais plus dans quoi je me suis embarqué. Tellement ces hommes m'ont utilisé que je ne savais plus penser par moi-même, j'en oubliais que nous étions dans un camtar garé devant chez moi, que mon chien attendait toujours dehors et qu...

-Aiiiiiie putain de putain de... AAAAAH, criais-je à l'entrée violente de Diego dans mon cul. Une douleur s'arracha de moi comme si mon corps s'ouvrait en deux. Cette sensation, nous l'avons tous connu au moins une fois. Mon ventre accueillit avec stupeur le sexe épais (voir extrêmement large en terme de douleur) qui me déchirait de toutes parts. Mes jambes continuaient de faiblir alors il les souleva et continua de me démonter sans capote ni lubrifiant, m'arrachant des cris de douleurs qui n'en finirent plus malgré le zob de Jason qui essayait de m'éttouffer. Les deux accélèrerent simultanément le mouvement en me démontant comme une poupée gonflable, mon corps valdinguait comme une vulgaire marionette, ma tête se fracassait contre le grillage qui séparait les deux parties de la camionette. La souffrance m'obligeait à serrer les fesses sous les à-coups fulgurants de Diego. Il me sautait sauvagement, des grognements sortaient de sa bouche édenté, il me ravageait l'anus, me le dilatait comme une pauvre chatte mouillé. Sauf qu'il m'enculait à sec, et que malgré les quelques crachats et les restes de salive sur son sexe de 18 centimètres sur 6, cela faisait drôlement mal, comme si ma peau s'accrochait à son sexe et qu'elle allait partir en même temps que lui lorsqu'il voudrait s'en dégager. Des larmes coulaient sur mes joues, je ne pouvais plus supporter cette rage bestiale et démentiellement fracassante pour mon petit cul vierge. Quand soudain, il arrêta sa charge de mule pour sortir de mon cul, dans un élan difficile et rugueux, il s'approcha de ma tête également, repousse l'anaconda de son cousin qui y avait élu domicile et glissa le bout de son gland dans ma bouche. Ses yeux convulsaient, il devenait fou à lier, fou de sexe, fou de plaisir et fou de rage. De la bave s'accumulaient dans la comissure de ses lèvres tellement il m'avait asséné des coups avec hargne et sans reprendre son souffle. Il m'attrapa la tête de ses deux mains et m'enfonça du plus profond qu'il pût son sexe dans la gorge jusqu'à ce que je sente chaques goutelettes de son sperme épais et juteux couler sur les parois et se jeter au fin fond de mon être. Son corps tremblait, il gémissait et hénissait tel un cheval épuisé, avant de se retirer complètement. J'ai eu le droit à ces quelques secondes de répit avant que Jason n'en remette une couche en me malaxant l'anus, cette fois avec plus de délicatesse et de soin que son compère: il prit la peine de me masser l'orifice de ses doigts salivés, de me mettre ses doigts un à un avec précaution. Dieu merci. Mais le supplice sembla reprendre dès qu'il déposa son gland dans le trou, mon sphincter se resserait, n'en pouvant plus. Mon sexe, quant à lui toujours autant bandé, ne demandait qu'un peu d'amour et de paix, mais je n'eûs pas une seconde de répit pour m'en occuper. A mon grand malheur, Jason trouva ça formidablement serré, a contrario d'une bouche trop étroite. Il coulissa avec lenteur d'abord, le temps que je m'y habitue, puis m'asséna soudainement de toute sa longueur. Le choc passé, et les cris aussi, il ressort posément en jouant avec son gland à l'entrée de mon anus. Des frissons me parcoururent le corps entier : enfin quelque chose de plaisant, de doux. J'en eû même un début de gloussements tellement cette sensation était agréable après le massacre de Diego. Malgré une bite plus courte (bien que court et 18 centimètres ne soit pas tellement synonymes....) il avait réussi à me donner une idée précise de la souffrance du viol. J'essayais de me cambrer du mieux que je pouvais, comme je l'avais vu sur les vidéos, pour mieux accueillir son sexe et lui offrir un meilleur orgasme. Montrer à ce pauvre macho de première que la violence n'apporte pas l'entraide, montrer qu'avec un peu de patience et de gentillesse, on obtient tout ce que l'on veut d'autrui. Et nos regards tendres n'ont apparemment pas plu au trentenaire, puisque celui-ci, maintenant vidé et n'ayant plus aucune envie de sexe, dégueule à l'attention de son ami :

"-Grouille toi, on a d'aut' choses à faire c'matin, tu vas pas y passer 2 heures à y faire des guilis. Déboite-le un peu qu'y comprenne la leçon."
Jason ne se le fait pas répéter deux fois, son regard se durcit et il s'apprête à me donner de grands coups de reins quand il s'arrête net.
"-Ouais vas-y j'm'en occupe du minot mais t'vas pas rester là à nous mater? T'as d'jà tirer ton coup maintenant laisse-moi tranquille avec son cul en tête-à-tête.
-'as-y j'vais fumer, ramonne-le bien que je l'entende crier, ça détend."

Une fois habillé et la clope au bec, il jette un dernier coup d'oeil à son pote avant de sortir du camtar, histoire de lui rappeler que c'est lui le chef, lui qui décide de comment ça se passe même si ce n'est pas son coup qu'il va tirer. Les portières se claquent dans un bruit assourdissant, nous voilà maintenant tout les deux. Seulement moi et le beau voyageur métissé. Mon p'tit cul et sa bite de monstre. Et nos deux corps réunis comme ci nous ne faisions qu'un. Il s'enfonce un peu plus profondément ce qui me vaut des soupirs altérés de douleur, et lorsqu'il atteint le fond, ou bien que son sexe est entièrement en moi, je n'en sais rien, je lâche des jurons. Mais cette douleur est incomparable à celle que je viens de vivre. Celle-ci est plus spontanée, plus coriace et pourtant moins douloureuse. Je prends le temps de le regarder prendre son pied, il accélère au rythme de mes cris de jouissances, sans me prendre pour autant comme un bourrin. Il est doucement vigoureux, c'est très inhabituel pour le peu que je m'y connaisse ! Il glisse en moi de manière impromptue, mon corps le désir autant que le sien rêvait d'être en moi, seul à seul. Il me regarde en souriant, se retire complètement, nous changeons de position, je m'assois cette fois sur le meuble en lui présentant ma rondelle désormais bien éclose, et il continue de me prendre dans cette position plus confortable pour tout les deux. Nous nous regardons droit dans les yeux, ses yeux me brûlent tellement son envie se reflète sur moi. Il me désire, je le fais suer. Hors d'haleine, il se penche un peu plus sur mon torse en continuant ses coups de reins réguliers, relève la tête lentement et m'embrasse pendant que mes doigts filent sur son corps trempés de sueur. Je lui caresse les tétons, lui mords le creux du coup, redessine ses muscles en le caressant avec vigueur. Son pouls s'accélère, il me fait chavirer en me donnant des coups puissant. Les jambes en l'air, le dos posé sur le grillage, je le regarde prendre son pied (et les miens également) et sa bouche se tord dans un rictus inimaginable, il est proche de l'orgasme je le ressens, il rouvre les yeux avec le peu de conscience qui lui reste et me regarde chaudement. Je me retire calmement en faisant preuves de bruitages s pour l'autre ahuri dehors qui attends depuis 10 bonnes minutes. Je tombe par terre, à genoux, il pose son fessier musclé à son tour sur la commode en bois. Je me relève du mieux que je peux pour finir ce feu d'artifices en gorge profonde et à l'instant même ou mes lèvres touchent son gland que de long et puissants jets qui n'en finissent plus atterrissent sur ma bouche et dans le fond de mon palais. Il rugit, les yeux mi-clos et la tête rejeté en arrière. Ses muscles se contractent sous mes mains qui continuent de le toucher, de le dévorer à chaque parcelle de peau découverte. J'avale ce nectar avec délice et m'essuie les restes du revers la manche. Très sucré, comme sa couleur café au lait. Il est beau, il est bon, et son sexe géant. Et sans m'y attendre, il attrappe mon sexe sur le point d'exploser et me masturbe rapidement, il n'a pas fallût plus de deux minutes pour voir le blanc s'éjecter le long de la commode.... Je suis apaisé, autant qu'il est souriant. On se regarde une dernière fois dans le blanc des yeux, et on se rhabille en silence, comme si un seul mot pouvait gâcher cette instant unique ou bien remettre à neuf la rage de Diego. Sans un regard, je sors de la camionette, descends et commence à boîter à cause de la souffrance qui continue de se répandre. Je n'ai plus de cul, c'est juste un trou, un vide, un creux.

"-T'en as mis du temps mon cochon", lance Diego à l'adresse du jeune brun en partant dans un rire effréné.
Le camion démarre, et ils partent sans un merci, sans un aurevoir, ni un adieu. Je suis juste là, addossé contre le mur de brique pour supporter mon poids, Crochet au pied.

Certains mâles sont dominants à caractère violent. Il ne vaut mieux pas jouer avec leurs nerfs, ou vous risquez de passer un mauvais quart d'heure. Il s'abrutisse de violence pour combler leur mal-être, il vous font mal pour compenser leur sentiment d'infériorité, et une fois que vous êtes bien soumis, ils en profitent et jamais plus vous ne pourrez échanger les rôles. Take care, il faut trouver les bons mâles, et les bons maux.


Je vous fais à tous des bisous partout sur vos corps nus, en ayant l'espoir que les récits HDS vous donne des idées par très net. A bientôt !

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