La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1479)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1472) -

… après quelques minutes je pouvais entendre les éclats de voix de Madame Marie provenant des cuisines donnant des ordres avec sévérité dans la voix, se mettant à réprimander sévèrement certains frères ou sœurs de soumission, tandis que j’entendais sa cravache frapper un ou des fessiers. Je me hâtais ainsi à quatre pattes ne voulant pas subir ses foudres déjà bien en exergues. Après quelques instants, j'arrivais donc au niveau des cuisines, je m'arrêtais un moment immobile et silencieuse, attendant ainsi les prochaines directives de la cuisinière affairée à corriger de quelques coups de cravache. C'est seulement après quelques minutes que la cuisinière remarqua ma présence et me dit d'une voix autoritaire, dédaigneuse et sèche :

- Ah te voilà chienne Maera MDE. Ca fait déjà 15 minutes que je t’attends, en levrette et lève ton cul, salope. 15 minutes, alors ça sera 15 coups de cravache, espèce de chienne mollassonne … Et tu comptes sans broncher, j’ai dit, sinon je double la sanction … On ne fait pas attendre Madame Marie, salope. Tient prends ça, la pute… dit-elle en frappant un premier coup…

Marie frappa sans ménagement sur mon fessier exposé à sa cravache cinglante. Je comptais à haute voix et sans gémir de douleur, malgré mon cul rougissant qui chauffait ma peau à chaque coup porté. Une fois les 15 coups reçus, je dus me mettre à genoux et lui lécher les pieds en signe de remerciement. Quand subitement, elle me tira par les cheveux pour me faire relever et me dire tout aussi sévèrement :

- Aller, maintenant au travail, la chienne… Le dîner dans la grande salle de réception au Château ne va pas tarder à commencer avec le Maître et son invité de marque. Et tu sais bien à quel point il n'est pas bon de faire attendre le Maître, Il déteste patienter... Viens ici pour que je t'apprête comme Monsieur le Marquis d'Evans l'exige.

Et gare à toi, si tu renverses le moindre verre, le moindre liquide ou plat. Si cela arrivait, tu serais doublement sanctionnée par le Maître et moi-même. Cette soirée est très importante pour Monsieur le Marquis avec son hôte chinois, c‘est un patron d'une très grosse entreprise d’Asie, alors pas de bourdes, tout doit être parfait… Mets-toi debout, les jambes et bras écartés et reste immobile, le temps que je te mette ce plateau en fer forgé des Armoiries de la Famille d’Evans. Et que je puisse aussi le fixer à ton cou de salope, me laissant entièrement nue dessous. Tu mettras aussi ces hauts talons aiguilles à tes pieds pour avoir ainsi une démarche féline et séduisante pour servir...

Alors, elle m'attacha un collier autour du cou relié au plateau en fer forgé à l'aide d'une longue chaîne qui descendait jusqu'à mon ventre. Puis j'enfilais les deux talons aiguilles. Je restais ainsi équipée, debout, puis tout s'enchaîna de manière soutenue. On me mit assez vite sur le plateau des flûtes remplies de champagne ainsi que quelques apéritifs. Et je pris la direction de la grande salle attenante aux cuisines, en faisant bien sûr attention de ne rien faire tomber tout en pressant le pas, ne souhaitant pas faire attendre le Maître. La salle de réception avait été richement décorée, car en plus des très beaux tapis et peintures accrochées aux murs habituels, une décoration à connotation asiatique sur le Nouvel An Chinois avait été installé.

Dès l'instant où je fus entrée, les regards se posèrent sur moi, puis très rapidement les Convives se servirent des boissons, apéritifs présents sur le plateau tout en échangent entre eux. Je fis ainsi durant la soirée la navette entre la cuisine et la grande salle pour remplir à nouveau le plateau quand celui-ci était vide… A la fin du repas, Monsieur le Marquis d'Evans proposa à son Invité de Le suivre dans le Salon privé pour discuter dans un cadre plus détendu. Arrivé au Salon, Il en profita pour s'asseoir confortablement dans un fauteuil et invita son Invité à en faire de même.
Le Maître des Lieux ordonna qu’on Lui apporte deux Brandy.

Marie alors déposa sur le plateau, les deux digestifs et je devais les apporter... Je posais le plateau sur la table située au milieu de la pièce près des fauteuils où ils étaient confortablement installés. Ensuite, j'entendis tout d'un coup, un claquement de doigts, je m'arrêtais alors et je me dirigeais vers le Maître en bipède, baissant la tête, ne sachant quelle position adopter face à son Invité dont je ne savais pas encore sa profonde nature. Le Maître me caressa tout d'abord la chevelure puis me fit retirer le plateau pour m’imposer de me mettre à genoux à Ses Pieds. Ceci en exerçant une légère pression sur ma tête. Le Noble me caressait ainsi ma chevelure, mon dos, puis mes jambes. Sa main caressant avec virtuosité la moindre parcelle de mon corps. C'est alors qu'il prit la parole puis lui dit d'une voix amicale et chaleureuse :

- Mon cher hôte j'ai remarqué que le spectacle de ce soir ne vous a pas laissé indifférent et que vous avez beaucoup apprécié certaines de Mes chiennes, car elles ne sont pas de simples serveuses, comme je pense vous avez pu vous en douter, mais Mes propriétés les plus absolus et j'en dispose à Ma guise selon Mes volontés. J'ai bien remarqué que Vous n'étiez pas insensible au charme de ma belle chienne Maera MDE, c'est pourquoi je vous propose de vous l'offrir pour la nuit ainsi que pour agrémenter votre séjour en Ma demeure, elle sera à votre entière et totale disposition et soumise à tous vos bons plaisir….

Son Invité prit la parole, dans un français impeccable avec son accent chinois, lui répondant d'un ton aimable :

- Cher Ami, Votre réputation mondiale vous précède ! Je sais qui Vous êtes, et que Vous faîtes partie des plus grands Maîtres de la planète. C’est aussi cette réalité qui m’a encouragé à faire des affaires commerciales avec Vous, car Votre sérieux d’homme d’affaires et entrepreneur n’a d’égal que Votre fameuse réputation.
Mais ce que Vous ne savez pas, c’est que je suis moi-même un Dominant. Oh, je suis bien modeste par rapport à Votre Cheptel, mais j’ai tout de même quelques propriétés dont je suis assez fier… Si je connais Vos activités en tant que Maître, c’est grâce à un ami commun et chinois, qui m’a vivement recommandé à Vous, Maître Tchang Li de Pékin…
- Ce cher Tchang Li, comment va-t-il ?
- Très bien, je vous en remercie… Mon cher Monsieur le Marquis, j'apprécie donc Votre présent en cette chienne Maera MDE et l'accepte avec grand plaisir. J'ai envie de tester certaines positions du Kamasutra ainsi que le jeu du Mikado, une spécialité de la Domination/Soumission chinoise sur Votre chienne.
- Aucun souci cher ami, profitez au mieux de Ma chienne Maera MDE. Ah juste une précision : En réalité, je savais très bien que vous étiez également un Dominant, c’est Tchang Li qui m’a téléphoner pour m’en informer dès qu’il a su que vous vouliez traiter avec Moi du gros contrat financier qui vous amène en France. Car si je ne l’avais pas su, je ne vous aurais pas fait profiter du spectacle de mes serveuses soumises nues durant le repas car quelqu’un qui ne serait pas de notre monde D/s, aurait déjà crié au scandale … Donc dans l’histoire chacun de nous deux savait que l’autre était un Dominant !
- Tout à fait ! Et c’est aussi pour cela qu’en tant que Dominant, j’ai beaucoup apprécié, de voir servir le repas, Votre chienne Maera MDE
- Alors, elle est toute à vous ! répliqua Monsieur le Marquis !
- Je Vous en remercie, alors je ne vais pas r plus longtemps de Votre temps et vais aller de ce pas dans la chambre qui m'a été affecté et ainsi que profiter de Votre belle chienne, répondit-il comme pour conclure tout en se levant pour quitter la pièce me faisant signe de la suivre.

Le Maître souriant fit un signe de la main à son Hôte. Je suivis alors dans les couloirs et les escaliers le patron chinois à qui j’étais offerte pour la nuit et durant son séjour.
.. Après quelques minutes de progression, moi à quatre pattes et lui en bipède, nous arrivâmes à sa chambre. Il m'ordonna de me mettre sur le lit toujours en restant à quatre pattes, cul bien relevé et bien présenté et d'attendre ainsi en silence. Le chinois alla chercher quelques objets sortis d’une de ses valises. Il revint avec des baguettes du Mikado, des élastiques et quelques autres objets, puis me dit :

- Je vais jouer au Mikado avec toi. Tu as bien sûr l'interdiction de bouger et d'émettre le moindre bruit. Si tu désobéis tu seras sanctionnée, dit-il d'un ton autoritaire et calme, tout en me regardant de ses yeux bridés…

(A suivre …)

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