La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 575)

Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 574) -

Au même moment Carole qui vient juste de finir sa pause déjeuner, fait son apparition dans le bureau…

- Maî… Monsieur Le Marquis, bonjour, que nous vaut l’honneur de votre visite ? demande avec un profond respect la jeune femme.
- Eh bien, je venais voir le commandant, mais il paraît que j’aurai dû prendre rendez-vous, sourit Le Marquis.
- Monsieur le Marquis, veuillez accepter mes excuses pour le comportement de mon collègue, il a beaucoup à apprendre, répond Carole en fusillant le jeune homme du regard. Si vous voulez bien nous excuser, je vais aller chercher le commandant, il n’est pas bien loin.

Carole fait signe au jeune homme de la suivre dans le couloir, puis un peu éloignés de la porte, elle se retourne et s’adresse à la jeune recrue en lui chuchotant.

- Je ne veux même pas savoir à quel point tu as pu faire preuve d’insolence, mais je te conseille vivement de rattr ton erreur au plus vite. Monsieur Le Marquis d’Evans est un grand ami du commandant, un grand ami du Préfet mais aussi du député de notre circonscription et également un des plus grands Mécènes des pompiers. IL connait, très bien même paraît-il, un de nos ministres. Autant te dire que si tu ne parviens pas à obtenir son pardon, tu peux changer de métier…

La jeune femme file quérir le commandant laissant le jeune homme déstabilisé rejoindre Le Noble qui patiente dans le bureau. Il se place face au Noble et détourne le regard pour lui annoncer d’un air penaud :

- Me…Mon…Monsieur, excusez-moi, je ne savais pas qui vous étiez.
- Hum l’impératif pour présenter des excuses, en plus d’être insolent, vous manquez de savoir vivre, jeune homme.
- Je vous prie de bien vouloir m’excuser, je…
- Eh bien voilà qui est mieux, mais votre accueil est indigne d’un homme du commandant, personnalité ou pas, vous vous devez de respecter un peu mieux les visiteurs.

Je ne peux laisser passer de tels écarts, par respect pour le commandant…à moins que…
- A moins que quoi, demande empressé le jeune homme, fébrile.
- A moins que vous ne sachiez-vous faire pardonner comme il se doit.
- Tous ce que vous voudrez Monsieur…. Je… Je tiens à ma place et …
- Tout, vraiment tout ? En êtes-vous certains, sourit Le Noble.
- Tout à fait Monsieur.
- Bien, alors à genoux, immédiatement, ordonne Le Noble d’un ton sec.

Le jeune homme a très bien compris l’ordre mais est complètement déstabilisé par ce qu’il vient d’entendre et il reste debout, comme figé.

- Eh bien j’attends ! Vous avez bien dit tout !

La jeune recrue sursaute, et lentement le cœur serré, il s’agenouille devant Le Marquis d’Evans. Il est ridicule, les yeux cherchant un point à fixer pour ne pas croiser le regard du Noble, les bras ballant ne sachant où se mettre, le corps tremblant de peur. Monsieur le Marquis sourit, il observe un instant le jeune homme sans rien dire, laissant le mal-être s’installer en lui, puis il reprend d’un ton solennel.

- Si vous léchez mes chaussures avec conviction, peut-être pourrais-je envisager d’accepter vos excuses.

Le jeune homme lève les yeux révoltés mais rencontre le regard fixe et puissamment Dominant du Marquis qui ne laisse place à aucune discussion. Alors sans rien dire, il regarde les chaussures posées devant lui et se met à quatre pattes pour en lécher timidement le bout.

- Avec conviction, j’ai dit !

Le jeune homme accentue ses coups de langues et s’applique à n’oublier aucun recoin des chaussures de cuir noir du Noble. Au même moment le commandant fait son apparition dans le bureau accompagné de Carole, qui tous les deux découvrent la scène voyant le jeune homme à l’œuvre. Le Marquis leur fait signe de se taire et de patienter dans le couloir.

- Eh bien voilà qui est mieux, relève-toi, ordonne Le Marquis au jeune homme.


Le jeune homme obtempère et reste figé un peu perdu ne sachant comment réagir pour se sortir de cette situation très humiliante. Il a honte de s’être rabaissé de la sorte, mais paradoxalement, il sent son sexe durcir sous son uniforme, ce qui n’échappe pas au Noble.

- Eh bien, c’est bien ce que je crois cette petite bosse ridicule ? Le commandant sait-il qu’il a des lopettes soumises sous son commandant, ironise Monsieur Le Marquis… Allez dégrafe ton pantalon et montre-moi un peu, comme lécher mes chaussures, cela t’a fait bander, espèce de petite lope en puissance …

Le jeune homme tellement surpris est figé comme une statue par la crainte et balbutie en se mettant à trembler :

- Co… Comment ? … Vous … Je … je ne peux …

- Tu bandes, je ne suis pas aveugle, ça se voit ! Alors sort-moi ta nouille, à moins que tu préfères que j’appelle le Préfet …. Ensuite, tu te branleras devant moi et léchera ton foutre… J’ai dit !
- Bi… Bien… Mon… Monsieur le… Marquis …

C’est rouge de honte et tremblant que le jeune homme baisse son pantalon et son boxer pour exhiber une belle érection qui apparemment s’est accentuée de plus belle suite à ce sentiment de se sentir dominé par le Noble. Mal à l’aise devant cette situation, il peine d’abord à se masturber mais comme il est aussi terriblement excité, le geste d’abord imprécis devient plus actif devant le regard sans sourciller du Châtelain, le jeune homme accentue sa branlette et ne tarde pas à laisser échapper son foutre qui tombe sur son caleçon. Sous le regard Exigent du Noble, il commence par se lécher ses doigts et récupère son sperme sur son boxer pour l’avaler. Puis ne sachant quoi faire et se trouvant si honteux, il s’agenouille de nouveau, le pantalon aux chevilles et instinctivement baisse la tête.

- Bon ça ira pour aujourd’hui. Lève-toi et réajuste ton pantalon et retourne à ton bureau.

Le jeune homme obtempère et retourne à sa place en silence et plus écarlate que jamais.


- Edouard, vous ici, encore à déstabiliser mes hommes, s’amuse le commandant faisant mine d’arriver au moment précis où le jeune homme réajustait son pantalon.
- Ah cher ami, ce jeune homme me présentait ses excuses.
- Pour ?
- Pour une maladresse dans sa façon de m’accueillir. Rien de grave c’est déjà oublié, répond Le Noble rassurant ainsi le jeune homme qui s’empresse de reprendre le travail.
- Venez, allons donc mon bureau, dit le commandant ouvrant la porte.
- Volontiers.
- Dites Edouard, vous n’avez pas l’intention de faire de ma caserne un repère de soumis, s’inquiète le commandant une fois la porte refermée.
- Oh n’ayez crainte, ce jeune homme n’a aucune volonté propre, il serait un soumis très ennuyeux, très peu pour moi, je ne choisis que de la qualité.
- Et que me vaut l’honneur de votre visite.
- J’ai appris de source sûre que vous souhaitiez vous mettre en ménage, répond souriant Le Marquis.
- Hum, je pense savoir quelle est votre source.
- Oui, et elle m’a demandé mon autorisation, et je ne veux pas la lui donner par mail, aussi si elle était disponible, peut-être pourriez-vous la faire venir ici quelques instants dans votre bureau.
- Carole, voulez-vous bien faire appeler Vanessa, s’il vous plait, dans mon bureau de toute urgence, annonce le commandant par l’interphone de son bureau.
- Oui commandant, je le fais immédiatement, répond la voix de Carole

Vanessa est au réfectoire avec ses collègues, elle prend son repas et discutant avec Manu, un de ses collègues qu’elle apprécie beaucoup. La voix de la secrétaire résonne dans la caserne « Vanessa est attendue immédiatement dans le bureau du Commandant. ». Cette annonce surprend ses collègues qui la regardent en se demandant ce qu’elle a bien pu faire. Et Thierry ne peut s’empêcher de faire son intéressant :

- Ah c’est l’heure de la pipe après le café, allez au travail, lance-t-il à Vanessa.

- Toujours aussi subtil, je pourrais me vexer si je n’avais pas autant pitié, tu sais si tu es jaloux, je peux te laisser ma place, ta langue est peut-être plus agréable que la mienne, lui lance Vanessa d’un ton piquant.

Thierry, une fois de plus remis en place par la jeune femme, devient la cible des moqueries de ses collègues. Vanessa ne lui laisse pas le temps de répondre, et quitte la table pour rejoindre le bureau du commandant, se demandant ce qui est si pressé.

- Carole, bonjour, je…
- Oui, oui vas-y vite, il t’attend, dit la secrétaire ne lui laissant pas le temps de terminer sa phrase.

Vanessa frappe et entre après en avoir reçu l’autorisation.

- Laurent, qu’il y a-t-il d’aussi urgent, que me veux-tu ? s’inquiète la jeune femme
- Moi rien, mais il y a ici quelqu’un qui a quelque chose à te dire, répond amusé le commandant faisant signe à Vanessa de se retourner.

La jeune femme se retourne et voit son Maître qui la regarde souriant, immédiatement elle s’agenouille les mains dans le dos.

- Maître, je ne vous avais pas vu, bonjour.
- Bonjour soumise, comment s’est passée ta nuit ? demande d’un ton ironique Le Marquis.
- Bien Maître, plus reposante que la précédente réponse à la même question de la veille.
- Tu m’en vois ravi. Bien, j’ai reçu ton message ainsi que ta requête. Si je dois te donner ma bénédiction, tu dois avant t’engager solennellement. Es-tu d’accord ?
- Oui Maître.
- Bien, alors t’engages-tu à rester auprès du commandant jusqu’à la fin de ta vie ?
- Oui Maître.
- T’engages-tu à le respecter et à le rendre heureux dans sa vie d’homme, d’éducateur, de Maître.
- Oui Maître.
- Bien, alors ce weekend je vous laisserai quelques uns de mes esclaves mâles pour t’aider à déménager, et à faire le ménage chez toi, considère ce prêt comme un cadeau pour cette nouvelle vie.
- Merci Maître répond sincèrement la jeune femme…

Au même moment le bip qu’elle porte à la ceinture se met à sonner et une voix se fait entendre dans la caserne :

« Départ intervention, VSAV 1 ». Elle regarde perdue son commandant qui lui fait signe de la tête de se retirer.

- Veuillez accepter mes excuses Maître, c’est mon véhicule, je dois…
- File, va vite, ton devoir t’appelle, et fais attention à toi, répond Le Marquis amusé.

La jeune femme s’incline et quitte le bureau en urgence, laissant les deux hommes discuter entre eux.

- Bien Laurent, je vais également me retirer, j’ai du travail. Je tenais à vous remercier d’avoir accepté de la sanctionner ainsi, je sais que ça a été quelque chose de très difficile pour vous, mais ça a été bénéfique pour son éducation.
- Merci Edouard, je recommencerais avec plaisir, je sais qu’elle est plus épanouie quand elle est soumise.

Monsieur Le Marquis se retire du bureau et au moment où il traverse le secrétariat, Carole baisse la tête après avoir salué poliment le Maître. La jeune recrue humiliée est aussi à son bureau, et voyant le Noble, baisse la tête également, rouge de honte et n’en tient pas large. Le Marquis d’Evans le regarde de haut et lui rappelle juste avant de sortir :

- La prochaine fois que quelqu’un se présentera ici, et qui que ce soit, tu devras l’accueillir avec toute la considération que l’on doit à une personne… Que ce qui s’est passé aujourd’hui te serve de leçon … En ce qui me concerne j’ai déjà oublié, mais ne t’avise pas à recommencer car ça me reviendrait obligatoirement à mes oreilles …

- Bi… Bien Mon… Monsieur … le Ma… Marquis, balbutie le jeune homme craintivement

Sur ce, le Noble quitte les lieux et rejoint la voiture où Walter l’attend pour rentrer au Château …

(A suivre …)

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