La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 577)

La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°560 -

Le Marquis d’Evans vient d’apercevoir Walter, le Majordome, qui inspecte dans tous les coins de la salle pour voir si tout se passe bien. Après un échange de salutations respectueuses traditionnelles, le Châtelain poursuit.

- Walter, Je suis content de vous apercevoir enfin ! Je suppose que vous devez être à fureter dans tous les coins. Il y avait longtemps que je ne vous avais pas croisé dans l’une ou l’autre salle.
- Il y a quelque chose qui ne va pas, Monsieur le Marquis d’Evans ? Si je Vous ai fait défaut, je Vous prie de m’en excuser. Il est vrai que je suis encore un peu occupé pour m’assurer que tout se passe au mieux.
- Non tout va bien ! Cette soirée anniversaire est d’ailleurs sublime grâce à tous vos préparatifs. Je regrette seulement de ne pas pouvoir être Maître du temps comme Je suis Le Maître D/s absolu de tous Mes esclaves, car j’aimerai bien parfois arrêter les horloges pour savourer encore plus longtemps les heures exquises de cette nuitée orgiaque où tous Mes invités de marque semblent profiter avec volupté de ces instants magiques de D/s et de luxure, qu’il Me plait de leur offrir.

Le Noble semble des plus radieux, se tourmentant peu du fait qu’une année de plus soit venue s’ajouter à son âge, car sa maturité, sa sagesse et sa Noble Maîtrise ne font que croître au fil des ans. Il jette un coup d’œil circulaire sur l’ensemble de la salle de plus en plus lascive à cette heure matinale, avant de reprendre la conversation avec son fidèle Majordome.

- Walter, j’ai juste un service de plus à vous demander.
- Tout ce que Vous voudrez, Monsieur le Marquis, Vous savez bien que je suis à Votre service.
- Mon petit chien fidèle MDE Endymion MDE est actuellement entre les mains de Domma Onyx, juste là vers la droite. Je devrais dire, plus exactement, qu’il est entre les cuisses et les lèvres intimes de Domma Onyx.

Vous le reconnaîtrez facilement, il porte le N°36MDE pour la soirée. Je tiens à ce que vous veillez à faire prendre par notre photographe attitré une photo de la croupe rougie de cet esclave-mâle à la fin de la séance de pompes sportives que lui a imposé Ma très chère amie Dominante. Cette dernière lui a promis comme récompense un coup de cravache chaque fois qu’il atteindra la cible à chaque élévation à la force des bras, si, et seulement si, son cunninlingus est jugé de qualité. Nous allons bien voir s’il la langue de Ma chienne en chaleur aura su être à la hauteur de Mes attentes. Mais en réalité, je n’en doute guère, sa dévotion est sans faille et ne parlons pas de son plaisir masochiste qui le poussera aussi à vouloir en recevoir plus et encore plus pour que sa queue laissée libre par ordre de la Domina se transforme en gourdin.
- J’y veillerai personnellement, Monsieur le Marquis.
- Je vous laisse le soin d’apprécier si l’image rend bien compte de la couleur réelle de ses fesses qui devrait faire encore plus ressortir son récent marquage au fer rouge, maintenant cicatrisé. Je tiens d’ailleurs à le voir demain à l’inspection lorsqu’il me viendra me déposer son rapport complet écrit de cette nuitée entre les mains de Domma Onyx qui aura sans nul doute marqué ses esprits, car c’est la première fois qu’il à l’honneur de participer à l’une de mes grandioses soirées D/s organisées au Château.
- Bien, Monsieur le Marquis, tout sera fait comme Vous le souhaitez. Je m’occuperais de récupérer cette chienne en chaleur moi-même lorsque Domma Onyx en aura terminé avec ce cabot et si Vous m’y autorisez, Monsieur le Marquis, je profiterais de son cul s’il a été bien chauffé par la cravache. J’ai un plaisir fou à enculer les fesses cramoisies des esclaves-mâles masochistes, car ils sont tellement excités qu’ils feraient n’importe quoi pour trouver une queue pour les foutre.
- Je vous dois bien cela, Walter, après tout le mal que vous vous êtes donné pour organiser cette soirée.
Mais une simple sodomie sera-t-elle suffisante pour vous vider, vous doper et vous remettre de tous vos efforts. C’est mon anniversaire ce soir et il me plairait assez de savoir que vous aussi vous en profitez pleinement.
- Ne vous inquiétez pas pour moi, Monsieur le Marquis. Votre satisfaction est la meilleure des récompenses et je sais l’apprécier à sa juste valeur. Sur un plan plus viril, je ne suis pas en reste d’ailleurs. J’ai réquisitionnée en début de soirée une jeune soumise MDE qui a su me vider les couilles avec application et elle m’a su infiniment gré du plaisir jouissif que je lui ai autorisé ce soir. Elle porte encore ma chaude semence dans son fondement retenue par un large plug que je lui ai remis après avoir dilaté son petit trou. Lorsqu’elle aura terminé son service auquel elle a été assignée pour la nuitée, elle a déjà reçu l’ordre de rejoindre mes appartements pour un service de chambre plus spécial.
- Oui, Walter, je vois que vous ne perdez pas la moindre occasion de jouir de la vie et des plaisirs charnels qu’elle nous offre. Ce soir, c’est amplement mérité. Je vous libère car j’aperçois Maîtresse Saphira qui me semble avoir découvert les joies de notre vélo d’intérieur plus que spécial D/s.

Le Marquis d’Evans s’avance en direction de la Domina pour la saluer.

- Très chère amie, comme cela me fait plaisir de vous voir si affairée à tester Ma petite machine ingénieuse.
- Mon cher Marquis, je ne sais où vous avez déniché ce petit bijou de perversité phallique, mais c’est un réel plaisir d’en tester toutes les fonctionnalités les unes après les autres.
- C’est un de mes chiens-soumis MDE qui a bricolé cela dans l’atelier du Château en suivant mes instructions. Il était artisan de métier ayant touché un peu à tout dans sa vie vanille avant de s’installer à demeure au Château, et je dois avouer qu’il me rend bien service pour tous les petits menus travaux d’entretien qu’il y a toujours à faire dans une si grande demeure.


Si l’installation mécanique ressemble grosso modo à deux vélos qui auraient été mis face à face, en réalité, le mécanisme en est plus complexe pour cet appareillage à destination de pratiques D/s qui a été en outre électrisé. Deux cadres de vélo ont été coupés en amont juste avant le guidon et jointés bout à bout en face à face, ne conservant que la partie avec la roue arrière qui est entrainée par les pédaliers mais qui en réalité tourne dans le vide puisque les deux morceaux de vélos ont été fixés sur une plaque les rendant encore plus solidaires. Les deux selles ont été enlevées et remplacées par deux godes terminés par une petite rondelle trouée de support qui est bien inefficace pour pouvoir s’asseoir dessus de tout son poids mais qui sert de butée à la pénétration anale.

La barre centrale qui relie les deux vélos est ajustable en hauteur tout comme les « selles » phalliques pour pouvoir s’adapter à la taille de chaque utilisateur, mais aussi à l’usage que l’on veut en faire. Cette tringle de métal peut en effet servir entre autres de berceau de judas, sur lequel la soumise déjà empalée par l’anus reposera, ses lèvres intimes se refermant sur le morceau de métal pénétrant au plus profond l’intimité de sa chatte, obligeant la dominée à faire porter une bonne partie de son poids sur ses pieds posés, suivant le réglage, au sol sur la pointe ou à plat sur les pédales, ce qui lui permet de limiter la douleur de la portée sur les parties vaginales et le mont pubien. Dans le cas d’un soumis mâle, la barre peut servir d’armatures pour un bondage de ses attributs, couilles et verge. On peut aussi imaginer qu’il est possible d’arrimer sur la barre deux vibromasseurs clitoridien qui seraient ajustés pour venir titiller le bouton d’amour sans discontinuité pour des orgasmes à répétition. Mais les possibilités d’utilisation de cette bécane phallique sont largement plus vicieuses suivant les réglages qui peuvent désolidariser les fonctions d’entrainement du pédalier pour le remplacer par un va-et-vient mécanique automatisé plus ou moins intense en profondeur et en rapidité.
Une vraie machine à baisser à laquelle il serait bien difficile d’échapper pour peu que le/la soumis(e) soit sanglé(e) sur le vélo et contrainte à rester embrochée sur le phallus qui tient lieu de gode anal.

Maîtresse Saphira a choisi d’installé son esclave bluesub sur l’une des selles, en ayant pris soin au préalable de remplir son anus d’un œuf gonflable vibrant qui a pris possession de l’espace intérieur du vagin de la soumise déjà fort excitée depuis le début de la soirée. La Dominée a installé sur l’autre selle, et dans la même posture, la chienne-soumise N°29MDE qu’elle avait tirée au sort en tout début de soirée. Les deux soumises ont été solidement attachées par une chaine qui relie leur taille ceinturée à l’un des palans qui descendent du plafond afin de ne pas prendre le risque qu’elles puissent se blesser en tombant ou même tout simplement en basculant fortement sur le côté avec le phallus qui pourraient les déchirer de l’intérieur. Les poignets menottés ont été également reliés au palan, si bien que les deux soumises peuvent également à la force des bras légèrement s’agripper pour réduire la pression qui s’exerce sur leurs bas-ventres qui reposent sur la barre métallique du double vélo D/s.

Les deux godes qui pénètrent dans les deux anus respectifs des deux chiennes en chaleur sont en action depuis plusieurs minutes. Pour l’instant, le rythme de pénétration est lent, mais déjà des soupirs langoureux se font entendre à chaque coup de butoir dans leurs fondements, d’autant plus excitants que les œufs vibrants font déjà merveille pour humidifier et échauffer les deux sexes femelles. La soumise bluesub est une vraie chienne en chaleur qui est capable d’avoir une jouissance anale au moins aussi forte que toute jouissance vaginale avec ou même sans excitation de la zone clitoridienne. Elle s’empale de tout son être sur le tube de plastique qui lui rentre dans les entrailles cherchant désespérément à le retenir en serrant ses sphincters lorsque le gode se retire avant de mieux la pénétrer à nouveau. Elle voudrait tant que sa Maîtresse augmente la cadence des va-et-vient sodomites mais elle ne se hasarde surtout pas à le demander, même sous la forme d’une imploration, craignant que Maîtresse Saphira ne la prive du droit de jouir pour n’avoir pas su se contenter de ce qui lui était accordé.

La Domina pour complexifier le jeu a équipé les deux femelles de pinces à seins reliés par une chaînette. Et l’équipement ingénieux doté de nombreuses fonctions multiples lui a permis d’adapter une tringle sur la chaîne qui est relié à un flotteur. Si la soumise pédale à une cadence moyenne, les roues entrainent dans le cas de figure choisi un petit engrenage qui alimente en eau un tube percé dans lequel est plongé ledit flotteur. Chaque fois que le pédalage ralenti ou s’arrête, l’eau s’écoule en goutte à goutte faisant descendre la ligne de flottaison dans le tube ce qui a pour effet de tirer vers le bas sur la tringle et donc par voie de conséquence sur la chainette et les deux pinces à seins. Le niveau le plus bas du tube totalement vide correspond à un étirement maximal qui est difficilement supportable pendant de longs instants, si bien que la soumise est par la force des choses contrainte de pédaler presque sans arrêt pour réduire la tension qui s’exerce sur ses mamelons en donnant plus de hauteur à la tringle qui remonte en même temps que le niveau d’eau. Un vrai système pervers car pédaler n’est pas des plus faciles sur ce type de vélo sans pouvoir prendre appui sur un guidon inexistant, n’ayant comme possibilité de pouvoir les mains tendues vers le haut s’agripper difficile à la chaîne à gros maillons de métal. Si bien qu’à chaque fois qu’il faut se dandiner d’un pied sur l’autre pour faire un tour de roue, cela a pour effet de se répercuter aussi sec sur le bas-ventre qui repose plus fortement sur la barre qui traverse les chairs intimes en appui.

Le Marquis d’Evans regarde avec délectation la scène D/s ainsi élaborée. Maîtresse Saphira est subjuguée par les mimiques des deux chiennes qui sont soumises à des sollicitations érotiques diverses mélangées à des plaisirs douleur/douceur D/s caractéristiques. Les ahanements des deux chiennes se font plus intenses lorsque la Domina accélère la cadence des va-et-vient infernaux phalliques, ce qui a pour effet de déstabiliser encore plus les deux soumises qui peinent un peu à contrôler la montée en puissance des jouissances, tout en continuant de pédaler pour tenter de réduire l’étirement des deux tétons. Tétanisées l’une comme l’autre par plusieurs orgasmes déferlant, elles sont en nage, criant leur délectation qui les emporte dans l’extase sur la crête des plaisirs. Il y a longtemps qu’elles n’ont plus la force de se retenir en suspension par les bras et se sont donc abandonnée à un empalement total intense qui les martèle, ne pouvant même plus lutter pour continuer à pédaler, alors que leurs corps ne sont plus que spasmes incontrôlés. Si elles n’avaient pas été sanglées et retenues, il y a longtemps que tant l’une que l’autre aurait fini par perdre l’équilibre sous les soubresauts de plus en plus intenses qui les traversent car la sexe-machine ne s’arrêtera que lorsque la Domina le décidera.

- Maîtresse Saphira, je vois avec plaisir que vous avez su trouver les bons mécanismes sans avoir besoin de mode d’emploi. Si j’en juge par les cris de ces chiennes en chaleur, leurs jouissances étaient autorisées. Enfin, je parle surtout pour mon esclave N°29MDE qui je l’espère vous donne toute satisfaction pour la soirée.
- Très cher Marquis d’Evans, Votre esclave est parfaite dans son rôle. Elle a une langue habile pour les plaisirs saphiques dont je suis friande. Ma petite chatte personnelle en sait quelque chose, et ma petite autre chatte-soumise bluesub a également pu apprécier le savoir-faire sans faille de celle qui est votre propriété et qui a bénéficié d’une éducation de qualité comme tous ceux et toutes celles qui passent entre Vos sublimes mains.
- Je cherche toujours à cultiver l’excellence chez ceux et celles qui viennent me supplier de les accepter à Mes pieds. Il en va de mon honneur de Maître D/s reconnu par mes pairs de pouvoir leur faire profiter d’un dressage qui leur permet à chacun et chacune de vivre intensément leurs désirs de soumission, même si les attentes et approches des uns et des unes sont différentes, le principal est chacun et chacune garde en permanence à l’esprit qu’ils et elles sont là pour me satisfaire en tant que Maître Vénéré et que de ma satisfaction découle leur propre plaisir de dominé(e), lorsque dans la confiance absolu, ils et elles me laissent décider de juger de ce qui est bon pour chacun et chacune...

(A suivre …)

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