Ma Proprio - 2

« -Va dans le salon maintenant ! » m'ordonna-t'il.
J'obéis.

J'étais nue. Il me suivait et je sentais son regard posé sur moi alors que j'avançai, tremblante, pas encore remise de ce que je venais de subir.
La douleur dans ma mâchoire commençait à se dissiper. Comment avait-il pu me faire ça ? Il m'avait mit son sexe dans la bouche et m'avait obligée à le sucer.

Obligée ? Un grand frisson me traversa le corps. J'eus honte.
Non ! Il ne m'avait pas obligée. Je l'avais sucé, volontairement. Certes, il m'avait au début, mais ensuite, rien. C'est moi qui avait pris sa queue et me l'était enfoncée dans la gorge.
J'avais aimé ça, j'étais excitée par ce chibre dur, me remplissant la bouche. Il n'était pas exceptionnellement gros, mais il était bon : doux et dur à la fois. Chaud et puissant.

Mais que m'arrivait-il ? A mon âge, je ressentais de l'excitation à me faire défoncer la bouche par un quadra lubrique et pervers.
Et il avait dit que ce n'était pas fini.

« - Mets toi à genoux ! »
Je m'exécutai.
Il baissa son pantalon et s'assit sur le canapé, me faisant face. Ses cuisses écartées laissaient pendre son sexe redevenu mou après la décharge de sperme, que j'avais reçu toute entière dans la bouche … et que j'avais avalé.
A cette pensée, je me surpris à passer ma langue sur mes lèvres. Le goût amer, salé de son foutre sur ma langue m'avait d'abord dégoûté. Mais … j'en voulais encore !
Je tentais de comprendre. J'étais déboussolée.

Il se mit à se masturber.
« -Ecarte les cuisses et branle toi ! » me dit-il.
Je descendis une main sur ma chatte et commençai à me toucher. Elle était humide. La paume de ma main commença à caresser mon clitoris, alors que j'enfonçai un doigt dans mon vagin.
Plus je me touchai et plus je sentais l'excitation monter en moi.
Sa queue grossissait entre ses mains, alors qu'il effectuait ses va vient.

Je l'excitai, moi, avec mon corps de vieille (bien conservé pour mon âge, oui, mais tout de même pas aussi ferme et beau qu'une minette de 20 ans).

« -Garde un doigt dans ta chatte, arrête de bouger, et écoute attentivement ! »
Je stoppai tout mouvement, et laissai mon majeur dans mon trou, bouillant et plein de mouille.

Il commença.
« - Comme je te l'ai dit, je vais faire de toi ma chienne. Tu seras mon objet sexuel. Tu sembles prédisposée pour un tel ce rôle, et tout ce qu'il faut maintenant, c'est que tu l'acceptes. Que tu acceptes ce que tu es au plus profond de toi. »

Je l'écoutai sans broncher : Moi, une chienne ? Prédisposée ? Que racontait'il ?
Il dit ça alors que je n'ai fait qu' avaler son foutre, après l'avoir sucé avidement comme une femelle en chaleur … comme une chienne.
…
Comme une chienne ! Ma propre pensée me glaça les os.
Avait-il raison en fin de compte ?
Pourquoi n'avais-je pas crié ? Pourquoi ne m'étais-je pas débattue plus que ça ?

Avec effroi, je réalisai soudain que c'est ce que j'avais toujours voulu.
« - Je vais t'utiliser pour mon plaisir. Tu obéiras sans rien dire. Et tu vas aimer, fais moi confiance !  Viens me lécher les couilles, salope !»
A demi-surprise, je commençai à m'avancer à quatre pattes vers lui. Ma raison m'avait abandonné, et seules les pulsions incontrôlables de mon corps guidaient maintenant mes actions.
Je plongeai ma tête dans son entrejambe, sorti ma langue, et commençai à le lécher.
Ma langue montait et descendait, allait de droite à gauche, passant d'une couille à l'autre. Je m'attardai sur le périnée, avant de remonter et gobai une couille, l'aspirant doucement.
Il se branlait de plus belle. Son plaisir montait.

« - Suce moi ! Je vais jouir à nouveau dans ta bouche. »
Je ne me fis pas prier. Il continuait à se masturbait alors que mes lèvres engloutirent son gland. Il gicla dans ma bouche dans un râle de plaisir étouffé.
Je m'appliquai à tout prendre en bouche, et à avaler.
Cette fois, il n'eut pas besoin de tenir ma tête. Je voulais son foutre.

Je me sentais une moins que rien. Qu'y avait-il de plus dégradant sexuellement que d'avaler le sperme ? J'étais sa chose, et je ne luttais pas, car je savais maintenant ce que j'étais : Sa Chienne !
Je relevais la tête et le fixai. Un sourire se dessina sur mes lèvres, alors que quelques gouttes s'écoulaient par les commissures. D'un coup de langue, je les lapai.

« - Vieille salope ! Je vois que tu as compris. »
« Oui ! J'aime ça ! Je suis votre chienne. »
Je m'abandonnai complètement. Je léchai sa verge pour la nettoyer. Quand j'eus fini, je me remis à genoux devant lui et attendis. Il se leva, rentra son matériel et alla s'asseoir à la table du salon. Il prit mon portable, tapota sur l'écran, puis se mit à écrire quelque chose sur un morceau de papier. Une fois terminé, il posa le téléphone et le bout de papier, et plaça une feuille de papier vierge devant lui.

« - Bien maintenant, nous allons mettre tout ça par écrit. Ce sera un contrat entre toi et moi. Un contrat de soumission sexuelle totale. Es-tu d'accord ? »
Je ne savais pas réellement ce que cela impliquait.
« Oui, d'accord ! » répliquai-je timidement.
« Pendant que je mets tout ça par écrit, tu vas devoir faire quelque chose pour moi. »
Déjà ? Ce n'était pas possible ! Je lui avais servi de vide-couilles deux fois en moins d'une heure ; comment pouvait-il avoir encore envie ?
Mais j'étais prête à le sucer encore si il fallait. J'y prenais goût.

Mais ce n'est pas ce qu'il avait en tête.

« -Tu vas te rhabiller et sortir. Il y a un sex-shop plus haut dans la rue. Tu vas acheter de quoi t'habiller correctement. Je suis sûr que tu vois ce que je veux dire. »
A son regard, je compris de suite ! Il voulait me voir « habillée » comme une putain.
« Je crois que j'ai compris.
 » dis-je.
« Tu prendras aussi un plug anal et du lubrifiant. Ce sera tout pour l'instant. »
A ces mots, mon coeur s'emballa. Je voyais évidemment à quoi il voulait en venir, ça ne faisait aucun doute.
« D'accord ! » balbutiai-je, affolée intérieurement.
« Encore une chose ! » Il sortit cette fois son propre téléphone portable de sa poche de pantalon, fit glisser ses doigts sur l'écran à deux ou trois reprises, et me montra.

Horreur !
Le visage d'une femme apparaissait en photo. Sa langue tendue était posée sur des testicules que surplombaient une verge raide, prête à exploser. Bien que ne fixant pas l'objectif, on devinait des yeux d'un bleu brillant, dont les pattes d'oie révélaient son âge avancée. Ses cheveux blonds mi-longs, teintées à l'évidence, tombaient en désordre sur son cou, où de nouveau de légères rides trahissaient son âge.
Le salaud avait tout photographié et je ne m'étais rendue compte de rien, absorbée par le plaisir (évident sur les photos) que je prenais.

« - Une fois dehors, si l'envie te prenait de ne pas revenir, sache que cette photo, et bien d'autres, seront envoyées à plusieurs personnes de ton entourage, dont j'ai pris soin de noter les noms et numéros. » dit-il, désignant le morceau de papier abandonné sur le coin de table.

J'étais piégée.

Il me tendit les clefs de la porte d'entré qu'il avait toujours dans sa poche.
« - Va maintenant ! Je te donne 45mn. Et ne traîne pas en route ! Je sais combien de temps il faut pour y aller et en revenir. Je resterai en contact avec mon ami du sexe shop pour m'assurer que tu ne traînes pas en route . »

Je me dirigeai vers l'entrée où mes vêtements avaient été abandonnés, sur le sol, juste avant le premier pilonnage de gorge.
« - Ne remets ni ta culotte, ni ton sous-tif ! » ordonna-t-il du salon.
« Mais ma chatte est toute mouillée. »
« Ta gueule ! Fais ce que je te dis !»

Je remis mon pantalon, mon pull et mes chaussures.
Je pris mon sac, ouvris la porte et sortis.
A chaque pas, je sentais ma chatte réagir aux caresses que me procurait le frottement du tissu du pantalon. Mes tétons dressés à travers le pull devenaient de plus en plus dur et volumineux.
Les quelques hommes que je croisais me mataient avec envie. La bosse de leur entrejambe grossissait instantanément. Je n'avais jamais fait cet effet là.

Mais je ne m'attardai pas ! Il fallait faire vite. La pensée des photos de moi envoyées à ma famille, mes amis, me terrifiai … et m'excitai.

J'arrivai ! Je pénétrai directement dans le sexe shop, sans m'attarder. A la caisse, un jeune homme parlai au téléphone. Il devait avoir une vingtaine d'année, enrobé, un physique un peu ingrat dû à son ventre proéminent. Un double menton donnait naissance à un visage plutôt doux et rond, ni beau ni moche. Il portait des lunettes.
Il leva la tête et me fit signe d'approcher. Il me tendit le téléphone que je mis à mon oreille.

« Bien ma petite pute ! Je vois que tu n'as pas traînée. Le jeune homme que tu as devant toi va t'aider à choisir, ça ira plus vite. Il va s'occuper de toi, alors tu fais ce qu'il te dit. C'est bien compris ? »
« C'est compris. » répondis-je !
Et il raccrocha.

En moins de dix minutes, j'avais tout ce qu'il fallait. « Parfait ! » pensai-je ! Je serai de retour bien avant les 45 mn délai dont je bénéficiais.

Le jeune homme repris sa place derrière sa caisse, et je me positionnai de l'autre côté du comptoir, sur le point de sortir ma carte pour payer.
Il m'arrêta d'un geste de la main et baissa les yeux. Je suivis son regard et vis son sexe tendu émergeant de son pantalon. Je compris immédiatement ce que signifiait le « Il va s'occuper de toi. »
Je posai mes affaires sur le comptoir, et en fis le tour. Je m'agenouillai devant le jeune caissier et commençai à le sucer. Sa bite était large et me faisait mal aux mâchoires. Mais j'insistai, et je finis par réussir à l'avaler en entier.
C'était la deuxième véritable pipe que je taillais aujourd'hui, et je devenais déjà plutôt bonne.
Je le suçai vite et profond. Je voulais qu'il jouisse rapidement car mon temps était compté. Et ce ne fût pas long à venir.
Alors qu'il allait éjaculer, il retira sa bite de ma bouche, me saisit par les cheveux et m'obligea à regarder vers le haut.
Son foutre épais et chaud s'abattit sur mon visage, recouvrant mes joues, mon nez, mon menton. Quelques gouttes atterrirent dans ma bouche, que je m'empressai d'avaler. Il se branlait et gicla abondamment, il y en avait beaucoup.
« - Putain de vieille salope ! Prends ça, sale pute ! Aaarrghh ! » Il était très expressif et ses insultes étaient une récompense pour moi. J'avais fait jouir ce petit jeunot, et j'en ai été fière.

Ils se calma lentement. Je lui nettoyai soigneusement la bite et me relevai. Je me mis à passer un doigt sur mon visage, dirigeant le sperme vers ma bouche pour ne rien en perdre. Lorsque …
« - Non ! Il veut que tu restes comme ça. »
« Quoi ?? » La peur m'envahit.
« Il veut que tu restes comme ça et que tu rentres. Ne t'inquiètes pas pour le paiement, c'est arrangé. »

Je tremblais de tout mon corps.

(Je ne peux pas faire ça.)

Je passai à nouveau de l'autre côté du comptoir et récupérai mes affaires.

(Je ne peux pas faire ça.)

Je me dirigeai vers la sortie.

(Je ne peux pas faire ça.)

La rue était quasi-déserte, juste quelques commerçants au seuil de leurs portes, fumant, discutant.
Une brise légère vint caresser mon visage. Touché par ce petit air frais, je sentis encore mieux le foutre me recouvrant le visage. Mes pommettes, mon menton et le côté de mon nez. Mes lèvres également. J'en avais plus que ce que je croyais.

J'entamai le chemin du retour.

Je me sentais humiliée. Mon visage s'offrait à la vue des quelques personnes que je croisai.
« Regarde-moi cette vieille salope ! » ; « Je me demande combien elle prend, cette sale pute ! » devaient-ils se dire.
« C'est gratuit messieurs-dames. » dis-je à haute voix. « Je suis la chienne de votre voisin, et peut-être bientôt du quartier. »

Etait-ce moi qui venait de dire ça ?
Je relevai la tête, redressai mon buste. Je marchais maintenant fièrement, l'entrejambe de mon pantalon inondée de mouille, mes tétons pointant au travers de mon pull, du foutre séché constellant mon visage.

Je suis une vieille chienne, et j'aime ça.

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