Femme De Renseignements

Tous les moyens sont bons pour arriver à coincer ce réseau de renseignement qui ne cherche que les secrets industriels. Faites gaffe à vous. Je vous donne suffisamment d'argent pour votre mission. Je dis bien tous les moyen, ne négligez aucun.
Que répondre à cet ordre. D'accord je fais partie d'une section particulière. Me dire que tous moyens sont bons me laisse perplexe. Il m'a donné une piste, quand même, un type bien mit de sa personne qui fréquente les milieux aisés. Je sais que je peux le voir dans un restaurant de luxe. Je m'habille en conséquence: Tailleur Channel, payés par l'argent que mon boss m'a donné. Le reste est à l'avenant: escarpin de luxe, bals en véritable soie. Écharpe de chez Hermès, pour le dessus. En vérité je suis strictement nue dessous. Je peux employer tous les moyens. Je ne rechigne pas à mettre mon corps au service de mon pays. D'autant plus que faire l'amour ne me gêne strictement pas, quel que sois le sexe.
Entre parenthèse dès que 'ai vu la photo de ma future proie je n'est pu m'empêcher de me caresser sous la douche, ensuite je me suis parfumée aux endroits stratégiques: aisselles, seins, pubis et même un peu lez fesses. La pointe de N°5 sous mes oreilles était un cadeau de la maison.
Je vais donc dans ce restaurant, repère mon lascar, glisse la pièce au maître d'hôtel pour être juste en face de cet homme. Je l'examine longuement: c'est un bel homme, brun, cheveux courts, visage ovale, des yeux lumineux bleus le tout sur un corps qui parait assez solide pour une longue baise. Je ne cherche que ça: s'il me fait bien jouir, ce n'est qu'un plus. Sinon, je simulerai. Il me remarque, me sourit et m'invite à sa table. Je ne peux refuser: il a remarqué que je l'examine depuis tout à l'heure: une faute de ma part. J'aurai du le draguer ailleurs que là. Ma foi, tant pis.
Je suis obligée de jouer la femme du mode habituée à choisir moi-même mes amants. Il me drague directement. Je me laisse faire, surtout quand il raconte des fadaises.

S'il veut me lever, il faudra qu'il soit bien plus direct. Je sens son pied venir juste à coté du mien. Enfin un contact plus direct. Nous bavardons de tout, sauf de la seule chose qui m'intéresse au moins pour l'instant. Je lui raconte que mon mari me trompe avec sa secrétaire que j'aimerai bien me venger, que j'ai déjà eu un amant, qu'il m'en faut d'autre et que………Je ne finis pas ma phrase. Il a compris que s'il insistait un tant soit peu, il pourrait être le futur. Je laisse planer le doute.
Il commande une bouteille de champagne, m'invite à venir près de lui. J'ai horreur du champagne: je dois faire semblant d'ADORER. Le maître d’hôtel nous sert, le suspect me passe un bras sur les épaules, je le regarde en souriant. Il pense avoir gagné. C'est pourtant moi qui commence à arriver à mes fins. Il pose une main sur un genou, je le laisse faire, il monte très haut pour s'apercevoir que je ne porte pas de culotte. Il commence à me branler le clitoris. Il branle fort bien à tel point que je jouis. Je regarde son bas ventre: il bande. Je pose ma main, le caresse par-dessus le pantalon. Je sens son sexe grossir encore. Je n'attends pas pour lui dire que s'il me veut, je peux aller chez lui. J'appuis plus fort encore: il ne tiens plus. Nous nous levons: en passant devant les clients, il cache la queue comme il peut. Nous attendons un taxi: je continue à l'exciter. Enfin nous allons chez lui. Pendant le trajet il m'embrasse: nos langues rentrent dans la bouche de l'autre. Il embrasse fort bien. Il me branle encore. J'essaie de sortir sa bite: je n'y arrive pas. Tant pis je le branlerai mieux tout à l'heure. Je vois que le chauffeur ne nous quitte pas des yeux: il joue au voyeur: tant à l'heure il s'arrêtera pour se masturber, c'est sur.
Enfin chez lui: bel appartement pour un homme célibataire dans une beau quartier très chic: il a visiblement beaucoup de moyens. Il m'embrasse encore. Je commence à y prendre du plaisir. Il remet sa main sur mon entrejambe. Il reprend une masturbation: je le laisse faire: j'aime bien ça.
Cette fois j'arrive à sortir sa bite: elle ne me déplait pas du tout assez grosse pour moi. Je le masturbe comme je sais que les hommes aiment. Je m'accroupi, ouvre bien la bouche, lèche son méat pour recueillir les quelques gouttes, lui léche lentement le gland avant de l'engamer en entier: il se crispe pour résister: il ne ait pas que je sais arrêter un bon moment avant qu'il jouisse, non pas parce que je n'ai pas le sperme, au contraire, mais parce que je veux être sa maîtresse complètement. Je me relève: il commence à me déshabiller: mes seins nus attirent ses baisers. Il sait bien me caresser les seins: je suis en plus en plus excitée. Quand je suis totalement nue il me regarde pour voir si j'ai le moindre défaut: c'est en tout cas l'impression qu'il donne. Je défais sa ceinture, descend son zip pour enfin que tout son matériel soit bien visible. Il est nu à son tour. Je oui caresse le torse pendant qu'il me caresse le long du dos, jusqu'à mes fesses où il cherche un passage. Je me doute de l'endroit où il aimerai aller: je le laisse faire: il pose un doigt sur mon anus. Son autre main est encore sur mon clitoris: il me fait jouir encore une fois: je ne m'en plaint pas un seul instant.
Il m'emmène dans la chambre, me pousse sur le lit les jambes bien ouvertes. Il veut me baiser maintenant: je refuse: je veux le suer et le faire jouir. Je recommence comme tout à l'heure: cette fois je ne me soucis guère de son avancement: je suce jusqu'à sa jouissance: je reçois une dose de foutre à laquelle je ne m'attendais pas: il en avait une drôle de réserve. J'arrive péniblement à avaler tout son sperme. Il est satisfait. C'est à mon tour de recevoir sa langue sur ma moule. Ce qu'il suce bien le salop. Si je n'étais pas en mission je le garderai longtemps comme mec. Je ne perd pas la têt, tout au moins pas d'oublier qu'il bande encore/ Cette fois je ne peux échapper à une bonne pénétration comme je les aime. Je commence à croire que mon boss sait que j'aime baiser.
Quand il me vient dessus, qu'il me la met, je ferme les yeux. Nous faisons les mêmes mouvements. Il me fait jouir. Cette fois je profite de la situation: je vais le mettre à plat grâce à une de mes préférences: dans le cul. Je prends sa queue encore bien mouillée, la pose sur mon anus: il ne s'y attendait pas. Je me la fais mettre à fond. Je jouis encore et enfin je reçois une bonne décharge. Nous nous écroulons. Je bavarde de n'importe qui. Lui se lâche. Il se lâche tant qu'il me dit ce qu'il fait et surtout avec qui. Nous finissons la nuit ensemble par une dernière baise: je le trahis sans regret.
Le jour même je peux enfin tenir informé des renseignements que j'ai. La suite ne me concerne plus: c'est l'affaire d'état.

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