La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 584)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°583) - Embarquement immédiat –

Sitôt l’acte de propriété signé par les protagonistes, Maître Bourdeau s’était intéressé à la nouvelle acquisition de Monsieur le Marquis d’Evans. Près de l’esclave MDE, de nouveau à genoux, le notaire lui avait saisi sa chevelure et par la force lui soulevait et remuait la tête pour l’examiner de près.

- Une bien belle pièce que vous venez d’acquérir, Monsieur le Marquis ! Vous seul avez le secret de dégoter ces sujets sans aucune valeur pour en faire de précieux esclaves, parfaitement dociles et obéissants... Et même si aux yeux de la loi française la propriété d’un être humain n’est pas possible, et que légalement cet acte de propriété n’a aucune valeur et ne sera donc que symbolique, il n’en reste pas moins que j’ai un réel plaisir à ‘’jouer le jeu’’ en faisant comme si cet acte était reconnu par le droit français.
- Oui cher ami, je sais bien tout cela et votre présence ici est simplement pour que soit acté Ma propriété de cet esclave MDE par un notaire de votre qualité, même symboliquement. Merci de votre concourt.

soumis Endymion était maintenant contraint de poser la tête au sol, il sentit le pied droit du notaire se poser sur sa nuque pour l’assujettir un peu plus encore. L’esclave MDE désormais en levrette se laissait palper l’entrejambe et plus particulièrement ses génitaux, offrait son cul et son trou ouvert pour que deux doigts de l’Officier Ministériel puissent s’introduire et si glisser profondément.

- Oui très bel objet Monsieur le Marquis ! Concluait-il après cette brève introspection…

Il attrapa de nouveau l’esclave MDE par les cheveux pour lui faire reprendre la position initiale et glissa ses deux doigts souillés dans la bouche de soumis Endymion MDE.

- A en croire ce que j’ai sur les doigts, cette chienne en chaleur a du se faire saillir très récemment !

Les mots terriblement humiliants employés par le notaire comme ‘’pièce, objet, sujet’’ pour qualifier soumis Endymion MDE, mais aussi la manière d’agir et de faire de ce Notable et ami proche du Maître, fit bander l’esclave terriblement, pourtant ces paroles et ces gestes n’avaient d’autres objectifs que de le dégrader et l’avilir, sinon le bafouer.

Soudainement pressé, Maître Bourdeau prit respectueusement congé, Monsieur le Marquis le remercia chaleureusement d’être venu jusqu’ici puis demanda à Monsieur Walter et Madame Marie de le raccompagner. Sitôt que tous trois eurent quitté le bureau, le Maître s’adressa une nouvelle fois à Son chien soumis.

- J’ai encore des choses à te dire Mon chien, regarde-moi !

Qu’est-ce que le Maître allait-il encore lui annoncer ? soumis Endymion MDE encore sous le choc émotionnel et si heureux de ce qu’il venait de vivre, redressa timidement le visage, et posa ses yeux interrogateurs dans ceux Dominants du Maître.

- Dans deux heures, tu vas quitter le Château (soumis Endymion MDE, surpris, écarquilla les yeux, craignant un instant d’être répudié, la pire des choses qu’il pouvait lui arriver) Tu vas partir pour un temps déterminé (ouf, un temps déterminé avait dit le Maître, voilà qui le rassurait) aux Etats-Unis (aux Etats-Unis !) avec Mon Neveu et Ma Nièce. (Mais pourquoi ça ? pensait-il encore) Tu te mettras à leur service, à leur totale disposition en leur obéissant scrupuleusement et docilement. Je leur confère tout pouvoir sur toi Mon chien, tout le temps que tu seras avec eux, chez eux. Tu ne seras rien d’autre que ce que tu es ici, un simple esclave docile et servile. Tous deux continueront à parfaire ton éducation, à te dresser, à t’humilier et seulement lorsqu’ils te jugeront suffisamment formaté, alors je viendrai te chercher pour te ramener ici.

Ce matin, les surprises allaient bon train… Tout s’enchevêtrait dans le cerveau de soumis Endymion MDE, pleins de questions lui venaient à l’esprit.

- Maî…
- Tais-toi chien ! (ordonna le Maitre sévèrement puis il reprit plus sereinement) tu m’appartiens définitivement, je décide pour toi, tu obéis seulement… Une dernière chose encore, désormais, jusqu’à ton retour ici, tu nommeras Mon Neveu Maitre et Ma Nièce Maitresse. N’oublie jamais qu’en attendant que ma Nièce lui donne un héritier, mon Neveu est le dernier Héritier vivant de la longue et grande lignée des Evans (Famille Noble et venant d’Italie et établie ici en France, dans ce Château depuis 1625).
Et donc mon Neveu est comme mon propre fils, il a le sang des Evans et la même vision D/s transmise de génération en génération. Cette D/s aussi, il en est le digne Héritier… Quand je serai mort, toutes Mes propriétés, Terres et ce Château seront à Lui, et je sais qu’il en sera digne … Les formalités notariales sont faites pour que ce jour-là, il accède au Titre de Marquis d’Evans, à l’instar de ces Ancêtres… Bon voyage aux U.S.A…. C’est tout ce que j’ai à te dire…

Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, quitta la pièce, sans même jeter un dernier regard sur Son chien soumis effondré et si ému de ce qu’il vient d’entendre. Quand se reverraient-ils ? Il n’avait même jamais réalisé que Le Maître restait aussi et comme tout le monde, un simple mortel et qu’un jour, hélas, il ne serait plus de ce monde. Et le quitter quelques temps pour les U.S.A. l’attristait énormément. Ses multiples questionnements restaient sans réponse, d’ailleurs on ne laissa pas au chien soumis MDE, le temps de réfléchir très longtemps, Maître CharlEd et Maitresse Ella le firent se préparer en hâte. Une douche froide sinon glaciale sur ces génitaux pour couper toute excitation, la pose d’une cage de chasteté en plexi glace sur sa nouille rétrécie verrouillée par une cadenas pastique, un jean étroit et très serré, un tee-shirt blanc très échancré, un gros pull-over en laine et des chaussures trop étroites, un simple bagage à main préparé par Walter le Majordome, qui lui avait simplement dit, très ironiquement que les accessoires déposés à l’intérieur lui seraient très utiles aux States . Le chien soumis MDE était près. Dans la voiture conduite par Walter, à la sortie du Château, soumis Endymion MDE tristement se retourna une dernière fois avant de quitter l’Ancestrale Demeure. Le Maître n’était pas venu le voir partir… Direction l’aéroport Saint-Exupéry de Lyon…

L’esclave MDE attendait dans la zone de transit que l’avion soit prêt pour l’embarquement. Il partait loin, pour combien de temps aux Etats-Unis ? Maître CharlEd et la Maîtresse Ella assis semblaient somnolés.
Puis l’appel du vol se fit entendre et la masse de gens autour de lui se mit à bouger, se dirigeant mollement vers la porte d’embarquement. Le chien soumis MDE suivit Maître CharlEd et la Maîtresse Ella, Ils se dirigèrent vers l’hôtesse qui rendit les passeports avec ce sourire figé que la circonstance lui imposait et puis engouffrèrent dans le couloir qui les séparait de l’avion. Monsieur et Madame les Vicomtes d’Evans voyageaient en classe affaire, et bien sûr ce n’était pas le cas de l’esclave MDE. Alors, il trouva rapidement sa place sur un côté, près du hublot, et plus l’avion se remplissait, plus il caressait l’espoir d’avoir l’espace de deux sièges pour lui seul. Cet espoir s’envola, un homme, peu ragoutant, gros, ventru, les cheveux gras, dans un costume mal taillé et tâché s’asseyait à ses côtés. A peine venait-il de s’installer que soumis Endymion MDE vit apparaitre Maître CharlEd. Il s’approcha de l’esclave MDE en lui disant :

- Tu as intérêt de bien te tenir le chien ! Tu ne regardes pas de film, tes jambes seront toujours tenues écartées, la tête basse, et tu fais ce que l’on te dit de faire, c’est compris !
- Oui
- Oui qui ? Questionna Maître CharlEd d’un ton autoritaire
- Oui Maître ! Chuchota soumis Endymion MDE
- J’ai rien entendu chien… Rétorqua Maître CharlEd plus fort encore pour que tous les gens assis autour l’entendent !
- Oui Maître ! répondit soumis Endymion MDE.

Première humiliation, l’homme assis à côté de l’esclave MDE avait suivi la conversation avec un plaisir évident et un sourire pervers. Il n’était pas intervenu mais son vicieux sourire était éloquent. Après le décollage, une fois l’avion stabilisé, les hôtesses se mirent à évoluer dans les rangées pour servir les premiers rafraîchissements. L’esclave MDE observai un homme qui s’emballait sur une hôtesse parce qu’elle lui avait servi un café trop chaud. Elle garda son calme, s’excusa simplement en arborant un petit sourire et lui resservit un autre café.
L’homme marmonna encore dans sa barbe, vomit encore quelques plaintes puis se renfrogna dans le fond de son siège. L’hôtesse s’approcha avec un large sourire ensuite des sièges où se trouvait soumis Endymion MDE.

- Qu’est-ce que je vous sers ?

Le chien soumis MDE ne savait pas s’il pouvait consommer quelque chose, l’hôtesse dut sentir son désarroi surtout lorsque soumis Endymion MDE balbutiait :

- Juste un coca merci… Ou plutôt non, un orangina !
- Faudrait vous décider ! répondit-elle d’un ton sec qui ne laissait place à aucune réplique.

Soumis Endymion MDE ne s’’attendait pas du tout à cette réaction autoritaire, il levait les yeux vers elle qui lui rendit un regard noir. Le chien soumis MDE se confondit en excuses pour une faute qui n’en était pas une :

- Pardon, désolé, je ne voulais pas vous importuner, vous pouvez rester sur le coca si vous voulez.

Elle ne dit rien et servit un coca presque tiède. Ce changement de ton avait stupéfié l’esclave MDE. Il ne comprenait rien à ce qui lui arrivait, il aurait dû être scandalisé et au lieu de ça, il sentit sa queue frémir et chercher à se tendre dans cette cage de chasteté sous son pantalon. soumis Endymion MDE crut entrcevoir chez l’hôtesse un sourire narquois difficilement interprétable, entre la satisfaction et la moquerie. Elle continua sa course sans rien dire. L’homme obèse assis à côté de soumis Endymion MDE posa subitement une main de ses grosses mains sur la cuisse gauche de l’esclave MDE.

- On dirait que tu aimes bien te faire insulter, à croire que ça se lit sur ton visage !

Il arborait un sourire plein de jugement, soumis Endymion MDE ne répondit pas, il repoussa gentiment la main de sa cuisse, ne sachant pas s’il était autorisé à se laisser tripoter. L’homme insista pourtant, cette fois-ci sa main vint se plaquer sur l’entrejambe de soumis Endymion MDE.

- Je pense que tu n’as pas très bien écouté ton Maître tout à l’heure, ne t’a-t-il pas ordonné de garder les cuisses écartées, la tête baissée et de faire ce que l’on te demandait de faire ?
- J’ai bien entendu Monsieur.
- Alors tu lui désobéis effrontément si je comprends bien ! Je vais aller lui en parler, où se trouve-t-il ?
- En place Classe affaire Monsieur.

L’homme eut bien du mal à sortir de son siège, à dégager, son ventre tant il était impressionnant, il partit à la recherche de Maître CharlEd laissant soumis Endymion MDE quelque peu inquiet. Il le vit revenir en bavardant avec le Maître.

- Que vient-on de m’apprendre, il parait que Mon chien Me désobéit ?
- Mais Maître…
- Tais-toi et suis-moi.

Lui, Son Chien soumis et l’homme se dirigèrent vers la queue de l’avion. Arrivés dans un petit espace discret, juste derrière un rideau, Maître CharlEd donna deux magistrales claques au Chien soumis MDE.

- Pardon Maître, merci Maître !
- Baisse ton froc
- Maî… Maître ?
- Oui là !

Le chien soumis MDE reçut deux nouvelles claques encore, penaud et honteux, il exécuta l’ordre fixé, Maitre CharlEd souleva son pull-over pour dévoiler à l’homme passager, son intimité encagé.

- Avec cette cage, ce chien devient beaucoup docile ! Lui dit-il
- Sans aucun doute, Je peux toucher ? demanda l'inconnu avec une perversité évidente
- Evidemment, et puis regardez son cul (Maitre CharlEd s’adressant à l’esclave MDE) Tiens, tourne toi, penche toi en avant et écarte tes fesses.

La main vicieuse et baladeuse de l’homme passait dans la raie de soumis Endymion MDE, son majeur s’intéressait à ce trou souple et totalement dépilé. Il glissa sans difficulté dans cette cavité offerte.

- Hum ! Une bien belle pute que vous avez là !
- Tout au moins en passe de le devenir, je suis en charge de l’éduquer. Si vous souhaitez vous soulager dans cette salope n’hésitez pas, je vous la prête, ses trous sont à disposition.

L’homme ne se le fit pas dire deux fois, il remercia chaleureusement Maître CharlEd, puis empoigna par un bras et entraina soumis Endymion MDE dans les toilettes toute proches. Il s’asseyait sur le siège des WC et ordonnait au chien soumis MDE de se dévêtir totalement devant lui. Ce que fit soumis Endymion MDE malgré une certaine répugnance et un écœurement face à cet homme, gras, sale et nauséabond. Lui pendant ce temps avait baissé son pantalon et slip à ses mollets et tripotait sa queue que soumis Endymion MDE n’arrivait pas à distinguer, tant elle était caché par cet estomac protubérant.

- A quatre pattes salope et suce moi !

Cette queue n’avait sans doute pas vu l’eau depuis un certain temps, elle sentait la pisse, et des dépôts de sécrétions séchées étaient déposés tout autour du gland que l’homme tenait décalotté. Il fallut bien du courage à soumis Endymion MDE pour entreprendre cette fellation imposée. La queue gonfla néanmoins rapidement sous la langue du chien soumis MDE jusqu’à obtenir une taille imposante. Sitôt qu’elle eut atteint son paroxysme, l’homme se redressa et fit mettre soumis Endymion MDE, mains contre la porte des toilettes, lui ordonna d’écarter les jambes et de tendre son cul en arrière afin de relevé celui-ci. Il lécha ses doigts et porta sa salive sur le trou de l’esclave MDE, puis d’un trait sa queue l’engouffra. Mais la posture n’était pas idéale, gêné par son ventre, il attrapa les bras de soumis Endymion MDE. Toujours enfoncer profondément en lui, il le fit pivoter de cent-quatre-vingt degrés, lui ordonna de tenir des deux mains la cuvette des WC, sa tête à l’intérieur des chiottes. Les coups de buttoirs reprirent de plus belle. Soumis Endymion MDE devait se cramponner fermement pour ne pas, à chaque coup de reins puissants donnés, que sa tête heurte les parois des toilettes… Des gémissements retenus au départ, puis des râles beaucoup plus sonores se firent entendre… Le mâle se déchargeait avec une puissance incroyable à grands coups de reins dans les entrailles du chien soumis MDE, envoyant, par jets successifs, son foutre chaud, épais et visqueux en des râles bruyants et non retenus tel un cerf en rut. Il resta planté encore quelques minutes en lui, sans bouger, allant même jusqu’à appuyer sur la tête du chien soumis MDE, pour la maintenir au fond de la cuvette au moment même où Il tirait la chasse d’eau…

Le visage et les cheveux trempés, soumis Endymion MDE regagnait son siège où tout au moins la place de l’homme qui l’avait enculé, lui avait pris la sienne près du hublot… Il commençait à s’endormir tout doucement, bercé par le bruit des réacteurs de l’avion et par la lumière faiblissante. Quand vint le moment du dîner. Les hôtesses s’étaient remises en mouvement pour distribuer le repas. soumis Endymion MDE attendait avec une relative impatience sa part, se disant qu’ensuite, il aurait tout le loisir de dormir tranquille réduisant ainsi la durée réelle de son voyage de neuf heures. Il regarda derrière lui et vit celle qui l’avait humilié servir une autre rangée. Il était à la fois soulagé et déçu. Une autre hôtesse vint le servir. Elle lui tendit un plateau, en s’approchant et en lui chuchotant à l’oreille :

- Tiens, salope, voilà ton repas, il paraît que tu n’es qu’un esclave alors tu vas manger ce qu’on te sert sans te plaindre et tu acceptes sans rien rechigner sinon ton Maître viendra te corriger…

soumis Endymion MDE était tétanisé, ne s’attendant pas le moins du monde à ce que tout le personnel de bord soit au courant. Il ne savait plus où me mettre.

- Oui … bi…bien sûr… d’accord.
- Oui qui ?

Instinctivement il sut ce qu’il devait répondre :

- Oui, Mademoiselle.
- C’est bien, salope, mange ton repas et ferme-la, maintenant !

Elle s’éloigna en poussant de petits rires moqueurs. soumis Endymion MDE était en plein émoi, mais la situation l’excitait, sa queue cherchait encore à se redresser. À côté de lui, les passagers avaient reçu du chaud, du poulet avec quelques légumes, et un petit dessert en prime. En soulevant la cloche de son repas, il découvrit une tranche de pain sec, un verre d’eau et une feuille de salade. En dessous de l’assiette se trouvait un petit mot. Il prit le papier et se mis à lire frénétiquement…

(A suivre …)

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