Aux Champs-Elysées


Bonjour, C’est Bob. Vous vous souvenez de mes histoires ? Non ? Ce n’est pas grave. J’espérais ne pas faire d nouveau récit, mais au final et suite à l’encouragement de quelques-uns d’entre vous, je vais essayer de tenter l’aventure une nouvelle fois. C’est surtout que j’ai envie de vous faire part d’un vrai récit mais d’il y a plusieurs années maintenant.
Ma chérie est moi étions en couple depuis trois, quatre années peut-être à peine plus. Nous avions alors vers les vingt, vingt-deux ans. C’était quand elle était encore en 2ème année de BTS à Paris, en fait en fin de BTS car l’histoire s’est en réalité déroulé en juillet -aout après sa 2ème année.

Pour ceux qui aurait suivi mes récits, il s’agit bien sûr de ma chérie Virginie avec qui j’étais avec depuis toujours. Ma belle, son BTS en poche, venait de dégoter un stage dans une grande boutique des Champs-Elysées. Plus qu’un stage, c’est un job d’été qui devait se terminer en septembre. Pour ceux qui ont suivi mes récits, cela se passe de mémoire après les épisodes Nono et chauffeur de bus. Ma belle était de plus en plus ravissante. Les hommes le voyaient bien et moi je voyais bien que ces hommes ne la laissaient pas indifférente. Ma chérie en joua beaucoup. Elle aimait particulièrement séduire quitte à dépasser parfois les limites du tolérable. Bref, voici l’histoire :

La boutique, c’est un grand ensemble sur deux niveaux que l’on trouve sur la droite quand on remonte l’avenue des Champs-Elysées à Paris. La plus belle avenue du monde. La boutique existe toujours même si à l’intérieur cela à un peu changé. Bien sûr, je ne vais pas vous donner le nom de cette boutique. Disons seulement qu’on y vend un peu de tout : vêtements, tasses, mugs, jouets, peluches. Bref tout ce qui se rapproche d’un univers particulier. Les vêtements c’était surtout des vêtements de princesse et de Peter Pan ou de pirates. La boutique était très fréquentée en cet été. Il y avait de nombreux touristes étrangers, des parisiens aussi très certainement.



Virginie avait trouvé ce job en s’adressant directement au magasin. Elle envoya un CV avec photo et fut immédiatement prise pour un rendez-vous, un entretien me direz-vous. Ce devait être vers la mi-juillet peu avant ou après le 14 juillet. Ma chérie commença son job entre le 15 et la fin du mois. Il fallait de la main d’ouvre supplémentaire pour l’été.

C’est ainsi qu’il fit la connaissance d’Alex, en fait Alexandre. Alexandre était le boss de la boutique. C’est lui qui gérait l’équipe de vendeurs et de vendeuses de la boutique. Ah, je ne vous ai pas dit. C’est pour un poste de vendeuse que ma chérie postula. Un job juste pour gagner un petit peu d’argent.

Alex lui fit passer l’entretien en présence d’un autre vendeur. Etrange coutume me direz-vous encore. En fait, c’est seulement après que j’ai compris pour quoi. Ma belle se faisait belle pour son rendez-vous, sans arrière-pensée. Alex, visiblement avait tout prémédité, du jour même je pense où il vit ma chérie en photo.

A la suite de son entretien, Virginie fut rappelé et on lui dit que c’est OK pour le job. Ma chérie était trop contente car c’était un rêve pour elle de travailler dans cette boutique dont elle aimait tant l’univers et la déco. Le jour de son entretien, après son entretien, nous faisions l’amour : elle était contente et avait un bon présentiment. Le jour où elle fut prise, idem.

Virginie commença donc la première journée de travail la semaine d’après. Nous n’avions pratiquement que le week-end pour nous amuser et nous divertir. Je l’emmenais à la campagne et nous faisions quelques visites.

Le lundi, c’était débriefing. Alex, bien sûr était là. Il se chargea lui-même de former Virginie à la vente et à la gestion des stocks de la boutique. Je devrais dire plutôt qu’il se chargea de son éducation. Alex expliqua les rouages de la boutique à Virginie. Une tenue était imposée pour tous les vendeurs et vendeuses de la boutique afin de mieux les reconnaitre pour le public et mieux se voir les uns les autres quand il y a beaucoup de monde.


Des vendeurs, il n’y avait en fait que Alex et l’autre garçon qui était avec lui lors de l’entretien. La majeure partie de l’équipe était faite de filles, uniquement de filles, tous entre 20 et 25 ans en moyenne et toutes étudiantes sauf peut être une ou deux femmes un peu plus âgées qui travaillait là dans la boutique depuis plusieurs années.

Je ne me souviens pas du prénom de l’autre gars bien que je l’aie su. Alex lui avait une trentaine d’années et était plus grand que moi et plus grand que Virginie. Je me souviens l’avoir vu avec l’autre gars, un jour dans la boutique où ma belle ne travaillait pas. C’était un jeudi. Ma chérie était alors en jour de congé mais voulait à tout prix aller à la boutique pour dire bonjour à ses mais, c’est du moins ce qu’elle prétendait :
- « Tu peux venir avec moi, si tu veux ? » me déclara-t-elle.

Moi, j’étais dubitatif et trouvais déjà cela étrange que son désir était, durant ses jours de congé, se rendre à la boutique voir… Alex !

J’accompagnai donc innocemment ma chérie à sa boutique. Là, je fus surpris de voir comme ma belle m’oubliait et oubliait ma présence en se laissant draguer ouvertement par Alex qui lui ne se gênait pas pour le faire. L’homme était doux, tendre et attendrissant avec elle. Il lui faisait des petites plaisanteries pas méchantes et ma belle le regardait chaque fois avec des yeux brillants. Dans ma tête, il n’y eut qu’un mot :
- « Ma parole, ces deux-là ont une histoire, ce n’est pas possible autrement ! »

Dans la boutique, Virginie se glissait même entre lui et l’autre garçon comme pour me narguer. Je la regardais faire, presque impuissant, incapable en tout cas de lui : « arrête ! ça suffit maintenant ». Il faut dire que nous n’étions pas seul et qu’il y avait déjà un peu de monde dans la boutique. C’était le matin, peu après l’ouverture.


...


Dans la boutique, Virginie minaudait avec Alex et l’autre gars qui était beaucoup plus en retrait.
On eut l’impression que celui-ci était toujours gênée du comportement de ma belle, en particulier à mon égard. Savait-il quelque chose que je ne devais pas savoir ? Son comportement en tout cas allait pleinement dans ce sens.

Plus tard, j’ai appris qu’Alex avait un vendredi soir invité ma chérie à prendre un verre puis au ciné. Ma femme ne refusa pas, innocemment peut-être ou sachant bien ce qu’il se passait et ce qu’il risquait de se passer.

Ma belle et moi vivions le parfait amour mais elle n’en était pas à son premier coup : d’abord, il y eut Nono avec qui elle eut une relation de quelques mois. L’homme lui avait fait découvert certains plaisirs. Je laisserais les lecteurs intéressés par cette histoire découvrir par eux-mêmes la teneur de ces plaisirs en les renvoyant sur mes précédents récits évoquant le sujet.

Il y a eu aussi ce chauffeur d’une cinquantaine d’années. Pareil, qui la dragua qui la sublima jusqu’à venir chez elle un dimanche matin et la prendre alors que sa mère n’était pas là. Je vois encore ma chérie en levrette se faire prendre par cet homme un peu bedonnant, quasi-chauve sur le lit même où quelques mois et deux années auparavant je l’avais profondément dépucelée.

Alex était sans doute la troisième histoire de ma chérie depuis que nous étions ensemble. Ou quatrième car je crois qu’il y eut une histoire de courte durée, avant Nono, en été alors que nous étions en vacances. Bref, cela importe peu.

Si l’on en revient Alex. Celui-ci ne se priva donc d’inviter ma chérie au ciné plus boire un verre alors qu’il s’avait impertinemment qu’elle était en couple avec moi. A croire que tous les hommes sont comme ça : une fille leur plait et peu importe si elle est en couple ou mariée, si elle veut, ils foncent.
Ma chérie est trop sensible à ce genre d’attention : se faire inviter au ciné ou au resto était pour elle une marque d’affection et d’attention toute particulière qu’elle appréciait tout particulièrement.
Le seul souci est que ce soir-là, après avoir bu un verre et après le ciné, il se faisait tard et il était hors de question pour ma belle de rentrer seule, du moins, elle ne voyait plus trop comment faire, étant donné que le dernier bus pour la raccompagner chez elle était passé. Alex lui proposa de la raccompagner. Cela fait une route de 20 kilomètres environ. Virginie lui indiqua la route. Il était pratiquement minuit quand la voiture se gara devant chez ma belle. Virginie se résolut à ne pas faire entrer Alex chez elle car il y avait sa mère qui dormait ce soir-là. Elle resta donc un instant dans la voiture à discuter avec Alex, jusqu’au moment où…


...

Dans la voiture, Alex parlait de sexe avec Virginie. C’était un sujet que la belle aimait bien en particulier. Alex s’en rendit vite compte et insista quand il vit qu’il pouvait le faire sans être trop lourd. Virginie était parfois gênée par les propos d’Alex qui parlait de sodomie et de fellation mais elle essayait autant que possible de donner réponse à l’homme qui l’accompagnait en voiture ce soir-là :
- « Tu pense quoi de la sodomie ? » lui demanda Alex. « Tu as déjà essayé ? »

Virginie ne savait lus où se mettre et était déjà toute rouge de timidité ou de honte :
- « Il n’y a pas de mal à se faire du bien » ajouta la belle malicieusement.
- « Tu veux essayer ce soir ? » lui demanda Alex.
L’homme n’avait visiblement qu’une envie : sauter ma belle ! Peut importe si cela avait lieu dans la voiture, la rue, devant chez elle, etc. Il avait simplement envie d’elle et Virginie le voyait bien. Elle en était flattée et ne pensa pratiquement à rien d’autres qu’au moment qu’elle était entrain de vivre avec Alex.

- « Je suis sûr que tu veux essayer » rajouta Alex en sortant son sexe de son pantalon.

La tournure des événements commença à devenir très chaude.

Virginie, sans rien dévoiler à Alex de sa vie sexuelle concernant la sodomie surtout Bruno botta en touche :
- « Humm tu as un bel engin, mais pas ce soir il faut que je rentre et ma mère est là ».

Alexandre prit cela comme une éventuelle ouverture pour une autre fois peut-être. Ma belle ne le contredit pas :
- « Tu vas me sucer alors, n’est-ce pas ? » Ajouta Alex.

Ma chérie assise à côté de lui sur le siège passager, se pencha alors vers lui et le prit délicatement en bouche en le suçant un peu, tout doucement.

- « Ohhhhh, c’est bon ! » fit Alex.

L’homme prit ma chérie par les cheveux, comme l’eut fait Nono avant lui comme l’eussé-je fait moi-même quelque temps auparavant. L’homme entrainait ma belle à le sucer de plus en plus vite. Ma belle se releva en regardant à travers la vite :
- « Il n’y a personne au moins ? » demanda-t-elle.
- « Ne t’inquiète pas, je surveille » lui dit Alex.

Ma belle reprit de plus belle sa merveille. Alex était aux anges et prenait un plaisir fou que seule ma chérie savait lui donner. Moi, je restais chez moi à imaginer, sauf que ce soir-là, je ne savais pas encore ce qu’il se passait.

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