La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 592)

Pauline au Château - (suite de l'épisode N°586)-

Je garde les yeux au sol, à quatre pattes, aux pieds de ces trois hommes dominants. Je sens une caresse lente, un effleurement du bout des doigts sur mon dos, ce contact me fait frissonner, de suite, mon corps se tend. Cette même main, vient se poser sur mes fesses, suivie d’une deuxième. Les doigts pressés sur ma peau, je sens mon cul s’écarté, puis une frappe forte vient s’écraser sur ma peau. A nouveau mes deux fesses sont écartées, et une frappe vient cingler mon fessier déjà douloureux et rougi des précédents coups de fouets. Je grimace, garde mon calme, respire fort, et tente d’être ailleurs, abandonnant mon corps à ces hommes. L’agitation se fait autour de moi, mes cuisses sont écartés, je tombe à plat ventre sur le sol, mes chevilles sont menottées. Je tente de remuer les jambes mais impossible, mes jambes sont immobilisées et écartées par une solide barre de fer. Alors que cette situation m’est humiliante, je me sens devenir chaude, humide. Des bras passent autour de ma poitrine, je suis soulevée comme une plume, les deux acolytes me portent sur quelques mètres, et me couchent, sur une table dans un coin de la pièce que je n’avais pas remarqué à mon arrivée. Je tente de me débattre, mes bras sont saisis avec force, étendus le long de mon corps, et des anneaux viennent enserrer à mes poignets. Ma tête est maintenue entre les mains de l’homme qui nous a accueilli. Son regard rencontre le mien, mais son regard a changé, autant quand je suis arrivée, son regard était vicieux, pervers et me faisait peur que maintenant il se veut à la fois toujours dominant, mais aussi serein, comme pour me demander de me calmer, de me laisser faire. Sous ce regard plus apaisant, je me détends, mes muscles deviennent lourds.

Celui qui se nomme Franck, se place à mes côtés, et place deux de ses doigts, dans ma bouche, il fait des allers-retours, et profite de cette situation, pour me maintenir la bouche ouverte, tandis que l’autre place le bâillon à anneau, sur ma bouche, et le serre à l’arrière de ma tête pour le fixer.

Des mains caressent mes seins, pincent mes tétons qui se hérissent, j’ai envie de me mordre les lèvres, mais impossible. Une morsure simultanée me pince les tétons, et irradie le bas de mon corps. Les mains me caressent désormais chaque parcelle de ma peau, puis elles retombent avec force, j’ai l’impression de ne devenir plus qu’une vulgaire poupée entre leurs mains, j’ai chaud, ma peau est rouge écarlate, je sens des gouttes de sueur perlées sur mon front. Dans un silence total, les trois hommes usent de mon corps, ils me pincent, me fessent, me caressent, me griffent… Je tremble, je dégouline, j’aimerai qu’ils me pénètrent, là, qu’ils me prennent sauvagement. Cette ne peut plus durer à croire qu’ils ont reçu l’ordre de ne pas toucher au point ultime d’une pénétration. Une sensation nouvelle me fait sursauter, le plug en moi se met à vibrer, j’ignore qui a mis la fonction en marche, mais ces vibrations anales me picotent, et intensifient mon état d’excitation. J’ai encore plus envie de me faire prendre là tout de suite, je gémis, je hurle, mais rien ne vient. Un homme monte sur la table, il se place au-dessus de moi, un pied de chaque côté de ma tête, je remarque qu’il ouvre son pantalon, et impuissante, son sexe s’insinue dans ma bouche largement ouverte par l’écarteur buccal. Ils montent et descend dans ce trou que je lui offre malgré moi, j’aimerai serrer les lèvres, le lécher, mais je ne peux bouger, il accélère ses mouvements, ne me laissant pas le temps de le laper. Il accentue encore plus rapidement ses vas et viens, son gland vient butter à multiples reprises tout au fond de ma bouche quand rapidement il se retire légèrement et laisse échapper des râles de jouissance. Il m’arrose alors le visage de son sperme chaud, le liquide gluant se répand sur mon visage, et dans ma bouche.

- Avale chienne.

Face à cet ordre, je tente tant bien que mal d’obéir, malgré ma position, tandis que l’homme s’écarte de moi. Prise par la bouche, je ne me suis pas rendue compte que le fameux Franck, est lui aussi monté sur la table, et sans me laisser de temps de répit, il vient à son tour fourré son sexe dans ma cavité buccale.
A nouveau, je ne peux que l’accueillir, sans pouvoir marquer aucune résistance, ses mouvements sont plus rapides que l’homme précédent, son cul vient claquer contre ma poitrine, faisant ainsi bouger les pinces présentes sur mes tétons. Alors que son sexe dur s’enfonce dans ma gorge, il se retire rapidement, puis faisant un pas en arrière, il jouit sur ma poitrine par de longs jets de sperme par saccades, il tapisse mes seins, mon cou, mon ventre. Démunie, j’ai envie de fuir, mais une envie irrésistible présente dans mon bas-ventre, m’en demande plus, encore plus. D’un mouvement inespéré, je tends mon bras, mes doigts, en direction de mon sexe. J’ai envie de me toucher, j’ai envie qu’on me touche, qu’on me prenne profondément, comme une vulgaire chienne, qu’on me besogne bestialement à grands coups de reins puissants et virils. J’ai envie du Maitre, là tout de suite, j’ai envie de Le sentir me pénétrer, de Le sentir me Dominer, de sentir Sa noble Verge en moi, qu’il prenne possession de mon corps, de ce qui Lui appartient. Je rugis, le son qui sort de moi est puissant rauque, je rugis de rage mêlé à l’excitation. Je sursaute, les vibrations du plug viennent de monter d’un cran, cette accélération est une douce et excitante . J’ai envie de jouir, là tout de suite, alors je crie, je tente de les supplier de me prendre, mais rien ne se passe. J’ouvre les yeux, je ne les vois plus, ne le sens plus, c’est comme s’ils avaient pris la fuite face à ma réaction. Je trépigne, je suis toujours attachée sur cette table, couverte de sperme, je contracte mon sexe, puis le relâche. Le silence est maitre, seul le plug vibrant en moi, émet un petit son…

Des bruits de pas viennent briser ce silence, le visage de Walter arrive à ma hauteur. Il prend le temps de m’observer, son regard court sur mon corps, il n’hésite pas à m’effleurer du bout de ses doigts mes épaules, sous ce contact, mon corps tressaille. Cela semble l’amuser, car il répète l’opération à plusieurs reprises, et ses yeux brillent d’une intensité étonnante.


- Chienne, tu es belle ainsi, exposée, nue, recouverte de sperme, munie de quelques accessoires, cependant il t’en manque un, et je vais corriger cette petite lacune, immédiatement.

Il quitte mon champ de vision, et vient se placer entre mes jambes toujours écartées par la barre de fer. Ses doigts parcourent l’intérieur de mes cuisses, je frissonne, puis, il écarte mes grandes lèvres, marque un temps d’arrêt, je sens son souffle me caresser le clitoris, j’inspire profondément, le silence est pesant, mon corps se tend. Ses doigts passent sur mon humidité, je rougis à ce contact. Un de ses doigts inquisiteurs, entre en moi, d’instinct je me cambre, soulevant les fesses. Une main forte plaque mes fesses contre le plateau de la table, suivit d’un ordre clair, froid et laconique :

- Ne bouge pas !

Ce rappel à l’ordre résonne fortement en moi et me rappelle ce que je suis, ce que je fais là, dans cette situation de soumission. Cet ordre me fait de nouveau prendre conscience du pourquoi je suis venue, tout simplement et donc je dois obéir car ce Walter est le bras droit du Maître et si je suis attachée à cette table, c’est Lui qui en a donné l’ordre. Le doigt du Majordome ressort de mon sexe trempé, puis un objet rond se frotte contre l’entrée de mon vagin, les deux diamètres présents me font comprendre qu’il s’agit des boules de Geisha. Il fait rouler les deux sphères sur l’entrée de mon vagin, remontant sur mon clitoris, ce contact est juste exquis, chaque boule ravive mon excitation à leur passage, je sens mon sexe couler un peu plus. Puis, visiblement satisfait, la 1ère boule entre en moi, cette intrusion me fait sursauter, c’est comme si chaque sphère venait de libérer une décharge électrique sur mes parois vaginales, avant même que j’ai pu retrouver mes esprits, la 2ème boule suit rapidement la 1ère. A présent, mes trous sont tous emplis, ou prêt à être emplis. Walter revient à ma hauteur, insère ses doigts couverts de cyprine dans ma bouche, me forçant ainsi à les lui nettoyer.
Satisfait, il retire ses doigts, me détache poignets et chevilles, prend la laisse d’une main, et claque des doigts. Engourdie, je me relève, masse mes poignets, et reste assise un instant tentant de retrouver l’ensemble de mon corps. Malgré le fait qu’il ait claqué des doigts, m’imposant ainsi l’ordre de reprendre ma place à ses pieds, je compte bien prendre mon temps. Ses doigts claquent à nouveau, plus fort cette fois. Je lève les yeux vers lui, lui assène un regard noir, puis avec une lenteur contrôlée et mesurée, je me lève de la table, m’agenouille, et me positionne en quadrupédie à ses pieds. Il se met en marche, donnant à quelques reprises des coups de laisse, pour que j’accélère le rythme...

(A suivre ...)

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