Le Piège 4: Et Les Gagnants Du Loto Sont: ( Revu Et Corrigé)

Le lendemain matin, nous nous réveillons tous les deux en même temps.
« alors, bien dormi mon amour ? »
« Comme un sac » me dit elle « j'ai mal en bas des abdos tellement j'ai joui »
« et toi, ça va ?
« Moi impec, prêt à recommencer quand tu veux. »lui dis-je en prenant ses seins dans mes mains
« On va attendre un peu, mon chéri, il faut savoir raison gardée. En plus, j'ai un rendez-vous ce matin et je suis déjà à la bourre me dit-elle en me repoussante gentiment. Par contre, ils ont du nous entendre qu'est-ce qu'on va bien pouvoir leur dire »
« Nous entendre, en fait je crois que l'on a entendu que toi cette nuit. » lui dis-je en riant »On a qu'à leur dire tout simplement que tu as fait une terreur nocturne, ça passera. Et puis de toute façon, si ça se trouve personne ne t'as entendu «
« ça, ça m’étonnerais bien « me dit-elle en souriant ce qui me fit bander aussitôt.
« Bon ok ça me va .Allez zou rendez-vous avec mon banquier pour qu'il m'accorde un léger découvert le mois prochain Je vais me doucher et j'y vais. »
Pour ma part, je me lève et me rends à la cuisine.

Bertrand y est déjà avec Maude . Lorsqu'il me voit, il me fait un clin d'oeil que je lui rends,
c'est comme si on venait de gagner au loto et qu'on ne voulait pas que les autres le sache.

Maude me demanda en me voyant « J'ai entendu Fabienne crier hier soir, elle a fait un cauchemar ?
« Oui » lui répondis-je « elle a fait une terreur nocturne, ça lui arrive quelquefois »
Sans plus de questions nous nous miment à déjeuner. Fabienne fit son apparition 15 minutes plus tard fraiche et resplendissante comme d'hab. Elle s'était habillée avec un tailleur gris, des escarpins toujours aussi hauts et une chemise blanche : La self made woman par excellence.
En la voyant, je lui fit remarquer que s'était un rendez-vous à la banque et pas une soirée mondaine
Elle me répondit qu'il fallait absolument que le banquier lui accorde son découvert et que tous les moyens étaient bons pour y parvenir.


Bertrand sauta sur l'occasion et lui dit « Comme tu es là, il va même t'accorder un prêt à taux zéro » et poursuivant lui demanda « puisque tu vas en ville, je pourrais aller avec toi et faire des courses pendant ce temps-là. »
« Ouais, bonne idée « dis-je « pourquoi pas et je vais t'accompagner à deux c'est plus rapide »
Bertrand ne dit rien évidemment et ce fut donc Fabienne, nos 5 numéros au loto à elle seule, qui répondit tranquillement « non non on a pas besoin de plus de monde, mon rendez-vous ne va pas durer plus de 10 minutes, je pourrais faire les courses avec Bertrand et puis d'ailleurs, je te rappelle que tu dois absolument réparer le filtre de la piscine c'est urgent, il va faire beau ce week-end.
« Merde c'est vrai, j'ai ça à faire. Bon, ben, qu'est-ce qu'on fait comme course, on fait une liste.
20 mn plus tard la liste est faite, Fabienne est côté passager dans la voiture et me fait coucou de la main au moment de partir. Bertrand qui lui est conducteur va essayer de gagner au tirage après le grattage, et je sens que ça va être chaud.

Un silence absolu règne dans la voiture et personne n'ose déclencher l'ouragan..
Au bout de 2 minutes, je me lance et dit à Fabienne : » Alors il paraît que tu as fait une terreur nocturne ?»
Fabienne me regarde en rougissant et ne sait que répondre.
« Ne soit pas gêné » dis-je en posant la main sur sa cuisse. » C'était magnifique à entendre et vraiment bandant à imaginer. Il t'a vraiment enculé hier soir? »
Fabienne réagit à ma main sur sa cuisse mais pas comme je l'avait imaginer, au lieu de se rebiffer, elle laissa tomber sa tête en arrière et poussa un long gémissement.
« J'ai eu tellement envie que tu m'encules avec ta belle bite » me dit-elle crûment que j'en ai perdu la tête hier soir.
Entendant cela, je descendis ma main le long de sa cuisse jusqu'à la lisière de ses bas puis encore plus bas. Rien ne freina ma progression ni Fabienne ni un quelconque tissu puisqu'elle n'avait rien mis sous sa jupe.
Son sexe était gonflé et humide.
« Tu es déjà trempée » lui dis-je.
Elle gémit à nouveau mais plus fort cette fois ci et elle écarta ses jambes autant que lui permettait sa jupe et me dit : » Caresse mon clitoris s'il te plait, fouille mon sexe avec tes doigts. »
Je ne me fit pas prier et le malaxai allègrement, fouillant tous les recoins de ses lèvres humides , introduisant l'ensemble de mes doigts dans son sexe trempé.
Elle jouit pratiquement aussitôt en referment ses cuisses sur ma main et en murmurant doucement « Je jouis, je jouis, je jouis » et effectivement, je sentis son sexe se tendre et se détendre au gré de ses spasmes de jouissance.
Trop excité, j'arrêtai la voiture sur le bas-côté pour profiter de son corps mais elle refusa tout nette en me disant que c'était trop risqué, qu'on pouvait facilement nous voir.
« j'avais plutôt pensé qu'on pourrait aller chez mes parents, j'ai les clefs et c' est le jour du marché, ils doivent être partis et c'est juste à 10 minutes d'ici .
Ce fut 10 minutes très longue car Fabienne refusait que je la touche et de me toucher de peur de céder à la tentation.
En arrivant devant la maison, nous descendîmes assez précipitamment de la voiture. Fabienne pris la clef sous le paillasson, la mit dans la serrure, mais elle ne rentrait pas malgré ses efforts. Soudain la porte s'ouvrit laissant apparaître son père.
« Tiens t'es là toi, qu'est-ce que tu viens faire à cette heure ?.
Fabienne ne sut que lui répondre et je dis à sa place : » On vient utiliser votre ordi, on est en panne chez nous. »
«. Tiens, bonjour Bertrand, ça va toi. Ah c'est pas possible, tu ne peux pas t'en passer de ses sacrés ordinateurs, quelqu'un veux boire l'apéro «
« Peut être après monsieur, on doit d'abord faire la commande sur l'ordinateur puis aller faire les courses pour les autres, on est d'astreinte. »
« Ah ah ha, ils vous ont bien eu, eux ils bullent tranquille au bord de la piscine pendant que vous vous faites les corvées.

« Ce n'est pas toujours une corvée que d'être avec votre fille » lui dis-je en riant.
« Tiens au fait Fabienne regarde aussi mon ordi, il bug » dit-il en s'asseyant devant celui-ci
Fabienne regarda par-dessus son épaule et entrepris de le remettre en fonction.
Je profitai de sa position pour passer ma main sous sa jupe et tremper de nouveau mes doigts dans son sexe. Elle écarta ses jambes, me permettant de fouiller sa chatte sans aucune gêne. Mes doigts étaient dégoulinants et je ne pus résister car dans la position où nous étions son père ne pouvait guère nous surprendre. Je remontai donc l'arrière de sa jupe et je me mis à lécher l'entrée de son cul comme me l'avait expliqué Christophe. Mmmmmmm délicieusement indécent. Pendant ce temps, une de mes mains était remontée sous son chemisier et pétrissait l'un de ses seins. Je m'arrêtai d'un seul coup pour deux raisons bien simple. La première était que si je continuais ainsi, je serai obligé de la baiser devant son père tellement j'avais envie d’elle et la deuxième c'est que de la chauffer de cette manière me permettrait plus tard d'en profiter de manière décuplée.
« Ca y est papa, c'est bon . Je monte dans ma chambre pour utiliser mon ordi »
Je laissai passer Fabienne devant et toute la montée des escaliers j'admirai ses longues jambes aux mollets saillants, son magnifique cul bombé divinement, tout en imaginant ce que nous allions pouvoir en faire.
Arrivé dans sa chambre, elle se mis face à moi, debout immobile.
« Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? » me dit-elle.
« D'abord, on se dit bonjour » dis-je en la prenant dans mes bras et en l'embrassant longuement.
J'ai tellement envie d'elle que pendant le baiser, j'essayais de la diriger vers son lit. Elle me repoussa haletante en me disant « non, arrête, mon père est là, je ne veux pas »
« Bon et bien discutons : on parles de quoi » lui dis-je en lui prenant les mains.
« Quand est-ce que tu as eu envie de moi la première fois » me dit Fabienne.

« Ca c'est facile, j'ai eu envie de toi dès que je t'ai vu, c'était sur la plage en Corse quand Christian t'a amener pour la première fois. Tu étais sublimement femme et moi je n'étais qu'un puceau. Je t'ai souvent observé en cachette et j'ai même réussi à te voir faire l'amour avec Christian près de la fontaine. »
« Tu m'a vu la première fois où j'ai accepté la sodomie, c'est dingue çà !!. Et après tu n'as jamais rien tenté pour m'avoir. »
« Je n'osais pas et puis Christian est mon meilleur copain, je ne voulais pas lui faire çà. »
« Et aujourd'hui, qu'est ce qui a changé « me dit Fabienne avec son magnifique sourire.
« Tu ne te rends pas bien compte comment tu es belle et hier soir au repas et même après tu as dépassé mes espérances. Tu étais si belle et sexuellement attractive que je ne sais même pas comment je ne t'ai pas sauté dessus dans la voiture hier soir en revenant du restaurant. «
« Moi, je n'y pensais même pas, mais c'est le fait que tu me montres ton sexe en photos qui m'a donné une envie irrépressible. Tu as un sexe vraiment magnifique à la fois large et long et puis tu n'es pas mal non plus comme mec, il faut le dire. »
« Bon, qu'est-ce qu'on fait ? On rentre ? »
Nous restons là, interdit lorsque soudain Fabienne dit » j'ai une idée », elle se lève et prend son téléphone.
« Allo maman, ouais, on est chez vous, on voulait faire une surprise à papa mais il est là, tu ne peux pas l'occuper 1 heure le temps qu'on finisse la surprise ? Ok, bon ben merci et à demain » et elle raccroche. Je me lève et me rend près d'elle, nous nous regardons, je veux la toucher à nouveau mais elle fait non de la tête et me fait chut avec son doigt. On entend en bas un téléphone sonné, son père qui parles indistinctement pendant trente secondes puis le silence.
« Fabienne !! Ta mère qui est payée pour me faire chier à soit-disant besoin de moi au marché, je m'en vais. Tu fermeras la porte derrière toi ? »
« Ok paps à plus »
« Au revoir monsieur »
La porte se flanque et le silence envahit la maison. Nous nous regardons tous les deux ne sachant que faire, et c'est Fabienne qui fait le premier pas en me prenant la main et me dit « viens « et m'emmène sur son lit. Elle se jette dessus plus qu'elle ne s'y allonge, je m'allonge sur elle et commence tout de suite à l'embrasser à pleine bouche comme j'en avais toujours rêvé.
Mes mains ne tardent pas à s'égarer sur son corps magnifique, ses seins sont énormes avec des aréoles très brunes. Je les avait souvent observés pendant nos vacances communes mais je n'avais jamais imaginé les toucher et là, j'étais en train de les pétrir au travers de son chemisier.
«Tu veux que je me déshabille ? » me dit-elle.
« Non, laisses moi faire s'il te plait«
Je continuai donc à lui malaxer les seins puis petit à petit je détachai son chemisier. Celui-ci dégrafé, j'arrachai presque son soutien-gorge pour découvrir ses magnifiques tétons très larges et presque noires. Je les pris dans ma bouche, ils se dressèrent aussitôt, magnifiques. Ces bruits de succion, ses légers gémissements me mirent dans un état presque second..
Fabienne écarta ses jambes et m'ordonna « baises moi maintenant »
Avec difficulté, je lui dis « non, attends j'ai envie de t'admirer »lui dis-je en m'écartant d'elle.
Bizarrement, elle fut aussitôt gênée de ma demande et couvrit ses seins.
« Arrête, tu es trop belle. Ais confiance en toi, tu es superbe, il n'y a rien à enlever . Lèves toi et restes face à moi. Allez, lèves toi, s'il te plait, cela fait tellement longtemps que j'ai envie de te regarder sans être gêné par le temps ou par quelqu'un. »
Le tableau était extraordinaire, je pouvais admirer, sans m'en cacher, une magnifique femme. Elle était face à moi, ses seins nus et pointés. Fabienne compris mon envie et se mis en position d'être regardée. Je pouvais la voir à moins d'un mètre de moi. Ses tétons étaient dressées, ses jambes musclées saillaient grâce aux escarpins sur lesquelles elle était juchée. Comme d'habitude un maquillage discret avait réhaussé la beauté de ses yeux et de son visage.
« Tournes toi s’il te plaît, j'ai envie de le voir. »
Fabienne comprenant ce que je lui demandai, se tourna en se cambrant légèrement pour le faire bomber .
« Sais-tu que ton cul est un des plus magnifiques que je connaisse, il n'y a pas un des mecs que je connaisse qui n'ai pas un plaisir de dingue à le regarder et à en parler. »
« Je vais commencer à vous croire car Christian me le dit tout le temps. »
« Tu peux écarter tes jambes et te baisser un peu plus »
Fabienne obéit, ce qui eu pour effet de tendre le tissu de la jupe et de mouler encore un peu plus ce que je convoitais.
« soulèves ta jupe et écartes tes fesses »
Elle se mis en position, je me levai et tournai autour d'elle.
Elle voulut me toucher mais je lui dit » non, ne bouge surtout pas, ça me fait trop tripper.
« laisses moi faire »
Penchés vers l'avant, ces magnifiques seins par pesanteur tombaient délicieusement. Je me penchai et les pris dans ma bouche avec une extrême douceur, les gobant délicatement. Les tétons déjà pointées se durcir encore. Je me relevai et passai derrière elle. Je mis mes mains sur les siennes afin d'écarter encore plus ses deux fesses puis je me mis à sucer, mordiller, aspirer son joli petit anus. Elle se laissa faire un long moment en gémissant régulièrement puis d'un seul coup, elle se redressa et se jeta sur mon pantalon en me disant « J'ai vraiment trop envie de voir ta bite. A mon tour, laisses moi faire s'il te plait » et elle me poussa sur le lit pour me déshabiller.
« C'est vrai qu'elle est énorme et trop belle, Maude doit souvent s'amuser avec ce magnifique jouet »
« Il est vrai qu’elle aime y jouer assez souvent et toi, tu penses que tu vas aimer «
« A ton avis » dit-elle en prenant mon sexe entre ses mains.
La femme la plus bandante que je connaissais était en train de jouer avec mon sexe, divin.
Elle se mis à le lécher longuement puis l'aspira avec une facilité déconcertante. Christian m'avait dit que c'était là sa spécialité et il avait raison. Sa bouche glissait parfaitement sur mon sexe énorme.
Maude avait bien essayé mais elle avait une trop petite bouche pour bien prendre mon sexe entièrement et le gober facilement. Fabienne, elle, sans difficultés, le faisait coulisser dans sa bouche et je voyais la salive qu'elle déposait à chacun de ses va-et-vient.
Elle sorti mon sexe de sa bouche et me demanda « Tu veux que je l'enfonce encore plus ? »
« oui, si tu en est capable, c'est tellement bon. »
« Alors, aide moi un peu, appuie sur ma tête pour que je puisse l'enfoncer loin dans ma gorge. »
Je fis comme elle me le demandait et commençais à appuyer sur sa tête. Ce que je voyais était de toute beauté. Fabienne, la bouche écartelée, mon sexe tellement au fond de sa gorge que ses yeux en pleuraient, faisant couler le rimmel le long de ses joues.

« Fabienne, est ce que je peux filmer ce que je vois, j'aimerai le regarder plus tard avec toi, c'est tellement bandant. »
Elle cligna des yeux pour me signifier son accord et continua à me regarder fixement tout en continuant à avaler mon sexe qui peu à peu disparaissait au fond de sa gorge.
« Je suis en train de filmer ta bouche, avec ma bite dedans et je filme ton cul qui, je l'espère la prendra prochainement. » lui dis-je en râlant. Elle gémit longuement autant par plaisir que pour me répondre par l'affirmative.
« Tu sais qu'hier soir quand je t'ai entendu, je me suis caressé en pensant qu'aujourd'hui j'allais te sodomiser. Tu pensais à moi quand tu as joui hier soir ?.
Clignement d'œil et gémissement .
« A ma bite dans ton beau cul de belle salope ?
Nouveau clignement d'yeux. Son gémissement se fit plus long et régulier, elle voulut se retirer mais je la bloquai avec ma main et imprimai un mouvement de va et vient , la forçant à avaler les derniers centimètres de mon sexe gonflé. Le film allait être magnifique. Son gémissement n'en finissait plus et elle voulut à nouveau se dégager sans doute pour que nous baisions. Je la maintins de force avec ma main et lui dit : « non non ma beauté suces moi encore, tu es magnifique avec ta bouche écartelée mais attends, je veux toucher ton sexe pour voir si tu es suffisamment trempée pour que je te fasse l'amour. Tu crois que tu es suffisamment trempée et prêtes ? »
Dès que mes doigts se posèrent sur son clitoris, elle gémit de plus belle et jouit en criant la bouche remplie de mon sexe. Je me retirait non sans regret de sa bouche.
« c'était bon » lui demandai-je.
« divin » me dit- elle en regardant le ciel
« et toi , tu as apprécié ? »
« Comme je l'avais rêvé Qu'est- ce que ça va être tout à l'heure, j'en jouis presque d'avance. »
« Qu'est-ce que ça va être maintenant plutôt « en reprenant dans sa main mon sexe encore dur de désir «
« Attends je voudrais te filmer. Tu peux s'il te plait regarder la caméra et dire « J'ai trop envie de me faire enculer par ta grosse bite , Bertrand »
Elle s'exécuta aussitôt et me dit sans hésitation et en me regardant droit dans les yeux « J'ai trop envie de me faire enculer par ta grosse bite , Bertrand. »
Je lui dis aussitôt « mets ton p'tit cul en position, je vais commencer à m'enfoncer »
Je posais ma caméra en position de tout filmer. Elle était là devant moi à quatre pattes, cambrée au maximum de ses possibilités à attendre de recevoir mon sexe.

« Putain depuis le temps que j’avais envie de me servir de toi, je vais te sodomiser comme jamais tu ne l'a rêvé, jolie jeune femme. Elle poussa un long râle de plaisir et se cambra encore plus, tendant son cul bombé vers mon énorme sexe.

« 10 ans que j'attends cela » lui dis-je en positionnant ma bite contre l'entrée de son cul. Après un temps d'attente pour bien profiter de ce moment, je commençais à m'introduire petit à petit écartelant son anneau comme jamais. Dès le début de mon entrée, Fabienne se mit à gémir ce qui ne fit que décupler mon envie de lui remplir le cul de mon énorme bite. Je lui tirais violemment les cheveux en arrière ce qui eut pour effet d'avancer son cul vers mon sexe. Je pouvais apercevoir ses yeux fermés et sa bouche grande ouverte pendant que je m'enfonçais. C'était incroyable, elle acceptait que je m'enfonce entièrement sans qu'elle ne me montre la moindre douleur ou la moindre hésitation.
« j'en avais tellement rêvé » lui dit je » la première fois que je t'ai vu ».
J'étais arrivé au bout, elle avait avalé d'une traite mon énorme sexe. Je me retirai presque complètement et sans qu'elle s'y attende, je fourrai à nouveau, mais cette fois ci plus rapidement, mon sexe dans son magnifique cul. Elle réagit en cherchant ma bite avec son cul et dit « c'est trop bon »
Puis je commençai des va et vient profonds et à chaque fois plus violent avec la volonté d'éjaculer entre ses fesses. J'entendais mes couilles battre contre sa chatte et toucher son clitoris. Elles étaient trempées par son sexe. Je me mis à la baiser comme un animal, ses gémissements s'accentuaient de plus en plus pour devenir quelque chose qui ressemblait à un cri rauque. D'entendre Fabienne prendre du plaisir devant moi me déchainait de plus en plus, je violais son cul à coup de boutoirs énormes et me mis à pétrir ses gros seins violemment puis à faire rouler sous mes doigts ses magnifiques tétons brun foncé. Elle se mit à hurler et moi, j'accélerais de nouveau.

D'un seul coup, ses cris s'arrêtèrent, elle prit une grande inspiration et elle se mis à hurler de jouissance. Je sentais autour de mon sexe gonflé à l'extrême limite, les spasmes de son cul qui le massait et je jouit à mon tour en râlant de plaisir».
Je m'effondrai sur elle, l'écrasant de tout mon poids, laissant ma bite entièrement dans son cul.
Au bout d'un certain temps, je senti Fabienne contracté son joli fessier et elle me dit : » encore « .
Cela me fit l'effet d'un taser, son annonce brute me fit rebander aussitôt, je repris ma forme initiale à l'intérieur de son cul, l'effet était incroyable, elle me caressait le sexe avec les contractions de son anus.
Ni tenant plus, je la retournai sur le dos. Elle me regarda avec ses beaux yeux et dit « J'ai trop envie de me faire enculer par ta grosse bite , Bertrand. »
« et moi, j'ai trop envie de voir ton visage , tes beaux yeux lorsque je vais te baiser. »
Je mis mon sexe à l'entrée de son cul et la pénétrait à nouveau profitant de cette position pour pénétrer son sexe avec mes doigts, elle était incroyablement trempée et chaude.
Elle me regarda avec ses grands yeux, son visage remplit du rimmel qui avait coulé et me sourit.
Je lui expliquais « Tu es trop belle et je veux te voir, j'ai trop envie de toi comme une femme et je veux jouir dans ton cul en te regardant jouir. »
Entendant cela, elle m'entoura avec ses jambes et me fixa de nouveau avec ses yeux magnifiques.
L'action conjuguée de ma bite dans son cul et de son regard fixé sur moi fit que je su très vite que j'allais jouir.
Je le lui dis d'un air gêné « je suis désolé, c'est la première fois que ça m'arrive mais je vais jouir assez vite.
Elle me regarda et me dit « moi aussi je vais jouir très bientôt »et elle se mit à pleurer. Je stoppais aussitôt mon mouvement de va et vient et lui demandais « Tu veux qu'on arrête ? »
Mais elle me répondit « Excuses moi mais trop de bonnes choses d'un coup, je n'arrive pas à me contrôler, j'adore tellement ce qu'on fait»
De la voir pleurer et faire couler son rimmel sur ses joues, de voir sa bouche qui m'avait avalée comme personne, d'avoir mes mains sur son cul que je fouillai librement sans qu'elle m'en tienne aucunement rigueur, fit que je jouis en même temps qu'elle et nous miment à crier tous les deux.
Vide de pensée après tant de sexe, je tombai sur elle et ne bougeai plus

Cela dura plusieurs minutes puis Fabienne me dit « Merci c'était magique, ta bite qui continu de remplir mon cul est un délice. Je suis impatiente de voir tout ce qu'on a fait car dans l'action, je ne me souviens pas de tout sauf que c'était extraordinaire »
« Moi, j'ai adoré, c'est la première fois que je ne me soucie pas de la santé de la fille à cause de la taille de mon sexe, tu sais, je pense que je vais t'accorder ton découvert.
Elle se lova contre moi et me dit j'espère avoir des soucis d'argent pour voir mon banquier plus souvent et de gros soucis même
Bon « me dit-elle après 5 minutes de chaste étreinte »C'est pas le tout mais j'ai un rendez-vous chez le banquier et il faut aller faire les courses, on a un week-end à finir »

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