La Table En Sapin

Je me suis réveillé en sursaut. Il faisait encore nuit et les seuls bruits que j’entendais sont ceux d’une douche en train de couler. J’ai enfilé mon slip et je suis sorti de la chambre, sans allumé. La porte de la salle de bains était légèrement entrebâillée. J’ai jeté un œil. C’était avec émerveillement que j’ai vu Colette sous les jets de la douche. Ses yeux étaient clos. Comme si elle savourait les caresses de l’eau sur son corps.
Ma position de voyeur se focalisa sur sa chatte. Colette se savonnait un sein et massait l'autre avec son autre main. Toujours les yeux mi-clos, elle se mit à pincer, à étirer son gros mamelon, alors que son autre main, celle qui tenait la savonnette descendit vers son bas-ventre, savonnant la toison. Je commençais à être à l’étroit dans mon slip.
Puis elle laissa échapper de sa main la savonnette, pour glisser un doigt dans sa vulve. Qu’elle fit aller et venir. De la voir se masturber m’excitait.
J’imaginais les parois chaudes et humides. Une mouille épaisse coulait sur son index.
Dans la baignoire, Colette poussait son ventre au-devant de sa main. Elle se branla un long moment de cette manière. De temps à autre, elle le sortait de son con pour masser le clitoris d'une caresse circulaire.
Puis, elle se saisit sur le haut du petit meuble d’un cylindre, ce que je reconnut être un gode. De forme allongée et légèrement recourbée. Elle s’appuya le dos contre le mur et posait un pied potelé sur le rebord de la baignoire. À l’aide de ses doigts, elle ouvrit son sexe de façon obscène. Mes yeux étaient comme aimantés sur sa vulve bâillante. Elle se pénétra de deux doigts et se masturba de nouveau tout en suçant le gode. Léchant le bout comme s’il s’agissait d’une bite. Quand elle se sortit de sa bouche se fut pour se l’introduire dans le con. Avant de le faire aller et venir. Très vite sa respiration courte, fut entrecoupée de gémissements. Je ne sais pas ce qui m’a empêché de faire de même.

Peut-être, le risque de souiller le sol de ma jouissance. Là-haut dans la baignoire, Colette poussa une exclamation et resta là, haletante.
Il était temps pour moi de retourner dans ma chambre. Après mettre retirer le slip, je m’allongeais sur le lit. Je bandais toujours.
C’est alors qu’elle fit éruption dans la chambre.
- Allez, il est l’heure… debout. Ordonna-t-elle, joyeusement.
Tout en riant, elle alla écarter les rideaux. Ouvrit la fenêtre et décrocha les persiennes. La lumière du couloir suffisait à éclairer une partie de la chambre. Donc le lit, là-même où j’exhibais fièrement ma queue bandé. Comme l’a pu le constater, Collette en se retournant. Surprise tout de même. Mais au lieu de fuir la scène, confuse, comme l’aurait fait n’importe quelle femme bien élevée, elle ne s’offusqua même pas. Ce spectacle l’agréait. Fixant ma colonne de chair comme Ce n'était pas permis. Elle battit des paupières, avalant difficilement sa salive.
- Eh bien… tu tiens une forme olympique. Me lança-t-elle.
- C’est un peu grâce à vous. Répliquais-je.
Je sentis qu’elle était étonnée de ma réponse. À tâtons je récupérais la culotte sur le lit et l’exhibant comme un trophée.
- Grâce à celui… Chère Colette… - Oh mais ! C’est la mienne… petit cochon… va.
Comme elle était toute proche de moi, j’ai tendu mon bras pour me saisir d’un pan de son peignoir. J’ai tiré vers moi de toutes mes forces. Colette s’est retrouvé à quatre pattes au-dessus de moi. Son peignoir s’était ouvert, laissant son corps nu sans protection. Avec assurance j’ai touché la mamelle. Enfonçant mes doigts dans la masse de chair. La belle-mère s’esclaffa.
- Veux-tu arrêter, cochon ! Tu n’as pas honte .
La situation prenait une tournure ambiguë. Je contemplais tout ce que je pouvais apercevoir. Colette se lécha les lèvres, tout en m'échappant. Nous y étions. Elle se courba au-dessus de mon bas-ventre. Me saisit la queue à pleine main.
Avant de la taquinait, du bout de sa langue. Pour me prendre au final dans sa bouche. À quatre pattes, elle se mit à me sucer avidement tout en me caressant les couilles. M’aspirait, enroulant sa langue gluante de bave autour. Je caressais ses cheveux, alors qu’elle enfonça ma queue dans sa gorge. La massant de toute sa bouche, me suçant encore, plus fort.
Comme tout travail mérite salaire, je n’ai pas résisté longtemps à la payer en liquide. Lui envoyant le plaisir dont elle avait mis tant d’amour à élaborer. Elle me but jusqu’à la dernière goutte. Puis elle se leva et me dit :
- lèves-toi à présent. Va prendre ta douche, je t’attends pour le petit déjeuner. M’ordonna telle.
Et elle sortit de la chambre. Réajustant au passage le peignoir. Je la savais volage, mais là, je restais effarait. Elle ne perdait rien pour attendre la Vilaine.
Après ma douche, j’allais la rejoindre dans la cuisine. Dans mon plus simple appareil. J’entrai prestement. Elle se pétrifia. Les yeux agrandis de surprise. Puis elle fronça les sourcils. Sa bouche se tordit et une rougeur violente lui monta au visage
- Tu comptes déjeuner dans cette tenue . Me lança-t-elle - L’ennuie, tu vois, c’est que je bande encore très dur. Et qu’il m’est difficile de pouvoir la glisser dans mon pantalon… peut-être après avoir déjeuner.
De son côté, elle s’était habillé. Un chemisier blanc, une jupe sombre. Et comme à son habitude, ses jambes étaient gainées de nylon, couleur chair. La cafetière en main, elle entreprit de faire le service. Je me sentais encore euphorique, malgré une éjaculation. Et chez moi ça engendrait inévitablement des idées folâtres.
- Tu aimes me taquiner, n’est-ce pas Alain ? Alors qu’elle versait le café fumant dans mon bol, me considérant ironiquement.
- Si tu me taquines, ce n’est pas par hasard. Dit-elle. Mais je sais pourquoi tu fais ça.
- À oui ! M’entendais-je répliquer.
- Oui ! Ce sont des manœuvres d’approche… sexuelle.
Précisa-t-elle.
Penchée en avant pour se servir le café, Colette m’offrait la courbe de son fessier sur lequel se tendait le tissu de sa jupe sombre.
Je n’ai pas pu résister d’avancer ma main et de caresser doucement la rondeur. Elle me jeta un regard par-dessus son épaule.
- Mais ! Commença-t-elle.
Je la coupai avec sang-froid.
- Quoi mais ? J’ai envie de te baiser. C’est aussi simple que ça.
- C’est que… Claude pourrait arriver. Répondit-elle.
Je regardais la pendule.
- Nous avons une demi heure devant nous.
Elle regarda la pendule à son tour.
- Alors fais vite… Répliqua-t-elle, d’un œil pétillant de désir. J'étais aux anges. Pas surpris du tout par son invitation. Je savais de source sûre, qu’elle n’éprouvait rien pour personne. Un homme pour elle s'était juste un sexe éventuellement. Capable de lui donner du plaisir. Je me saisis de sa jupe par l’ourlet et remontais vers le haut comme je l’aurais fait à un lapin pour lui retire la peau.
- Appuies-toi à la table.
Elle n’objecta rien. Quand elle fut en position, je fis tomber son collant ainsi que sa culotte. Je la regardais, l’œil songeur. Immobile et contracte, elle attendait la suite. Ça pose penché, donnait un relief à sa chute de reins. Je l’admirais en silence pendant un assez long moment, puis brusquement je me mis en mouvement. Sans hâte, je posais une main sur sa hanche. Colette se pencha davantage. Elle respirait court.
J’effleurais du bout des doigts la fente gorgée de mouille. Faisant gémir Colette, dont ses gros seins montaient et descendaient au rythme accéléré de sa respiration. J’enfonçais mon doigt dans la vulve, que je fis aller et venir. Elle se mit à gémir.
- Tu aimes ça . Cochonnes-tu es bien la mère de ta fille?
- Alain ! Tu n’as pas honte de me dire des choses pareilles . J’espère au moins que tu auras la discrétion de rien lui dévoilé sur ce que nous faisons.
Je la masturbais sans retenue.

- Je suis sûr que tu aimes ce que nous faisons .
Elle ne répondit rien. Elle était toute proche de jouir. Je retirais alors mon doigt. La privant de son orgasme. Je touchais la raie fessière, à tâtons. Cherchant l’anus, auquel je me mis à tripoter. J’en griffais le pourtour. Je remis un doigt par-devant, le graissant avec de la mouille. Puis je revins à son derrière, forçant l’étroite ouverture. Colette se crispa.
- Oh non, Alain, ne fais pas ça… Sans me préoccuper ne ce qu’elle disait, j’ai enfilé mon doigt copieusement enrobé de mouille dans l’anus serré.
- Non… il ne faut pas… c’est sale.
Pour toute réponse, je lui recommandais de ne pas se crisper. Ce qu’elle fit. Son sphincter se détendit. Colette gémit, la tête baissée. Je pus commencer à faire coulisser mon doigt. Très vite j’en nichais un second.
- Oui… Oui comme ça… Non… Oui, encore… Oh ! S’enflamma-t-elle.
Elle bougeait d’avant en arrière, se joignant à ma caresse.
Le cul de Colette sécrétait une sorte de mouille onctueuse. J’enfonçais le plus loin que je le pouvais. Elle tourna vers moi, un visage défiguré par le plaisir. J’enfilais un troisième doigt dans l’anus de plus en plus dilaté. Colette béat, se reculait en cadence pour s’empaler sur mes doigts. Se sentant très proche de conclure, je me retirai de son cul, avec une joie sadique. Elle me décocha un regard désappointé. Restant tout de même appuyé sur la table. Comme si elle attendait autre chose.
Et cette autre chose, elle pouvait compter sur moi, j’allais lui donner. En guidant dans un premier temps ma queue dans sa vulve. Je glissais avec aisance, me retrouvant rapidement au fond de son corps. Je restais immobile, mon ventre collé à ses grosses fesses. C’était bon, chaud et fabuleusement accueillant. Elle creusa les reins aussitôt, s’offrant, acceptant mon entremise.
Sans doute impatiente de mon inactivité, elle bougea ses fesses. Prenant les commandes de notre coït. J’étais devenu sa poupée. Je sentais son vagin vivre. Pressant ma queue. Il se contractait, s’ouvrait, se refermait. Colette affolait mes sens. Je n’ai pas pu résister plus longtemps à me mettre à mon tour, en action. Reprenant les règles, en la besognant. En longs mouvements. D’une lenteur rectiligne.
- Plus fort Alain… je vais jouir… prends- moi aussi fort que tu peux…
Je déchaînais alors ma furie cachée. M’enfonçant, me retirant d’elle pour m’enfoncer de nouveau avec une plus grande violence que j’avais du mal moi-même à contrôlait, tant l'excitation m'avait entrainé dans une pente vertigineuse. Plus rien ne pouvait m’arrêter. Colette râlait sans discontinuer sous mes coups de boutoir répétées. Je tenais une forme olympique. Et bizarrement pendant tout cet épisode, je n’ai pas eu, un simple picotement annonciateur, d’un plaisir naissant. Comme si le droit d’éjaculé dans le con de belle-maman m’était interdit.
Je glissais une main dans sa foufoune, cherchant à tâtant son bouton gorgé de sang. Le pinçant sans cesser de la marteler de coup de bite. Lui procurant un chapelet d’orgasme.
J’aurais pu continuer comme cela toute la matinée. Sans pour autant que je jouisse, tant sa chatte béait. J’aurais pu y glisser mes couilles. Et l’heure tournait. Je pris l’initiative d’aller plus haut.
D’un mouvement arrière, je me découplais de la dame. Comprenant ce que je désirais faire. Elle étendit son buste sur le plateau de la table, en écartant les cuisses. Je me guidais sur l’anus qui s’ouvrait. J’enfilais mon gland dans le passage. Très vite le reste suivit, avalé par la cavité.
- Touche-moi encore le devant. Me supplia-t-elle.
Tout en la pilonnant, je passais de nouveau ma main sous son ventre. Je m’amusais avec ses poils pubiens. Les entortillant entre eux, avant de fouiller la chatte. La bouche collée à son oreille, je lui murmurais des paroles follement obscènes. Lui posant des questions intimes. Qu’elle ne prit pas la peine de répondre. Je lui pinçais le clito de plus en plus fort. Elle jouit de nouveau. Si fort qu’elle perdit l’équilibre, comme ivre. Je la pris alors avec force jusqu’à ce que je sente naître en moi ma propre libération.
Je sentis mes jambes fléchir et je ne pus empêcher un long gémissement sortir de ma gorge. J’étais comme foudroyé. On ne disait rien. Reprenant notre souffle pendant un moment. Puis on se détacha. Je pris place sur la chaise. On s’épiait, sans se regarder. Elle rajusta son chemisier et jupe. Elle avait joui comme une chienne. Je me suis levé tant bien que mal pour filer jusqu’à la chambre.
La chienne avait un corps et des sens, fait pour l’amour. J’étais content de moi. D’avoir levé la barrière des interdits. Parce que j’avais bien l’intention de remettre le couvert. Et le plus vite possible. Je regrettais même que Cathy soit de retour le soir même.
Néanmoins, en entrant dans la cuisine, habillé, j’avais adopté un profil bas. Il fallut, à Colette, un long moment pour remettre sa culotte et son collant. Une fois qu’elle fut présentable, elle prit le chemin de la porte d’entrée.
- Tu verrouilles la porte. Me lança Colette avant de disparaître derrière la porte.
C’était ce que j’aurai fait, si j’aurai été sage. Mais j’ai pris place sur la chaise, reprenant vie et attendis. Pour me faire patienter je humais mes doigts. Ceux qui avaient fouillé Colette. Puis j’ai entendu du côté de la porte de dehors qu’ont essayé d’y loger une clé. Puis elle s’ouvrit sur Claude. Je n'avais jamais été aussi content de le voir celui-là. Sourire aux lèvres il s’est approché de la table.
- Tu ne serais pas parti . Me dit-il.
Comme on dit « parler pour rien dire ». C’était très fréquent chez lui.
- Non, j’allais le faire.
Je me levais de table et lui tendis ma main, la même qu’il avait donné tant de plaisir à sa femme, qu’il serra chaleureusement…

À suivre…

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