Comment Faire Baiser Sa Femme ?

Comment faire baiser sa femme

Elo et moi travaillons beaucoup à l’année.
Aussi quand une occasion de nous reposer se présente, nous ne boudons pas notre bonheur !
Cet hiver nous sommes partis avec Fabrice, mon collègue de bureau, et sa femme Linda.
Nous ne nous connaissons pas beaucoup Fabrice et moi, ne nous rencontrant qu’au travail et lors de repas professionnels, mais nous nous entendons suffisamment bien.
Il respire une certaine sérénité, et comme j’ai pas envie qu’on me casse la tête en vacances, ça tombe bien.
Nous avons utilisé un bon groupon pour un séjour en haute Savoie dans un chalet hautes prestations, avec notamment un grand jacuzzi sur la terrasse couverte, vue sur la vallée.
Ces quelques premiers jours se sont passés tranquillement, entre échanges au coin du feu, balades dans la neige et accès au jacuzzi….par rotation.
En effet, les filles sont assez réservées, et sans poser vraiment de refus formel, elles n’ont pas souhaité que nous nous croisions dans cet espace.
En vérité ça m’arrangeait à double titre parce que la femme de Fabrice n’est pas exactement de celles que j’aime à mater (plutôt fade, peu souriante, un physique pas particulièrement avenant), puis parce que ça m’a permis de visiter tous les recoins du jacuzzi avec Elo, ou l’inverse !
Je me souviens de m’être dit jour après jour que le système de nettoyage devait être performant car il n’y avait plus de traces de notre passage après, alors que je garantis en avoir laissé !
D’ailleurs, hier, sans en être vraiment sûr, je me demande si Fabrice ne nous a pas captés car j’ai surpris un mouvement derrière la porte coulissante qui isolait le jacuzzi, alors même que je levais la tête après en avoir mis plein les cheveux d’Elo…
Nous sommes jeudi, l’avant-veille de notre départ, et à l’issue d’une première salve d’apéro, Fabrice ouvre clairement le sujet : « les filles, c’est con, les vacances sont bientôt finies, on a bientôt plus ce jacuzzi, si on finissait l’apéro dedans ?? »
Après une résistance molle, l’apéro aidant, nous voilà finalement partis, champagne et flutes à la main, après avoir enfilé nos maillots.


J’avoue que je ne m’attendais pas à la proposition rigolarde de Fabrice et n’y ait pas vu de mal, autant dire que je n’ai rien vu venir !
Mais les choses se sont éclaircies quand je l’ai vu détailler Elo entrant dans le jacuzzi, de son petit cul bombé jusqu’à ses petits seins pointés sous le maillot 2 pièces.
Il avait d’ailleurs bien préparé son coup car il avait placé les réserves de champ’ derrière Elo, ce qui l’obligeait à se relever et se retourner régulièrement pour nous resservie.
Pendant ce temps sa fadette me racontait sa vie, leur vie, sans que j’y trouve le moindre intérêt tout en paraissant particulièrement absorbé par le sujet.
Il est vrai que le jacuzzi était particulièrement grand et que nos 2 conversations pouvaient cohabiter sans se mélanger.
Je ne sais ce qu’Elo et lui sa racontaient mais ça avait l’air bien drôle d’ailleurs.
En tous les cas, je prenais plaisir à le regarder se rincer l’œil en toute impunité, pensait-il, j’ai toujours aimé montrer Elo pour ma part. Ce vieux reste animal peut-être ? Ma femelle est meilleure que la tienne !
Tout ça restait don bon , je m’excitais doucement du regard de Fabrice sur Elo tout en semblant dévorer des yeux l’autre quiche, nous semblions vraiment nous trouver des point d’intérêt commun !
Et là la soirée a basculé : cette fois c’est Fabrice qui se lève pour attr une bouteille derrière Elo, et se penchant approche du visage de cette dernière son entrejambe recouvert par le maillot.
Seulement voilà, les maillots de bain et l’eau ça ne fait pas bon ménage en termes de discrétion, surtout quand il y a dedans un anaconda pareil !
En effet, bien moulé par le maillot, probablement bien chauffé par la vue d’Elo aussi, Fabrice a « involontairement » approché des lèvres de celle-ci une bien belle bite, d’une vingtaine de centimètres au jugé et bien que ne bandant pas, faisant au moins 1 fois et demi la mienne.
Le décrochage de mâchoire d’Elo fut stupéfiant, d’autant que Fabrice semblait avoir beaucoup de mal à attr la bouteille derrière elle !
Elle regardait cet engin avec fascination, du style « ça existe vraiement alors ? »
Il faut dire que, même si elle me garantit que de ce côté-là tout va très bien, je ne suis que moyennement doté par la nature.

Il y a longtemps que je n’avais pas vu Elo comme ça, la dernière fois c’était la seule fois où je l’ai trainée au Cap d’Agde et où un étalon était passé devant nous avec un bel engin aussi.
Elle m’avait d’ailleurs gratifié d’une douce masturbation avant de m’obliger à la suivre dans les dunes ! Je l’avais alors baisé comme la chienne que cette gosse bite l’avait faite devenir, sous le regard de 2 voyeurs qu’elle ne savait pas là ! J’avais joui comme un malade, mais c’est une autre histoire…
Oui, ma femme kiffe les grosses bites, c’est incontestable !!
Soutenant avec la plus grande peine la discussion avec « Mlle Ikéa », j’observais le déroulé des évènements du coin de l’œil.
J’ai vu la main d’Elo partir furtivement sous l’eau en direction de sa chatte, et comble de mon excitation, sa langue passer sur ses lèvres rendues plus pulpeuses encore par l’envie.
« Putain fais chier cette bouteille, j’arrive pas à la choper ! » s’écrie Fabrice.
Comme brutalement réveillée, Elo dit « attends je te file un coup de main » et, se relève alors que Fabrice recule, semblant lâcher l’affaire.
Je reverrais ce mouvement toute ma vie : Fabrice recule, Elo se levant s’avance, contact direct entre sa bouche et la bite de Fabrice au travers de l’étoffe.
Elo cramoisie vacille, Fabrice la ratt en lui passant une main autour des reins « reste avec nous ! »
Vous voyez ces reportages animaliers où l’on voit la gazelle fixer d’un regard apeuré le fauve dominant, et qui sait déjà qu’elle a rompu le combat ?
La même chose !
A partir de ce moment-là je sais que c’est cuit, qu’Elo ne pensera qu’à ça tant qu’elle n’aura pas déchargé cette pulsion sexuelle brute, sauf que cette fois la donne est différente : je ne veux pas la « consoler » de ce qu’elle n’a pas, je veux qu’elle prenne cette grosse bite en elle !
Je n’aurais pas beaucoup à faire pour la faire « me tromper » : le restant de la soirée, après un repas frugal très arrosé lors duquel il semble vraiment que je vais finir par m’envoyer Linda tellement on se colle et on rigole (c’est du moins l’apparence que je donne…), Elo et Fabrice en font de même mais ça sonne bien plus vrai.

Aussi, à 2h du mat quand Linda s’effondre sur le canapé, fin saoule, j’en fais de même quasiment dans l’instant, mais sans m’endormir le moins du monde…
« regarde les ces 2 là, dit Fabrice, on aurait bientôt dit qu’ils allaient se sauter dessus, et finalement c’est le sommeil qui les unit ! »
« c’est vrai que j’ai rarement vu Jean rire d’aussi bon cœur, j’en étais presque jalouse…. »
« en attendant, ils sont rétamés ces deux cons ! tu viens, on se refait un jacuzzi », dit Fabrice gaiement.
« je ne sais pas, il faudrait que j’aille coucher Jean… »
« tu sais, là où il est il ne lui arrivera rien, et puis avec ce qu’il tient il ne risque pas de s’enfuir ! »
« Ok alors, tu as raison, mais vite fait ! »
« Allez c’est parti, mais dis : on a tous fait un bain de minuit quand on était jeune, mais un jacuzzi de minuit ? »
« T’es dingue, on a passé l’âge ! »
« Arrête, t’imagine pas le confort des bulles sans maillot c’est trop bon, moi quand je suis seul je fais tout le temps ça »
« Oui mais là on n’est pas seul, enfin euh…tu es là… »
« Ah c’est ça ? Ecoute à ce moment là si tu crains quoique ce soit, tu n’as qu’à rentrer en premier dans le jacuzzi pendant que je range un peu le salon, comme ça je ne verrai rien… »
« D’accord, je t’appelle ! »
La cochonne, c’est juste d’être vue qui la dérangerait ??? Partager un bain à bulle nue avec un autre non ? J’en étais sûr !
Elo ferme la porte coulissante, pas totalement, tandis que Fabrice fait mine de venir vers moi pour ranger. Dès que la porte est «(presque) fermée il rebrousse chemin et se colle à la jointure des deux parties de celle-ci.
Les gestes de la main qu’il fait ne laissent nul doute sur la qualité du spectacle qui lui est offert !
« ça y est , tu peux entrer… »
« Ok », dit-il en se tournant vers moi, manière de faire croire qu’il est encore dans le salon.
« Et moi comment je fais pour que tu ne me voies pas » demande-t-il à Elo
« Je ferme les yeux si tu veux….
»
Et pendant qu’elle ferme candidement les yeux il entreprend de se dessaper à vitesse grand V.
« ne triche pas » lui dit-il
« non promis ! » répond Elo, tandis qu’il fait l’hélicoptère avec sa bite devant elle !!!
« Ahhhh ça fait du bien quand même » dit-il après s’être assis
« Oui ça détend » dit Elo en posant la tête en arrière lascivement sur le rebord du jacuzzi, faisant sortir ses tétons de l’eau. Impossible de ne pas le ressentir, elle l’allume !
« oups pardon »,
« non c’est rien »
« ah, désolé »
« non c’est moi »
Sont les quelques mots qui rythment les minutes qui suivent….
Puis Fabrice : « il ne nous restait pas une petite goutte de champ derrière, là ? » tout en se penchant exactement de la même manière que tout à l’heure.
Sauf que les circonstances ont changé : ils ne sont plus que tous les deux, et son engin de démolition est dorénavant libre !
Et c’est au ralenti que je vois doucement la main d’Elo sortir de l’eau cette fois-ci et attr sa grosse bite.
« ahhhh…. » soupir d’aise du monsieur content, tu m’étonnes !
« Suce-moi », lui dit-il autoritairement.
Avec un regard d’en bas des plus salaces et la langue tendus vers l’avant, je vois Elo s’avancer lentement vers sa bite et, posant sa langue sur le gland, commencer à en faire le tour….
A ce moment là j’ai une érection de folie (dans mes limites…), et au risque de ma faire choper, je sors la mienne pour me branler.
Après quelques minutes de ce traitement, et après qu’il l’eut traitée de cochonne plusieurs fois, il la fit se retourner et l’emmancha sans ménagement en levrette.
Le spectacle était fascinant, tant dans le plaisir que prenait Elo qui avait oublié manifestement où elle était, que dans le recul qu’il devait prendre pour sortir d’elle.
Je ne pouvais que comprendre le plaisir qu’elle prenait vu la taille du machin !
Dos à moi, je pris quelques photos sans flash (Iphone 6 vive la qualité), avant qu’il ne s’asseye à nouveau, lui demandant de venir s’empaler sur lui, trop sexy….
La séance dura une bonne heure, Elo couina dans tous les sens avant qu’ils ne se déclarent fatigués.
Pendant tout ce temps je fis semblant de dormir, excepté quand n’en pouvant plus j’ai dû me soulager, ce que j’ai fait discrètement dans la bouche ouverte de Linda toujours éclatée sur le canapé….

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