La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 594)

franckdocile au Château - (suite de l'épisode N° 576) -

Quelques heures plus tard, Monsieur le Marquis d’Evans vint Lui-même me parler près des barreaux de la cage du chenil :

- Ce soir, j’accueille à dîner au Château des amis de qualité que j’apprécie beaucoup. Tu seras à Mes ordres toute la soirée, comme à chaque instant de ton existence d’ailleurs… Alors tache d’être en forme et de ne pas Me décevoir car je ne le tolérerai pas !

Tels furent les mots du Maitre Vénéré à mon égard en ce début d’après-midi. Je savais que si je le décevais devant ses Convives, mon aventure au Château ne durerait plus très longtemps. Il faudra être irréprochable d’obéissance ce soir quoi qu’il me demande. L’après-midi passa lentement car je me posais une multitude de questions quant à la soirée… C’est avec soulagement que Walter vint me chercher vers 19h. Je n’aurai plus à réfléchir maintenant, juste obéir sans me poser tant de questions. Il avait une petite boite en main dans laquelle il sortit un collier métallique et un rasoir électrique.

- Tu mets ce collier, tu branches ce rasoir à la prise là au fond du chenil et tu te rases de près tout ton corps de chien soumis pour qu’il ne te reste plus aucun poil et tu me rejoins nu à la cuisine où tu seras briefé… ma petite salope !

Ces trois petits mots, que Walter avait ajouté avec un grand sourire vicieux, me mirent immédiatement dans un état d’excitation incroyable, et il le savait, ce qui le fit sourire explicitement de perversité. Je m’exécutai donc en veillant à n’oublier aucune partie : jambes, couilles, raie, torse, aisselles, bras. Ensuite je mis l’épais collier aux Initiales du Maître gravées en lettres d’or, puis me rendit ainsi nu comme un ver en cuisine. J’allais devoir servir les Convives qui étaient déjà à l’apéritif dans le grand salon. Voici les consignes données lors du briefing : Me montrer très courtois et avoir l’air d’être à l’aise.

La nudité des esclaves étant une normalité, je ne devais montrer aucune gêne. Il faudra aussi garder le regard vers mes pieds et surtout ne pas avoir l’air distant si on me touche ou parle sinon ils pourraient faire une remarque qui déplairait au Maitre. Je vais donc faire de mon mieux pour ne pas avoir l’air gêné d’être ainsi exhibé et humilié devant ces Invités… Une fois le briefing terminé, j’entre de suite dans ‘’l’arène des lions’’. J’avance d’un pas assuré dans le salon et me tiens un peu à l’écart en attendant d’avoir quelqu’un à servir. Je ne regarde que le sol mais j’arrive à estimer le nombre de Convives à une quinzaine de personnes. Il doit y avoir approximativement autant de femmes Dominas que d’hommes Dominants. Mon entrée ne semble pas avoir été remarquée, vu que les discussions continuent comme si de rien était. Les Convives doivent sûrement avoir l’habitude d’être servis ainsi chez le Maître des lieux. Ceci me conforte dans l’idée que ma soirée ne se résumera sûrement pas à servir uniquement l’apéritif et que tous ces Dominants vont être exigeants… Au bout d’un moment, une femme m’appelle et me réclame un nouveau verre de champagne. Sa voisine exige sans aucune gêne sur un ton directif de me retourner pour exhiber mon cul en me penchant en avant, alors elle me claque les fesses, je sursaute et pousse un petit cri (ne m’y attendant pas) ce qui fait beaucoup rire le groupe de femmes entre elles. Puis je l’entends dire de vite aller chercher le champagne. Je file donc au bar et muni d’une bouteille de champagne je reviens vers le groupe de femmes moqueuses :

- Madame, voici le champagne
- Hé le chien, tu bandes toujours autant quand tu sers aux somptueux dîners de Monsieur le Marquis ?
- Je ne sais pas Madame, je suis nouveau.
- Ah un nouveau chien ! On va pouvoir s’en amuser ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! (et les femmes continuent de rire)...
- Puis-je disposer Madame ? Je vois qu’on me réclame là-bas.
- Oui, oui vas-y.
Fais bien ton travail, le chien à la queue raide...
- Merci Madame.

Je me dirige vers un groupe d’hommes près de la cheminée où l’un d’entre eux me fit signe de m’approcher.

- Eh le chien, accompagne Gilles aux toilettes, il ne sait pas où elles se trouvent…
- Oui Monsieur, bien Monsieur, si vous voulez bien me suivre.

Je précède cet homme en direction des toilettes. A peine sommes nous à l’écart du groupe que le dénommé Gilles s’adresse à moi sur un ton des plus ascendant :

- Ne te retourne pas continue d’avancer que je puisse bien mater ton cul de petite lope… Tu sais que le cul de salope comme toi est fait pour recevoir des grosses bites comme la mienne. Je ne sais pas quand encore mais ce qui est sûr c’est que ce soir je vais te ramoner le cul et tu vas me sentir passer. Je sais que les chiennes comme toi à ce genre de soirée n’ont pas intérêt à décevoir les Invités donc j’espère pour toi que je parlerai en bien de toi au mon ami Monsieur le Marquis… Tu vas m’exciter un peu et marcher comme une petite pute. Tortille ton cul quand tu marches. Montre-moi que tu la veux ma queue…

Alors, je marche en roulant des fesses et me déhanchant pour susciter le désir chez cet homme que je ne connais pas mais pour qui je ferai tout ce qu'il exigera.

- C’est bien bonne petite lope. Tu l’auras ma queue, ne t’inquiété pas… (Nous arrivons aux toilettes) … T’es un bon chien, je vais te donner un avant-goût. Tu vas rentrer avec moi dans les toilettes. T’as 5 Minutes pour me faire jouir avec ta bouche de pute et après tu retournes au service.

Alors je rentre dans les toilettes et m’accroupis. Il entre à son tour dans les toilettes et ouvre sa braguette pour en sortir fièrement une bite énorme. Elle fait au moins le double de la mienne. Il est très fier de sa bite tendue et s'adresse à moi en empoignant mes cheveux pour attirer ma bouche vers son sexe dressé :

- Sacré morceau pour toi, le chien, n'est-ce-pas ? Tu vas aimer la sucer celle-là et tu vas encore plus aimer quand je vais te limer plus tard.
Allez régale toi, salope !

Je prends immédiatement le gland en bouche et pose mes deux mains sur le mur derrière lui. Je fais des allers retours avec ma bouche en veillant à ce que mes lèvres glissent bien le long de sa grosse queue. J'utilise ensuite ma main droite pour lui caresser les couilles et lèche le long de sa verge tendue avec ma langue. Il a l'air d'apprécier mon travail. Je reprends la première position et il se saisit encore plus fortement de ma tête des deux mains pour l'immobiliser et il me fait faire des vas-et-viens de sa queue dans ma cavité buccale en m’imposant son rythme pénétrant. Sa bite est énorme et me tape le fond de la gorge. Ma salive dégouline partout sur son sexe, ce qui rend le tout extrêmement lubrifié et glissant. Ce va et vient dure bon petit bout de temps… Quand il me lâche la tête, j'en profite pour prendre une bonne bouffée d’air et reprends sa bite en pleine main et je me remets à sucer à mon rythme. Au bout d’un moment, je sens son gland tressaillir ainsi que sa hampe, ce qui me motive à accélérer encore plus et ça me fait comprendre qu’il ne va pas tarder de gicler son sperme. En effet c’est dans un cri de soulagement jouissif, dans des râles longs de plaisirs qu’il jouit dans ma bouche par fortes saccades, je sens l’épais sperme chaud dégouliner dans ma gorge, sur ma langue, sur mes lèvres. Je m'empresse de tout avaler quand un ordre claque :

- Tu nettoies ma queue et tu retournes servir en silence, le chien.

Alors, je nettoie avec ma langue le sperme qui était resté sur sa bite, en ne laissant aucune souillure puis je me redirige vers le salon en me léchant les lèvres et frottant le visage et les cheveux pour être sûr d'être présentable. J'arrive près du salon. J'espère que personne n'aura remarqué mon absence. A peine entré dans le salon je me fais apostropher par l'homme qui m'avait exigé d'accompagner Gilles aux toilettes.

- Hé, le chien, tu n'as pas vu Gilles ? Il s'est perdu ?
- Non, Monsieur, je l'ai accompagné jusqu'aux toilettes il y a 10 minutes.

- Et il n'est toujours pas revenu ? Tu n’as pas une idée pour expliquer son absence ? me demande-t-il avec un grand sourire espiègle et vicieux.

Me voilà dans de beaux draps, que répondre : mentir ou avouer ce qui s'est passé alors que ce Gilles ne le souhaite peut-être pas... Je rougis de confusion ne sachant que répondre… Les hommes du groupe commencent à rire et comprendre ce qui s'est passé, un homme prend la parole...

- Vraiment un phénomène ce Gilles, il ne peut pas s'en empêcher, quelle impatience...

Les hommes rient entre eux, ce qui ne fait qu'augmenter ma confusion. Toutes les personnes ici présentes savent évidemment que je suis à leur merci et qu'ils vont pouvoir s'amuser de moi exactement comme ils l'entendent, où ils l'entendent et quand ils l’exigeront.

- Allez, la petite pute retourne à ton service, on a compris...

Monsieur Le Marquis invite ses Convives à passer à table et m'ordonne d'aller en cuisine et de l'attendre. Arrivé en cuisine, la sévère Marie, la cuisinière, exige que je commence par le nettoyage des verres à apéritif en attendant la suite. C'est là-bas, en cuisine, qu’arrive Monsieur le Marquis :

- Je t’encourage, ton comportement est acceptable pour l'instant. Mais ça ne fait que commencer. Durant le repas, Laïs MDE va te remplacer au service car toi tu n'auras pas le temps…

(Nous y voici donc, je vais enfin commencer à connaître quels sont les desseins du Maître à mon égard)

… - Tu n'auras pas le temps car tu seras sous la table durant le repas. Tu suceras toutes les bites et lécheras toutes les chattes qui se présenteront à toi. A chaque fois que tu entendras le mot de code "repas" tu changeras d'endroit. Cela voudra dire que tu devras abandonner ce que tu es en train de faire et chercher les jambes qui sont écartées et aller t'occuper vigoureusement de l'entrejambe de la personne. A la fin du repas tu seras certainement puni devant tout le monde. En effet, tu auras deux coups de fouets sur ton cul par personne qui n'aura pas joui. Je ne participe pas, tu as donc 13 personnes à faire jouir… Alors soit à la hauteur de ce que j’attends de toi. Tu es là pour le plaisir de mes Invités, alors assume ton état d’esclave de chien soumis MDE… et ne me déçoit pas…

(A suivre …)

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