Ma Vie De Libertin - De Brèves Aventures - Pour Un Cinq À Sept.

Pour un cinq à sept.

A ce point des récits, je dois vous dire qu’en plus du libertinage, vous l’avez déjà compris, je suis un adepte inconditionnel du naturisme. Cela remonte à loin mais à l’époque de mon mariage, c’était absolument impossible : La pudeur irréductible de mon épouse m’interdisait cette pratique ! C’est ainsi que devenu veuf, j’ai renoué avec cette habitude. Chaque année ou presque, je consacre une semaine ou plus à ce penchant dans diverses régions de France, en bord de mer ou dans l’intérieur de notre beau pays.
Cet été là, je descendais vers les plages naturistes de la côte landaise. Un habitué des clubs libertins (dont c’était les débuts) m’avait chaudement recommandé un établissement bordelais. Lors d’une soirée parisienne, il me l’avait décrit comme très convivial et bien fréquenté. De passage à Bordeaux, je m’y suis rendu. Effectivement, ce club échangiste était très bien fréquenté, le décor y était somptueux, les diverses installations largement à la hauteur de ce qu’on est en droit d’attendre, les filles, jeunes pour la plupart étaient canon.
Pendant que je prenais un verre au bar en attendant que la fille sur laquelle j’avais jeté mon dévolu soit libre, j’ai découvert celle avec qui j’allais avoir quelques temps plus tard un 5 à 7 torride. Ce soir là nous n’avons rien fait ensemble car elle était très accaparée par les amis qui l’accompagnaient. Mais cette belle coquine, voyant tout l’attrait qu’elle exerçait sur moi, m’avait fait envoyer ses coordonnées par une barmaid.
Une semaine plus tard, je devais regagner Paris et je passais une nouvelle fois par Bordeaux. J’avais téléphoné quelques jours avant et Candie serait disponible en fin d’après midi du samedi. Ça tombait bien !



Quand elle a ouvert sa porte, elle était habillée de cette petite robe rouge avec les motifs japonais qu’elle portait quand je l’ai remarquée la semaine précédente où nous nous sommes aperçus dans la chaude ambiance du club.

Etait-ce un signe ? Il m’a tout de suite semblé qu’elle ne portait rien en dessous car j'apercevais les pointes de ses tétons sous le tissu. Lorsqu’elle m’a précédé pour me guider vers son salon, je ne vis pas non plus de trace d'un quelconque string. Coquine ! Elle aimait vivre presque nue ! Je découvrais alors son grand appartement et cette magnifique pièce à vivre dont les fenêtres donnaient sur le Quai de Bacalan et la Garonne. Nous nous sommes assis côte à côte sur le divan et nous avons bavardé longuement en buvant un jus de fruits. Nous avons ainsi échangé des propos divers quant à nos deux vies.
La sienne, j’ai pu le constater, semblait bien orientée "SEXE" en liberté et sans entraves. Elle m’a expliqué que de temps à autre, des amis des deux sexes se retrouvaient chez elle pour des parties fines. La mienne a toujours été beaucoup plus calme même si j’aimais bien profiter paisiblement des plaisirs de la vie, et le sexe en fait partie ! Cela constituait un très bon dérivatif à un métier très prenant.
En reposant mon verre sur la table basse, j’ai un peu bousculé un des coussins du divan et j’ai découvert des trésors : des jouets. Ils étaient donc toujours à portée de sa main pour se faire plaisir. Retroussant ta robe légère, Candie me dit :
• Vas-y ! À toi de t'en servir pour me plaire. J’ai envie que ce soit toi qui les manipules. Aujourd’hui, je n’ai pas envie de le faire moi-même !
C’est vrai que les propos échangés avaient quelque peu échauffé l’atmosphère de la pièce. Je bandais comme un taureau en rut et cette découverte n’avait rien fait pour calmer mes ardeurs. J'avais bien deviné : pas de string. Je me suis placé à genoux devant elle qui a écarté les cuisses en grand en posant les talons sur l’assise du divan, me livrant la vision d’une chatte nue et lisse, déjà entr’ouverte et d’un petit trou plissé. J’ai humidifié une des extrémités du gode à double tête en vinyle souple et translucide et j’ai commencé à caresser la fente en passant et repassant sur le clitoris qui dardait dans son capuchon.
Candie a commencé à ronronner comme une belle chatte et sa fente s'est ouverte de plus en plus.
N'y tenant plus j'ai enfoncé la tête du gode peu à peu dans sa grotte d'amour qui l'a accueillie profondément jusqu'à ce que ma main vienne contre son sexe. J'ai effectué un lent mouvement de va-et-vient et elle ondulait de plaisir. De mon côté, je me sentais quelque peu à l'étroit dans mon pantalon. Cela semble évident que la scène que nous étions en train de vivre ne me laissait pas insensible.
Pendant que je masturbais sa chatte avec ce long gode, Candie en suçait un autre, plus court et plus gros en imitant une gorge profonde. L’un comme l’autre nous savions comment cela allait finir. Brusquement alors que je ne m'y attendais pas tout de suite elle a laissé éclater sa jouissance en disant :
• Oh que c'est bon ! Tu as bien su me faire plaisir !
Nous nous sommes levés tous les deux et nous nous sommes enlacés pour un baiser langoureux. Nos langues se sont mélangées, nos corps se sont frottés l'un à l'autre, puis, Candie s’est dégagée de mon étreinte, elle a défait ma ceinture et commencé à masser ma bite qui avait du mal à rester dans mon mini slip. Soudain, Candie a fait voler sa robe par dessus ses épaules. Moi qui étais en polo et le pantalon sur les chevilles, elle était nue devant moi comme une invitation :
• Viens ! Baise-moi maintenant ! J’en ai très envie !
Il n’a pas fallu me le dire deux fois. En quelques secondes, j’étais aussi nu qu’elle. Elle s’est placée en levrette sur ton canapé, le torse en appui sur le dossier. C'est là que j’ai découvert le magnifique papillon qui ornait le bas de son dos et ses globes fessiers. Il était vraiment très bien dessiné. J’ai frotté mon sexe dans son entrejambe. Sa chatte dégoulinait et c'est pratiquement sans effort que mon sexe a glissé au fond du sien dès que je me suis couvert. De la main droite, je suis venu cueillir ses jolis tétons dardés alors que ma main gauche reposait au creux de ses reins.
Lentement elle ondulait devant moi et nous avons entrepris ce va-et-vient profond qui allait nous conduire à une jouissance éblouissante et partagée. Que c'était bon !

Quel 5 à 7 merveilleux Candie venait de me donner ! Pour l'en remercier, je lui ai offert d'aller diner quelque part dans un restaurant de son choix. Le repas achevé, je l’ai reconduite au bas de chez elle. Il n’avait jamais été question que j’y passe la nuit !
Ce que j’espérais est arrivé, je l’avais fortement désirée au club mais elle n’était pas disponible et ce soir-là, elle y avait encore rendez vous pour une nouvelle soirée coquine. Quant à moi, j’ai repris la route pour quelques heures, un peu fatigué, mais quelle bonne fatigue !

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