Un Mari Sur Les Charbons Ardents

Un mari sur les charbons ardents


Maud partie, André m’invite à sortir de placard-cabine de tournage et m’offre à boire.

-La prochaine arrive dans un quart d’heure. . Je ne suis pas un robot infatigable et Maud m’a mis à plat. Elle a un tempérament flamboyant, elle vient de me crever, de me vider les bourses. Le handicap de son mari en fait une louve lubrique et il ne suffit pas de la nourrir de bobs mots, elle exige du solide, des assauts épuisants et des torrents de sperme. Le spectacle n’a pas pu te décevoir. Sa sucette finale m’a tué. Dois-je prévoir un autre rendez-vous, ici, pour toi ?

- C’est un joli lot ! Mais tu avances trop vite en besogne, tu pourrais l’effrayer. Ce serait dommage, elle m’a enthousiasmé.

Je ne peux pas refuser l’offre, je ne veux pas vexer André, mais je ne veux pas être le premier à briser le pacte du mariage. Quand j’aurai la preuve de l’infidélité de Julie, j’envisagerai différemment mes rapports avec les femmes. J’ai de fortes présentions tout m’indique que Julie fait de la corde raide, est devenue une équilibriste en amour et qu’elle prend des risques inconsidérés en se liant à André. M’a-t-elle trompé, est-elle sur le point de se laisser séduire; pour le savoir un peu de patience est nécessaire. Mais les ardeurs de Maud ont peut-être retardé le moment de la terrible révélation. Je l’espère et André me rassure :

- Par bonheur Julie est encore trop timide pour me réclamer un nouvel exploit sexuel. dès sa première visite. Je regretterais devoir repousser les avances d’une jeune femme aussi appétissante, car c’est un canon,. Il faut que tu la voies. Tu en tomberas follement amoureux, j’en suis sûr.

- En attendant de connaître ta future conquête, je prendrais une option sur cette Maud si impressionnante. Sa prestation a bouleversé mon sang.

- J’ai vu ! Une fois que Maud est chaude, on peut tôt lui imposer. Je te la préparerai, je lancerai le mouvement, je la mettrai en température.

Je t’introduirai et te présenterai au bon moment et tu devras ravir ses sens pour en faire une maîtresse lascive mais combien adorable. Si le cœur t’en dit, nous pourrions composer avec elle un trio endiablé; son besoin d’amour immense y trouverait son compte. Imagine le tableau. Ou bien je me reposerais pendant que tu la défoncerais. Voilà une excellente raison d’améliorer ton souffle par la pratique assidue du footing.

-C’est certainement elle que je choisirais. J’aimerais pourtant examiner quelques autres spécimens de ton harem avant de trancher si je troncherai l’une ou l’autre.

- Tu es avisé. Mais le temps perdu ne se ratt jamais. Et pourquoi ne pas essayer plusieurs pouliches à la suite? Es-tu partisan de la monogamie ridicule imposée par notre société ?

- N’oublie pas que je suis marié. Si je me disperse mon épouse aura vite fait de remarquer une baisse de régime et je la perdrais.

- Bof ! Qui peut prétendre garder éternellement la même femme? Par expérience, je connais plus de femmes infidèles que de femmes fidèles. Celles qui ne trompent pas leur mari, rêvent d’un prince charmant destiné à les rendre plus heureuses. C’est précisément parmi elles que je cherche à étendre mes relations. Une femme adultère m’intéresse moins qu’une femme à détourner de la monotonie conjugale. J’aime leur accorder l’occasion de passer du rêve à la réalité, les aider à s’évader de l’étouffant cocon familial. Le vrai plaisir est dans la conquête plus que dans la conservation. Tu en verras défiler ici des épouses en quête de sensations fortes, à la poursuite de leurs fantasmes de séductrices irrésistibles, prêtes à s’offrir pour m’accrocher à leur tableau de chasse et à s’avilir pour l’emporter sur des rivales et pour garder.

- Est-ce possible ou tentes-tu de m’éblouir ?

- Elles s’appellent Cathy, Anaïs, Charlotte, Régine. Elle piaffent d’impatience derrière Victoire ou Maud. Bientôt j’ajouterai Julie à la liste de mes maîtresses.


- Ce n’est pas encore fait ? Tu parais bien certain de ton fait.

- Hélas, je dois avancer prudemment. C’est une question de temps uniquement. Je l’ai ferrée,elle finira comme les autres et tu filmeras sa reddition peut-être avant son départ en cure, peut-être même ce soir. Mon gaillard, tu as de la chance d’être tombé sur moi. Cette Julie est un morceau de roi. J’en fais mon festin, je lui bouffe l’abricot, je lui défonce l’amusoire, je lui farci le vagin et les boyaux de ma semence fertile et, avant de la rendre à son imbécile de mari, je te laisse le bonheur de la consoler de mes absences. Après moi tu pourras y goûter, t’en repaître jusqu’à satiété et me permettre de partir vers une autre aventure. Je t’apprendrai à gérer tes plaisirs et à satisfaire le plus grand nombre de femelles en chaleur.

- J’ai du mal à te suivre. Je te trouve amer et peu respectueux des femmes. Tu les traites comme des objets, sans considération. N’éprouves-tu que des envies, ne ressens-tu pas de sentiments pour celles que tu prends dans tes filets.

- Elles s’y précipitent sans remords, oublient les maris, vivent de luxure, se noient dans les jouissances charnelles et tu voudrais que je les respecte ? Je fais jouer mes biscotos et elles se pâment, j’agite mes plaques de chocolat à la piscine, elles mouillent, je leur souris ou leur adresse un encouragement ou un compliment elles perdent la tête et leur vertu. Mais la meilleure de mes expériences va arriver. Quelques remarques sur sa plastiques, quelques critiques sans fondement sur ses formes l’ont rendue folle. Elle veut se faire opérer. Enfin elle m’a supplié de la recevoir. Tu penses que je me fais des illusions.

- As-tu des sentiments pour elle?

- Tiens-toi prêt à filmer. Si elle vient dans l’intention de baiser, si elle y tient vraiment et me prie de la posséder, je ne pourrai pas me dérober. Voilà mes sentiments, mon vieux. Elle en demande, je lui en donne. C’est un marché.


- Combien de temps comptes-tu la conserver ?

- Ça dépendra. Quelques semaines ou quelques mois si elle se montre discrète et si elle accepte le partage et les échanges. J’ai pour elle, malgré ou à cause de sa confiance en moi, un fort penchant. Je ne sais pas encore si elle n’est pas la femme de ma vie.

- Ah ! Ta carapace se fendille, tu es amoureux d’elle, tu vas te laisser coincer. N’est-elle pas plus âgée que toi ? Combien a-t-elle d’s.

- Un ! La différence d’âge est sans importance quand on aime

- Voilà un aveu ! Tu es prisonnier avant de l’avoir eue. Mais comment feras-tu si elle s’offre ? Tu es crevé, oui ou non ? Tu devrais avoir peur de te ridiculiser. Après le passage de la tornade Mauve, tu pourrais avoir une défaillance et gravement décevoir cette Julie, au risque de la mettre en fuite. Elle a de l’expérience, ne te pardonnera jamais l’affront d’une panne alors qu’elle aura vaincu ses réticences pour s’ouvrir à toi mentalement et physiquement. Je ne suis pas spécialiste de ces questions de cul, mais je te conseille de reporter votre premier rapport sexuel à plus tard, dans des conditions plus favorables. Au retour de son opération, elle voudra te témoigner sa reconnaissance et elle se livrera toute entière, sans calcul. Ce sera plus réfléchi, plus mûr, pour elle comme pour toi. Laisse lui le temps de te désirer et d’apprécier pleinement le succès de l’opération subie pour te gagner. Elle mesurera mieux l’étendue de son sacrifice, t’en attribuera le mérite et t’aimera davantage. Une part importante du bonheur se vit dans l’attente, tu le sais si bien.

- En voilà un discours. Son mari ne parlerait pas mieux pour retarder son cocuage.

André rit de mon argumentation, me trouve beaucoup de sagesse et se persuade de la nécessité de ne rien précipiter. Heureusement, il ignore toujours que Julie est ma femme. Il conclut :

- Tu as raison. Où ai-je la tête ? J’aurais dû reporter la rencontre avec Maud.
Je reverrai mon planning ou je serai délaissé . J’entends des voix. Vite, va dans le placard avec le caméscope. Et prépare-toi à recevoir une leçon de séduction…. Oui, entrez.

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