Avec Le Père De Lucas...

Comme vous le savez, mon père est chef d’entreprise dans le bâtiment. J’ai travaillé avec lui pratiquement tous les étés. Je m’y connais pas mal en la matière donc, à chaque fois que quelqu’un que je connait a une dalle de béton à couler, un mur à élever, une piscine à creuser ou je ne sais quoi d’autre, c’est moi qu’on appelle pour aider.

Le dernier chantier en date a été l’agrandissement d’une terrasse et la construction d’une pergola chez le père de Luc, mon ami d’enfance. Les travaux étaient censés durer plusieurs jours, c’était aussi une occasion pour moi de revenir dans ma région natale et de me faire payer pour !

Le père de Lucas est venu me chercher à la gare dans son gros 4x4 qui n'était pas de trop pour accueillir cet homme de près de 2m de haut. Le train de Lucas avait eu du retard, il ne serait là qu'une heure plus tard alors nous sommes directement rentrés à la maison. Je connais bien François, mais je ne l'avais pas revu depuis assez longtemps. C'est un homme du cinquantaine d'année, grand et blond, comme son fils. Très bien fait et très bien conservé, c'est le genre de patron avec lequel on ne rechigne pas à coucher pour réussir. C'est d'ailleurs ce qui avait hâter la fin de son mariage avec la mère de Lucas. C'est un ami d'enfance de mon père avec qui il est resté très proche comme d'ailleurs tous les parents de ce groupe de pote là (Lucas, Antoine, Yann et moi). On se connait tous depuis l'enfance.
Le trajet pour rentrer chez lui était court et l'a paru encore plus vu toutes les choses qu'on avait à se raconter. Mon père l'avait tenu au courant, naturellement, mais ça ne l'a pas empêché de me poser un tas de question sur les études, le travail, etc… Nous parlions encore en passant la porte d'entrée, il avait mon sac à la main et je l'ai suivit dans l'escalier qui menait à la chambre d'ami. Le temps était radieux, il était encore assez tôt dans l’après midi pour s’atteler immédiatement à la tâche.

Il a posé mon sac sur le lit pendant que je continuais à lui raconter un des stages que j'avais fait dans une entreprise opérant dans le même secteur que la sienne mais située à l'étranger. Il portait une paire de tongs rouges raille 46 qu'il a fait glisser loin de ses pieds pendant que j'enlevais mes baskets. Il faisait mine de m'engueuler pour ne pas avoir fait mon stage chez lui alors qu'il enlevait son t-shirt, ou plutôt le t-shirt qu'il avait manifestement emprunté à Lucas tant le motif ne paraissait pas en accord avec son âge. La vérité c'est que j'avais envie de voir un peu du pays, pas ment de retourner systématiquement sur le lieu de mon enfance et, bien entendu, il le comprenait très bien, saisissant au passage ma chemise blanche que je lui lançait pour qu'il l'étende sur le dos d'une chaise. Malgré sa cinquantaine triomphante, c'est quelqu'un qui a sût rester jeune dans son esprit et aussi, dans une certaine mesure, dans sa façon se s'habiller, ne rechignant pas à emprunter les fringues de son fils en dehors des heures de boulot. Il retirait justement le short bleu électrique, improbable pour un homme de cet âge en même temps qu'il me détaillait une des expériences professionnelles à l'étranger qu'il avait eu, il y a maintenant assez longtemps. Les choses ont manifestement pas mal changé depuis les trente glorieuses mais il n'était pas homme à vivre dans le passé. Perdu dans ses développements économiques, il n'avait pas vu le short que je lui tendais, mon short, afin qu'il le place aussi sur le dos de la chaise. Je ne porte rien sous mes vêtements en été, lui aussi, mais ça nous le savions tous les deux. Nous étions donc nus, rien de nouveau pour moi qui suis habitué à le côtoyer dans cette tenue depuis toujours. Je continuais à parler sans me soucier de rien: son torse glabre, bronzé et musclé, ses cuisses interminables et son pubis blond comme les blés, je les connais déjà, ils sont presque un élément de décor dans ma vie. Sa queue, c'est la même que celle de Lucas, un gros tuyau blanc et rose fait de peau tendue et d'un gland généreux traversé par une barre en métal avec une boule à chaque extrémité.
Comme burinée par des années de baise et de branle, la peau de sa queue parait indestructible et il manipulait son serpent avec fermeté pour retirer une peluche prise dans un anneau.
- “Ben dis donc, t'as bien grandi toi !”
Il me détaillait comme si il me découvrait alors même qu'il m'a certainement vu plus de fois à poil qu'habillé durant les 18 premières années de ma vie.
- “T'es devenu un vrai petit homme !”
A 25 ans, j'espère être un peu plus qu'un “petit homme” mais venant de lui, c'était une forme de compliment.
- “Et là, t'as fait comme ton père ! De vrais jumeaux !”
Il faisait référence à l'anneau qui ornait désormais mon gland.
- “Tu sais que Lucas aussi s'est fait percé? C'est pas aussi réussi que l'original mais c'est une super copie ! Il t’as montré ?”

- Ouais, ouais, il m’a même plus que montré !

François ricana bruyamment et ajouta :

- Vous êtes vraiment des bonobos les mecs ! Ca y est, dès que les filles ont quitté la pièce vous commencez à vous grimper dessus !

- Et c’est qui qui parle ?

Nous avons rigoler. Il n’y avait pas eu besoin de lui dire qu’il nous arrivait de niquer, son fils et moi, c’était sous entendu. Il l’avait peut être entendu à travers une cloison ou peut être s’en doutait-il tout simplement parce qu’il faisait la même chose à notre âge (et peut être encore aujourd’hui).

Nous avons continuer à discuter de ça en enfilant des habits plus appropriés pour le chantier et puis nous avons commencé à travailler. Le Soleil tapait fort, la journée fut assez rude mais c’était très agréable de bosser avec quelqu’un qui a de la conversation et qu’on connait depuis longtemps.

Lucas était sensé nous rejoindre mais il n’arrivait pas. Un problème de train que je n’ai pas entièrement compris.

Une fois la journée de travail terminé, il devait être 18 ou 19 heures et alors que Lucas ne donnait toujours pas de signe de vie, nos estomac commençaient à gargouiller alors que nous montions les marches de l’escalier pour nous rendre au premier étage:

- T’as une idée de l’heure à laquelle Luc’ est censé arriver ?

- Il devrait déjà être là mais bon, il a juste dit qu’il aurait beaucoup de retard.
T’as pas faim ?

- Si, à fond !

- On est pas s de l’attendre pour manger, au pire on lui ramènera quelque chose du restau.

- Tu veux aller au restau ?

- C’est la moindre des choses sachant que t’es venu trimer pour moi toute la journée !

Ce faisant, nous passions la porte de la salle de bain. Il farfouillait dans un tiroir, j’étais adossé à un lavabo :

- Par contre il va falloir changer de tenue !

- Ah bon ? Mais dans quel type de restau tu m’emmènes ?

Il tira deux serviettes du tiroir et m’en lança une.

- J’ai la tête de quelqu’un qui remercie les gens en les invitant au McDo? Tu te douches en premier ou j’y vais en premier?

Connaissant le père de Luc, nous n’allions pas dîner n’importe où, heureusement j’avais une tenue présentable dans ma valise.

- Tu peux y aller en premier si tu veux ! - Lui ai-je répondu en enlevant mon marcel.

- Comme tu veux - a-t-il répondu en retirant son short, puis il a rajouter :

- Passe moi ton short, je vais le mettre au lavage !

Je retirais mon short et mes chaussettes pour le lui donner. Mon caleçon était plein de transpiration mais c’était quand même plus pratique d’en porter un pour couler du béton. Je le retirais en même temps pour le lui donner. Il le fourrait dans la poubelle de linge sale avec le sien.

- Punaise, t’es en forme pour un type qui a bossé toute la journée !

Il faisait allusion à mon érection. Je ne l’avais presque pas remarquée.

- T’as vu ! Quand j’ai fait une activité physique je bande toujours après. Je vais avoir le temps de me détendre un peu sous la douche ?

- Oui, y'a pas de problème, le restau n’est pas très loin.

Il passa devant moi et alla se caler sous le jet de la douche. Je m’asseyais sur le coin d’un petit banc pendant qu’il continuait la conversation:

- Profites en bien des gourdins inopinés comme ça parce que ça durera pas !

- En même temps la tienne molle fait la taille de la mienne dure donc l’un dans l’autre tu t’y retrouves.


- Presque, presque, petit !

C’est là que j’ai eu l’idée de prendre une petite vidéo de lui, pour garder le souvenir de cette belle queue quelque part sur mon ordi. Mon portable dans les mains, je tentais de viser la zone stratégique mais n'arrivait pas à filmer son visage en même temps ce qui ne le rendait reconnaissable qu'à ceux qui ont déjà eu affaire à son mandrin, une raison de plus de poster la vidéo sur mon blog (myveryownporn.tumblr.com). La conversation a continué et puis il est sorti de la douche. C’était le moment. Une photo aurait eu trop de chance d’être ratée et avec une vidéo il était plus facile de faire semblant que je regardais mes messages. J’avais peu de temps pour agir, j’ai fait du mieux que j’ai pu.

- C’est bon, tu peux y aller, m’a-t-il dit.

Il finissait de se sécher quand j’ai allumé l’eau. Je n’ai pas tiré le rideau de douche pour continuer la conversation. Au bout de quelque secondes sous l’eau chaude, j’ai laissé couler une bonne rasade de gel douche sur ma queue encore plus dure qu’avant et je l’ai massée. J’écoutais d’une oreille ce qu’il me disait en se rasant et lui répondait par bribes de phrases. Je ne l’ai pas vu saisir mon portable. Je n’avais pas quitter le mode caméra avant d’éteindre l’écran, il voyait ma bibliothèque de film, il y voyait sa grosse queue juteuse. Je ne m’en suis pas aperçu, je fermais les yeux en appréciant ce moment de délassement. Je n’ai pas non plus prêté attention quand il s’est mis à fouiller dans un tiroir du meuble sous le lavabo. Peut être cherchait-il une crème hydratante, un déodorant…

Je n’ai compris ce qu’il se passait que quand l’eau chaude s’est brusquement arrêtée de couler sur mon visage :

- T’as l’air de bien aimer ma queue !

- Hein quoi ?

- T’en a déjà vu une plus longue?

Ce faisant, il introduisait sa queue lubrifiée dans mon anus. Le passage était difficile, ça faisait mal, son manche est énorme.

- T’as besoin d’un vrai mec, toi, hein !

Il enfonçait ses centimètres par pallier, sans me demander mon avis. Il était debout derrière moi et me pénétrait comme ça, en forçant son passage dans ma rondelle.

- Ca me fait mal !

- T’aimes filmer ma grosse bite mais tu veux pas te la prendre ? C’est pas correcte ça ! Allé, desserre ton trou !

Ca ne servait à rien de se débattre, il aurait de toutes façon eu ce qu’il voulait. Autant prendre son mal en patience et essayer de tirer du plaisir de ce coït .

Les première minutes furent atroces, il m’a littéralement déchiré mon trou quasi vierge avec son mandrin. Je morflais à mort. Il me maintenait fermement en poussant des beuglement rauques.

- Alors, tu l’aimes ma queue ?

Je me laissais ouvrir par ce vieux vicelard. J’avais déjà goûter à la queue de son fils mais celle là était d’une autre trempe. Ses couilles claquaient contre les miennes. Il m’a pénétré et pénétré encore pendant dix bonnes minutes. J’avais l’impression de me faire niquer par un cheval.

Mes genoux ne me portaient plus, j’avais les jambes qui tremblaient. Il m’a fait mettre à quatre pattes, sur le sol. Il restait accroupis derrière mois et m’a embroché à nouveau comme ça, comme un animal allant à la saillie. Il était plus tonique que son fils, plus violent dans ses coups de queue et plus avilissant dans la façon qu'il avait de me pénétrer. Chaque pénétration me faisait savoir qu'il ne me concevait pas comme égal et que je n'avais pas vraiment le choix, je devais le satisfaire.

J’avais vraiment l’impression d’être en pleine saillie avec un poney. Je sentais son piercing me taper la prostate. Posté sur ses cuisses musclées, il allait et venait dans mon ventre jusqu’à mon nombril. Excité par la domination, il y allait de plus en plus fort. Je criais de douleur, ça l’excitait encore plus. Il n’arrivait plus à se contrôler et si il avait fait preuve d’un semblant de douceur au début, là il se lâchait complètement et me défonçait le cul en m’assenant de petites phrases comme :

- Tu la voulais ma queue ! Et là elle te plait ?

Je ne répondais que par des quasi hurlements. Ca a duré une petite demie heure, les aiguilles de l’horloge de la salle de bain tournaient lentement, j’avais le cul en feu et probablement en sang. Je sais comment il voulait que ça finisse : il voulait se porter à un cheveux de l’orgasme et me gicler sa semence sur le dos ou peut être même la gicler à terre, à l’ancienne. Ce genre de types un peu old school comme le sont mon père et tous ses potes, ont une sorte d’obsession avec leur sperme. Le plaisir de me remplir de foutre, celui d’avoir un orgasme complet à l’intérieur de moi, passait bien après le dégoût que lui inspirait l’idée de mêler son sperme à mon cul. Il s’énervait sur mon cul et, pour oublier la douleur, je repensais à cette fois où, étant jeune, il nous avait entendu baiser, son fils et moi…


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C’était un après midi comme celui-là, on avait été un peu bruyant et, une fois notre coup tiré, nous l’avions retrouvé pour dîner. Il souriait en coin et nous avait tapé sur l’épaule :

- Je vois qu’on s’est fait plaisir ! J’imagine que je vais devoir changer les draps !

Après le dîner, Lucas est monté dans sa chambre, son père l’a suivit, justement pour changer les draps. J’étais dans la salle de bain et j’ai entendu leur conversation :

- Les saligots, vous avez fait ça par terre !

- Ben non, sur mon lit.

- Il n’y a pas de tâches sur les draps, vous êtes sûrs que tout fonctionne correctement chez vous ?

- T’inquiètes…

- Non, mais t’es sur, parce que là je rigole pas, ça m’inquiète !

- Oui, tout fonctionne !

- Ouais, ben alors elles sont où les tâches de foutre? Je veux des petits s moi !

- Ben à l’intérieur…

- A l’intérieur de quoi ?

- De nous !

- Tu lui as giclé dedans ?

- Ouais…

- Et il t’as giclé dedans aussi ?

- Ben ouais…

- Putain, les mecs, vous êtes vraiment des porcs ! Et c’est comme ça à chaque fois ?

- Ben ouais, c’est quand même plus agréable de décharger dedans, comme avec une meuf quoi…

- Ben ouais c’est plus agréable, ça veut pas dire qu’il faut le faire ! Et puis c’est pas pareil… tu lui fous pas ton foutre dans le cul…

Lucas (tout comme moi) n’avais pas l’air de comprendre. Même si mon père m’avait déjà briefé à ce sujet, je n’ai jamais vraiment compris pourquoi les mecs de sa génération trouvait ça dégoûtant. François avait l’air à la fois repoussé par l’idée qu’on ai fait ça mais en même temps il souriait en coin et ricanait presque, l’air de dire : “les mecs, vous vous faites plaisir !”. Il y avait un brin de jalousie dans sa voix, comme si il n’avait jamais rencontré de partenaire masculin qui accepte de gicler à l’intérieur de lui ou de recevoir sa semence dans son anus. Il a rajouté :

-Et alors, quel effet ça fait quand tu te fais gicler dedans ?

- Ben tu sens la bite grossir, devenir super dure et taper des coups à l’intérieur de toi…Moi j’aime bien.

- C’est quand même crade ! - A-t-il ajouté, d’un air rêveur.

Après coup, il l’avait même raconté à mon père qui m’a longtemps charrié là dessus, il m’appelait “le crado”. Allez savoir pourquoi, à leurs yeux, étaler tout son sperme sur son partenaire ou sur le sol est plus sale et plus convenable que de lui jouir dedans. Bien plus tard, au cours d’une de ces discussions sexuelles décomplexées que nous avons souvent, la bite à la main, il m’avait questionné:

- Et les nanas, tu leur jouit aussi dans le cul?

- Ben oui, parfois… La plupart sont des nanas de passage, j’utilise une capote. Si la baise est bonne je rempli la capote sinon je la retire et je leur crache tout dans la bouche ou sur la rondelle.

Je prenais un mâlin plaisir à le dégoûter.

- Oh putain, t’as vraiment pas de limites… Après ça leur coule dans la chatte et tout. Donc toi, quand tu niques, tu respectes rien !

Il disait ça d’un ton potache en ricanant. Je lui répondais :

-Moi quand je nique, je nique ! J’ai bien assez de foutre pour niquer encore le lendemain et te faire tous les petits s que tu veux si c’est ce qui te préoccupes ! D’ailleurs ne me dis pas que t’as jamais tout largué dans le cul de quelqu’un, je ne te croirais pas.

- Moi j’étais marié, j’ai fait 4 garçons, donc j’estime que si aujourd’hui je m’oublie dans le cul d’un type de mon âge qui en est au même stade que moi, c’est pas la mort, c’est juste que par respect je le fais pas et on me le fait pas.

“Type de mon âge qui est au même stade que moi” est sa façon pudique de dire qu’il nique avec le père de Yann, celui de Lucas et celui d’Antoine (mes trois meilleurs potes).

- T’y a déjà pensé ?

- Certainement, mais dans le feu de l’action, mais je me vois mal lancer à mon pote de baise : “vas y, tu peux jouir dedans” ou “Ca te dirai que je crache tout dans ton cul” ! On le fait pas, c’est tout. En plus, si il me répondait “non” ça casserai tout le moment. Par contre avec les nanas, je le fais et 99% du temps c’est elles qui me le demandent.

- Ben tu vois !

- Oui mais toi tu devrais trouver autre chose qu'une “nana de passage”, lui jouir dans la chatte et me ramener des petits s ! En suite, tu pourras faire tes trucs dégueulasses ! Tu sais, ta mère c’est la première femme que j’ai connu et elle est restée l’unique femme que j’ai connu pendant toute la durée de notre mariage.

- Oui, je sais…

Il se plaisait à nous rappeler sa probité de jeune homme :

- Tes frères et toi on vous a fabriqué dans les règles de l’Art. Bon, toi c’était dans les toilettes d’un avion, mais au moins c’était propre, clean, pas dans le cul quoi !… et c’est seulement après vous avoir fait les quatre, on a commencé les trucs sales. Même avec les mecs, on a rien fait les quatre premières années de mon mariage…

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J’en étais à cela de mes pensées quand je le sentais y aller réellement à fond. Ses grosses couilles lourdes claquaient contre les miennes, il émettait des “ah ah ah” “Ca va venir, ça va venir”. C’est à ce moment là que j’ai rassemblé les dernières forces qu’il me restait pour serrer mon anus au maximum autour de son gros manche. J’en sentais la moindre aspérité, j’aurais pu le dessiner tant sa sensation dans mon trou était précise. Il me lançait :

- Ah ah P’ti con ! Ah, ah ah

Il avait l’air paniqué :

- Merde, merde, merde ! - Répétait-il de façon saccadée -

Puis ce fut :

- Oh putain c’est bon. Ah oui, ah tiens !

En disant cela, il m’assénait des coups de bite profonds et violents.

- Ahhhhhh, putain ça fait du bien !

Puis il s’est bloqué au fond de moi quelques secondes, appréciant chaque minutes de son orgasme.

Il s’est désengagé de moi, c’était une vraie délivrance. Je ne bougeait pas, pétrifié:

- Ah, t’en a plein le cul, mais t’aime ça, toi !

Comme pour se faire pardonner d’avoir répandu sa semence là où il n’aurait pas du, il en a raclé une coulée qui s’échappait de mon trou tuméfié, avec sa main. Etalant ses doigts enduits de foutre visqueux, blanc et lourd sur ma bouche, il se fraya un passage dans ma bouche en disant :

- Tiens, lèche bien, c’est du foutre d’homme ça ! Ca va te changer de tes potes !

Je léchais ses doigts, je n’avais plus la force de refuser. Son sperme avait bon goût.

Il ralluma l’eau chaude et recommença à se laver alors que je me relevais sur mes jambes chancelantes. Je n’avais pas jouit mais je ne bandais plus, j’avais mal à l’intérieur de mon orifice. Il se savonnait face à moi, insistant bien sur sa bite et ses poils pubiens. Il m’a ensuite étalé du savon sur le corps en disant :

- Vient, on va nettoyer tout ce bordel que j’ai fait !

Il m’a lavé, avec douceur et application :

- T’es vraiment un beau garçon. Ton père a raison d’être fier.

Je ne disais rien, encore sous le choc. Il passait ses doigts sur toutes les zones de mon corps:

- Et regarde moi cette bite ! C’est un sacré machin que t’as là !

Il la savonnait consciencieusement en lavant bien le piercing, en shampooinant bien les boules.

- Ton cul, putain, ça faisait longtemps que j’ai pas eu une aussi bonne bourre !

Il caressait mes fesses puis a titillé mon anus, le savonnant. Il m’écartait les fesses pour vérifié que tout était bien propre.

- Ca reste entre nous tout ça, hein ! …. surtout la fin ! Putain, je t’ai bien rempli quand même ! Ca t’as plû ? Pour moi c’était la première fois !

Sa grosse queue, j’avais fantasmé dessus, je l’avais voulu, je l’avais eu et elle m’avait littéralement transpercée. J’avais du mal à croire qu’un fantasme que j’avais depuis si longtemps pouvait en fait se terminer aussi pauvrement.

Et puis tout d’un coup :

- Bon, allé, maintenant, suce moi !


Il me fit mettre et pressa son gland contre ma bouche. Je le laissais y entrer, je lui était totalement soumis.


- Applique toi bien, petit !
La moitié de son membre à peine pouvait y entrer. Il avait bon goût, il était raide et net, la peau tendue et propre. C'était une vraie bite d'homme, marquée par l'usage répété avec une barre verticale ancrée dans sa chaire. Je n'avais jamais connu de manche comme ça. J'ai très peu sucé dans ma vie, d'ordinaire c'est moi qui me fait pomper. Je ne suce que mes potes, Lucas, Yann et Antoine, leurs queues fragiles et à peine pubères de gamins de 25 piges. Celle là était d'une autre trempe.
- N'aie pas peur, elle n'est pas en sucre la mienne !
Il m'incitait à y aller plus fort. Je tentais de poser des suçons sur son gros gland et c'est à peine s'il bronchait. Trempée de salive, je l'astiquais de la main droite comme si je tentais de la polir, il commençait à souffler. Je l'ai agrippé alors très fermement, le poing bien serré, et passais dessus sans égard pour ses bijoux en lubrifiant à peine de ma salive et, enfin, il commença à laisser échapper quelques râles. La main rugueuse, ce n'étaient plus des caresses que je lui administrais mais des sévices. Ses grosses couilles pendantes, les mêmes que celles de Lucas, dansaient dans tous les sens et il ne s'en formalisait pas. N'importe lequel des mecs de mon groupe, moi y compris, aurait crié de douleur, pas lui. Je commençais à avoir peur pour mon cul, peur qu'il lui faille encre me laminer comme un taré pour réussir à obtenir la satisfaction qu'il se sentait en droit de recevoir de moi. Je suis connu pour être un baiseur assez dur, j'aime bien quand ma bite entre et sort complètement du trou que je pénètre, j'aime bien les cadences soutenues, mais lui devait être pire qu'un lapin. Un marteau piqueur près à tout pour laisser échapper sa semence.
J'accélérais mes vas et viens, j'ai bien cru que j'allais emporter une des boules métalliques dans un mouvement mais il tiqua à peine. Je me demandais s'il était excité par le fait que je sois un pote à son fils ou si c'était ma jeunesse qui le faisait bander mais en fait il n'en était rien. Il empoignait à pleine main mon torse, caressait mes poils et commentait : "t'en a des poils maintenant” ou encore “ton foutre doit être épais !”. Descendant le regard, il ajoutait “et regarde moi cette queue !” en reluquant mon engin qui pontait à nouveau vers lui. Je sentais qu'il avait envie de s'en saisir, peut être même de se le prendre, mais que quelque chose le retenait. Pour lui, je n'étais encore qu'un disciple, un vide couille qu'il fallait éduquer.
- Pourquoi t'as toujours pas trouvé de femme pour apprécier ta grosse queue? - Me demanda-t-il.
Il ne s'attendait pas à ce que je réponde, c'était juste pour lui une forme de lamentation, un blocage. S'il avait pu me faire baiser la voisine sans capote pour l'engrosser sur le champ, il l'aurait fait, juste pour se défaire de l'impression qu'il avait de gâcher le foutre d'un tout jeune homme. Il ne me sucerait pas, il ne me laisserait pas non plus me branler pendant la sodomie qu'il allait m'administrer encore.
La main serrée sur sa bite, je continuais à en lécher le bout, l'aspirant profondément, le pompant au sens propre du terme en attardant la langue sur le métal qui la traversait. Il était pris dans son plaisir, j'avais ses burnes dans l'autre main, je l'empêchait de bouger. J'essayais d'imiter les gestes des suceurs et suceuses expérimentés que j'avais vu servir des hommes beaucoup plus âgés que moi dans les clubs ou lors des partouzes informelles qui avaient parfois lieu chez nous. La clé, pour ces bites usées, c'est de les rudoyer, de les traiter comme des morceaux de viande, il n'y a que comme ça qu'elles sentent quelque chose. Je collais l'extrémité contre la paume de ma main et l'y frottait énergiquement c'était la dernière zone encore vraiment sensible de cette queue en béton armé.
- Je vois que tu sais t'y prendre ! - Me dit-il, impressionné par ma maîtrise. Et puis ce fut : “Attend deux seconde, je vais m'occuper de ton cul maintenant”
Mais je ne lâchais pas et devenait de plus en plus inquisiteur, la pipe devenait bruyante avec des sons de succion, de chair battue comme un steak et des cliquetis métallique.
- Arrête je te dis !
Il s'énervait, je ne me laissais pas démonter, je ne me laisserais pas démonter encore. J'avais ses couilles dans la main, maintenue assez fermement pour qu'il comprennent qui était le maître à présent mais sans pour autant lui gâcher son plaisir.
Ce fut d'abord : “P'ti con !” puis des râles de plus en plus rapprochés. Quand ils furent presque continus, je désengageais sa queue de ma bouche et glissais vers le côté. La branlant fermement, je le fis éjaculer dans l'air, son sperme se répandit sur les dalles en pierre de taille par grosses lampées généreuses. Il était blanc, visqueux, comme s'il ne s'était pas vidé depuis longtemps. Je continuais mes caresses biens longtemps après la fin de l'éjaculation, moment privilégié pour tous les hommes circoncis, il aimait ça.

- Tu veux pas boire mon foutre?

Il l’a pris comme l’affront que c’était sensé être. Il m’a fourré sa bite molle dans la bouche pour que le la lave bien et il m’aurait fait lécher le sol si je n’avais pas rallumer immédiatement le jet afin d’évacuer le sperme du sol carrelé.

Il repris possession de sa grosse queue molle et m'assena une claque avec.

- Bon, allé, j’ai faim, on y va !



Le dîner se passa normalement. Il parla beaucoup tout seul pendant que je continuais à réfléchissais en silence. J’avais les couilles pleines, il s’en foutait, sa grosse bite ne m’avait donné aucun plaisir. Elle était peut être trop grosse. Celle de Lucas était déjà aux limites du supportable mais m’avait toujours fait grimpé aux rideaux. Peut être que c’était une question d’habitude.

Une fois sorti du restaurant, il se fit plus pressant. Il me mit la main aux fesses, me sussurant des cochonneries à l’oreille.

- Je peux pas m’empêcher de repenser à ton petit cul, putain, tu m’as fait tellement de bien…

Au retour, nous n’avons pas pris le même chemin pour rentrer. Je me demandais où il m’emmenait et, très honnêtement, j’avais même un peu peur. Il avait envoyé quelques messages pendant le repas, je n’avais pas vraiment fait attention. Il arrêta la voiture et saisit son téléphone :

- Salut, c’est moi… On est en bas. Tu veux qu’on monte ?

- …..

- Ok, on t’attend.

Puis il se retourna vers moi :

- C’est une amie à moi, je me suis dis que ça te ferai peut être plaisir de la niquer avec moi !

- Et elle est disponible sur commande, comme ça ?

- Son mari est en haut dans l’appart’, il la baise pas comme il faut, alors on s’appelle mutuellement quand on a envie. Et là j’ai envie ! Tu m’as donné envie ! Bon, alors, tu viens ?

- Ok.

Il a fait les présentations dans la cage d’escalier, c’était une belle femme de la trentaine, beaucoup trop belle pour avoir à vivre avec un mari impuissant. On est allé dans une petite chambre de bonne au dernier dont elle avait la clef. L’endroit était bien meublé, je pense que c’était sa garçonnière. Elle nous a servit un verre et à baissé ma braguette. Elle m’a sucé avec application, elle avait l’habitude des queues comme la mienne. Je pense que François la ramonait déjà depuis au moins un an. Mon pantalon glissa au sol, je le portais rien dessous.

François avait ramené des capotes grandes tailles, ma queue était raide, 18cm et épaisse comme un rouleau de sopalin. Il fit glisser la capote sur ma queue. J’en pouvais plus, j’avais les couilles remplies à raz-bord, ça n’allait pas durer longtemps. Sur le coup, le fait que je ne la connaisse pas, que François soit là, face à moi, en train de se branler, ne m’a absolument pas dérangé.

Je l’ai pénétrée en levrette. Elle se tenait à quatre pattes, la tête dans l’entrejambe de François qui la faisait sucer tout ce qu’elle pouvait. Il ne m’avait pas fait jouir par lui même, l’idée même de servir un type de mon âge le répugnait, mais il tenait à ce que je gicle quand même.

- Ca te plait ?

- Ouais !

- Vas y, profites bien, on a tout notre temps !

Même avec la capote, je sentais chaque millimètre de ma queue entrer et sortir de la chatte de cette femme. Ma queue était au comble de la sensibilité, chaque oscillation de mon piercing, bien calé dans le latex, me donnait un plaisir immense. Le plaisir était apparemment partagé, ma partenaire mouillait abondamment et m’encourageait :

- Tu vas me faire jouir ! Oh oui, encore encore !

Ces phrases ponctuèrent tout le rapport qui dura peut être 45 minutes par intermittence. Je voulais en profiter et en même temps ma queue était déjà prête à jouir avant même que je rencontre cette partenaire fortuite. Attendant la fin des vagues de cris de plaisir qu’elle laissait échapper, je retirer ma queue quelques secondes pour reprendre mes esprits et éviter de jouir tout de suite. Je la regardais, François la regardait et notre copine de baise la regardait. Elle était magnifique. Dure comme la pierre, le gland violacé, gonflé, énorme, se détachant sur la hampe. Le piercing calé dans la chaire et calé dans la capote, les couilles pendantes, les veines bleues et rouges saillantes. Elle me lançait :

- Remets-la moi ! J’ai envie de ta queue !

Je la lui remettait et je repartais pour 15 minutes de bourre jusqu’à la prochaine pause.

François fut le premier à gicler. Elle avala tout et lécha sa queue. Il l’a remit dans son pantalon et se leva. Faisant le tour, il se posta près de moi. J’étais toujours à genoux en train de baiser cette femme. Il me dit :

- T’es performant pour un petit jeune ! Ca te plait Amandine ?

- Oui, oui oui oui - fut sa réponse en même temps que son bruit habituel.

Il posa une main sur mes fesses.

- Et t’y va fort en plus ! C’est bien ! Tu sens que ça vient là?

- Putain je crois que je vais gicler !

Je sais pas pourquoi, j’ai encore eu envie de lui faire plaisir à ce moment là et gicler comme un homme (au sens de François) l’aurait fait, selon lui, dans cette situation. Je me suis désengagé de la chatte de cette fille de passage, ait retiré la capote et il me dit :

- C’est bien petit ! Tiens !

Ce faisant, il m’étalait une bonne rasade de lubrifiant sur le membre et le saisit d’une main sûre et ferme me chuchotant :

- Ca aussi ça restera entre nous, hein !

Il a branler ma queue fermement, durement, rapidement, le poing bien serré sur mon gland il m’a satisfait encore mieux que quand je me branle moi même. Il m’a fait arroser le dos de cette fille et le sol autour d’elle de dizaines de giclées de sperme chaud et collant.



Une fois les portes de la voiture claquées, dans cette petite seconde qui précède le démarrage, j’ai laissé échappé:

- Merci.

Il répondit du tac au tac :

- Mais de rien !



Arrivés chez lui nous nous sommes déshabillés pour être plus à l’aise. Il nous a servit un verre de scotch et s’est assis sur un fauteuil, son gros tuyau endormi entre ses jambes.

- Tu veux regarder un film ?

La question ne se posait pas pour moi. J’avais à peine commencé à prendre du plaisir dans cette micro-relation que nous avions commencé quelques heures plus tôt. Il avait délégué la tâche de me satisfaire à une autre puis l’avais en parti reprise. Il se donnait des airs d’étalon, capable de prendre qui il voulait sans demander. J’avais envie de voir si il était à la hauteur de ses prétention.

Je me suis posté entre ses cuisses, à genoux sur le sol et ai commencé à lui lécher le gland.

- Putain, tu l’aimes ma queue !

J’avais prévu mon coup. J’étais passé chercher la bouteille de lubrifiant dans la salle de bain, elle était posée tout près de moi.

Je l’ai sucé. Je l’ai sucé fort, il avait le gland encore sensibilisé par toutes les éjacs qu’il avait eu ce soir là, il prenait un pied monstre. Sa queue était dure comme la pierre, je ne pensais pas qu’à son âge on pouvait bander aussi dur aussi souvent, surtout avec une bite de ce gabarit.

J’ai enduit son membre de lubrifiant et l’ai chevauché. Doucement, à mon rythme, je me le suis mit. J’avais le contrôle. J’étais déjà bien élargit, il ne forçait pas son passage comme la première fois et me laissait faire. Je faisais de petits va et viens sur la première moitié de sa queue et puis des vas et viens plus amples, jusqu’au moment où tout est rentré. Sans douleur notable ni difficulté, tout est rentré. J’étais parfaitement à l’aise, assis sur ses 24 centimètres, le trou écarté par sa circonférence, bien calé, le torse contre son visage. Il me malaxait les fesses et me léchait les tétons.

Il aimait mon torse velu, il aimait mes fesses fermes, il était entièrement en moi et, avec un tel gabarit, je n’avais pas besoin de beaucoup bouger pour me donner un maximum de plaisir. Je me suis frotté contre lui, comme ça. Il n’avait pas l’habitude des rapports aussi intimes avec un autre homme, ça se voyait mais il prenait son pied.

Au bout de dix minutes à me stimuler de l’intérieur avec son gourdin, je commençait à réellement ressentir du plaisir, au début subtilement puis de plus en plus fort. Comme un léger orgasme qui s’étalait dans la durée. Je lui faisais savoir :

- Putain c’est bon, continue, mets moi ta bite.

Il ne m’avait jamais entendu prendre du plaisir, il pensait peut être que j’étais timide mais non. Il a paru étonné de m’entendre, pour la première fois, l’encourager et lui dire que j’aimais sa queue. Je ne suis pas timide au lit, ni avec les hommes, ni avec les femmes.

- Je te sens bien là, oui, laisse moi profiter de ta queue…

Presque étonné, il m’a répondu :

- Ca te plait là ?

- Oui ! Je vais gicler !

J’avais la prostate grosse comme un melon, il tapait dessus sans ménagement, mes vas-et-viens devenaient violents, je m’étais complètement fait à sa queue.

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