Ma Première Expérience De Pony-Girl

Ma première expérience de pony-girl

Le BDSM m’a toujours attirée, j’ai cédé à plusieurs Maîtres pour des rencontres ponctuelles. Ce qui m’a ennuyée c’est qu’ils tombaient vite amoureux de moi et devenaient collants. A 22 ans, je n’ai pas envie de m’enfermer dans une vie de couple, j’ai envie de vivre ma vie, mes fantasmes, mes envies. Indépendamment du BDSM, sans être une salope, le plaisir charnel est quelque chose dont j’ai besoin, mais entre un bon coup à la sortie d’une boite de nuit et un choix de vie, la aussi il y a tout un monde. Je papillonne donc de temps en temps....

Oups, je ne me suis pas présentée, Karine, 22 ans, les yeux bleus, 1 mètre 68, 56 kilos, cheveux châtains clairs, un petit cul et de beaux seins. Il parait que je pourrai faire top modèle mais je n’y crois pas trop, les mecs pensent plus à me sauter quand ils me disent ça qu’à ma carrière qui pour l’instant se résume à secrétaire médicale.

Après avoir testé la fessée, le BDSM sous diverses formes, j’ai eu envie d’essayer de pony-girl après avoir lu un article sur un forum.

J’ai contacté l’auteur de l’article pour lui poser quelques questions, il m’a répondue très gentiment sans me draguer. De fil en aiguille après une heure de tchat, la confiance s’est un peu installée, si bien que quand il m’a proposé de poursuivre cette conversation de vive voix plutôt que de se regarder écrire et m’a donné son numéro de téléphone, j’ai osé l’appeler. Sa voix chaude du sud, son humour et l’absence de vulgarité dans ses diverses explications (il est généreux de ce côté là le monsieur) m’ont titillée et parfois émoustillée sur certaines choses. Si bien qu’après une heure trente de chaude discussion..... quand il m’a proposée d’essayer sur sa propriété en m’indiquant que je pourrai rester vêtue et sans contrainte j’ai accepté en repoussant la date par précaution.

Entre cette première conversation et notre rencontre un mois plus tard, il y en a eu d’autres du même acabit et toujours respectueuses à propos de ses photos et vidéos qui m’ont permis de le découvrir un peu plus.

Pas folle la guêpe, elle étudie et sonde les personnes avant de se jeter dans la gueule du loup. J’avais son numéro de téléphone et son adresse complète, car au départ, j’ai indiqué que je me rendrai en voiture.... que je n’ai pas. :-)

Les règles pour les jeux du week-end étaient fixées d’avance par écrit, j’avais fait ajouter qu’il pourrait éventuellement y avoir du sexe si affinités mais qu’il devrait me demander avant si je ne pouvais me soustraire à cause d’un bondage. Il n’a pas hésité en m’indiquant que ce n’était pas sa recherche mais ils disent tous ça. (C’est devenue la mienne mais je vais y venir)

Le Maître m’a récupérée à la gare et conduite chez lui. Une fois dans le parking, il a fermé le portail et libéré ses oies, (de sacrées gardiennes) et mon coeur s’est un peu serré de trouille. J’étais dans l’antre du loup. Même nous n’étions que début mai, il faisait très chaud, me sentant en confiance j’ai accepté de me mettre en maillot pour jouer après avoir posé ma valise et pris un coca sur sa terrasse devant son sulky et les accessoires de pony-girl qui émoustillaient mes sens. Il était convenu que le jeu serait non stop de mon arrivée à onze heure jusqu’au soir, quand je teste quelque chose, je veux le vivre en plein. J’ai eu de mauvaises surprises par ma faute, mais je vais y venir.

Avec des gestes calmes, une voix posée et toujours le sourire, il m’a équipée d’un harnais de tête, d’un mors en m’indiquant tout un tas de choses et en me rappelant les codes couleurs du saferword. Apprendre à marcher en levant les jambes avec un fouet qui claque à côté de vous n’est pas très rassurant mais il ne m’a jamais touchée. Petit à petit cela devenait plaisant d’évoluer dans le gazon en pony-girl. Pour que je ne me fasse pas mal au dos, il a pris un maximum de précaution pour me « former » à la façon de tirer le sulky avant de monter dessus. Je me suis faite gronder à cause d’une mauvaise position pouvant de donner un tour de rein ! GRRR.
Finalement je suis parvenue à tirer le sulky et le Maître mais ce n’est pas évident de respecter la position dos droit.

Ma première honte / humiliation

Très attentionné, il m’a proposée de me désaltérer en conduisant la pony-girl que j’étais sous un grand sapin. Ne devant pas parler j’ai fait un signe affirmatif de la tête. Et là, il m’a menottée et attachée par le cou à une branche avec la longe avant de me laisser seule un moment. Un seau ! Il est arrivé avec un seau ! ! ! Avec un sourire amusé il l’a fixé à une branche de l’arbre avant de le remplir avec un tuyau puis de me retirer le mors. La Maître m’a abandonnée là pour aller se chercher un coca qu’il a pris sur sa petite terrasse face à moi.

- Tu peux boire ! M’a indiqué ce sadique !

- Tu rêves !

- C’est toi qui voit, mais tu m’as indiqué en me provocant que tu aimais faire les choses jusqu’au bout, alors, si tu n’est pas une petite prétentieuse assume !

Et là, il m’a flanquée une claque sur les fesses pour avoir osé le tutoyer. Tête de mule comme je suis quand j’ai décidé de ne pas céder, piquée dans mon amour propre j’ai refusé de boire. « Prend ton temps » m’a t’il dit « je vais faire la sieste » avant de me laisser attachée comme un cheval seule dans le jardin. Il faisait au moins 35° à l’ombre, comme il n’était plus là, j’ai fini par boire avant de l’entendre me féliciter. Ce sadique était à la fenêtre de sa cuisine, je ne l’avais pas vu.

Une bonne demi-heure plus tard, je l’ai vu arriver avec un balai sans le manche, cela sentait l’embrouille à son regard. C’est quand il a allumé l’eau que j’ai compris. Non il n’allait pas oser ! Et bien si, ce rustre m’a lavée au jet en me brossant avec son balai tout « rougnous ». Au début, l’eau du tuyau était chaude, mais juste au début !!!!!! Quelques noms d’oiseau plus tard, il a détaché la longe et m’a faite courir au soleil, au début je n’étais pas très motivée mais les sifflements du stick fendant l’air ça motivent.


Ma deuxième honte / humiliation

Depuis mon arrivée je n’étais pas allée aux toilettes. La douche de la pony à l’eau froide n’avait pas arrangé les choses. Quand je m’en suis ouverte à lui, il a fait celui qui n’entendait pas. J’ai eu beau répéter la chose, il faisait la sourde oreille jusqu’au moment où il m’a répondu « tu m’as indiqué en me provocant que tu aimais faire les choses jusqu’au bout, alors, si tu n’est pas une petite prétentieuse assume » ! pour la deuxième fois. J’ai carrément refusé de faire ça devant lui. Son regard amusé et ses petits yeux brillants auraient du me mettre la puce à l’oreille quand il m’a répondu un simple « OK » avant de me ramener vers sa terrasse. Je n’ai rien vu venir, le sadique a allumé l’eau au passage avant d’attr son tuyau et de me le loger sur le ventre en essayant de le glisser dans la culotte de mon maillot.

- Je ne te regarde pas et on ne ferra pas la différence entre l’eau de ton maillot et ton urine, allez, bouge-toi j’ai faim.

Tenue par la longe et menottée, il m’était impossible de m’échapper, sous l’eau froide ma vessie a rendu l’âme. La honte ! A nouveau rincée, j’ai du à nouveau courir avant d’être conduite à sa maison. En rentrant dans la cuisine, un doux parfum de plat mijoté a titillé mes narines sauf que deux cordes menaçantes pendaient à une des poutres. En un rien de temps, il m’a attrapée et entravée en faisant une sorte de string harnais m’obligeant à rester debout. Deux secondes après, ma longe était attachée aux pieds de la table et moi la tête penchée au dessus d’une assiette.

- Non s’il vous plait pas ça ! Lui ais-je dit.

- Ah, si tu veux on négocie, c’est ça ou tu manges en gamelle, ne te plaints pas, tu pourrais manger dehors à quatre pattes.

- Vous voulez quoi ?

- Que tu me répètes cette phrase à haute voix : vénéré Maître, acceptez de libérer la petite prétentieuse que je suis pour le repas !

- Va te faire foutre, tu peux rêver !

Cette phrase m’est venue comme ça par réflexe, à son sourire j’ai compris qu’il ne céderait pas.
Il s’est levé pour aller chercher quelque chose, je n’étais pas tranquille. A son retour, il avait un vrai fouet dans la main.

- Normalement tu mérites un punition pour m’avoir insulté. Ecoute le doux bruit du fouet !

Le clac sonore de son fouet à côté de moi m’a faite bondir. J’étais à deux doigts de dire le saferword qui m’aurait libérée immédiatement de tout contrainte mais il s’est assis et s’est mis à me parler.

- Que risques-tu à manger comme ça ? Rien hormis te salir un peu ! Je n’y vois personnellement aucune humiliation, tu voulais jouer et vivre quelque chose, je te le fais vivre. Mon regard sur toi n’est pas celui que tu crois ! Je trouve que tu es une nana géniale, ultra courageuse, tu mérites le respect pour ce courage. Osez venir seule chez un Maître pour vivre un fantasme, excuse-moi mais il faut avoir des couilles pour le faire. J’oublie l’insulte et range mon fouet et tu acceptes que je t’aide à manger en pony.

Je m’attendais à ce qu’il me fasse manger, j’ai donc accepté sa proposition. Quelle innocente j’étais. Il a servi deux belles assiettes d’un hachis Parmentier au sanglier cuisiné aux cèpes. ARF, il avait mémorisé mon goût pour les champignons lors de nos discussions. Les fragrances de son plat embaumaient la maison quand il m’a à nouveau abandonnée pour aller chercher quelque chose. Alors que penchée au dessus de mon assiette j’en humais les parfums, quelque chose de vibrant c’est posé sur ma culotte pile poil au dessus de mon clitoris. J’ai crié de surprise, il a rigolé.

- Je te donne la motivation, reconnais que je suis gentil !

Son magic wand massager ultra puissant a électrisé mes sens. J’avais honte d’être autant offerte penchée en avant jambes bloquées par la sienne, mais en même temps...... Il s’est placé debout derrière moi, son bas ventre posé contre mes fesses et son magic à nouveau posé contre mon clitos sa main entre mes jambes.

Il aurait pu profiter de moi tant qu’il voulait, il n’en a rien fait, il est resté vêtu, juste appuyé sur mes fesses pendant que son engin de malheur tyrannisait ma féminité.

Son plaisir était de jouer au chat et à la souris !

Il plaquait son magic sur mon clitoris et le retirait.

Il n’avait aucun geste déplacé, sa main ne m’a jamais touchée à ce moment là. Seul son engin de malade et son short me touchaient.

Au bout d’un moment de délices, j’ai perdu pied, j’ai vraiment écarté les jambes de moi-même pour laisser libre accès à son engin. J’étais dans un autre monde, une autre dimension. Je me sentais en sécurité, je me sentais piégée, je me sentais chienne en manque au point que j’ai fini par frotter mes fesses contre sont short sans même m’en rendre compte. C’est lui qui me l’a indiqué ! La honte.

- Demande-moi pardon pour l’insulte et je te laisse manger normalement ce plat qui devrait te combler, enfin, du moins je l’espère.

- Pardon monsieur ! Ai-je répondu un peu perdue dans mes sensations.

Lorsque nous étions à table en train de manger, je lui ai demandé pourquoi il faisait ça, pourquoi il m’avait allumée et abandonnée, pourquoi il acceptait de recevoir des malades comme moi. Sa réponse m’a surprise !

- J’aime donner, j’aime faire vibrer les personnes autour de leurs fantasmes et pratiques puis leur en faire découvrir d’autres. C’est ainsi, jouer avec les limites m’amuse mais je ne les dépasse jamais, je fais juste ce qu’il faut et attends que la personne dite « soumise » me le demande. J’aime que l’on me dise non, j’aime les interdits, les transformer en « oui » et j’ai envie d’essayer est un challenge pour moi, tout doit se faire en douceur. Je propose et titille pour obtenir l’acceptation. A chacun ses plaisirs, vous c’est parfois des jouissances extrêmes, moi vous y conduire.

Face à cet homme aussi tranquille que zen qui prend plaisir à titiller les envies même les plus cachées, je perdais toutes retenue. A la fin du repas mes sens étaient en ébullition. Conduite au salon j’ai du me mettre à quatre pattes sur une sorte de petit matelas posé face au canapé. Assis derrière moi il attendait, ne disait rien. L’attente m’a parue longue quand soudain il s’est mis à me parler après que mes neurones se soient posé mille questions.

- J’ai envie de te faire vivre quelque chose. Comme indiqué, mon sexe restera dans mon short, tu ne le verras pas. Par contre, si tu me fais confiance je risque de te faire jouir plusieurs fois et de te rendre folle. Par contre, il faut que j’accède à ton intimité. Tu resteras libre de dire stop quand tu voudras comme tu voudras et ne seras pas attachée. M’accordes-tu ta confiance ?

J’ai répondu « oui » car je me sentais vraiment en sécurité. Il a descendu le bas de mon maillot puis m’a abandonnée quelques instants pour aller chercher des gants du lubrifiant et un accessoire. Quand sa main a touché mon intimité en même temps que son magic wand massager elle était gantée, j’ai regardé entre mes jambes. C’était froid mais pas désagréable du tout. Petit à petit je me suis ouverte à ses doigts coquins, les vibrations ciblées m’ont vite rendue folle de désir. La honte et la gêne se sont rapidement envolés. Au plus cela vibrait, au plus j’avais envie de ses doigts en moi, au plus je m’ouvrais à eux.

Je n’avais jamais été aussi comblée, comblée au sens propre du terme, je devenais réellement folle, toute retenue m’avait quittée. Je n’étais plus qu’une chatte qui prend son plaisir, un plaisir nouveau quand soudain, il s’est passé quelque chose dans mon bas ventre, il m’a semblé encore plus « plein » ma tête s’est mise à tourner. Un autre instrument vibrant m’a faite hurler et convulser de plaisir. J’étais partager entre fuir et en avoir encore plus. Après x et x jouissances je me suis écroulée à même le carrelage avant de fondre en larme. Il m’avait fistée et trucidée de jouissances à répétition en tirant sur la longe à sa convenance.

La pony-girl a été couverte et portée jusqu’à un lit, elle s’y est endormie sous de nobles caresses jusqu’au soir. Quand elle a émergée elle s’est levée pour rejoindre le sadique et lui faire un gros câlin en lui disant merci.

Ce qu’il s’est passé le soir et le lendemain est du même style, la pony-girl a juste découvert le plaisir des fouets et a encore joui comme une malade avant d’être douchée et reconduite à la gare juste à temps pour prendre son train.

TSM

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