Ma Vengeance : Chapitre 5 -Les Fiançailles

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

En arrivant au pensionnat la tristesse nous envahit. Face à ces gamins, nous étions des hommes. Nous étions punis alors que nous n’avions rien fait et nous étions dans l’obligation d’attendre les résultats du bac.
La vie reprit son cours, faite de travail scolaire, de séances vidéos, d’amour entre deux jeunes hommes vigoureux qui s’appréciaient de plus en plus.
La première bonne nouvelle vint du détective privé. Ma tante avait été condamnée au Canada pour vol et prostitution. Elle avait fait l’objet de rapports défavorables de la police canadienne et avait été expulsée avec un couple qui l’exploitait. C’est ce couple qui avait été engagé par mon père sur la recommandation de ma tante. Le détective se tenait à ma disposition pour des investigations ultérieures.
Je reçu peu de temps après une lettre de mon père m’annonçant qu’il allait épouser ma tante. Il souhaitait que nous fassions la paix et m’invitait à venir à la maison pour les fiançailles à Pâques. Le choc fût rude et après examen de la situation avec Eric. Je demandais à mon père de m’accorder la faveur de faire venir mon meilleur ami, ce qui me fût accordé. Les parents d’Eric consultés ne virent aucun inconvénient.
L’accueil de mon père et de ma tante fut si chaleureux que je me demandais pas si je n’avais pas rêvé. Mon père était sur un petit nuage. Julien était devenu son homme de confiance et Marie la gouvernante de la maison.
Eric avait amené son matériel, l’urgence étant de profiter de leur absence pour l’installer. Eric piégea la chambre de mon père dans laquelle ma tante s’était installée, celle de Julien et de Marie, leur bureau et celui de mon père.
L’harmonie régnait dans la maison, tout était parfait. Je n’en croyais pas mes yeux. Nous attendions avec impatience de pouvoir récupérer les premières cartes SD. La première fût celle de la chambre de mon père. Ils étaient nus et parlaient de moi.

Ma tante soutenait que j’étais toujours un vicieux pervers et que je n’avais pas changé. Pour l’amour de mon père, elle était prête à faire des efforts. Mon père était visiblement amoureux. Ma tante était vraiment une très belle femme avec une forte poitrine, un sexe a la pilosité soigneusement entretenue et des fesses admirables bien dessinées. Elle se mit sur le dos, attira mon père qui la pénétra. Quelques instants après au moment où mon père jouissait elle poussa des petits cris de jouissance qui sentait la simulation. Elle le remercia d ‘un baiser sur la joue. Mon père s’endormit très vite.
Ma tante sortit rapidement de la chambre. La carte suivante la montrait arrivant dans la chambre de Julien et Marie. Elle se tenait debout les mains le long du corps dans une attitude de soumission. Marie s’approcha d’elle et lui demanda combien ? Elle sortit un billet de 50 euros. Marie en colère la gifla en lui disant qu’elle était nulle. Depuis très longtemps elle aurait dû séduire le vieux et le dépouiller. Elle n’avait pour l’instant récupérer que des miettes. Elle leur avait promis du fric. Elle devait tenir sa promesse. Julien lui demanda de se déshabiller. Marie l’obligea à s’incliner sur le dos d’un fauteuil et commença à la fesser. Son cul rougissait sous les coups. Elle se tortillait mais Julien la tenait fermement par les épaules. Ma tante sanglotait. Elle avait mal.
La punition finie, Marie laissa tomber sa robe de chambre. Elle avait des traits durs, un physique de garçonne, de petits seins. Elle attrapa ma tante par les cheveux avec brutalité. Elle lui enleva son bâillon. Elle s’allongea par terre en ouvrant les cuisses et plaqua la bouche de ma tante sur son sexe en lui disant « tu as intérêt à être bonne ». Julien enleva ses vêtements. Il était doté d’un sexe très gros, plus important que celui de Jacques. Il se plaça derrière ma tante et la pénétra sans aucune préparation. Ma tante poussait des cris de douleur vite étouffés car en lui tirant les cheveux, Marie la ramenait sur son sexe.
Lui, la pistonnait à grand coups de reins. Marie avait saisi les beaux seins de ma tante et les maltraitait en pinçant en particulier ses bouts. Les cris de douleur de ma tante firent progressivement place à des soupirs de satisfaction. Marie la rappelait progressivement à l’ordre en lui tirant les cheveux et l’obliger à mieux utiliser sa langue et sa bouche. Ma tante commença à être prise de tremblements annonçant sa jouissance Elle s’écroula sur le sol. Julien se retira et pénétra Marie qui s’était mise en levrette. Il lui avait pris les bouts de ses petits seins qu’il titillait. Elle avançait sous les coups de boutoir de son mâle et gémissait de plus en plus fort. Julien accéléra et elle jouit à son tour. Julien sentant qu’il allait éjaculer se plaça sur ma tante qu’il arrosa de son sperme. Marie alla le rejoindre se pencha sur elle et lui cracha dans sa bouche ouverte. Ramassant les habits de ma tante il la jetèrent dehors. Elle regagna sa chambre.
La troisième carte montrait Marie et julien à leurs bureaux demandant à ma tante des papiers avec en tête, des entreprises de mon père. Ils étaient en train de monter des dossiers de chômeurs fantômes leur permettant de récupérer des indemnités. La quatrième carte montrait mon père dans son bureau avec ma tante, l’embrassant, lui disant qu’elle l’aimait et qu’il était le seul homme dans sa vie. Elle lui parla aussi d’un rappel de facture de 2500 euros qu’elle avait reçu et qu’elle avait oubliée de régler. Elle allait devoir taper dans ses économies. Mon père sortit la somme en liquide de son coffre. Il lui remit la liasse de billets en lui disant que ce n’était pas grave et que tout ce qui était à lui était désormais à elle.
La séquence suivante était très intéressante. Elle montrait ma tante arrivant dans la chambre de Marie et Julien en souriant et en brandissant la liasse de billets. Elle l’a remis à Marie qui l’embrassa longuement et qu’elle méritait une récompense. Ils se déshabillèrent tous les trois.
Après avoir fait un lavement, ma tante s’allongea sur le lit. Julien lui présenta sa grosse queue dans la bouche qu’elle commença à avaler. Chaque fois qu’il faisait un aller retour, il gagnait du terrain. Marie avait placé sa tête entre ses cuisses avec sa bouche et sa langue lui pénétrait le sexe. Julien avait réussi à faire pénétrer la totalité de son sexe dans la gorge de ma tante. C’était impressionnant. Cela était certainement le résultat d’un entrainement avec des professionnels du monde du sexe. Marie l’a mit à quatre pattes pour s’occuper de son cul. Julien après s’être retiré avait représenté sa queue dans la bouche. Marie après s’être équipée d’un gode ceinture impressionnant pour le gode extérieur avait sorti un gant et une boite de gel. Après avoir enduit le cul de ma tante, elle présenta deux doigts puis trois, puis quatre. Elle l’ouvrait progressivement. Ma tante semblait apprécier ce traitement. Elle avait l’habitude. Marie avait réuni ses doigts et continuait à forcer l’anus qui continuait à s’ouvrir jusqu’au moment où la main entière s’enfonça dans le rectum. Marie remuait le poignet et ma tante poussait des petits cris de plaisir, julien s’étant retiré. Marie sortit sa main et jeta le gant. Elle se mit sur le dos. Ma tante s’embrocha sur le gode et Julien l’encula sans difficulté. Ils trouvèrent rapidement le rythme. Ma tante avait la bouche ouverte comme si elle cherchait de l’air. Marie lui travaillait les seins, pinçant, étirant les tétons. Ma tante gémissait de plus en plus fort. La grosse queue de Julien allait et venait à une vitesse hallucinante. Marie avait du mal à suivre le rythme imposé par son amant. La force de la jouissance de ma tante surprit tout le monde. Elle tremblait, s’agitait, bredouillait des mots incompréhensibles. Son orgasme était incroyablement long. Julien avait attendu que ma tante finisse de jouir pour reprendre ses mouvements. Il lui défonçait littéralement le cul. Ma tante eut un deuxième orgasme plus court lorsque julien se répandit en elle.
Marie fit relever tout le monde. Elle demanda à ma tante de s’allonger, se débarrassa de son gode ceinture et plaça son sexe sur sa bouche l’obligeant à la sucer jusqu’à sa jouissance. Ma tante était dans un triste état avec son cul béant d’où coulait des filets de sperme, ses seins rougis par le travail de Marie et sa bouche portant les marques de l’assaut de ses deux amants qu’elle remercia par un long baiser.
Nous avions tout ce qui fallait pour les confondre mais nous devions faire vite car les fiançailles étaient prévues dans cinq jours. Comme ma tante avait fait le vide autour d’elle cela ne concernait que des amies à elle. Je contactais le détective qui m’annonça qu‘il sera là demain.
Eric et moi le rencontrâmes à son hôtel. Nous avions amené avec nous les cartes SD. Le détective avait récupéré des dossiers de la police canadienne. Il avait besoin de la journée pour préparer les dossiers. Ma tante et mon père devaient s’absenter le lendemain. Cela tombait très bien. A 10h il se présenta à la maison, accompagné d’un huissier et demanda à voir Julien et Marie. Il m’avait demandé d’être présent. Il leur présenta le dossier canadien qu’il avait réuni, les extraits les plus compromettants dont il avait fait une synthèse. Marie et julien était blêmes. Il leur donna 3 heures pour quitter les lieux. S’ils tentaient quelque chose ou menaçaient quelqu’un, le dossier complet serait remis à la police par l’huissier qui avait certifié exactes toutes les pièces du dossier. Par ailleurs le détective leur fit des menaces directes. Il était mandaté par des gens puissants qui avaient des moyens considérables pour leur nuire physiquement. Il leur demanda aussi de rendre les 2500 euros extorqués à mon père. Ils n’avaient pas le choix et à 13h ils avaient quittés la maison définitivement. Je remerciais chaleureusement le détective et l’huissier et nous prîmes rendez-vous le lendemain pour rencontrer mon père.
Mon père et ma tante rentrèrent tard le soir. Mon père devant s’absenter pour la matinée. Je lui annonçais qu’un huissier avait demandé à le voir. Je lui avais fixé rendez-vous à 15h. Le détective m’avait remis un dossier pour ma tante avec les photos les plus compromettantes. Sous un prétexte fallacieux, j’avais demandé à ma tante de venir me voir à 09h. J’avais aussi réussi à contacter Brigitte pour lui demander de venir. Elle allait être vengée.
A 09h précise elle était là toute souriante. Eric était avec Brigitte dans la salle de bain. Je fermais la porte à clef et lui tendis tout un jeu de photos où on la voyait dans toutes les positions. J’avais aussi lancé les vidéos sur mon ordinateur et lui avais tendu le dossier complet. Elle était devenue blême et s’était écroulée dans le fauteuil le plus proche. Je lui rappelais ce qu’elle avait fait le jour où elle nous avait surpris Brigitte et moi. Toutes les pièces avaient été certifiées par un huissier et mon père en prendrait connaissance à 15h. Si elle tentait quelque chose il serait remis à la police. Je lui annonçais que ses complices avaient quitté les lieux définitivement, qu’ils avaient signé des aveux et rendu les 2500 euros. Elle avait jusqu’à 14h pour vider les lieux sans emporter quoique ce soit qui appartenait à mon père et à ma mère. Je demandais à Eric et Brigitte de venir nous rejoindre.
Elle était effondrée et s’était mise à pleurer. La seule façon pour elle de s’en sortir à minima était de m’obéir sans rechigner. On avait de quoi la mettre en prison et ternir sa réputation à jamais. Je voulais seulement qu’elle paye l’humiliation qu’elle nous avait infligé. Je lui ordonnais de se déshabiller. Eric et moi en faisions autant. Elle obéis, elle était à ma merci. Je lui demandais de se placer debout devant nous, les bras le long du corps. Je la giflais. Brigitte en fît autant. Je caressais ses seins et brutalement lui tordit méchamment les tétons comme elle l’avait fait pour Brigitte. Elle poussa un cri de douleur. J’invitais Brigitte à en faire autant. J’avais préparé ma ceinture de peignoir que j’avais roulé en boule comme elle l’avait fait. Je lui mis un bâillon et je commençais à la frapper sur tout le corps insistant sur les seins et sur son sexe. J’invitais Brigitte à en faire autant. Elle s’écroula sur le sol et se roula en boule pour éviter les coups. Je fis signe à Brigitte d’arrêter les coups. J’enlevais son Bâillon. Elle se mit à genoux et nous demanda pardon. Ses gémissements exaspéraient Brigitte qui ôta sa jupe et sa petite culotte. Ella l’attrapa par les cheveux et l’entraîna vers le lit. Elle se mit sur le dos et plaqua le visage de ma tante sur son sexe en lui ordonnant de la sucer. Eric s’était placé derrière ma tante pour la pénétrer. Brigitte guidait ma tante, l’obligeant à lui nettoyer le cul et à le pénétrer avec sa langue. Plaquant la bouche de ma tante sur son clitoris, elle Jouit avec un grand cri. Après avoir récupéré elle força ma tante à la regarder dans les yeux et lui cracha dessus. Eric la besognait toujours. Sentant qu’il allait jouir, il se retira et éjacula sur l’anus de ma tante. Je pris aussitôt la relève et la sodomisais me servant du sperme de mon ami comme lubrifiant. Elle avait beau être habituée, ma pénétration lui arracha des cris de douleur. Très vite je sentis la jouissance monter. Je me retirais brutalement pour éjaculer sur ses cheveux et son visage. Elle était vraiment pitoyable. Vengée, Brigitte nous demanda de la mettre dehors de la chambre dans cet état avec son dossier. Il ne lui restait plus que 3 heures pour faire ses bagages.
Brigitte reconnaissante nous embrassa tous les deux. Elle remit sa robe et sa petite culotte et emporta les affaires de ma tante comme trophée.
A 14h après un contrôle de ses bagages, ma tante quitta définitivement les lieux. Nous n’entendîmes plus parler d’elle.
Le détective et l’huissier se présentèrent comme convenu. Mon père prit connaissance du dossier qu’ils avaient préparé et des aveux reçus. Il voulait porter plainte mais ils l’en dissuadèrent car le scandale aurait été trop important et ses affaires en auraient pâti. Il était complètement effondré d’avoir été aussi naïf. Ils lui remirent les 2500 euros récupérés.
Mon père me demanda de le rejoindre et me demanda pardon. Il me demanda comment j’avais fait pour trouver les fonds nécessaires à l’enquête. Je lui racontais l’aide que m’avaient apporté Eric et Jane en omettant certains détails qu’il n’avait pas à connaître. Nous tombèrent dans les bras l’un de l’autre.
Les fiançailles furent bien sûr annulées. Mon père partit en voyage de longue durée en nous laissant finir nos vacances à la maison. J’invitais Brigitte quelques jours après à nous retrouver. Je n’eus pas beaucoup de difficultés à la convaincre de nous suivre dans ma chambre.
Je téléphonais à Jane pour la remercier. Elle avait parlé à la mère d’Eric de nos exploits. Elle avait beaucoup insisté sur l’amitié qui me liait à son fils. Françoise et jacques avaient confirmé les propos de Jane. Elle avait hâte de me rencontrer. Jane et Mary avaient beaucoup parlé entre elles de moi. Elles ne demandaient pas mieux qu’on puisse se revoir. Elles avaient prévu de prendre les dispositions en conséquence.
Nous sommes toujours en possession des cartes SD de Genève et nous fantasmons toujours sur la mère d’Eric.

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