L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 47) -

L'Odyssée de la Belle Hélène – Le Dieu Hadès du Monde Souterrain -

Le silence impressionnait par sa forte intensité une fois le char arrêté. Pas un bruit, personne de bougea tant cette venue fut marquante. Aucune brise sous cette voute de pierre en guise de ciel. Le Roi des Golem, du haut de son trône, perché tout en haut du lourd char regarda attentivement les trois prisonniers. Il s’amusait en même temps à tapoter de sa main de pierre l’accoudoir de son large siège lui aussi en pierre, ce qui avait pour effet de produire des bruits sourds, ce qui coupa ce silence… Puis, après avoir jaugé la plus Belle Femme du monde terrestre, il s’adressa à Elle tout particulièrement, avec une grosse voix à faire trembler le sol :

- Voila donc Hélène la petite humaine, épouse du Divin Apollon … ! Tu dois te demander comment je sais qui tu es … Ha ! Ha ! Ha ! … Je suis Hadès, Fils de Cronos, Frère de Zeus et je suis la Divinité du Monde Souterrain régnant ici sous la terre ! … Moi et mes centaines de serviteurs, avons été changés en pierre et envoyés ici au centre de la terre par Zeus Lui-même, pour un soi-disant affront, prétexte-t-il, et comme tu le vois, nous sommes condamnés à vivre ici pour l’Eternité… En échange de ce destin souterrain et , mon Frère Zeus m’a offert tout un peuple d’un millier esclaves humains afin de nous distraire un peu ! … C’est ton Divin époux Apollon qui t’a fait venir ici, me proposant de te faire passer une petite épreuve afin de juger encore et encore de tes capacités à Le mériter, à mériter ton statut d’épouse… Je ne pouvais pas Lui refuser ce petit service, Lui, à qui je dois le peu de clémence accordée par mon Frère, lequel Apollon à quelque peu d’influence …

Le Dieu du Monde Souterrain s’arrêta un moment puis tira par pure distraction sur une des épaisses chaînes à portée de sa main, ce qui eut pour conséquence de tirer à lui une esclave qui paraissait légère comme une plume. Il sortit alors une langue de pierre qui, comme par magie, était souple et alla râper le visage de la frêle femelle soumise.

Puis la Divinité pointa de son doigt de pierre le sol, une lumière grise comme la pierre sortit de son doigt celle-ci fusa et alla frapper le sol où instantanément un mince pic rocheux poussa à une allure inouïe. Ensuite Il dirigea son doigt en direction d’Endymion et de Clytia, qui frappés par la lumière, se transformèrent en statues de pierre. Enfin, il reprit la parole :

- … Et cette épreuve est fort simple ! Ha ! Ha ! Ha ! … Si tu la réussis, je te renverrai d’où tu viens avec tes deux esclaves, sinon ceux-ci resteront en statues de pierre pour l’éternité et toi tu deviendras mon esclave attachée là à mon char pour toujours … Tu vas être conduite dans mon Palais, là tu y trouveras une centaine de mes gardiens lesquels j’ai pris plaisir à les transformer en mâles humains en chaleur et totalement dénudés en train de forniquer sur les marches de mon Palais. Mais ce qui est particulier pour leurs yeux comme pour les tiens d’ailleurs, c’est que les esclaves femelles ou mâles qui se font baiser par tous leurs orifices sont … invisibles ! Une véritable orgie sans fin, car de plus grâce à ma magie, ils sont baisés et seront baisés en continue sans aucune interruption tant qu’ils resteront invisibles. Dès que leur visibilité sera revenue, le calvaire de ces esclaves s’arrêtera, et mes gardiens retrouveront leur aspect de créatures de pierre… Ton épreuve est donc toute simple : Trouve la solution pour rendre la visibilité à mes esclaves et ainsi soulager leur sort d’esclaves baisés... Un petit indice pour t’aider : Un seul, de mes gardiens, éjacule du sperme humain, tous les autres giclent du sperme gris de pierre liquide…Trouve celui qui a du sperme humain et fait le jouir dans ta bouche et la visibilité des esclaves sera revenue. Mais sur la centaine de mes gardiens, tu as le droit d’en sucer autant que tu veux mais tu dois en faire éjaculer qu’un seul et le bon, celui au sperme humain, et ainsi tu mériteras de rester l’Epouse du Divin Apollon, sinon tu sais le sort que je te réserve ainsi que celui de tes deux esclaves … Ha ! Ha ! Ha ! …

Après une heure de marche e à travers une plaine désertique et rocailleuse, la Belle Hélène se retrouva devant l’entrée d’une immense bâtisse, un magnifique Temple flanqué de centaines de statues grecques de toute part et de toutes tailles.
Ces statues remarquables (qui auraient fait le bonheur de plus d’un directeur de musée) étaient toutes à l‘effigie d’Hadès lorsque qu’il ressemblait encore à un Dieu à l’apogée de sa gloire et non à une horrible créature de pierre exilé de force par le grand Zeus. On fit entrer Hélène et c’est tout en bas des marches du Palais d’Hadès, qu’elle découvrit un spectacle incroyable. Il y avait là, sous ses yeux, à même les marches du Temple, une scène orgiaque irréaliste que seule la magie de la Divinité du Monde Souterrain avait pu rendre possible … En effet, une centaine d’hommes, les gardiens d’Hadès transformés en mâles humains, baisaient, sans jamais s’arrêter, par de vaillants coups de reins des esclaves invisibles et on aurait vraiment pu croire qu’ils baisaient dans le vide ! Seuls les nombreux cris de gémissements ininterrompus prouvaient la présence physique de ces esclaves invisibles… Près du bas des marches, sur chaque côté des escaliers trônaient deux magnifiques statues d’Hadès sur lesquelles quelques gardiens copulaient avec énergie. La belle Hélène compris vite que trouver le seul gardien au sperme humain serait comme chercher une aiguille dans une meule de foin surtout qu’elle n’avait pas droit à l’erreur, qu’elle devait faire jouir ce gardien là et pas un autre, sous peine du triste sort que lui réservait Hadès. Alors, elle réfléchit et décida judicieusement de commencer son épreuve par une longue séance d’observation, ce qui pourrait, peut-être, lui apporter un indice, un détail quelconque qui pourrait l’aider dans sa quête…

Elle commença par s’approcher, tout en bas des marches des escaliers, près des dix hommes copulant énergiquement côte à côte par groupe de deux. De par leur posture, Hélène compris qu’ils étaient plutôt en position de dessus dans leur accouplement effréné. Alors, elle interrompit un des gardiens mais pas pour le sucer et prendre le risque de le faire jouir de son sperme de pierre liquide car selon toute probabilité cela aurait été trop beau que le premier choisi au hasard soit celui au sperme humain.
Suivant son plan, elle se contenta de l’observer sous toutes les coutures. Il avait une verge dressée et impressionnante, très (trop) volumineuse par son épaisseur et sa longueur puis elle le laissa, et celui-ci sans rien dire recommença à copuler tel un robot programmé pour cette seule tache. Le Belle Hélène recommença l’expérience d’observation sur environ une dizaine de gardiens choisis aléatoirement tout en gravissant les marches par des arrêts réalisés à chaque fois juste pour regarder attentivement ces étalons infatigables… Sa judicieuse approche d’observation, pour tenter de trouver le bon baiseur, ne fut pas vaine car Hélène fit un constat simple et évident : Tous ces gardiens, à l’apparence humaine, avaient un phallus incroyablement développé par une forte taille que plus d’un véritable être humain mâle aurait eu envie d’avoir pour exhiber une belle virilité. Alors forte de ce constat, une idée, peut-être serait-elle-même la solution à son énigme, lui vint subitement à l’esprit : Et si tout simplement celui qui éjacule du sperme humain et non du sperme de pierre liquéfié n’étaient pas un gardien de pierre transformé en humain par Hadès mais plutôt un véritable humain et donc au sexe normalement érigé de taille d’une érection humaine ? !

Persuadée et motivée par sa réflexion non dénuée de bon sens, elle entreprit de vérifier le sexe de chaque fornicateur… Elle commença alors systématiquement sa démarche d’abord par ceux qui se trouvaient tout en haut des escaliers du Temple, ceux qui baisaient près des hautes colonnes ornementales. A chaque fois qu’elle interrompait un gardien, celui-ci, tout en se laissant faire, ne fit pas cas d’Hélène et dès qu’elle le relâchait celui-ci retournait au plus vite à besogner son esclave invisible. D’ailleurs Hélène avançait doucement afin de ne pas heurter ou blesser un esclave qu’elle ne pouvait pas voir, car plus d’une fois, sous ses pieds, elle sentait une présence, d’une jambe d’une tête ou d’un pied invisible… Continuant ce qu’elle avait entrepris, elle descendit ainsi les marches pour ne rater aucun des gardiens.
C’est ainsi qu’elle se trouva devant une des statues d’Hadès sur un côté où un baiseur copulait debout, se tenant en appui d’un bras, à la statue et levant l’autre bras comme pour rythmer ses vas-et viens. Hélène désespérait car tous les phallus observés étaient à l’identique, de trop forte taille pour être humains, se persuadait-elle. Alors qu’elle ne fut pas sa surprise quand elle décela chez ce baiseur une verge dressée certes mais plus adaptée à l’anatomie humaine et donc d’un moindre volume ! Il ne lui fallut que quelques secondes pour être persuadée qu’elle avait enfin trouvé celui qu’elle recherchait ! C’est sans attendre qu’elle le tira par le bras, pour lui faire quitter le socle de la statue, le mener au perron des marches et le sucer avidement. Lui ne disait rien, il continuait, comme hypnotisé, son mouvement de coups de boutoir, tel une mécanique bien huilée. Ce ne fut pas facile de le sucer ainsi tellement ce gardien donnait de fort coups de reins, ce qui baisait la bouche d’Hélène jusqu’au fond de sa gorge à chaque pénétration cadencée.

Mais Hélène durant ses nombreuses aventures en avait vu d’autres ! Elle en avait sucé des bites même les plus viriles ! Elle s’appliqua du mieux qu’elle pouvait, s’acharna sur ce pic de chair pour trouver enfin le même rythme que lui. Désormais la synchronisation de ses mouvements de sa tête était parfaite à ceux des coups de reins du mâle. Alors elle le pompait tant qu’elle le pouvait, encore et encore, à se faire mal à la mâchoire, cela dura pratiquement une bonne demi-heure ininterrompue. Hélène commençait à fatiguer et elle était à la limite de s’arrêter quand, enfin, elle décela des soubresauts de cette bite infatigable par magie, alors elle persévéra dans sa fellation acharnée, ce qui paya ! Car c’est dans un hurlement fort bestial de jouissance tel un cerf en rut (ce fut le seul son sortit de la bouche du gardien humain) qu’il se mit à jouir dans la bouche d’Hélène un flot constant de sperme humain d’une abondance incroyable, à n’en plus finir. La suite qui allait se passer, se déroula très vite à une vitesse vertigineuse :

Les esclaves humains, femelles et mâles devinrent subitement visibles dans les positions des plus scabreuses, ils avaient l’air exténués. Les gardiens d’apparence humaine se reculaient lors de leur transformation rapide qui leur rendit leur forme géante d’hommes de pierre et puis la suite fut encore plus rapide … Tout se mit à tourner autour de la Belle hélène, le sol se mit à trembler, ce qui la fit chuter sur une large dalle de pierre. Tout autour de cette dalle le sol se détacha pour s’effondrer, elle ne pouvait plus distinguer les esclaves et hommes de pierre car elle était déjà entraînée dans un tourbillon ascendant. En effet, la dalle de pierre montait rapidement, prenait de la hauteur dans une vitesse vertigineuse et tout autour d’elle le flou du décor apparaissait, on ne distinguait plus rien lors de cette incroyable ascension vers l’air libre. Hélène avait compris qu’elle remontait du centre la terre, qu’elle avait réussi l’épreuve du Dieu Hadès et que celui-ci conforme à ses engagements auprès d’Apollon lui rendit la liberté. Alors elle pensa de suite à ses deux esclaves Endymion et de Clytia. Il aurait normalement du être libérés aussi. Elle s’en inquiéta quand la vitesse ascensionnelle était telle qu’elle s’évanouit, la poussée était trop forte, elle qui restait couchée et sans connaissance sur cette dalle de pierre …

Quand elle se réveilla, elle était couchée sur le sable, à côté de son cheval qui semblait attendre. Tout était calme… Quelques mètres plus loin, ces deux esclaves étaient couchés eux aussi et semblaient dormir près de leur monture. Comment étaient-ils arrivés jusqu’ici … Hélène se remémorait son incroyable aventure dans son esprit tout en regardant autour d’elle, au milieu de cet interminable désert où le sable à perte de vue semblait les narguer par son uniformité sans aucun relief, sur ce sable posé sur un sol extrêmement plat brulé par un soleil de plomb qui était déjà bien haut ... Alors elle regarda ce ciel bleu sans nuage car elle savait que son Divin Epoux Apollon l’observait, elle en était persuadée … Elle avait surpassé l’épreuve du Dieu Hadès et Apollon devait apprécier cela …

(A suivre …)

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