La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°611)

Pauline au Château - (suite de l'épisode N°593) -

Elsa reprend sa place à mes côtés, tandis que Walter s'installe derrière le volant. Le moteur gronde, et la voiture repart. Les poignets accrochés au plafond, ce qui fait remonter mes seins lesquels ont les tétons dressés, les chevilles liées à la banquette, je suis à la merci de ces deux inconnus, Maitre et Maitresse de substitution. Je garde la tête baissée, leurs mains se baladent sur mes cuisses, dans mon entre-jambes, sur mon dos, mes flancs, ma poitrine. Le pervers Maître retire les pinces à mes seins puis s’active vivement à étirer mes tétons déjà fort sensibles. Il les pince, vrille, tapote, et mordille sans retenue tandis que la vicieuse Maîtresse me masturbe le clitoris, tout en m’insultant de putain et autres noms dégradants. Je tente de garder mon calme face à ces pervers attouchements de plus en plus prononcés quand mes seins sont encore et amplement soupesés, mes fesses pincées, mon sexe humide est étiré, mes lèvres intimes écartées, mon vagin doigté. La femme s'amuse à tirer sur la corde reliée aux boules de Geisha, le plug en moi vibrant toujours. Je me concentre sur la luxueuse moquette tapissant le sol de la voiture. Je me concentre pour ne pas succomber à ces si excitants contacts, et éviter de salir encore plus la banquette en cuir de la voiture du Maitre. Cependant, je sais cet effort est vain, mes deux voisins font tout pour que je finisse par désobéir en voulant me faire jouir et pour cela ils emploient toute leur perversité à mon égard. J'ai envie de leur crier d'arrêter, de cesser leurs impudiques attouchements, mais je garde le silence, car c'est ce que je dois faire, comme la chienne que je suis.

Je sens ma cyprine coulée le long de mes cuisses contre mon gré, j'aimerai tant jouir, j'aimerai qu'ils me prennent, et me fassent hurler de plaisir, qu’ils me pénètrent profondément, bestialement, sauvagement. Je tente de stopper les images qui défilent en moi, images encouragées par cette incroyable montée de plaisir jouissif qu’ils me procurent.

Mais je dois me rendre à l'évidence, cette situation m'excite tellement, et tous ceux présents dans cette voiture l'ont bien compris et surtout perversement voulue. Il suffit de remarquer les nombreux regards que jette Walter dans le rétroviseur central, pour admirer la scène qui se passe. La vicieuse Maîtresse a toujours deux doigts en mon sexe et les active encore plus rapidement par des vas-et-viens dans une cadence volontairement rythmée ayant pour seul but évident de m’amener à l’orgasme… Alors ma respiration s'est accélérée encore plus intensément...

Les doigts du Maître ne cesse d'effleurer mon dos et mes flancs, à croire que Monsieur le Marquis leur a indiqué ce que j'aimais. D'un coup sec, la femme me retire les boules de Geisha, me plaque contre la banquette, et ses doigts sont plus présents, encore plus rapides, et plus nombreux en moi. Je gémis, je frissonne, je tremble de plaisir. L'homme me tire par le ruban rouge, étirant ma poitrine au maximum. Les doigts de la femme sont plus insistants, je dégouline. Dans un souffle, je cris, demandant, que dis-je, suppliant plutôt, l'autorisation de jouir. A peine mes mots prononcés, qu'une claque s'abat sur ma joue droite, Mes suppliques sont inutiles : Cette gifle me fait comprendre que le silence m'est imposé. Je tente de garder le contrôle, mais cela est impossible, je sens une vague de chaleur me parcourir, je me mords les lèvres, pour ne pas hurler. Les doigts glissant en moi, le plug aux vibrations maximum, je me sens partir. Je sens mon sexe se vider, le liquide se répand entre mes jambes, un cri rauque s'échappe de ma gorge… Je jouis en essayant de cacher cet orgasme mais en vain, l’excitation est trop forte … Tout mon corps a des spasmes comme s’il avait reçu une décharge électrique, je me peux pas me contrôler quand j’éclate ma jouissance… Ce Maître et cette Maîtresse ont réussi, à dessein, à me faire jouir juste pour me faire désobéir. Ils ont donc eu une attitude plus que perverse laquelle je vais subir pleinement les conséquences par ce qui va suivre …

A peine mon corps commence à sa calmer, que le Maître me remet les pinces à mes seins puis la voiture s'arrête net, Walter s’étant garé dans un chemin lequel me faire comprendre que nous avons quitté la départementale menant au Château.
J’aperçois furtivement de grands arbres, ce qui me fait penser que nous nous trouvons à l’orée d’une forêt. Le Majordome coupe le moteur, puis il se penche sur moi, et défait mes liens. Je suis toujours un peu en transe, je ne prête pas attention aux alentours, mis à part la vision de ces grands arbres car j'ai l'esprit ailleurs, savourant encore le plaisir que je viens d'avoir. Maitre John, sort de la voiture et m'ordonne sèchement de le suivre. Je m'exécute maladroitement, j'ignore où nous sommes, et une fois à l’extérieur de la voiture, je jette de nouveau un rapide coup d'oeil aux alentours, il commence à faire sombre, nous sommes belle et bien en pleine forêt laquelle maintenant j’aperçois pleinement. Je suis me pose à genou au pied de Maitre John, les genoux contre les petits cailloux de ce chemin de terre, je garde le silence face à la douleur. Walter m'accroche la laisse à mon collier. Puis, il empoigne celui-ci, me fait mettre debout, et sans un mot, il avance en direction de l'arbre le plus proche. Je le suis bien contente d'être debout, évitant ainsi à mes genoux et mes poignets d'être éraflées par les pierres disposés ci-et-là dans ce chemin aux ornières creusées par les tracteurs. Une fois que je suis arrivée à l'arbre, il accroche ma laisse à une branche, m'ordonne de placer mes mains dans mon dos, et me lie les poignets. Il ajuste une dernière fois les liens solidement, m'observe un instant, et satisfait de son œuvre par un sourire pervers, il me retire les pinces à mes seins, ainsi, que les boules de Geisha, et le plug présent entre mes entrailles. Ainsi, nue, portant uniquement mon collier, je vois Walter s'éloigné de moi, et remonter dans la voiture en même temps que le Maître qui était descendu. Le moteur rugit, et la voiture reprend sa route avec l'ensemble de ses passagers….

Non, ce n’est pas possible ! Ils ne vont pas me laisser là toute nue et attachée à un arbre en pleine nature ! Je ne peux pas comprendre et admettre une telle attitude irresponsable.
Là, ils poussent la perversité à son comble. C’est même de l’insouciance car je suis à la merci du premier venu. Ou bien c’est calculé, voire ordonné par Monsieur le Marquis d’Evans et cela dans un but très précis à me mettre dans une telle situation ? Alors, ne sachant pas quoi penser, je panique, réalisant cette situation, je suis nue attachée, dans un chemin situé au bord d'une route que j’aperçois et qui me fait dire que le premier promeneur peut me voir, que les automobilistes passants sur la départementale peuvent aussi voir cette fille dénudée et attachée et stopper leur véhicule pour venir à ma rencontre, j'ignore où je suis... Je tente de garder mon calme, la route ne semble pas beaucoup empruntée, mais j’ai tout de même peur que personne viennent me délivrer mais aussi peur que quelqu’un me découvre ainsi… . Je me dis bien qu’il s'agit là, d'une simple punition, j'ai joui, ainsi j'ai désobéis au Maitre. Je suis une vraie chienne, sans éducation... Je comprends cette punition, et même je l'accepte mais tout de même, me laisser, m’abandonner ainsi…. Quelle humiliation car je me répète encore une fois que je suis exposée ainsi au premier inconnu qui pourrait passer par là. Avec un peu de chance, Walter va revenir dans peu de temps et me récupérer. Je me retrouve presque à prier que cela puisse arriver…

Un vrombissement de voiture interrompt mes prières. Je frémis, et j’ai aussi peur. Qui est-ce ? J'espère qu'il s'agit de Walter. Je regarde attentivement en direction de la route, pour tenter d’apercevoir la voiture. Il s'agit d'un gros 4x4, noir, mat. Je tremble de panique, ce n'est pas Walter, je me plaque à l'arbre, en espérant que le conducteur de la voiture ne me repère pas. Le bruit s'approche, j’essaie de garder mon calme, je ferme les yeux par appréhension puis je les ouvre par crainte, à l’affut du danger, je ne sais plus comment réagir, je panique en moi... J'entends la voiture ralentir, la peur me gagne encore plus, la voiture s’est arrêtée à l’entrée du chemin à 4 mètres de moi, une porte s'ouvre, suivie d'une deuxième.
Je n'y crois pas, je ne veux pas y croire... Saisie de terreur, je garde les yeux fermés, reste immobile, je ne veux pas regarder. Les deux portes se ferment, des pas s'approchent… J'entends leur respiration saccadée, ils gardent le silence, arrivent à ma hauteur. Je sens le souffle de l'un d’eux passer sur ma nuque, je frissonne, je me crispe... Une main rugueuse caresse alors mon dos, monte sur mes épaules, et fait tourner le collier autours de mon cou. Une voix s'élève dans mon dos. Une voix rustre, rurale, masculine :

- Il s'agit bien d'une esclave de Monsieur le Marquis, regarde c’est bien de celle-ci qu’il faut que l’on s’occupe, elle porte les nobles Initiales du Patron ...
- Julien, voilà, qui est intéressant... Ca a été tout de même une aubaine pour nous, d’être si près d’ici quand Walter nous a envoyé, il n’y a pas 5 minutes le texto pour venir jusque-là … Attends, je vais le relire afin que cette chienne en chaleur puisse en avoir connaissance en écoutant bien ce qu’il a écrit :

« Julien et Robert, quand vous aurez fini votre travail de garde-chasse, vous irez dans le Chemin des Grands Chênes, côté route. Là vous y trouverez de quoi vous soulager, une chienne en chaleur à user et r à volonté, selon les ordres de Monsieur le Marquis »

- En effet, le Patron est bien généreux !... Bon, par quoi allons-nous commencer ? Ses fesses rebondies, ou son sexe humide ?

C’était donc bien cela. Tout était calculé et tout a été fait selon les ordres du Châtelain. A ces mots, l'homme passe deux doigts entre mes lèvres intimes, je retiens un gémissement.

- Une vraie chienne humide, rien que par la présence de deux inconnus.
- Je propose qu'on la prenne à deux, qu'en penses-tu, Robert ?
- Hum... tu penses qu'elle sera capable de nous accueillir tous les deux, en même temps ?
- Nous verrons bien cela. Le Boss a donné l’ordre d’en faire ce que l’on en voulait, alors on ne va pas se priver !

Je frissonne, cette idée d'être prise en sandwich entre deux inconnus m'effraie, et m'intrigue... Je dois dire que cela m'a toujours excitée, j'ai toujours eu envie d'essayer, mais connaissant mon étroitesse, je n'ai jamais osé passer le cap. Je garde le silence, les mains rugueuses des deux hommes se baladent à présent sur l'ensemble de mon corps, aucune parcelle de ma peau n'est oubliée. Ils me pincent, me frappent de gifles, me caressent, malmènent mes seins. Leurs doigts pénètrent mes trous, sans gène, sans préambule. Ils accélèrent leur rythme, je sens l'envie de nouveau monter en moi, le désir de jouir parcourir encore mon corps. Je me trémousse, je me penche en avant, offrant d’avantages mon fessier à l'homme placé dans mon dos. J'aime ce contact, j'aime ce moment. Le deuxième homme s'est placé entre moi et l'arbre, ses lèvres m'embrassent, je rugis de bonheur. Je suis sur un nuage, coincée entre deux hommes qui me préparent prêts à me pénétrer, prêt à me posséder. Les mains liés dans mon dos, je sens la poigne ferme de l'homme s'accrocher à mes poignets, tandis qu'il frotte son entre-jambe sur mon fessier. Son sexe dur contre moi m'excite, j'ai envie de le sentir au fond de mes entrailles. L'homme devant moi, triture mes mamelons, il les fait rouler entre ses doigts, les tire en avant, je gémis. Trop concentrée par les sensations brûlantes qui se diffusent dans mon corps, je suis penchée en avant, mes fesses sont écartées, et d'un coup sec, l'homme prend possession de mon cul, avec acharnement sans se soucier de s’enfiler profondément à me faire mal. Je suis prise de soubresaut, cela est un véritable désir de se faire ainsi enculer.

Alors qu'un homme s'occupe de mon trou avec force, celui qui est placé devant, quitte ma poitrine pour s'attarder à un autre terrain de jeux. Ses doigts pincent à présent mon clitoris, tandis que son autre main, s'occupe à écarter mes lèvres intimes pour venir s'y insinuer. Mes jambes ne supportent plus mon poids, je sens m'écrouler entre ces deux hommes rustres, j'halète, je perds pied. Mais ces derniers finissent par me porter comme une plume, mes pieds ne touchent plus terre, et tandis que je me laisse dans mon plaisir, le sexe dur du deuxième homme vient enfin déchirer mon sexe... Le temps d'une fraction de seconde, je sens les deux hommes stoppés tout mouvement, afin de se placer correctement chacun, puis avec une synchronisation parfaite, les deux hommes entrent et sortent chacun dans un de mes trous avec force, puissance presque démesurée. Je subis une véritable double saillie qui me fait monter l’excitation d’un seul coup encore plus rapidement. Je rugis de douleur, de plaisir, j'éclate de rire, de pleurs, face à la situation, cela est tellement bon. Je suis possédée par deux inconnus, je suis baisée en duo par deux hommes qui visiblement connaissent bien le Maitre puisque ce sont ces deux gardes-chasse. Je jouis, je hurle, je n'ai jamais connu un orgasme aussi fort, aussi intense, ces deux sexes entrent et sortent de moi avec une telle facilité et régularité forcenée, profonde et intense. Je dégouline, autant du cul que du sexe. Je ne peux retenir mes cris, j'en oublie l'environnement, j'en oublie qui je suis, Pauline, une simple étudiante. Je suis devenue une soumise MDE prise en duo, comme une bonne chienne en chaleur. J'aimerai que le Maitre soit présent, oui, c'est l'unique pensé qui me traverse à cet instant même, j'aimerai que le Maitre soit spectateur de cette scène obscène, irréaliste… Mais peut-être qu’il me voit au travers une caméra vidéo de surveillance dissimulée quelque part ? En effet, je n'avais pas remarqué la caméra posée sur le pare-brise de leur 4x4 et qui était sans doute enclenchée …

(A suivre …)

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