Une Partie De Belote... Sans Cartes

Roger et Martine Néral avaient accepté l'invitation à dîner d'un couple de leur âge, la quarantaine, connu pendant les vacances sur un terrain de camping de la côte atlantique. Le hasard avait voulu qu'ils habitent la même région, qu'ils aient des s du même âge et qu'ils appartiennent à la même classe sociale si bien que de bonnes relations s'étaient nouées naturellement, même si elles étaient ment superficielles. En outre, ils s'appelaient Nérol, une découverte qui les avaient bien fait rire. La fille des Nérol et le fils des Néral avaient même entamé un flirt d'ados. L'homme, prénommé Bernard, un grand gaillard athlétique au crâne un peu déplumé, était un fan de vidéo et n'avait cessé de filmer leurs réunions. A table, sur le terrain de volley, dans les animations diverses et même sur la plage naturiste où ils avaient fait une apparition un jour de grand soleil. Dans le plus simple appareil, sa femme Françoise, une grande rousse tendance auburn, au nez pointu, aux yeux émeraude, à la peau laiteuse, grosses fesses et petits seins, et Martine, pulpeuse brune à peau mate et épaisse crinière de jais, avaient fait l'objet de plusieurs plans du vidéaste. Elles avaient joué le jeu, prenant la pose. Les rondeurs bronzées de Martine et la carnation ivoirine de Françoise permettaient de savantes associations, contrastées mais attrayantes. Sur la route menant au domicile du couple invitant, Roger et Martine se remémoraient ces moments heureux de l'été, comme pour chasser de leur esprit les brumes de l'hiver. Non sans émettre quelques réserves :
- Je me demande si on a raison de les revoir dans un autre contexte que les vacances, observait Martine. Après tout, on les connait peu, ces gens là.
- On ne va pas faire demi tour maintenant. Et puis quoi, ils étaient sympas et ils n'ont pas changé en trois mois. Bernard m'a promis de montrer le film qu'il a réalisé sur nos vacances. Cela sera agréable, non ? répliqua Roger.
De fait, les Néral furent accueillis chaleureusement.

Ils notèrent l'absence des s du couple Nérol, envoyés dans la famille "pour qu'on soit plus tranquille", avait précisé Bernard. Il est vrai que le flirt de leur progéniture respective n'avait pas résisté à la rentrée scolaire...


Tout avait commencé de la manière la plus classique. Françoise, vêtue d'une robe vaporeuse à fines bretelles dans les tons verts afin de faire ressortir sa rousseur et sa chair laiteuse, les avait accueillis avec sa gouaille habituelle. Bernard avait sorti quelques bonnes bouteilles de bourgogne, afin d'agrémenter un repas particulièrement chargé en calories. La discussion avait porté essentiellement sur les s et les vacances. Bernard avait mis les Néral en appétit sur un montage vidéo qui devait reconsti les bons moments de l'été.
Après le repas, assis sur un canapé en équerre devant un verre de cognac, Bernard mit en route la vidéo. Martine avait un petit coup dans le nez et n'arrêtait pas de glousser. Des plaisanteries de fin de repas fusaient. Les deux couples riaient à se voir ainsi en tenue légère (et même très légère sur la plage) en une période où le soleil se faisait rare. Sur les images prises au camping, les lourdes mamelles de Martine, difficilement contenues par le haut minimaliste du maillot de bain, provoquèrent quelques commentaires grivois des deux hommes, tout comme le slip beaucoup trop petit de Françoise, découvrant la raie des fesses et quelques poils indisciplinés à l'entre-cuisses.
Mais les rires s'éteignirent d'un seul coup quand une autre séquences apparut. Cette fois, seuls les Nérol étaient présents à l'image. Françoise se trouvait devant l'objectif, assise entièrement nue sur une couverture en tissu posée à même le sol dans un endroit herbeux proche d'un petit bois. Elle faisait des mines, prenait la pose, exhibant tour à tout son imposant fessier et son pubis abondamment fourni en poils roux foncé. Puis la caméra sembla se fixer sur un pied télescopique et Bernard apparut à l'image, nu lui aussi.
Il s'assit à côté de son épouse, l'enlaça et commença à lui brouter le museau. L'un et l'autre se mirent mutuellement la main entre les jambes et entreprirent une masturbation réciproque. Martine exprima un nouveau gloussement mais ne dit mot, tout comme Roger, muet de surprise. Les Nérol, assis sur l'autre partie du canapé, les regardèrent avec un sourire amusé :
- Cela vous choque ? interrogea Bernard.
Roger répliqua, un brin embarrassé :
- Euh, non, mais ce n'est plus nos vacances, là.
- C'est juste après notre séjour à la mer, quand on est allé en Dordogne. Vous voulez voir plus loin ou on arrête là ?
Les Néral, qui venaient de faire bombance chez leurs hôtes, se trouvaient dans une situation délicate. Demander d'arrêter la vidéo, c'était prendre le risque de vexer les Nérol et de passer pour pudibonds, ce qu'ils n'étaient pas du tout. Mais les laisser étaler leur exhibitionnisme, c'était s'engager sur un terrain inconnu qu'ils n'avaient jamais abordé ni avec eux ni avec personne et qui comportait plein de risques de dérapages.
- Nnnnon non, on est pas bégueule, mais c'est un peu surprenant, répondit Roger, après avoir hésité. Martine poursuivit dans son mutisme mais Roger sentait que sa respiration s'était accélérée. Visiblement, le bourgogne rouge faisait encore son effet...


Et les deux couples dirigèrent leurs regards sur l'écran du téléviseur, situé en biais face aux deux côtés du canapé. Les Néral étaient placés de telle façon qu'ils pouvaient voir à la fois leurs hôtes et l'écran. La vidéo montrait maintenant la tête rousse de Françoise penchée sur le giron de Bernard en train de lui prodiguer une fellation doublée d'une masturbation. A l'évidence, la dame était experte dans l'exercice et y prenait un plaisir visible. Roger ressentit un commencement d'érection, d'autant que sur le canapé, Bernard avait retroussé la robe de son épouse et découvert ses fortes cuisses ivoire, qu'il caressait d'une main nonchalante.
Tout s'accéléra quand, à l'écran, Françoise abandonna son travail buccal pour venir s'accroupir et s'empaler sur son mâle, toujours allongé. Le généreux fessier se mit à exécuter d'ardents mouvements longitudinaux et latéraux, plein cadre. Bernard et Françoise avaient décidé de se filmer en train de baiser en pleine nature puis de se montrer à leurs hôtes d'un jour. Le couple Néral n'allait rien ignorer de leurs fantaisies sexuelles. Mais pas seulement par écran interposé. Sur le canapé, la rousse hôtesse était en train de se tortiller pour retirer son slip. Tandis qu'à l'image, la même personne faisait désormais face à l'objectif le visage rayonnant, jambes fléchies pour s'accorder un pal vaginal, l'autre, la réelle, s'allongeait sur le canapé, robe troussée dévoilant un pubis abondant, une talon nu sur le dossier, l'autre sur les reins de son mâle qui s'apprêtait à enfoncer son museau dans le triangle des Bermudes.

Martine Néral eut alors un geste qui devait conditionner le reste de la soirée : elle posa la main sur la braguette de Roger. Arrêtons-nous un moment sur son état d'esprit. Lorsqu'elle découvrit sur l'écran que Françoise allait tailler une pipe à Bernard, son premier mouvement intérieur fut de s'échapper. Mais une force impérieuse, sans doute due au fait que l'alcool agissait chez elle comme un aphrodisiaque, la poussa à regarder. Elle ressentit alors dans son bas-ventre cette onde de chaleur qu'elle connaissait bien et qui préludait en général à l'acte sexuel avec Roger. La manière dont Françoise tétait et engloutissait successivement le pénis de Bernard (un très beau pénis d'ailleurs) la faisait presque saliver. Et quand Martine la vit, radieuse, cavaler sur cette bite à l'écran, puis tout à côté, l'entendit gémir sous l'effet de la langue de Bernard, quelque chose dans sa tête lâcha. Et Roger sentit qu'elle posait son index sur la partie la plus sensible de son individu avec une prescience diabolique, comme si son doigt avait regardé à l'intérieur du pantalon.
Elle le déboutonna fébrilement tout en considérant à la fois l'écran et la scène qui venait de commencer sur le canapé voisin. Pour un homme, rien n'est plus jouissif qu'une femme qui déboutonne sa braguette. C'est le prélude à toutes les folies érotiques.

Avant de commenter cette scène, considérons maintenant l'état d'esprit de Roger. Durant leurs vacances en compagnie du couple Nérol, il n'avait pas été particulièrement attiré par Françoise. Certes, il la trouvait sympa, charmante même, mais sexy, pas vraiment. Pas assez de poitrine à son goût. Il faut dire que sa libido était largement préemptée par Martine qui, en vacances, réclamait au moins un rapport sexuel par jour, de préférence en plein air, ce qui nécessitait de la part de Roger un investissement lourd. Néanmoins, il n'avait pas manqué de considérer la nudité intégrale de Françoise lors de l'épisode naturiste et lui avait trouvé un indiscutable "côté chienne". La manière sans complexe dont elle exhibait son bas-ventre lui avait donné à penser. Et quand elle et Bernard avaient prévenu leurs amis qu'ils allaient "s'éloigner un peu" à la plage, les Néral s'étaient sentis un peu vieux jeu. Au retour, Françoise avait arboré une petite moue satisfaite et avoué à Martine avoir "très bien baisé au soleil". Mais c'était deux jours avant le retour et le sujet n'avait pas été creusé.
Voilà pourquoi il n'avait été qu'à moitié surpris par le déchainement érotique du couple Nérol en leur présence. Et voilà pourquoi il trouvait désormais à Françoise un attrait nouveau. Martine ne s'y trompa pas :
- Elle te fait bander, hein ? Plus que moi ?
- Et toi ? Elle t'excite, la queue de Bernard ?
Martine ne répondit pas pour la bonne et simple raison qu'elle pompait désormais le dard dressé de son mâle. Celui-ci avait toutes les raisons de bander dur. Non seulement il était sucé avec le savoir-faire habituel de Martine mais le couple Nérol lui offrait la double vision d'une puissante scène érotique. A l'écran, Bernard prenait Françoise en levrette mais de profil face à l'objectif afin de pouvoir bien visualiser ultérieurement l'entrée et la sortie du pénis. Françoise regardait la caméra toujours béate tout en allant chercher la bite à grands coups de hanches. A en juger par le mouvement de ses lèvres, elle devait prononcer quelques mots crus, hélas inaudibles. En revanche, sur le canapé, son expression verbale était parfaitement claire. Toujours léchée par Bernard, elle le somma de lui "mettre le doigt dans la chatte et le petit trou" ce qui provoqua chez elle de sonores onomatopées une fois que son époux se fut exécuté. Roger sentit monter de ses couilles un bon paquet de sperme et se trouva dans une situation cruciale : tout lâcher maintenant et se mettre hors jeu pour la suite, avec un gros point d'interrogation concernant Martine, ou bien se maintenir en état et se retirer de la bouche gourmande de son épouse, quitte à se faire mal voir par celle-ci. Heureusement, le couple Nérol prit une initiative qui régla le dilemme :
- Et si on allait continuer dans notre chambre ? On serait plus à l'aise, non ? suggéra Françoise.
Roger et Martine se regardèrent. Qui ne dit mot consent, dit l'adage, et tenant son pantalon ouvert d'une main, Roger prit Martine par le bras à la suite du couple Nérol. Bernard avait coupé la vidéo au moment où il besognait Françoise en missionnaire, sans doute pour l'assaut final.

*********

La chambre conjugale des Nérol comportait un lit "king size" doté d'un épais matelas. A la tête du lit se trouvait un miroir, ainsi que sur un côté de la chambre. Mais Bernard adressa un clin d'oeil aux Néral en appuyant sur un bouton. La toile du plafond s'écarta pour laisser place à un grand miroir, juste au-dessus du lit. "Notre potion magique", commenta-t-il. "Allez, on se met tous à poil et on joue" lança Françoise.
Celle-ci fit passer sa robe par dessus sa tête et se jeta totalement nue sur le vaste lit, dans l'éclat de sa belle carnation ivoire, bientôt rejointe par Bernard, nu lui aussi et toujours en érection. Roger baissa son pantalon et aida Martine à se dévêtir. Le couple Néral rejoignit le lit, un peu emprunté.
- Allez, on commence tous par un 69, ça nous mettra en appétit, gloussa Françoise, de plus en plus enjouée.
Et les deux femmes s'allongèrent sur leurs hommes en position inversée. Fan de 69, Martine se mit aussitôt dans l'ambiance et s'observa dans le miroir en train de sucer Roger tout en attrapant le regard de Françoise, dans la même position, qui lui jeta un clin d'oeil complice. Puis Françoise déclara :
- Allez, on change !

Martine n'eut pas trop le temps de réfléchir : Françoise l'avait tirée pour qu'elle s'occupe de Bernard et prit sa place illico. Roger se retrouva le nez dans sa chatte poilue de rousse tandis qu'elle prenait possession de son dard. Ainsi cerné par les cuisses dodues et laiteuses de Françoise (ce dont il ne se plaignait pas, il avait toujours considéré le 69 comme la meilleure des entrées en matière), il pouvait percevoir par l'oreille les ébats voisins de son épouse et de Bernard tout en les regardant évoluer de bas en haut sur le miroir du plafond. Vision étonnante que celle de ces quatre corps en surplomb dans la frénésie de l'amour, de ces fesses et de ces jambes en mouvement. Mais Roger ne pouvait pas être au four de la vulve de Françoise et au moulin du voyeurisme. Il retourna à son sujet principal. Après les bruits de succion caractéristiques d'une pipe made in Martine, Roger perçut un remue ménage témoignant d'une situation en évolution, suivi d'un râle non moins caractéristique : Martine venait d'être pénétrée. "Il est vraiment pressé", se dit Roger, pas vraiment surpris par l'impatience de Bernard d'honorer les somptueuses rondeurs de la brune et capiteuse Martine. Françoise avait interrompu sa succion pour observer les ébats du couple voisin tout en maintenant une forte pression de son bassin sur la face de Roger afin qu'il ne se dérobât point. Le lit se mit alors à vibrer sous l'effet des coups de boutoir de Bernard et Martine se mit à manifester son plaisir sans la moindre retenue ni le moindre souci de préserver les oreilles de son mari. Celui-ci reconnut le verbe caractéristique de son épouse lorsqu'elle baisait, mêlant l'étrange au classique :
- Insiste ! Oui, c'est bon ! Ne lâche rien ! Vas-y ! Plus ! Plus ! Encore ! Ah ! Mmmh ! Bite moi !
Subjugué par tant d'enthousiasme, Bernard se déchainait. Roger se décala légèrement du giron de Françoise pour observer les ébats voisins en regardant le plafond. Martine avait croisé les chevilles sur les reins de Bernard et pressait en cadence à chaque pénétration de son baiseur. Celui-ci, dynamisé par une telle ardeur, la mitraillait de coups de bite. Françoise se crut obligée d'intervenir :
- Ho Bernard, calme-toi un peu, tu vas tout lâcher trop vite comme un gamin, fait durer...
Et elle reprit sa succion sur la queue de Roger. Effectivement, à côté, il sentit que les choses s'étaient quelque peu atténuées, à entendre les profonds soupirs de Martine et Roger constata au plafond que Bernard était passé au cunnilingus pour ménager l'avenir. Quant à lui, il continuait d'explorer la vulve de Françoise qui dégoulinait sur son museau. Sa langue agile la fouillait comme un pénis. Il dut toucher un point sensible car il sentit qu'elle se raidissait, que ses fesses étaient envahies de chair de poule et elle lâcha un "Ha !" en se cambrant. Puis elle le libéra après l'avoir félicité :
- Tu m'as déjà fait jouir, cochon que tu es !
Les deux couples, absolument nus, se retrouvèrent assis sur le grand lit, les deux mâles en érection, les deux femelles pantelantes. Un intense désir de copulation les animait toujours et Martine ne pensait plus guère à la transgression représentée par cet accouplement à quatre. Elle taquinait du pied le pénis de Bernard, lequel s'en était saisi pour se masturber. Françoise plongeait ses yeux émeraude luisants de désir dans ceux de Roger qui la caressait légèrement à l'intérieur de la cuisse en frôlant sa vulve trempée, ce qui l'excitait considérablement. D'une voix rauque, elle suggérera de "jouer".
- Qu'entends-tu par là ? Tu veux qu'on se fasse une belote ? On est juste le nombre qu'il faut, plaisanta Roger.
- Si tu veux, mais les cartes, ce sera nos corps, répliqua Françoise du tac au tac.

********

Il fut ainsi décidé que les deux femmes suceraient les deux bites en même temps, à tour de rôle, mais Françoise ajouta :
- Vous les mecs, interdits d'éjaculer pendant une heure. Si ça vous prend, allez à la douche sous l'eau froide !
On en resta donc pendant quelque temps aux jeux sexuels, essentiellement buccaux et manuels. Les deux femmes se tordirent sous les doigts experts des deux hommes. Roger, subjugué par le cul de Françoise, promena sa langue sur sa raie et s'attarda sur son anus, la faisant roucouler. Bernard, fasciné par les deux nichons plantureux de Martine, n'en finissait plus d'y fourrer son groin et sa queue que la brune pressait entre ses deux mamelles. Ces petits jeux avaient toutefois leurs limites et les deux femmes, allongées côte à côte au bord du lit, exigèrent d'être baisées simultanément. La chambre s'emplit des bruits mouillés des quatre sexes joints. Cette fois, c'était au tour des deux femmes d'observer au plafond les fesses en mouvement de leur partenaire, ce qui ne contribuait pas peu à leur extase. Bernard se régalait de la houle des seins de Martine sous l'effet de ses coups de boutoir cependant que Roger, saisissant les pieds de Françoise pour lui écarter les jambes, lui assénait de virulents coups de bite qui la faisait se pâmer de manière indécente :
- Jusqu'aux couilles ! Jusqu'aux couilles ! répétait-elle, en jetant un regard en coin sur le miroir mural qui lui renvoyait l'intense travail de la bite.
Les deux hommes comprirent que s'ils voulaient respecter le contrat de l'heure, ils devaient modérer leur enthousiasme, voire courir à la douche. Et ils se retirèrent, toujours gaillards, au grand soulagement des deux femelles, loin d'être encore satisfaites.

On se retrouva donc à nouveau sur le lit, en sueur et en ébullition, pour deviser sur la suite des événements. Bernard suggéra une double pénétration à tour de rôle des deux femmes, ce qui obligea Françoise à expliquer à Martine de quoi il s'agissait exactement, non sans lui avoir vanté le procédé. Martine lui proposa de commencer afin qu'elle puisse se rendre compte de visu. Et c'est ainsi que Françoise vint s'empaler sur Roger qui, pour la seconde fois en quelques minutes, pénétrait une femme devant son épouse, qui plus est sans que celle-ci y trouve à redire. Bernard laissa Françoise prendre la mesure du pénis de leur hôte et s'en satisfaire avant de se positionner derrière elle et d'introduire son gland entre les deux majestueux globes séparés d'un long et profond sillon, véritable appel à la sodomie. Le visage au ras de l'intromission, Martine observa le pénis se frayer par petits coups un passage dans l'anneau tout en caressant alternativement les couilles de Bernard et de Roger. Quand la double pénétration anale-vaginale fut réalisée et la synchronisation entre les deux va et viens pleine et entière, Martine se déplaça pour observer le visage de Françoise, en proie à une telle extase que sa langue en sortit de sa bouche. Roger sentait la queue de Bernard presque contre la sienne à travers la mince membrane ce qui lui fit craindre une rencontre impromptue. "Surtout ne pas jouir", se disait-il, inquiet par la montée de son sperme le long de sa hampe. Il voulait absolument que Martine connaisse à son tour cette joie spéciale. Bernard devait avoir la même pensée car il se retira pour aller se laver le sexe tandis que Françoise s'effondrait sur Roger en gémissant :
- Bon dieu que c'était bon, j'aurais bien voulu continuer...
C'était donc au tour de Martine. Celle-ci avait pris sa décision :
- D'accord pour essayer mais c'est mon mari qui vient dans mon petit trou.
Et c'est ainsi qu'elle se mit à chevaucher Bernard avec la même ardeur que Françoise avait chevauché Roger, s'interrompant pour que celui-ci vienne la sodomiser. Ce n'était évidemment pas la première fois qu'il honorait son cul mais là, effectivement, c'était spécial. Martine comprit tout de suite pourquoi Françoise avait tiré la langue. Ces deux bites qui s'activaient en elle lui firent dresser tous les poils de son corps. Elle repartit dans son verbiage insane, ses melons en bataille, ses yeux noirs flamboyant, célébrant la virilité de ses deux partenaires tout en les menaçant de représailles si jamais ils s'interrompaient dans leurs travaux virils. La conclusion était inévitable : déjà fortement entamés par les circonvolutions fessières de Françoise, les deux mâles furent incapables de résister à l'ébullition du corps de Martine et Bernard lâcha son sperme à peu près en même temps que Roger éjacula dans le rectum de son épouse. Laquelle en frissonna pendant de longues minutes avant de reprendre ses esprits.
- Quel pied ! lâcha-t-elle
- Quelle baiseuse ! répondit Bernard.


Après un retour commun à la douche qui faillit se prolonger par un nouveau coït entre Bernard et Martine, les deux couples convinrent qu'ils avaient bien mérité un petit en cas. Peut-être parce qu'ils s'étaient rhabillés, l'excitation retomba alors, comme un retour sur terre et le couple Néral décida qu'il était temps de retourner au bercail. On s'embrassa langoureusement sur le seuil et on décida de se retrouver au plus vite pour "remettre ça".
Mais il en est de ces délires sexuels comme des amours passagères. Le soufflé retombe aussi vite qu'il est monté. Le coup de fil promis n'arriva jamais chez les Néral qui ne se sentirent pas vraiment l'envie de les relancer. Le charme était passé et il resterait un bon souvenir. Martine convint toutefois que le mélangisme avait ses vertus mais qu'il ne fallait pas en r. Roger, au souvenir de l'enthousiasme de son épouse sous les coups de boutoir de Bernard, jugea plus prudent de ne pas renouveler l'expérience, même s'il conservait un souvenir ému du cul royal de Françoise.
- Laissons faire les choses, conclut Martine. On ne sait jamais ce que la vie peut nous réserver. C'est ce qui fait son charme.

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